• Introduction et Notice sur le travail du Père

     INTRODUCTION

         Je suis le livre précieux, car je me nomme Charité.
        Je renferme tous les moyens pour acquérir l'Amour Vrai. Je possède les leçons du devoir : miséricorde, compassion, pardon, sacrifice pour tous.
        En toutes circonstances, j'apaise, je rends l'espérance.
        Je suis une source inépuisable de Force ; je suis enfin le médium sacré de la vraie vie qui porte l'âme dans la hiérarchie des mondes Bienheureux.
        Chaque victoire remportée sur un mouvement de haine, de vengeance, d'antagonisme et d'orgueil vous rapproche de moi.
        Que les penseurs, chercheurs avides du Bien me lisent, et me relisent surtout ; ils ne regretteront certes pas leurs peines.
        J'enseigne en faisant comprendre ce que Jésus le Christ n'a dit qu'en paraboles, parce que le monde en ce temps-là n'était pas assez mûr pour comprendre la justice. Mais à présent, les temps sont arrivés où les idées morales doivent se développer pour accomplir les progrès qui sont dans les dessins du Vrai, du Bon, du Juste. Ces idées suivront le chemin de la liberté qui en est l'avant-coureur. C'est-à-dire que l'homme qui pratiquera le bien, deviendra libre. Mais il ne faut pas croire que ce développement se fera sans lutte, et que cette rénovation ne rencontrera pas l'opposition des hommes de parti contraire de la morale nouvelle.
        Jésus a dit : « Que ceux-là entendent qui ont des oreilles pour entendre » ; moi, j'ouvre les yeux et les oreilles, car je raisonne sans figures et sans allégories ; je lève le voile laissé à dessein sur certains mystères ; j'apporte une suprême consolation à tous ceux qui souffrent, en donnant une cause juste aux souffrances qu'ils endurent.
        Lisez-moi donc : Seul, en famille, entre amis, de çà et de là.
        Lisez-moi attentivement, et vous ne tarderez pas comprendre que je suis le grand médecin de vos âmes.
        Pratiquez-moi, vous tous qui souffrez et qui fléchissez sous le fardeau de l'adversité et de la douleur, et vous serez soulagés, consolés et enfin vous serez sauvés.

     _________

     

    NOTICE SUR LE TRAVAIL DU PERE

         1. – Pour traiter toute maladie, toute peine, Il se sert du fluide Amour : force acquise par un travail basé sur le désintéressement.
        Il dégage sur l'âme malade et découragée, son fluide réparateur dont elle absorbe les effluves bienfaisantes et régénératrices, selon la bonne confiance qu'elle a en Lui. Quand il vous dit : « la confiance en Lui », le Père entend la pratique de ses instructions, afin d'arriver à l'amélioration de son « Moi ».
        2. – Il vous prévient qu'il est tout à fait inutile de le consulter pour un malade qui serait soigné par une ou par des personnes qui seraient hostiles à son travail. La raison est que ceux-ci, par leur manque de confiance, ne font qu'empoisonner le fluide guérisseur, et naturellement empêcher la guérison ou le soulagement. S'Il vous dit le soulagement, c'est parce qu'Il rencontre des cas mortels Pour L'avoir consulté tard.
       
    Par ces faits, Il ne peut donner qu'un soulagement à seule fin que le moribond s'éteigne sans douleur et courageusement.

    Christ parle à nouveau, p.15-16


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