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Petites annonces de Pierre Dor en août 1929

Publié le par antoiniste

    Après son procès et son installation à Uccle, le Père Dor cherche une nouvelle activité. Alors qu'il se dit homme de lettres dans le recensement de l'Almanach de Bruxelles en 1923 et 1930, on retrouve la publication de petites annonces dans divers journaux :

Petite annonce de Pierre Dor (La Gazette de Charleroi,, 15 et 18 août 1929)(Belgicapress)

La Gazette de Charleroi, 15 et 18 août 1929 (source : Belgicapress)

Petite Annonce de Pierre Dor (La Dernière Heure, 17 & 18 août 1929)(Belgicapress)

La Dernière Heure, 17 et 18 août 1929 (source : Belgicapress)

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Père Dor - L'art de guérir (Le Bruxellois, 19 mai 1917)(Belgicapress)

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Père Dor - L'art de guérir (Le Bruxellois, 19 mai 1917)(Belgicapress)    L'ART DE GUERIR. – Comme, en 1904, la Cour d'appel de Liége l'avait fait pour Antoine de Jemeppe, la Cour d'appel de Bruxelles n'a maintenu contre le Père Dor que la prévention de l'exercice illégal de l'art de guérir ; encore fait-elle dans son très long arrêt des distinctions très intéressantes. Le Père Dor, dit l'arrêt, aurait pu échapper s'il s'était contenté d'exposer des doctrines d'ordre général sur le végétarisme, de donner des conseils d'abstention d'ordre moral mais, ce qui ne lui était pas permis, c'était de passer de la théorie à la pratique, de faire l'opération individuelle, de communiquer le « fluide », de recommander les lavements d'eau salée, le thé Chambard, l'eau non bouillie aux nourrissons, l'enlèvement des bandages aux hernieux, la défense de se confier aux médecins en cas de maladie, etc., etc.
    L'article appliqué par l'arrêt est l'article 18 de la loi du 12 mars 1898, ainsi conçu : « Toutes personnes non qualifiées qui exerceront, quelque branche que ce soit de l'art de guérir, encourront pour la première fois une amende de 25 à 100 florins, avec confiscation de leurs médicaments ; l'amende sera doublée en cas de récidive ! pour la troisième contravention, le délinquant sera puni d'un emprisonnement ; de quinze jours à six mois. »
    Cette loi, qui remonte au régime hollandais, fut, ainsi que la Cour le rappelle dans l'affaire Dor, interprétée en ces termes en 1856 : « Il y a exercice illégal d'une branche de l'art de guérir lorsque habituellement une personne non qualifiée, en examinant ou visitant des malades, remet ou prescrit un remède pour guérir certaines maladies, indique la manière de l'employer, soit qu'elle agisse dans un but de spéculation ou de charité, soit qu'elle prenne ou non le titre de docteur. »
    Voilà donc consacrées à nouveau des prohibitions indispensables à la sauvegarde de la santé publique et rappelé le très sage conseil : Ne sutor ultra crepidam !

Le Bruxellois, 19 mai 1917 (source : Belgicapress)

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Antoinisme et Maboulisme, signé X (Vers l'Avenirs, 5 mars 1920)(Belgicapress)

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Antoinisme et Maboulisme, signé X (Vers l'Avenirs, 5 mars 1920)(Belgicapress)Antoinisme et Maboulisme !

    Les Antoinistes vont recommencer leurs pétitionnements à la Chambre pour obtenir la reconnaissance officielle de leur « religion ». Ils ont déjà plusieurs tentatives à leur actif. Il se pourrait qu'ils obtinssent satisfaction. Les Antoinistes peuvent compter, en effet, sur les sympathies de tous les anticléricaux, de tous les ennemis de la religion, tout heureux de croire faire pièce au catholicisme et à l'Eglise en favorisant une secte d'illuminés dont le cas relève de la neurologie.
    J'ai connu le Père Antoine, qui fonctionnait à Jemeppe-sur-Mense, et qui fut le prophète de l'Antoinisme. J'ai connu son neveu, le Père Dor, qui fonctionnait à Roux, près de Charleroi, et qui eut en justice des démêlés qui éclairèrent singulièrement le genre de « sacerdoce » auquel il se livrait !
    Un journal bruxellois vient de publier un plaidoyer en faveur des Antoinistes. Leur « culte » l'a séduit par sa simplicité et, dit-il, l'enseignement du Père s'inspire d'une haute philosophie...
    Non, mais laissez-moi rire ! J'offre un lapin de craie à celui qui pourra dégager quelque chose de clair et de lucide de la lecture de cet enseignement. C'est un assemblage de phrases plus vides les unes que les autres, un texte qui ne peut impressionner que les imbéciles prenant pour de la profondeur de pensées ce qu'ils ne comprennent pas.
    Si l'Antoinisme se bornait à prêcher les doctrines du Christ, comme il le prétend, s'il se donnait pour mission de répandre l'amour du prochain, le pardon des injures, il serait inoffensif. Mais il va un peu fort, et devient dangereux, quand il préconise la « Foi », sa « Foi » à lui, pour la guérison des maladies.
    J'ai été voir procéder le Père Antoine, quelques années avant sa « désincarnation » : c'est ainsi que les Antoinistes appellent la mort. Le Père, qui avait, je dois le reconnaître, une bonne tête, un aspect de brave homme doux et sensible, vous accueillait dans un petit cabinet, debout. On lui exposait de quoi l'on souffrait. Il vous promettait la guérison. « Croyez », disait-il, je vais prier pour vous. Vous serez guéri. – Mais, hasardait-on, dois-je aller chez le docteur ? – Non, mes prières suffisent, répondait-il !
    C'était par trop simpliste comme traitement, avouons-le.
    On prêtait à Antoine beaucoup de guérisons, que je n'ai pu vérifier. Toutefois, il y en eut une que je connus et qui me parut radicale.
    Une femme était allé consulter le Père au sujet de son époux. C'était un alcoolique qui faisait la vie dure à sa femme. Et le Père promit une amélioration. Celle-ci se produisit d'ailleurs, et comment ! Après une violente scène, l'alcoolique un jour se pendit !... Y eut-il beaucoup de guérisons de l'espèce ? C'est ce que j'ignore.
    Les Antoinistes ont voulu surenchérir sur la Religion. Ils sont allés trop loin, ils ne devaient pas exagérer. C'était un peu présomptueux de la part du Père Antoine et de ses disciples de dire : « Je suffis ». Cela ne vaut pas le « Aide-toi, le Ciel t'aidera ».
    Pour obtenir la reconnaissance de leur culte, les Antoinistes arguent des milliers et des milliers d'adeptes qu'ils ont faits.
    Qu'est-ce que cela prouve, sinon que les malheureux gogos et naïfs sont légion, ce qui n'était plus à démontrer. La vogue des rebouteux, guérisseurs, batteuses de cartes et autres escrocs de la crédulité humaine s'explique ainsi et ne s'en justifie pas cependant.
    Le Père Antoine faillit, il y a une dizaine d'années, avoir un sérieux concurrent en la personne d'un rustre nommé Baguette et qui s'intitulait le « bon Dieu de Ressaix ».
    Ce Baguette était un ouvrier mineur de mœurs assez peu recommandables et qui, un jour, avec un « culot » invraisemblable, voulut faire des miracles.
    En moins de quarante-huit heures de temps, il eut une clientèle nombreuse, et pourtant Baguette ne faisait pas de frais de mise en scène.
    Il ordonnait la guérison aux malheureux patients qui venaient se confier à lui, n'hésitant pas à dire à un paralytique qui se traînait péniblement sur ses béquilles : « Tape-ça èvôye, d'jet tel' dis ». Le butor se faisait menaçant si on n'obtempérait pas de suite, mais malheureusement aucun malade de guérit par son fait.
    Il n'en eût pas moins continué peut-être, d'autant plus que, malgré tout, ceux qui allaient le voir lui faisaient l'aumône, et Baguette, ne travaillant plus, se laissait engraisser à ne rien faire, quand le parquet de Charleroi s'émut. La « religion » prêchée par Baguette ne se développa point. Un juge d'instruction le fit comparaître à son cabinet, le sermonna, lui faisant comprendre que ce qu'il faisait c'était de l'escroquerie. Choisissez, lui dit-il, et si vous voulez continuer à faire des miracles, je vous enverrai en prison. Le « Messie » de Ressaix se le tint pour dit, et on n'en entendit plus parler. C'est pourquoi le pays de Binche ne verra jamais s'élever un temple dédié à Baguette.
    Les Antoinistes ont été plus heureux. Ils devraient savoir se contenter de leurs succès sans réclamer une consécration officielle !
                                                                                                             X.

Vers l'Avenirs, 5 mars 1920 (source : Belgicapress)

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Henri Lormier - Méditation (Le Fraterniste, 1er janvier 1931)

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Henri Lormier - Méditation (Le Fraterniste, 1er janvier 1931)

MEDITATION

    Méditer, c'est savoir discerner les bonnes impressions des mauvaises. C'est savoir écouter la voix intérieure qui cause à l'esprit.
   Si nous voyons, ou si nous entendons du mal se faire ou se dire, ne nous laissons pas influencer, empêchons-le, si possible.
    Méditons ensuite sur les moyens de ne jamais provoquer de mal. La méditation, c'est aussi se tenir sur ses gardes, c'est veiller à sa pensée, à ses actes, à ses paroles.

H. LORMIER.

Le Fraterniste, 1er janvier 1931

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Pour les victimes de la guerre (Gazette de Charleroi, 7 août 1914)(Belgicapress)

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Pour les victimes de la guerre - Père Dor (Gazette de Charleroi, 7 août 1914)(Belgicapress)

    Dons des personnes qui consultent le Père Dor à l'Ecole Morale pour les victimes de la guerre en 1914, dans la Gazette de Charleroi, 7 août 1914) (source : Belgicapress).

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Antoine le guérisseur (L'Indépendance luxembourgeoise, 27 juin 1912)(eluxemburgensia.lu)

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Antoine le guérisseur (L'Indépendance luxembourgeoise, 27 juin 1912)(eluxemburgensia.lu)

                                           «Antoine le guérisseur»
    Louis Antoine, dit «Antoine le guérisseur», vient de mourir à Jemeppe, près de Namur.
    Après un long séjour en Russie, il était, en 1903, revenu à Jemeppe et y avait fait construire un temple, qui devint par la suite un lieu de pèlerinage, car, à en croire les habitants de l'endroit, Antoine y accomplissait de nombreuses guérisons.
    L'an dernier, une pétition couverte de milliers de signatures fut remise au Parlement belge, demandant la reconnaissance officielle du «culte antoiniste», qui compte des adeptes en Belgique, en Allemagne et en France.

L'Indépendance luxembourgeoise, 27 juin 1912 (source : eluxemburgensia.lu)

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Une preuve d'identité spirite avec le médium Peters (Revue des études psychiques, 1904)

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Une preuve d'identité spirite avec le médium Peters (Revue des études psychiques, 1904

Une preuve d'identité spirite avec le médium Peters.
(XXe Seklet, Stockholm, Février 1904.) 

    Au sujet du médium A. Peters, la princesse Karadja, bien connue des lecteurs de notre Revue, rapporte dans son journal XXe Seklet un fait qui se présente comme un cas remarquable d'identité spirite, ou comme un cas de lecture d'un souvenir subconscient, ce qui le rendrait plus surprenant encore. Voici le récit de la princesse :
    « L'été dernier, M. Peters fit une courte visite à mon château en Belgique ; à cette occasion, il donna une preuve splendide de ses rares facultés.
    Un jour, vers midi, un domestique annonça la visite d'une dame et d'un monsieur. C'était le Directeur du Messager de Liége, M. Jacques Foccroulle, et sa fille. Je n'avais parlé qu'une seule fois à M. Foccroulle ; je ne connaissais aucunement ses affaires de famille.
    Comme aucun train ne devait partir avant 5 heures, je les priai de rester au lunch, avec nous, et je leur présentai M. Peters.
    Nous étions en train de prendre notre café, quand M. Peters dit tout à coup : « Il y a un esprit qui se tient debout derrière ce monsieur et pose sa main sur son épaule ». Je lui demandai de le décrire. Le médium dit alors que l'apparition avait les cheveux gris, le front chauve et de la barbe au menton.
    « C'est probablement mon cousin Léon, mort il y a quelques semaines », dit M. Foccroulle.
    « Pas du tout – répondit promptement M. Peters. – Il dit être mort il y a quelques années déjà et ne pas être votre parent. Vous ne l'avez pas rencontré depuis longtemps. C'était un de vos camarades d'école. Il dit s'appeler Martin ».
    M. Foccroulle hocha la tête en réfléchissant :
    « Je ne parviens pas à m'en rappeler. Quel était son petit nom ?
    « Je ne puis le dire, – répliqua M. Peters ; – mais il dit que vous possédez un portrait de lui. Il me montre l'album. Il le feuillette – un, deux, trois, quatre, cinq, six, – il pointe son doigt sur la sixième page. Le portrait est à gauche, vis-à-vis d'une jeune fille en crinoline.
    «  Je possède en effet l'album dont il s'agit – répondit M. Foccroulle lentement – mais il se trouve depuis quelques années déjà dans les combles de ma maison. Je le chercherai et je m'assurerai quelle peut bien être la personne en question.
    M. Peters communiqua alors un avis que l'esprit désirait faire connaître ; après quoi M. et Mlle Foccroulle partirent.
    Deux jours après, ils m'informaient par lettre que la description donnée par M. Peters était en tout point exacte. En tête de la sixième page de l'album, à gauche, se trouvait justement le portrait d'un monsieur appelé Martin, qui avait été camarade d'école de M. Foccroulle ; à côté de cette vieille et jaune photographie l'on pouvait voir celle d'une jeune fille habillée d'une élégante crinoline.

Revue des études psychiques, Avril 1904, p.135-136

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Édouard Saby - La conscience (p.75-76)

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    La Conscience ! Instinct divin, immortelle et céleste voix !
    Incorruptible témoin de votre conduite, elle est à la fois le registre de vos œuvres et le juge équitable de vos actions. Quand elle les approuve, alliée fidèle, elle vous assiste au milieu des pires vicissitudes ; quand elle prononce contre vous, les plus grands succès ont le goût fade de la mort.
    La Conscience est votre meilleur livre de morale ; c'est celui que vous devez le consulter le plus.
    Vous obéirez donc à cette règle inviolable : Ne rien penser, ne rien faire qui puisse blesser votre conscience, et vous ne craindrez pas de vous traduire vous-mêmes devant son tribunal (1), de telle façon que vous puissiez dire à votre heure dernière : « Laissez-moi le peu de temps que j'ai à vivre pour penser à ma conscience ».
    Il est vrai, pourtant, que l'homme se fait aisément une fausse conscience... (2) Aussi, l'obligation de faire sa conscience est-elle antérieure à celle de la suivre.
    Comment ?
    Toujours par L'EDUCATION.
    L'Education de soi-même.
    Education de la pensée, par LA RAISON.
    Education du cœur, par L'AMOUR.

Édouard Saby, Fin et résurrection d'un monde, p.75-76

(1) « Examine chaque soir ta conscience », recommande Pythagore.
(2) C'est parce qu'on « marchande » avec elle que l'on a recours aux subtilités du raisonnement.

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Charleroi - La seconde journée du Congrès spirite (Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906)(Belgicapress)

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Charleroi - La seconde journée du Congrès spirite (Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906)(Belgicapress)                                              CHARLEROI
La seconde journée du Congrès spirite.
(Service spécial du « Petit Bleu ».)

    Les congressistes spirites se sont occupés lundi matin de l'organisation des groupements, notamment des fédérations locales de Liége, Charleroi et Bruxelles.
    Nombre de discours ont été lus et il faut rendre cette justice aux spirites qu'ils possèdent parmi eux passablement de causeurs et discoureurs de talent.
    Mais les contradicteurs n'avaient pas, non plus, leur langue en poche, et on a blagué ferme les pratiques que certains groupes emploient et qui peuvent faire ressembler leurs séances à des scènes bizarres et souvent comiques.
    On a aussi „bêché” consciencieusement les médiums guérisseurs, qui font trafic de leurs pouvoirs, et plusieurs délégués liégeois ont critiqué véhémentement le rapport élogieux qu'un instituteur, M. Delcroix, avait fait du médium Antoine, un guérisseur renommé dans toute la province de Liége.
    En thème général, on a réprouvé toutes les méthodes, toutes les pratiques qui étaient de nature à assimiler le spiritisme à une religion.
    „Ce que nous voulons, a dit très nettement un congressiste, c'est rechercher la vérité, étudier la cause des phénomènes que nous observons et, pour cela, il faut que nous exercions un contrôle sérieux et minutieux sur toutes nos séances afin d'en écarter tous ceux qui, volontairement, par supercherie, ou involontairement, par auto-suggestion, nous induiraient en erreur.”
    Cette séance fort intéressante a été levée à midi et demi, pour être reprise à 2 h. 1/2, pour la séance de clôture.
    De nouveaux rapports ont été lus sur les moyens de propagande et de diffusion des théories spirites. Un professeur d'école moyenne, M. Demoulin, de Liége, a fait un exposé troublant des phénomènes enregistrés par lui. Le rapporteur est un médium visionnaire et tous les faits qu'il a observés ont été vérifiés et contrôlés avec minutie. Ils ont fait une profonde impression sur l'assistance. Ces faits, dont la réalité dans ces conditions ne saurait être contestée, ont éveillé la curiosité des plus profanes, tant ils sont de nature à provoquer l'étude des phénomènes spirites.
    Après une deuxième […] d’un insigne spécial, le Congrès a élu plusieurs commissaires au comité fédéral, MM. Quinet, Honart, Piérard et Fritz ; et l'assemblée a désigné, à l'unanimité, la ville d'Anvers comme siège du Congrès de 1907.
    M. le chevalier Le Clément de Saint-Marcq, en clôturant les débats, a déclaré que les spirites pouvaient se réjouir à bon droit des travaux du Congrès de 1906, et il a émis l'espoir que les congressistes trouveraient à Anvers un accueil aussi aimable que celui rencontré à Charleroi.

Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906 (source : Belgicapress)

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Assurance Union de Paris (La Meuse, 9 octobre 1907)(Belgicapress)

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Assurance Union de Paris (La Meuse, 9 octobre 1907)(Belgicapress)

On sait que Louis Antoine travailla pour la société d'assurance de l'Union de Paris.
Mais aucune précision sur les dates et la durée de cette activité.

Voici une publicité de 1907 de cette compagnie (La Meuse, 9 octobre 1907)

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