• ACCES DES ADEPTES A L'EXERCICE DU CULTE.


    Au départ, il y avait, une certaine méfiance à confier l'exercice du Culte aux adeptes ordinaires. Manifestement, l'exercice des consultations et des opérations devait être réservé au Père ANTOINE. A l'origine, c'était bien ainsi: seul le Temple de JEMEPPE – SUR – MEUSE existait et seul le Père ANTOINE opérait.

    Pourtant, dès la première Opération Générale, le 28 mars 1910, il se fait assister par Mère: le Père ANTOINE occupait la tribune et, durant le temps de l'Opération, Mère ANTOINE se tint au-dessous de la tribune, gardant les mains jointes tout au long de l'Opération.

    Le Père expliqua pour quelle raison il avait associé Mère pour faire l'Opération Générale:

    « Mère me permet d'assimiler mes fluides à des malades qui, sans elle, ne pourraient être soulagés ou guéris. Les adeptes peuvent rendre le même service, et, par leur contact, m'aider à réconforter bien des personnes qui, sans leur intermédiaire, ne seraient pas touchés et partiraient découragés. Je vous prie donc de les informer de cette révélation; ils seront heureux d'être utiles et ils profiteront du bon fluide que, grâce à eux, j'aurai pu distribuer. Vous voyez une fois de plus que rien n'est bien s'il n'est solidaire. Seulement ayez bien soin de leur dire qu'ils ne doivent rien négliger de leurs devoirs de famille pour prendre part à l'Opération, que c'est une question d'opportunité. »

    Deux remarques donc:

    1° l'assistance de Mère ANTOINE pour l'Opération Générale, n'est pas une faveur particulière qui lui serait réservée; elle préfigure, au contraire, la même possibilité pour tout adepte;

    2° le Père ne se comporte pas en gourou, il met bien en garde les adeptes qui seraient trop fervents: il ne faut pas que l'exercice du Culte leur fasse perdre de vue le respect de leurs obligations familiales.

    Nous trouvons aussi cet extrait du Développement dans le chapitre « NOUS DEVONS TOUJOURS RESPECTER NOTRE NATUREL ». Le Père ANTOINE y répond à une adepte qui se lamente parce qu'un groupe d'antoinistes a ouvert un local autonome à LIEGE. Voici ce qu'elle dit, entre autres choses: 

    « ...je me trompais, car ce n'était pas tout et il me semble aujourd'hui qu'au lieu de ramener les brebis au bercail en disant qu'elles ont fait le bien, on les a égarées davantage puisque, depuis dimanche dernier, elles ont établi un groupe à LIEGE... »

    Le Père temporise et ne songe qu'à calmer les esprits. J'ai puisé quelques passages de sa longue réponse: 

    « ...Mon Enseignement n'étant pas plus basé sur le bien que sur le mal, puisque l'un n'est pas plus réel que l'autre, je crois qu'on aurait tort de se plaindre à moi et de dire que certains adeptes agissent contrairement à ce qu'il proclame. Ne visons-nous pas ces personnes avec la vue du mal ? »

    « Si nous interprétons les choses erronément par notre fausse vue, ce mal que nous voyons dans certains adeptes n'est-il pas le bien véritable ? »

    Et, encore plus clairement plus loin: 

    « Vous me parlez de l'unité de l'ensemble, disant que ces adeptes en sortent plutôt que de s'y maintenir, puisqu'ils se divisent et tenteraient les autres à le faire également. Mais comment interprétez-vous cette unité ? Car c'est là, je crois, que vous vous trompez. Vous entendez par elle que tous les adeptes devraient s'unir et ne faire qu'un groupe, que tous devraient revêtir la robe et qu'ainsi, toute distinction disparaissant, tous seraient dans cette unité. C'est là que vous faites erreur, car si votre vue ne se porte que sur l'effet, vous serez d'autant plus divisés à la cause. La manière d'agir de ces adeptes doit vous prouver qu'ils sont dans l'unité, car c'est bien au sein de ce que vous envisagez comme telle que gît l'imperfection, puisque tous ceux qui y participeraient en vue de montrer qu'ils font le bien, ne seraient basés que sur l'apparence, ce serait la véritable imperfection tandis que, je le répète, si même vous êtes divisés à l'effet en agissant naturellement, vous ne le serez pas à la cause. »

    On découvre ainsi que, au début du Culte, certains adeptes estimaient que tout devrait se grouper au Temple de JEMEPPE. Tout groupe extérieur était considéré par ceux-ci comme des dissidences ou, en tout cas, des menaces de dissidences. Le Père remet les choses au point.

    Comme le nombre d'adeptes augmentait et que le rayonnement du Culte s'étendait bien au delà de JEMEPPE et même de la région liégeoise, la nécessité de créer de tels groupes apparut rapidement. Une question se posa rapidement aussi: comment diriger ces groupes ? Le Père ANTOINE y répond dans le chapitre « COMMENT DOOT-ON AGIR DANS LES REUNIONS SI L'ON VEUT RESPECTER L'ENSEIGNEMENT. »: 

    « J'ai déjà reçu de plusieurs groupes des lettres me demandant comment on doit faire pour être d'accord avec l'ENSEIGNEMENT. Nous le savons, nous n'en sommes encore qu'à l'aurore de sa proclamation. Pour le répandre nous en faisons la lecture dans des maisons ou dans des salles suivant l'importance des groupes; Plus grand est le nombre d'adeptes, plus il est besoin de salles indépendantes et plus aussi le silence est nécessaire; Les groupes qui se dirigeront avec amour attireront de nouveaux adhérents en proportion et des personnes dévouées et désintéressées seront heureuses de faire construire des temples; c'est en travaillant à notre amélioration que nous trouverons tout ce dont nous avons besoin, tout se résoudra à notre satisfaction, nous finirons par avoir dans chaque groupe un temple et vous savez qu'on y parle pas; nous devrions commencer dès maintenant à ne plus le faire, avant ni après la lecture. »

    Le Père reconnaît ainsi, officiellement, la nécessité d'instaurer des groupes autonomes et de construire des Temples, le Temple de JEMEPPE étant, en quelque sorte, le Temple par excellence.

    Revenons maintenant à l'exercice du Culte proprement dit et à l'intervention des adeptes. Avant la fin de l'année 1910, le Père faisait l'Opération Générale les quatre premiers jours de la semaine, à 10 Heures tandis que Mère ANTOINE faisait seule l'Opération au nom du Père , le vendredi.

    Voilà pour l'Opération Générale. Ne recevant plus personne en particulier, le Père ANTOINE avait chargé la Mère et le frère Florian DEREGNAUCOURT pour recevoir les consultants les personnes affligées qui souhaitaient être reçues en particulier.

    En plus des Opérations Générales, un adepte faisait la lecture de ( dans ) l'ENSEIGNEMENT dans le temple, le dimanche à 10 heures et un soir par semaine, le jeudi, à 19 heures 30, en 1911.

    Toutefois, après la désincarnation du Père ANTOINE, le problème de la prééminence du Temple de JEMEPPE continua à se poser. Le Temple de JEMEPPE resta longtemps le seul Temple où pouvait se faire l'Opération Générale. C'est ce qui fut rappelé à plusieurs reprise par le bulletin « L'Unitif » ( avril 1913, novembre 1913, décembre 1913 ) . Il était rappelé que l'action cultuelle par excellence était l'apanage exclusif du Premier Représentant du Père qui, lui, était unique.

    La situation se modifia seulement en 1930 ( 17 juin 1930 ) . A cette date, Mère délégua ses pouvoirs à un coadjuteur ( le Frère Narcisse NIHOUL ) . Celui-ci la remplaça à JEMEPPE, à la grande tribune, pour l'Opération Générale.

    Dès lors, logiquement, du fait que, du vivant de Mère ( Premier Représentant du Père ) un adepte pouvait, au Temple de JEMEPPE,procéder à l'Opération Générale, on ne voyait plus ce qui, pouvait empêcher les desservants de recevoir les mêmes pouvoirs. Mère invita les desservants à faire l'Opération Générale dans leurs temples comme à JEMEPPE. Mère prescrivit que l'Opération Générale soit précédée de l'annonce suivante: 

    « Le Père fait l'Opération, suivie de la lecture des Dix Principes. Celui qui a foi au Père trouvera satisfaction. » Simultanément, elle fit placer sur l'image du Père, au-dessus, l'inscription « LE PERE FAIT L'OPERATION »

     source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/


    2 commentaires
  •  Leden van de christelijke stroming, de Antoinisten, op zondag voor de ingang van hun tempel.

     Membre du mouvement d'inspiration chrétienne, les Antoinistes, le dimanche avant l'entrée au temple.

    source : www.spaarnestadphoto.nl

    cf. le billet suivant pour un autre tirage de cette image 

    cf. le billet suivant pour l'histoire du costume antoiniste

     


    votre commentaire
  •  source illustration : kikirpa

    Leroy Jean

    Arts plastiques - Dessin/Peinture/Sculpture/Tapisserie
    Professionnel

    Né le 24/02/1896 - Décédé le 08/12/1939

    Originaire de Péruwelz

    ©Maison de la culture de Tournai


    ‘La famille Leroy s’installe an 1910 à Tournai. Jean Leroy (Péruwelz, 24 février 1896 – Tournai, 8 décembre 1939) s’inscrit à l’Académie des Beaux-Arts de la ville. Louis Pion incite ses élèves à peindre d’après des paysages dont ceux du Pays Blanc baignés d’une lumière particulière. Les tableaux de jeunesse de Joseph Lacasse, Marcel Degand, Jean Leroy... sont caractéristiques de la pédagogie du professeur. Après avoir tenté sa chance à Paris, Jean Leroy revient à Tournai où la vie reste difficile jusqu’à sa désignation comme professeur à l’Académie. Jean Leroy participa à la décoration de l’église de Bléharies à la demande d’Henry Lacoste. Excellent dessinateur et peintre figuratif, Jean Leroy va étonner, à partir de la fin des années 30, en présentant des œuvres expressionnistes qui font, aujourd’hui, sa réputation dans les arts plastiques belges. Il poursuit une œuvre inspirée de ses proches et de son environnement. Il réalisera ainsi des portraits d’antoinistes, des ouvriers carriers, des bateliers,…Il a laissé de très beaux portraits dont ceux d’André Dumortier, de George Grard. Jean Leroy s’adonne également à la sculpture et au carton de tapisserie. Hélas, il décède prématurément à 43 ans, le 8 décembre 1939’. (D’après Norbert Gadenne Jean Leroy: 1896-1939, Charleroi Institut Jules Destrée, 1985 - Nos artistes). Après une rétrospective à Tournai, en 1949, Jean Leroy retombe dans l’oubli. C’est grâce à l’attention continue de son ancien élève Edmond Dubrunfaut que Jean Leroy refait surface dans l’histoire de l’art. ’Il livre entre 1938 et 1939 parmi ses plus belles œuvres, qui font aujourd’hui de Jean Leroy le seul véritable expressionniste en Hainaut, Les Mangeurs, La Tricoteuse ou Le Buveur, plaçant toujours la figure humaine au centre de ses préoccupations formelles.’ (XAVIER CANONNE Jean Leroy (1896-1939). In : Expressionnisme wallon. Bruxelles : Ed. Crédit communal, 1993. p / 28 -extrait). Extrait de 50 artistes et les Plaines de l’Escaut

    source : http://www.acho.be/Fr/artistes/detail.aspx?id=ARTISARTI221#

    cf. la page wikipedia


    votre commentaire

  • votre commentaire
  •     Dimanche dernier donc, je me suis rendu au Temple de Jemeppe à 9h30. Moi et Andi avons été salué par un "Bonjour frère". Puis j'ai expliqué que nous venions pour la première fois et demandé les choses basiques : où mettre son manteau, que faire, et si je pouvais faire des photos. Réponses : il y a des portes-manteaux dans la salle du Temple. Je peux faire des photos maintenant car nous sommes les premiers arrivés et discrètement, ce n'est pas un problème puisque cela peut constituer un travail moral pour moi. Puis le frère qui nous a accueilli nous demandais de nous recueillir en silence. Rappelons que le silence doit régner au maximum dans le Temple (il arrive donc qu'on entende les oiseaux chanter).

        Une dame est entrée dans le Temple quand je finissais de faire mes photos et s'est recueillie. Moi et Andi avons suivi son exemple. Un détail important : on se sent presque obligé, en tout cas pour un premier contact, de lire l'Auréole de la Conscience, inscrite assez haut sur le mur du fond. Notre posture est alors tête haute.

        D'autres personnes nous ont rejoints : nous étions en tout 6 à assister à la lecture, mais quand on pense qu'il y a une trentaine de temples, dont plus de 10 aux environs de Liège, cela peut expliquer le petit nombre de personnes. Quelques minutes avant 10h, le lecteur s'est recueilli assis au premier rang (en prenant soin de ne pas s'assoir sur sa robe). Puis il est passé au pupitre.

         Hier, au Temple de Jemeppe, la lecture du Développement commençait par le premier chapitre, où le Père explique sont parcours de progrès. Avec une voix cérémonielle (cela est en fonction du lecteur, mais la lecture est assez lente pour s'en imprégner le mieux), le lecteur à lu : l'Auréole de la Conscience puis les 10 principes, et enfin le début du Développement.

        Puis tous se lèvent et se recueillent en silence. La cérémonie est terminée.

        Nous sommes ensuite passé dans un cabinet de consultation pour pouvoir parler librement. Le Frère nous remis (gratuitement) alors divers documents sur le culte et son organisation. Et j'ai posé divers questions.Je lui ai dis mon intention d'acheter la Révélation, qu'il consenti à me vendre (en me faisant comprendre que cela n'était d'aucune obligation).

        Pendant ce temps, une soeur sortait de consultation d'avec une soeur chargée de recevoir dans un autre cabinet de consultation, celui-là même où recevait le Père, situé derrière la porte du mur gauche, à l'intérieur de la salle du Temple. Cette soeur lui remit son jeton (jeton que l'on prend ou que l'on demande à la personne qui nous accueille qui nous indique notre ordre de passage dans le cabinet de consultation). Puis l'achat réglé et les questions terminés, le frère nous saluèrent par une formule que j'ai oublié, mais qui donné ses "voeux de bonheur" (en quelques sortes) à moi et Andi et toute notre famille.

        Puis nous partirent. L'après-midi, nous avions fixé une rencontre avec la Soeur du Temple d'Angleur, pour parler encore de divers choses. Et là encore j'ai remarqué qu'elle ne nous ouvrit pas la porte : c'est nous même qui pouvons choisir (selon notre libre-arbitre) d'entrer et de sortir quand nous le voulons du temple.

        Avec la soeur du Temple d'Angleur, nous nous sommes recueilli dans le Temple : et j'ai voulu interrompre le recueillement en demandant si je pouvais faire des photos : soeur m'a signalé en silence qu'on en parlera plus tard à l'extérieur. Après le recueillement, je me suis excusé, elle compris tout à fait qu'on ne puisse avoir les habitudes de recueillement en découvrant le culte. Puis m'expliqua pourquoi, elle, ne souhaitait pas qu'on fasse des photos du temple : Père Antoine n'était pas spécifiquement pour. En effet, l'important est ce qui se passe lors de la lecture, du recueillement, de l'opération générale, et pas un souvenir sur papier ou écran du temple. Il est mieux d'essayer de se souvenir ce ces moments que de chercher à les faire ressurgir en regardant une photo.

        J'étais d'accord avec cette idée, car il m'est venue l'idée que de plus en plus, je cherchais à faire d'abord une photo, plutôt que de vivre le moment quelque part (ce qui est parfois très énervant pour Andi notamment). Encore une fois, soeur répondit avec coeur, bonne humeur, humilité et amour à toutes mes questions. Puis elle proposa de faire une Élévation de pensée, ce que nous fîmes debout dans le cabinet. Enfin, elle nous remit un papier avec les horaires et lieu des classes du nouveau spiritualisme. Je n'achetai pas le Développement, soeur me disant qu'il est bien de commencer par le début de l'Enseignement (la Révélation que j'avais déjà acheté à Jemeppe), et nous partîmes. Andi et moi avons encore discutés longtemps sur le chemin vers la voiture, car on ne ressort pas de tant de "bons fluides" sans en ressentir le besoin d'encore en parler. Et moi, j'ai la chance d'avoir rencontré Andi pour parler de tout. Cependant, une consultation est également possible.


    votre commentaire
  • ce qu'est l'Opération     "l'Opération au Culte est l'Opération d'un fluide à un autre. L'Opération est l'Opération de l'âme du point de vue spirituelle comme celle du chirurgien l'est à la matière."

         On est loin des Scientologues qui refusent les ("certains" selon Tom Cruise) médicaments, considérant qu'ils peuvent avoir des effets sur le psychismes. Ici, il y a bien la conscience et la matière (le corps).

         Il m'est même venu cette idée : si le corps est de la matière, comparons-le à des chaussures. Qui dirait qu'il ne faut pas prendre soin de ses chaussures. Si on n'en prend pas soin, elles finiront par s'abîmer et devoir finit à la poubelle. Donc, ses chaussures (comme son corps), on en prend soin. On les remet au cordonnier pour les réparer (comme on remet son corps au chirurgien ou au docteur pour le soigner).

         On peut même considérer que pour pouvoir se concentrer sur son progrès moral, il vaut mieux être en bonne santé, pour ne pas être perturbé par la matière, et pouvoir atteindre sans encombre sa conscience.

     


    votre commentaire
  • Première lecture

     

    Une cérémonie à l'Église antoiniste - Lecture
    (in L'Œuvre, 1er sept 1928)

     

     

     

         Dimanche, qui arrive, je vais assister à ma première lecture, au Temple de Jemeppe, LE Temple !

    Pour cela, je suis rentré en contact avec la secrétaire du Temple de Jemeppe, qui est aussi la desservante du tempe d'Angleur-Quai des Ardennes (Liège).

    Elle m'a exposé le déroulement et répondu à mes questions.

    Une phrase de ce mail qui pourra résumé l'antoinisme : "agissez naturellement, ne vous préoccupez de personne, celui qui agit naturellement est dans la vérité et n'en souffrira que celui qui y verra le mal" (Enseignement du Père).

    J'ai maintenant compris comment se déroulait normalement une consultation : il y a un panneau sur les portes des Temples disant qu'ils sont ouvert pour tous tout le temps. Mais en général, on demande une consultation après une Opération ou une lecture. Et seulement en cas de besoin, selon les Temples, on peut sonner pour se faire recevoir. De plus, j'ai appris, qu'il y avait aussi des visites fait par les desservants.

    Bientôt je vous exposerais comment s'est déroulée ma première lecture de l'Enseignement.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique