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Conflans-Sainte-Honorine (1984)
Adresse : 50, Avenue de Bellevue - 78700 Conflans-Sainte-Honorine
Style : Néo-Roman
Lecture de l'Enseignement du Père, le dimanche à 10 heures et tous les jours à 19 heures, excepté le samedi. Opération au nom du Père, les cinq premiers jours de la semaine à 10 heures. Le temple est ouvert du matin au soir aux personnes souffrantes. Tout le monde est reçu gratuitement
Temple avec photos
Date de consécration (par un délégué du Collège des Desservants au Nom du Père) : 7 octobre 1984
Anecdote : c'est le cinquième temple de la région Île-de-France, après Mantes-la-Jolie se trouvant également dans les Yvelines. Une salle de lecture était référencée dans un Unitif de 1920 environ au Vésinet (Allée de la Meute), à Asnières (rue Gallieni) et à Levallois-Perret (rue Vallier). Sœur Rolande Renaud en était la première desservante et était en relation avec la salle de lecture de Quessy.
Le Guide pratique de la commune (2021-2022) indique le numéro de téléphone du temple : 0032 472 39 12 44 -
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Par antoiniste le 29 Janvier 2008 à 18:55
Au XIXe siècle, les changements s'accélèrent : construction d'un pont suspendu sur la Seine en 1835 et sur l'Oise en 1836, ce qui entraîne le percement de la rue Maurice Berteaux en 1838, permettant ainsi la traversée du village par la route de Saint-Germain à Pontoise. La canalisation de la Seine à partir de 1846 permet le développement et la pérennisation de la navigation sur le fleuve. Le chemin de fer arrive en plusieurs étapes : en 1843, une station de Conflans est ouverte dans la forêt de Saint-Germain sur la ligne Paris-Rouen. En 1877, l'ouverture de la ligne Achères-Pontoise entraîne la construction d'une gare à Fin d'Oise, enfin en 1892 la ligne Argenteuil Mantes celle de la gare de Conflans. Le XIXe siècle est aussi celui de l'apogée de l'activité agricole avec la culture du chasselas doré. C'est aussi l'apogée de l'extraction du banc royal de Conflans dans des carrières qui ont fortement entamé le coteau à Fin d'Oise et à Gaillon. A la fin du siècle, la villégiature se développe, notamment à Fin d'Oise, après l'arrêt de l'extraction de calcaire. Après la Première Guerre mondiale, le bourg se transforme en ville et se lance à la conquête du plateau. L'installation de l'usine L.T.T. accélère cette mutation. Dans la première moitié du XXe siècle, la batellerie connaît son apogée, mais son déclin est brutal à partir de la fin des années soixante. Pourtant le développement urbain est lancé et la ville ne cesse de s'accroître. Le plateau est désormais entièrement loti et les derniers exploitants agricoles ont cessé leur activité il y a quelques années. Le hameau rural de Chennevières n'est plus qu'un lointain souvenir. Cette colonisation du plateau est essentiellement le fait de l'initiative privée. Le mouvement d'autoconstruction appelé "les Castors" en est un bon exemple.
source : Base Mémoire
rédacteur : Bussière Roselyne
lien : http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/merimee_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_98=REF&VALUE_98=IA78001086
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