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octave houart

Propagande Spirite (Le Messager, 1er octobre 1889)

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Propagande Spirite (Le Messager, 1er octobre 1889)Tombe des époux Houart-Daloze - vue d'ensemble

 

 

 

Tombe des époux Houart-Daloze - vue d'ensemble (Cimetière de Seraing, Biens communaux)

 

PROPAGANDE SPIRITE

    Les nombreux adeptes de notre saine philosophie qui ont assisté aux funérailles de notre sœur en croyance, Mme Saive, ont pu admirer au cimetière de Seraing deux tombes portant des inscriptions spirites.
    L'un de ces monuments funéraires est remarquable par son travail artistique. Sur une surface de six mètres carrés deux blocs de granit superposés en pente douce recouvrent un caveau spacieux.
    Tout en haut repose un petit cercueil en pierre sculptée portant le Triomphe de la vie sur la mort, représenté par une élégante statuette d'enfant en marbre blanc, de grandeur naturelle. Elle tient d'une main un flambeau (la lumière), de l'autre une couronne d'immortelles.
    Sur le long côté du petit cercueil se trouve gravé en lettres dorées :

Naître, mourir, renaître encore et progresser sans
cesse.                       ALLAN KARDEC.

    Sur le granit sont aussi gravés ces mots :

Vers Dieu par le Progrès et la Charité.

    Plus bas en relief, grandeur naturelle, le beau dessin sculpté (le cep de Vigne) qui se trouve à la page XLI du Livre des Esprits (1), et ensuite :

Sépulture de la famille
O. C. HOUART.

(1) « Tu mettras en tête du livre le cep de vigne que nous t'avons dessiné parce qu'il est l'emblème du travail du Créateur, tous les principes matériels qui peuvent le mieux représenter le corps et l'esprit s'y trouvent réunis : le corps c'est le cep ; l'esprit c'est la liqueur ; l'âme ou l'esprit uni à la matière, c'est le grain. L'homme quintessencie l'esprit par le travail et tu sais que ce n'est que par le travail du corps que l'esprit acquiert des connaissances. »  (Livre des Esprits, page XLII.)

Le Messager, 1er octobre 1889

Tombe des époux Houart-DalozeTombe des époux Houart-Daloze - détail L'inscription de la citation d'Allan Kardec est maintenant presque illisible. La statuette dont parle l'article a quant à elle complètement disparu.

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Correspondance (Le Messager, 1er janvier 1901)

Publié le par antoiniste

Correspondance (Le Messager, 1er janvier 1901)

Correspondance

        Messieurs et Frères,

    Vous avez annoncé dernièrement l'inauguration à Jemeppe-sur-Meuse du beau et spacieux local de la société les Vignerons du Seigneur, propriété de notre ami et frère Louis Antoine. Environ 180 adeptes de notre belle doctrine, venus de tous les environs, y étaient réunis le jour de la Noël pour féliciter ce frère dévoué de l'initiative si franche, si généreuse et si intelligente dont il a donné déjà tant de preuves. Ainsi que l'on dit, en des causeries pleines de verve et d'humour, MM. Houart et Henrion, deux vétérans de la cause, les ennemis séculaires de la libre pensée spiritualiste, peuvent en vain gémir à leur aise sur l'extension qu'ont prise partout les enseignements des Esprits. C'est la ruine dans un temps qui paraît assez proche au siècle où nous entrons, de l'exploitation des superstitions religieuses dont vit un clergé fanatique et intolérant. Tout nous dit que les travailleurs de l'Espace, apôtres de vérités éternelles étouffées par les parodistes des nobles enseignements de Jésus, sont constamment sur la brèche pour combattre et détruire les erreurs amoncelées.
    Cette belle salle, où avant l'inauguration plusieurs centaines de malades ont passé, venus pour demander à notre frère Antoine ses soins magnétiques gratuits, est décorée de plusieurs peintures et portraits, entr'autres ceux d'Allan Kardec, curé d'Ars et Dr Demeure, chers et vénérés esprits qui, durant leur vie terrestre, pratiquèrent et enseignèrent les sublimes vérités spirites, et qui n'ont cessé depuis leur rentrée dans la vie réelle de nous donner des preuves de leur active et tendre sollicitude. A l'aspect de ces nobles et sympathiques physionomies, grand fut sans doute l'étonnement de personnages sceptiques aussi respectables que diplômés qui envahirent dernièrement le local de nos frères de Jemeppe. Mais laissons parler l'Express, de Liége, un grand journal dont on dit qu'il "évolue puissamment vers la route invariable de la science et du progrès":
    "Dans son numéro du 16 décembre, l'Express rapportait que le Parquet de Liége avait opéré une descente au sujet d'un individu (sic) contre lequel plainte était portée du chef d'exercice illégal de l'art de guérir.
    Le Parquet, représenté par M. Gonne, substitut du Procureur du Roi, accompagné de MM. Thuriaux, juge d'instruction ; Péters, greffier, et de MM. les médecins-légistes Lenger et Corin, est venu de nouveau indaguer à ce propos.
    Les magistrats se sont rendus d'abord au domicile particulier de M. A..., la personne visée. M. A... ordonne, paraît-il, à ses clients une liqueur fabriquée par un pharmacien bruxellois et qui est en vente dans toutes les pharmacies. Il les traite en même temps par le magnétisme.
    Comme nous le disions dimanche, il compte une clientèle considérable et, au moment de l'arrivée des magistrats dans le salon d'attente, il n'y avait pas moins de 60 consultants dont quelques-uns venaient de Verviers, voire même de Bruxelles.
    Les médecins et les magistrats ont interrogé les clients et ont assisté en même temps aux consultations qui se sont données à leur arrivée, c'est-à-dire vers 9 heures du matin. On dit dans le public que A... est entièrement désintéressé. On est tout simplement invité à déposer une obole pour les pauvres dans un tronc placé en évidence dans la salle d'attente."
    Voici ce qu'aurait pu ajouter l'auteur des lignes qui précèdent, ce qui est à sa connaissance : M. Antoine, outre son indépendance – il est rentier – est un "individu" dont le désintéressement, l'abnégation, le dévouement à toutes bonnes œuvres, ont conquis l'estime et la considération, non seulement de ses frères en croyance, mais aussi de tous ses concitoyens. Sa médiumnité guérissante est établie par des attestations qu'il ne recherche pas ; elles s'offrent d'elles-mêmes. Distribuant, au vu et au su de chacun, le produit des oboles de ses malades reconnaissants, il répand, en outre, la bonne parole qui console. Il soutient l'affligé, fortifie moralement et physiquement ses frères et sœurs en humanité. Combien d'hommes que la prison et les dépôts de mendicité auraient recueillis – les lois humaines punissent toujours l'effet sans s'attaquer à la cause ont pu, dans nos régions industrielles vouées au capitalisme, subir l'influence, l'ascendant de ses bons conseils, de ses excellentes exhortations spirites à la résignation ! Sont-ce les prêtres salariés et les nombreux médecins cléricaux, cherchant à faire poursuivre notre frère Antoine, qui pourraient en dire autant ? Que sa modestie bien connue ne nous empêche, ni l'un, ni l'autre, Messieurs, de le défendre contre certains agissements ! Que ses actes méritoires servent d'exemples aussi à d'autres adeptes de notre doctrine, soucieux de propager les enseignements spirites pour le plus grand profit de l'avenir moral et intellectuel de tous les humains.

                                         Salut fraternel,
Jemeppe, 26 décembre 1900.                        H.

Le Messager, 1er janvier 1901

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Octave C. Houart, spirite à Seraing

Publié le par antoiniste

Octave Houart, spirite à Seraing

    0ctave Constant Houart (ca. 1845-1927) a été président de l'Union Spirite de Seraing. Il prononcera à ce titre le discours funéraire pour le fils du Père et de la Mère.
    Il faisait également partie des Vignerons du Seigneur d'après Robert Vivier. Mais à notre connaissance, il ne suivra pas le Père dans la fondation du culte antoiniste.
    Marié à Adèle Daloze (née vers 1848), une nécrologie paraît dans Le Messager du 15 avril 1876 pour leur fille, Octavie-Adèle Houart, décédée en bas âge (18 mois, née à Seraing le 29 septembre 1874), au domicile, rue des Houilleurs (à sa naissance, ils habitent rue Saint-Eloi). L'article indique simplement que les spirites de Seraing procèderont à l'enterrement (L'Union spirite de Seraing sera constituée en association deux ans plus tard). C'est Auguste Dor qui se chargea du discours lors des funérailles. On ne connaît pas son degré de parenté avec le Père Dor.
    0ctave C. Houart meurt vers le 31 mars 1927. On le dit ancien chef de bureau des Charbonnages Cockerill, à Seraing. Il est enterré au cimetière des Biens Communaux, à Lize-Seraing. Adèle Houart, née Daloze, meurt le 27 décembre 1906, à 69 ans.
 
    Ils ont un fils, Octave Adelin Houart (1872-1929), qui sera industriel.
    D'après un article de 1903, où il est mentionné comme président du Cercle d'arboriculture et de culture maraîchère de Seraing, on sait qu'il habite rue de la Baume, 146, à Lize. Il faisait également partie de l'Œuvre du vestiaire (sorte de bourse aux vêtements).
    Il possédait la Manufacture de caoutchouc Octave Houart (fondée en 1889), à Sclessin, Quai François Timmermans (quai de l'industrie avant 1886), et dont François Tinlot (architectes de plusieurs temples antoinistes) fit les plans en 1925.
    Ils ont encore un autre fils, Marcel qui reprendra la direction de l'entreprise industrielle familiale, qui est alors devenue les Etablissements Octave Houart, spécialisée dans les isolants électriques. L'entreprise existe toujours sous le nom Doedijns Fluid Industry (pneumatique et instrumentation). Marcel se marie religieusement avec Denyse Gérard, d'une famille de meuniers, brasseurs et bourgmestres de père en fils à Ocquier. Il reçoit en 1946 de la Croix Rouge la médaille de première classe avec barrette or pour sa "belle conduite pendant la guerre 1940-45". On évoque également un Jacques Houart dans un article de 1947 sur la reconstruction des locaux détruits par la guerre. Ce dernier, administrateur-directeur, meurt accidentellement le 9 août 1966 à 44 ans seulement.
    Né en 1872, Octave Adelin Houart meurt à 56 ans le 26 mars 1929. On le dit alors industriel et ancien conseiller communal.  
    Le caveau de famille dès lors est situé au cimetière d'Ocquier (commune de Clavier, entre Huy et Durbuy), mais Le Messager décrit également la sépulture de la famille O.C. Houart, au cimetière de Seraing.

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Nécrologie, Louis Antoine fils (Le Messager, Liège, 1er Mai 1893)(iapsop.com)

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Nécrologie, Louis Antoine fils (Le Messager, Liège, 1er Mai 1893)(iapsop.com)

Nécrologie du fils de Louis et Catherine Antoine

    Une famille spirite très dévouée de Jemeppe-sur-Meuse, vient d'être éprouvée cruellement par la mort de M. Louis Antoine, employé au chemin de fer du Nord, décédé le 23 avril 1893 à l'âge de 20 ans.
    L'Union Spirite, de Seraing, a procédé aux funérailles civiles le surlendemain à 5 heures du soir. Elles ont été imposantes dans leur simplicité.
    A la levée du corps, le cercueil fut recouvert d'un beau drap mortuaire appartenant à la Société Spirite. Un discours d'une émotion communicative, que nous reproduisons plus loin, fut prononcé par M. Houart et la prière des morts dite par M. Engel. Précédé du magnifique drapeau de l'Union, un long cortège composé de parents, d'amis et de spirites, s'est dirigé vers le cimetière où deux discours ont aussi été prononcés : l’un par M. Engel, l'autre par M. Gony, tous deux écoutés avec l'attention et le recueillement le plus religieux.
    La populeuse et intelligente commune de Jemeppe, qui compte près de 10.000 habitants, sait toujours rendre hommage à ses enfants, aux esprits éclairés surtout que n'aveuglent plus les préjugés d'antan. Beaucoup de personnes y connaissent, du reste, la sublime et consolante philosophie spirite qui réhabilite devant l'Esprit humain l'Être Suprême défiguré par les religions intéressées. Qu'il nous soit permis de constater, une fois de plus, combien l'esprit de tolérance s'affirme en ces milieux livrés jadis aux influences d'un clergé fanatique et ignorant. Voici le discours prononcé par M. Houart :

                              Mesdames, messieurs,
    Au nom des amis de M. Louis Antoine, je remplis le pénible devoir de dire ici quelques mots d'adieu au jeune homme qui descend si prématurément dans la tombe.
    Je dis : devoir pénible, parce que, père de famille également éprouvé dans mes affections par la mort d'êtres chéris, j'apprécie mieux toute la portée du malheur qui accable en ce moment la famille Antoine.
    Ah ! je renonce à sonder la profondeur de son légitime chagrin, car l'étendue de sa peine est d'autant plus grande qu'elle ne possédait que cet enfant, ce fils si justement aimé, si bien doué des qualités du cœur et de l'intelligence.
    Pauvre ami Louis qui disparaît au printemps de la vie à l'âge des rêves dorés où tout dans la nature sourit aux aspirations intimes de l'âme comblée d'espérance !
    Il a lutté pourtant, il voulait vivre. Miné depuis trois ans par la terrible maladie qui l'a emporté, il a souffert courageusement sans trop se plaindre, combattant les progrès du mal avec une constance admirable, une force de volonté telle qu'il se faisait allusion sur sa situation.
    Mais à bout de force, il avait atteint il y a quelques jours ce degré de faiblesse qui ne supporte plus la lutte et c'est à ce moment suprême qu'il comprit qu'il était irrémédiablement perdu. Appelant près de lui son brave et digne père, il l'embrassa une dernière fois, le serrant de ses bras mourants sur sa poitrine expirante.
    Malheureux père ! votre douleur est immense, nous la comprenons.....
    Et vous, infortunée mère, votre affliction est-elle moins profonde, votre chagrin moins cuisant ? Non, certes ! le cœur d'une mère est infini et quand il est atteint dans ce qu'il y a de plus cher au monde, de quel déchirement ne subit-il pas l'étreinte douloureuse ! Vous voilà seule maintenant, seule avec le souvenir de l'absent, de l'objet de votre tendresse, vous voilà privée de la vue de l'être aimé, de sa compagnie assidue et agréable. Vous seriez à plaindre davantage s'il ne vous restait une grande et précieuse consolation, celle de savoir que l'Esprit de votre fils est là, dégagé de ses liens terrestres et qu'il pourra bientôt venir vous confirmer les nobles et précieux enseignements d'outre-tombe dont il aimait à s'entretenir.
    Résignez-vous aux décrets divins, parents désolés : puisez dans les témoignages de sympathie et d'estime que cet évènement pénible vous procure, la force nécessaire pour supporter courageusement l'épreuve qui vous afflige en ce moment.
    A toi, jeune ami Louis, je dis au nom de ta famille éplorée, au nom de tes amis et de l'assistance si nombreuse qui nous entoure : adieu et au revoir dans un monde meilleur.

Le Messager, Liège, 1er Mai 1893 (source : iapsop.com)

    Louis Martin Joseph, dit Martin, est né le 23 septembre 1873 et décédé le 23 avril 1893, à même pas 20 ans, donc.

    Octave Houart était membre des Vignerons du Seigneur d’après Robert Vivier. Mais il était également membre de l’Union spirite de Seraing. Il participa aux Congrès spiritualistes de Liège en 1875 et en 1905, et en fut président du comité du Congrès National de 1920.
    On sait que François Tinlot, architectes de plusieurs temples antoinistes, est également l’auteur de la Manufacture de caoutchouc Octave Houart, à Sclessin (14, Quai de l'Industrie, mtn quai François Timmermans).

    Pierre Engel fera le discours funèbre pour le père du Frère Delcroix.

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Charleroi - La seconde journée du Congrès spirite (Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906)(Belgicapress)

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Charleroi - La seconde journée du Congrès spirite (Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906)(Belgicapress)                                              CHARLEROI
La seconde journée du Congrès spirite.
(Service spécial du « Petit Bleu ».)

    Les congressistes spirites se sont occupés lundi matin de l'organisation des groupements, notamment des fédérations locales de Liége, Charleroi et Bruxelles.
    Nombre de discours ont été lus et il faut rendre cette justice aux spirites qu'ils possèdent parmi eux passablement de causeurs et discoureurs de talent.
    Mais les contradicteurs n'avaient pas, non plus, leur langue en poche, et on a blagué ferme les pratiques que certains groupes emploient et qui peuvent faire ressembler leurs séances à des scènes bizarres et souvent comiques.
    On a aussi „bêché” consciencieusement les médiums guérisseurs, qui font trafic de leurs pouvoirs, et plusieurs délégués liégeois ont critiqué véhémentement le rapport élogieux qu'un instituteur, M. Delcroix, avait fait du médium Antoine, un guérisseur renommé dans toute la province de Liége.
    En thème général, on a réprouvé toutes les méthodes, toutes les pratiques qui étaient de nature à assimiler le spiritisme à une religion.
    „Ce que nous voulons, a dit très nettement un congressiste, c'est rechercher la vérité, étudier la cause des phénomènes que nous observons et, pour cela, il faut que nous exercions un contrôle sérieux et minutieux sur toutes nos séances afin d'en écarter tous ceux qui, volontairement, par supercherie, ou involontairement, par auto-suggestion, nous induiraient en erreur.”
    Cette séance fort intéressante a été levée à midi et demi, pour être reprise à 2 h. 1/2, pour la séance de clôture.
    De nouveaux rapports ont été lus sur les moyens de propagande et de diffusion des théories spirites. Un professeur d'école moyenne, M. Demoulin, de Liége, a fait un exposé troublant des phénomènes enregistrés par lui. Le rapporteur est un médium visionnaire et tous les faits qu'il a observés ont été vérifiés et contrôlés avec minutie. Ils ont fait une profonde impression sur l'assistance. Ces faits, dont la réalité dans ces conditions ne saurait être contestée, ont éveillé la curiosité des plus profanes, tant ils sont de nature à provoquer l'étude des phénomènes spirites.
    Après une deuxième […] d’un insigne spécial, le Congrès a élu plusieurs commissaires au comité fédéral, MM. Quinet, Honart, Piérard et Fritz ; et l'assemblée a désigné, à l'unanimité, la ville d'Anvers comme siège du Congrès de 1907.
    M. le chevalier Le Clément de Saint-Marcq, en clôturant les débats, a déclaré que les spirites pouvaient se réjouir à bon droit des travaux du Congrès de 1906, et il a émis l'espoir que les congressistes trouveraient à Anvers un accueil aussi aimable que celui rencontré à Charleroi.

Le Petit bleu du matin, 5 juin 1906 (source : Belgicapress)

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