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  • Le Temple Antoiniste. 23 Bd Montebello.
    Publié le 15 décembre 2009 par Esquermoise
    Ce temple Antoiniste fut construit et consacré en 1946, uniquement avec des dons anonymes.
    .Les desservants sont tous bénévoles et ont tous une profession. Ils sont prêts à écouter, conseiller et aider tous ceux qui viennent les voir.
    Les offices consistent en un recueillement de quelques minutes, suivi d'une Lecture .
    Le culte Antoiniste est une œuvre morale basée sur la foi et le désintéressement. Cette œuvre est née en Belgique le 15 août 1910. En France, elle se développe parallèlement aux autres mouvements religieux. C'est un culte public ouvert à tous indistinctement.

    Le Temple est un très beau bâtiment à l'élégance très sobre, bien intégré au Boulevard. La jolie coloration de la brique s'allie merveilleusement à l'atmosphère lilloise. Source V.d.N.

    source : http://www.paperblog.fr/2622850/le-temple-antoiniste-23-bd-montebello/
    http://lu-k.zapto.org/Esquermes/index.php?2009/12/15/238-le-temple-antoiniste-23-bd-montebello


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  • Temple antoiniste de Lille (avant 1946)

    Usine Walker et Ci, Bd Montebello, en 1931 (remonterletemps.ign.fr)

        Sur le Boulevard Montebello (alors au n°21), l’usine Walker et Cie (de Samuel puis James, famille protestante originaire d'Ecosse), fabrique de machines pour le textile (métiers à filer le lin et à tisser la toile), atelier mécanique et métallurgique créée en 1845, faisait 10 000 m². Ell employait alors 700 ouvriers en 1914. Lors de la destruction du quartier lors de la Deuxième Guerre mondiale, elle est remplacée notamment par le temple Antoiniste en 1946 (l'usine existe toujours, mais a changée d'adresse).
        Une reproduction de la façade de l'usine est à voir dans Les châteaux de l'industrie : recherches sur l'architecture de la région lilloise de 1830 à 1930, publié par Archives d'architecture moderne (Bruxelles, 1979).

    Temple antoiniste de Lille (avant 1946)

    Temple antoiniste de Lille (avant 1946)

    Lille - Usine de Mr Walker (Carte Photo)


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  • Salle de lecture antoiniste de Lille (archive Jean-Luc Passerel)

    Salle de lecture antoiniste de Lille dont l'adresse n'est pas connue (archive Jean-Luc Passerel)

    Souvenirs de Soeur Sylviane Hélène Buchet Auque et Soeur Betty Lux

    beaucoup d’adeptes venaient [au temple d'Hellemmes] de Roubaix-Tourcoing par le tramway F et de Lille aussi, c’est toujours ma mère qui me l’a raconté. Maintenant il y a trois temples qui sont à proximité les uns des autres Lille Croix et Tourcoing.


    Sœur Betty Lux
    Dans les tomes en France, nous lisons des témoignages de Sr Lovinfosse et son mari desservants du temple d'Hellemes en 1939 et dans d'autres pages il est question "d'un desservant et sa fille" quelques années plus tôt. Ce desservant était-il le père de Sr Lovinfosse ?


    Sœur Sylviane Hélène Buchet Auque
    Je pense qu’elle a pris la suite de son père à Hellemmes elle a porté la robe très jeune. Sœur Nelly, desservante de Tourcoing, doit avoir plus de souvenirs que moi, car elle a 90 ans.

    Pour moi qui est connue le temple du ventre de ma mère j’ai connu Sœur et Frère Lovinfosse toute petite. Mais c’est ma mère qui m’a raconté beaucoup de choses. Et aussi Sœur Francine Lemesre qui a pris la suite de Sœur Jeanne Lovinfosse . Sr Lemesre m’a permis de lire les tomes (je ne l’ai pas tous lus) lorsque j’ai pris la robe.

    Sœur Lemesre est la 1 Sr à gauche Fr Lemesre le 2 fr sur la ligne derrière elle. Je suis la première à droite, à côté de moi il y a fr Gery (ancien desservant de Croix). Il y a aussi le Frère Marcel le plus grand tout en haut.

    Je connais les autres mais je ne me souviens pas de tous les noms et beaucoup sont désincarnés. Sur la photo, je dois avoir 22 ou 23 ans ça date.

     

        Frère Pierre Dock se rappelle également du Frère Bruno desservant de La Louviere est à droite (de Sœur Sylviane)


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  •     Rien de pareil dans l'ancienne capitale de la Flandre française. Nul refuge pour la rêverie dans l'immense ruche lilloise, dont chaque alvéole occupe des centaines d'ouvriers et d'ouvrières, occupés sans répit aux besognes les plus diverses; mais de longues rues tortueuses de filatures, de fabriques, de fonderies, de brasseries, vous étourdissant de leurs rumeurs, salissant de leurs poussières et écœurant de leurs déjections. Elles appartiennent au travail, elles créent la richesse et la misère. Du grenier à la cave, leurs vastes et laids immeubles logent des indigents, des métiers ou des machines. Jusque dans les caves, gorgées de buées nauséabondes, où s'agite une fourmilière d'êtres humains, luit un feu de forge, siffle un piston, ronflent des courroies de transmission ou ronronnent les métiers à pédales. Tout est soumis au sweat system. Il s'agit de produire en immenses quantités toiles de lin, étoffes de coton, rubans, coutils, linge damassé, tissus de laine, sucres, matières chimiques, machines; en outre de fondre le fer, l'acier et le cuivre, brasser la bière, préparer les huiles et le tabac, blanchir et teindre; tellement qu'on puisse au bout de l'an, en dépit de la concurrence, atteindre ou même dépasser l'énorme chiffre d'affaires d'un milliard de francs.
        Rais lumineux dans la ville sombre, des boulevards aérés, d'ombreuses avenues réservées aux gens de fortune reposent la vue sur la blancheur encore neuve de luxueuses demeures de millionnaires. Là, dans un véritable palais, le musée de peinture rassemble des chefs-d'œuvre des écoles flamande et hollandaise, et peut communiquer aux artistes une incomparable collection de dessins des plus grands maîtres italiens, légués à sa ville natale par le peintre Wicar.

    Louis Barron, Le nouveau voyage de France (1899)
    souce : gallica


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