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Temple de Lyon (creator.nightcafe.studio)

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Temple de Lyon

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Spirites à Lyon (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

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Spirites à Lyon (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

    LYON. — Les groupes de cette grande ville s'emploient avec persévérance à la propagande de notre belle philosophie. Le but de l'Orphelinat Allan Kardec est des plus utiles, tant au point de vue philanthropique et social, qu'au point de vue de l'éducation spirite. Il reçoit en effet des petites filles abandonnées, les élève, leur donne l'instruction, une profession, et remplace leurs parents jusqu'à leur majorité. L'œuvre attache le plus grand intérêt à former des mères avant tout spirites, capables de servir dignement la société. Parmi les pupilles de l'œuvre, quelques-unes lui ont été confiées à leur naissance. Cet établissement constitue une véritable famille où la santé physique et morale rayonne de toutes parts.
    Depuis l'ouverture de l'Orphelinat, aucune maladie grave ou épidémie ne s'est manifestée, bien que certaines pupilles, à leur arrivée, fussent gravement anémiées. L'une d'elles, reçue à un mois, avait une excroissance à la cuisse droite ; le docteur, consulté par la sage-femme, avait déclaré qu'une opération s'imposerait à l'âge de 10 ans ; or, à l'aide des soins magnétiques la grosseur disparut 4 mois après.
    L'Orphelinat est dirigé par Mme Malosse en qui les enfants trouvent une véritable mère ; elle est secondée par Mlle Malosse et Mme Durand qui, toutes, donnent en même temps que leur cœur, un concours entièrement désintéressé.
    L'œuvre se développe de plus en plus ; l'état financier est aussi encourageant que rassurant. De nouveaux projets sont en état d'élaboration pour son extension dans un avenir très rapproché. Ceux de nos amis qui s'intéressent à l'Orphelinat Allan Kardec peuvent adresser leurs subventions au siège : 14, rue Calas, à Lyon. Nous les y encourageons vivement, nous qui connaissons l'admirable effort produit par Mme, Mlle et M. Malosse pour les chères petites orphelines.
    A côté de l'Orphelinat, sous la même direction, fonctionne le Groupe Allan Kardec qui reçoit des malades quatre jours par semaine et les soigne gratuitement et avec succès.
    Indépendamment des soins, une bibliothèque très documentée établit un roulement d'ouvrages à l'extérieur où son activité est des plus efficace.
    En outre, des séances privées ont lieu avec le concours de Mme Malosse comme médium ; au cours de ces réunions, des prévisions d'avenir concernant les événements mondiaux et privés se produisent.
    En collaboration avec le Groupe Allan Kardec, une œuvre de vestiaire fonctionne régulièrement sous la direction de Mlle J. Allemand. Par son entremise, de nombreux vieillards ont pu cet hiver recevoir des vêtements chauds et voir au foyer briller la flamme que les rigueurs de l'hiver appelaient particulièrement cette année.

    *** M. Hugues qui, en qualité de Secrétaire adjoint, seconde M. Mélusson qui joint à de grandes occupations les fonctions de Secrétaire Général de la Fédération Spirite Lyonnaise, nous rend compte du travail de cette Société. Nous avons dit deux mots, il y a quelques mois, de l'intéressant Bulletin de cette Fédération dans lequel il est donné des nouvelles de tous les groupements de la région. Une Commission spéciale a été chargée de rechercher des locaux permettant de Lyon, à l'exemple de notre siège social, une « Maison des Spirites ». La Fédération Spirite de Lyon envisage également de faire, dans les divers quartiers de cette ville, des tournées de propagande permettant l'extension du mouvement spirite.
    La fête du 59e anniversaire d'Allan Kardec, organisée par la Fédération Lyonnaise l'année dernière, a été une brillante manifestation ; elle a permis de recueillir une somme de 1500 francs qui a été répartie par moitié à l'œuvre de Secours aux vieillards nécessiteux et à la Caisse de Propagande.
    En novembre 1928, cette belle œuvre des vieillards, fondée comme l'on sait par M. Bouvier, a pu allouer à 15 nécessiteux une pension de 120 francs, en augmentation de 10 francs sur l'année 1927.
    Depuis lors, M. Fantgauthier, Vice-Président de la Société d'Etudes Psychiques, que préside notre actif Vice-Président M. Mélusson, nous informe que M. Bouvier a de nouveau versé 2000 francs pour permettre l'achat de charbon et de provisions pour les vieillards envers lesquels il exerce une si grande bonté. Cette fondation poursuit son œuvre utilitaire, son capital s'augmente chaque année de sommes dont les revenus servent à assurer partiellement les pensions distribuées régulièrement en fin d'exercice.
    Nous remercions la Fédération Lyonnaise des sentiments fraternels qu'elle a bien voulu exprimer à l'Union Spirite Française pour sa prospérité. Nous l'assurons ici de l'intérêt que nous prenons à son travail.
    *** M. Fantgauthier, dans le rapport qu'il nous a adressé sur la Société d'Etudes Psychiques de Lyon, nous dit combien les membres de cette société sont désolés de ne pouvoir lui donner tout l'essor qu'ils voudraient, du fait d'une installation trop réduite dans un local mal situé. Néanmoins les conférences, causeries et séances expérimentales organisées ces derniers temps ont été suivies tous les jeudis par un nombre de personnes variant entre 50 et 100, et les fêtes d'été et d'hiver comptaient toujours 2 à 300 personnes.
    Nous avons pris connaissance avec intérêt du programme des études de la Société d'Etudes Psychiques de Lyon pour l'année 1928-1929. Dans la section du spiritisme des conférences éducatrices d'un grand intérêt sont annoncées. Elles s'échelonnent de 8 jours en 8 jours jusqu'au 12 juillet inclus.
    L'importante bibliothèque de la Société, ouverte à tous, aide particulièrement à la propagande.
    A tous nos frères lyonnais nous disons combien nous sommes heureux de les voir porter bien haut dans la ville natale d'Allan Kardec le drapeau du spiritualisme moderne.

Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)

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Centenaire de la consécration du Temple Antoiniste de Villeurbanne

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Centenaire de la consécration du Temple Antoiniste de Villeurbanne (twitter @culteantoiniste)

source : twitter (@culteantoiniste)

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Temple Antoiniste de Villeurbanne (photographie couleur-24 x 36 mm, Pierre Arnaud, 2002)(numelyo.bm-lyon.fr)

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Temple Antoiniste de Villeurbanne (photographie couleur-24 x 36 mm, Pierre Arnaud, 2002)(numelyo.bm-lyon.fr)

titre [Temple Antoiniste de Villeurbanne (Rhône)]
auteur(s) Arnaud, Pierre J.L., 1950-20..
date de prise de vue 2002-02

source : numelyo.bm-lyon.fr

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Temple antoiniste de Lyon (monument historique)

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      Le temple Antoiniste de Villeurbanne figure dans la liste des EBP de la municipalité même s’il figure déjà dans la ZPPAUP.

source : Melanie Meynier-Philip, Entre valeur affective et valeur d’usage, quel avenir pour les églises paroissiales françaises ? : La région urbaine Lyon Saint-Etienne interrogée par le référentiel du ”Planéglises” québécois (p. 142), Architecture, aménagement de l’espace. Université de Lyon, 2018. Français. NNT:2018LYSE2085.
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-02020281

    Le sigle EBP singifie Éléments Bâtis à Préserver, et le sigle ZPPAUP signifie Zones de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager.
    Ce dernier dispositif a pour objet d'assurer la protection du patrimoine paysager et urbain et mettre en valeur des quartiers et sites à protéger pour des motifs d’ordre esthétique ou historique.

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Villeurbanne, rue Dr Ollier, le temple (remonterletemps.ign.fr)

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Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1947, le temple (remonterletemps.ign.fr)

Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1947, le temple (remonterletemps.ign.fr)

Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1954, façade du temple (remonterletemps.ign.fr)

Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1954, façade du temple (remonterletemps.ign.fr)

Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1971, façade du temple (remonterletemps.ign.fr)

Villeurbanne, rue Dr Ollier en 1971, façade du temple (remonterletemps.ign.fr)

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Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste 1er avril 1922)

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    Une Fraternelle Solidariste et Déterministe de l'Institut général de Psychosie a existé à Lyon :

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste 1er avril 1922)

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste, 1er avril 1922)

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Fraternelles de Lyon de l'Institut général de Psychosie

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    Plusieurs Fraternelles de l'Institut général de Psychosie ont existé à Lyon, notamment une section enfantine :

Fraternelles de Lyon de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°65 de Lyon - section enfantine (Le Fraterniste, 17 avril 1914)

 

Fraternelles de Lyon de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle enfantine de Lyon (Le Fraterniste, 15 mai 1914)

 

Fraternelles de Lyon de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°65 de Lyon (Le Fraterniste, 1er mai 1914)

Fraternelles de Lyon de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°87 de Lyon (Le Fraterniste,5 Juin 1914)

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Temple de Lyon-Villeurbanne (rue_d_images)

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Temple de Lyon-Villeurbanne (rue_d_images)

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Lyon-Villeurbanne (L'Effort algérien, 23 mai 1931)

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Lyon-Villeurbanne (L'Effort algérien, 23 mai 1931)

Lyon, ville du spiritisme

    De J. C. dans l'Echo de Paris :
    Il semble que Lyon soit une ville où le mysticisme s'exaspère... jusqu'à toucher aux confins de la folie. J'ai bien connu Antoine, fils d'un maître de plâtre amarrée près du pont d'Alnay, le père Chapaz, originaire de Condrieu.
    Celui qui, voici quelque quarante-cinq ans, aurait annoncé au père Chapaz que son grand Antoine deviendrait philosophe et serait appelé à la cour de Russie – hélas ! comme fut appelé Raspoutine – aurait certainement bien fait rire le père Chapaz qui fumait sagement sa pipe toute la journée.
    Et cependant Antoine est devenu illustre. Ne le confondons pas toutefois avec l'ancien zouave belge Antoine... dont la veuve a trouvé le moyen d'essaimer à Villeurbanne où nous avons un temple Antoniste. Là encore, ce sont des esprits égarés, des désiquilibrés qui se retrouvent.
    On retrouve tout cela dans les sociétés spirites, car il en est d'officiellement avouées. M. Mélusson, directeur du Royal Hôtel, place Bellecour, ne le contestera pas, puisqu'il en est le président.
    J'ai souvenance d'une séance de spiritisme tout à fait inattendue, tout au moins par son cadre. Dans les salons d'un consulat d'une puissance amie, n'ayant rien de soviétique, on présentait un médium qui jouait, improvisait du Liszt, du Chopin, du Berlioz, etc. L'élite du spiritisme, quelques journalistes, quelques sceptiques aussi y assistaient, sous la présidence d'un ancien conseiller de la préfecture du Rhône, qui fait des vers et de la politique quelque part dans le Midi... La supercherie du médium fut assez vite découverte, car un de nos plus éminents pianistes lyonnais, M. Trillat, professeur au Conservatoire, était présent.
    L'artifice des spirites, c'est d'abord le mensonge, puis le truquage. Mais que faire ? Quel remède apporter à ce besoin de mystérieux, tout spécial ? Le grand air peut-être, la lumière... la paix. Assainir certains quartiers et certains esprits.
    Et cela n'empêche point les âmes troubles de chercher des sensations troubles.
    A côté des guérisseurs plus ou moins accomodés à la sauce spirite, il y a vraiment à Lyon des détraqués, peut-être même des satanistes.
    Encore une fois, tout ce besoin correspond à des états de maladie, à des contrariétés, à des caprices insoupçonnés de ceux qui recherchent des sensations, peut-être des jouissances, et souvent des consolations à leurs déceptions conjugales ou familiales ou à leurs déboires sociaux.

L'Effort algérien, 23 mai 1931

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