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Thyssen Ruhrort No. 8 (août 2005-détruit)

Publié le par antoiniste

 source : hebig.org

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Duisburg-Ruhrort - Hütte Phönix

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Das Hüttenwerk

Publié le par antoiniste

Des machines, de façon gigantesque, s'étalaient jusqu'à l'horizon. Les hauts-fourneaux.

AufRuhr - 16 Comics aus dem Ruhrgebiet
Der Stahlgolem - Dor

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Ansicht der Krupp-Werke in Essen - 1864

Publié le par antoiniste

source : preussen-chronik.de

Vue de l'usine Krupp à Essen, en 1864. La famille Krupp fonda une dynastie d'industriels à Essen.

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Les Wallons hors de Wallonie

Publié le par antoiniste

 

    Cela peut parraître étonnant qu'un ouvrier comme Louis Antoine, puisse décider et partir en Allemagne, dont il ne parle pas la langue, pour exercer son métier. Cela-dit, ce n'était pas un faire rare, et c'est une tradition qui remonte à très loin.

    Au moyen-âge, il y avait des mineurs déjà dans la région d'Aix-la-Chapelle. Mais aussi des ouvriers du textile ou des artisans partaient parfois même encore plus loin.

    A l'orée de l'époque industrielle, deux figures vont s'établir l'un en Espagne, l'autre en Suède. Ainsi Jean Curtius (1551-1628) sera à l'origine de la première grande usine métallurgique de la péninsule ibérique. Et Louis de Geer (1587-1652), précédé par la famille de Bèche, deviendra munitionnaire de l'armée suédoise, pour ce qui est des pièces d'artilleries, mais aussi concessionnaire des mines suédoises.

    Lors de l'industrialisation de la vallée de la Meuse, ce sera un Anglais, John Cockerill qui s'installera en Wallonie. Mais aussi qui permettra l'émigration d'ouvriers wallons en Allemagne, en Pologne russe, et en Ukraine russe.

    Avec la colonisation du Congo, des Wallons s'y installeront, mais d'autres partiront chercher fortune en Amérique.

    C'est donc toute une épopée, à laquelle Louis Antoine, et sa femme, participeront.

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Robert Vivier - Délivrez-nous du mal - Emigration

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    Un homme de Seraing, Jean Leplat, qui savait lire, retira mystérieusement de son gilet de travail un ancien numéro de la Meuse, où l'on disait que la main-d'oeuvre se faisait rare dans la région du Rhin et de la Roer [Ruhr] : les Prussiens avaient eu trop de leurs ouvriers pris pour la guerre, et c'étaient un point qu'ils faisaient travailler des prisonniers française dans leurs fabriques.
    - Maintenant la guerre va finir, et ils renverront les prisonniers en France. C'est alors qu'ils donneront la haute paie aux ouvrier qualifiés. Qu'en dis-tu, Antoine ? Hein, si on allait faire un tour de ces côtés-là ?

Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
Ed. Labor - Espace Nord, p.86

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