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francois tinlot

Visé (1916)(vendu)

Publié le par antoiniste

Visé (1916)

Adresse : 23, Allée Verte (à Devant-le-Pont, sur la route principale entre Visé et Haccourt) - 4600 Visé

Style : Néo-Roman, éclectique

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures

Temple sans photo au service réduit (Lecture dimanche à 10 heures et jeudi à 19 heures ; Opération jeudi à 10 heures)

Date de consécration (par Mère) : 23 avril 1916

Temple vendu en 2013

Anecdote : le temple porte la date de 1915, alors qu'il n'a été consacré par Mère qu'en 1916.
Il a été agrandi en 1933.
En 1930, il y avait une demi-douzaine d'adeptes costumés fréquentant le temple (Pierre Debouxhtay, p.288)

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Momalle (1915)(fermé)

Publié le par antoiniste

Momalle (1915)

Adresse : 14, rue Lenoir (vers Hodeige) - 4350 Remicourt (Momalle)

 

Style : éclectisme

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
gratuitement

Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : le 25 décembre 1915

Anecdote : un des rares temples construit en pleine campagne hesbignone, loin de toute usine, il y avait une siroperie à Momalle.
En 1930, il y avait une demi-douzaine d'adeptes costumés fréquentant le temple (Pierre Debouxhtay, p.288)
Sœur Louise en a été la dernière desservant jusqu'en 1923.

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Ecaussinnes (1914)(fermé)

Publié le par antoiniste

Ecaussinnes (1914)

Adresse : chaussée de Braine[-le-Comte], 6 - 4530 Ecaussinnes

 

Style : néo-gothique

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
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Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : 19 avril 1914 puis de nouveau (par sœur Deregnaucourt) le 21 août 1938.

Anecdote : Le temple se trouve à Ecaussinnes-d'Enghien, anciennement commune d'Ecaussinnes-Carrières
Le temple d'Ecaussinnes est l’œuvre d'une famille d'ouvriers qui l'édifia en 1911 pendant son temps libre avant d'en faire don au culte. A un moment, il manqua trois mille francs pour achever les travaux. L'ouvrier demanda une aide au Père qui lui répondit : "je n'ai pas cet argent, mais si je l'avais, je ne vous le donnerais pas. Allez, ne voyez pas trop grand et si vous avez la foi, vous aurez tout ce qu'il faut" (p.22) Le donateur en devint le desservant.
    Yves Montreuil, Aperçu sur l'antoinisme (in Régis Dericquebourg, Les Antoinistes)
Pour la consécration par Mère, neuf Opérations eurent lieu, puis la Lecture des Dix Principes.
    3 septembre 1922, le Temple d'Ecaussinnes ayant été démoli, on en reconstruit un autre, plus grand, de l'autre côté de la rue (Historique du culte antoiniste). Le 22 octobre, la Mère effectuait une seconde visite.
    Le patrimoine monumental de la Belgique, n°23 (Google Books), nous dit lui qu'il fut reconstruit en 1938, il fut donc certainement détruit en 1922 uniquement et la reconstruction terminée en 1938. Il sera alors consacré le 20 août de la même année par Sœur Deregnaucourt. En 1935, en effet, le département des Ponts et Chaussées du Ministère des Travaux Publics décida de moderniser la chaussée d'Ecaussinnes à Brane-le-Comte, ce qui entraîne la destruction du premier temple. Il est reconstruit en 1935 sous la surveillance de Jean Dargent. Il est consacré le 21 août 1938.
Cela ne résout pas le problème de la date figurant sur le pignon, car il fut consacré en 1914, la salle de lecture même date de mai 1914, même si on commença à construire le temple en 1911 d'après Yves Montreuil. D'après le Val Vert, les travaux commencent en fait au début de mai 1913. La même incohérence des dates se produit pour le temple de Saint-Étienne.

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Jumet (1919)(fermé)

Publié le par antoiniste

Jumet (1919)(fermé)

Adresse : rue Chaumonceau, 140 (anc. rue Jules Destrée, en face de la rue Joseph Mesdagh, vers Lodelinsart) - 6040 Charleroi (Jumet Gohyssart)



Style : néo-roman

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
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Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : 20 avril 1919

Anecdote : Une salle de lecture existait au 20 rue Bara en 1914 et à Marcinelle, rue du Cherbois dans les années 20. C'est le seul temple de Charleroi, Jumet en faisant partie depuis 1977. Le plus proche est à Courcelles (Souvret), puis un autre se trouve à La Louvière (temple vendu maintenant). Il y a encore peu de temps, ce temple servait au Solidarité de Groupe, mais il a maintenant un desservant.

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Souvret (1913)(fermé)

Publié le par antoiniste

Souvret (1913)

Adresse : rue de l'Avenir 30 (entre la N582 et la N583, vers Forchies-la-Marche, anciennement rue de Fontaine) - 6182 Courcelles (Souvret)



Style : néo-roman, éclectisme

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
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OPERATION GENERALE
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Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : 22 septembre 1913

Anecdote : c'est le premier des trois temples de la région de Charleroi avec Jumet (1919) et La Louvière (1933). Ce dernier a été vendu.


Il est plus de onze heures lorsque Mère arrive au nouveau temple. Il y aura cinq Opérations dans le temples puis on lut les Dix Principes à l'extérieur. La cérémonie se termina à midi (Historique du Culte Antoinniste, p.63).

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Herstal (1917)(fermé)

Publié le par antoiniste

Herstal (1917)

Adresse : 81, rue Emile Tilman (anciennement Rue du Chou, entre Large Voie et Voie de Liège/Rue du Tige) - 4040 Herstal

Style : Néo-Roman, Art Nouveau, éclectique

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
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les 4 premiers jours de la
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gratuitement

Temple sans photo au service réduit (Lecture dimanche à 10 heures)

Date de consécration (par Mère) : en novembre 1917 (le 18 novembre d'après Le Télégraphe du 17 novembre 1917)

Anecdote : Il fut ouvert quelques jours après la consécration du temple de Liège, Hors-Château. On lui retira son clocheton en 2017.

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Liège (1917)(fermé)

Publié le par antoiniste

Liège (1917)

Adresse : 17, Hors-Château (au pied de la Montagne de Bueren) - 4000 Liège

 

Style : Art Nouveau, Néo Roman

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
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Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : le 14 octobre 1917

Anecdote : Construit par Florian Deregnaucourt, pour servir d'imprimerie, ce fut Soeur Deregnaucourt, puis Soeur Louise (une des filles adoptives des Antoine) en furent les premières desservantes. (Historique du Culte Antoiniste)
    Le Frère Jean Lognoul en a été desservant 1955 à 1981. Puis Frère René Souverain et enfin Soeur Françoise.
    Il ne servit cependant jamais d'imprimerie, le Père ayant eut l'intuition d'installer l'imprimerie à Jemeppe (où elle se trouve toujours), la machine à imprimer de l'époque est partie dans un musée, après la modernisation des procédés d'impression.

Jusqu'en +/- 1995, c'était le centre non officiels des "Temples avec photos". Depuis le décès du desservant de l'époque, il connut diverses vicissitudes. Actuellement, il est desservi par un jeune adepte et s'est rangé parmi les "Temples sans photos". (http://antoinisme.20six.fr/antoinisme/art/66106/)
    Vers 2000, une desservante, Sr Françoise, spirite également, a remplacée le desservant, mais il reste un temple sans photo. L'habitation se trouve à l'étage, il faut donc monté plusieurs marches dans la journée quand on est desservant de ce temple, ce qui ne peut être rempli que par une personne encore mobile. La desservante a donc quitté le temple vers 2016.

    Sur la proposition du frère Nihoul, la société entreprit la publication d'une revue, où parurent au fur et à mesure les textes révélés. Cette revue qui s'appelait "L'Auréole de la Conscience", fut colportée par les adeptes, comme l'avait été naguère le livre de l'Enseignement*. Au bout de deux ans, les textes publiés dans la revue devinrent la matière d'un nouveau volume, qui eut pour titre : "La Révélation d'Antoine le Généreux". Tel était le nom que désormais les disciples donnaient à leur maître. C'étaient les Deregnaucourt qui s'étaient occupés de l'impression de la revue du livre. Pus tard, ils achetèrent à Liège, rue Hors-Château, un immeuble où ils transportèrent leur imprimerie. Ils imprimèrent dans la suite les deux autres livres sacrés, le "Couronnement de l'Oeuvre révélée" et le "Développement de l'Enseignement".

    Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord, p.309-310

* L'imprimeur Massillon publia, sous le titre d'Enseignement, le recueil des entretiens de Jemeppe. Robert Vivier - Délivrez-nous du mal, Ed. Labor - Espace Nord, p.286

    Les Deregnaucourt étaient des Français, qui habitaient, disait-on, dans un château près de la frontière (à Blandain (nous renseigne Régis Dericquebourg), près de Tournai). Des millionnaires, assuraient les gens. Ils étaient, en tout cas, d'une famille catholique ; et avaient même des parents dans les ordres. Attirés par la réputation du guérisseur, ils étaient venus à Jemeppe pour quelque maladie, et M.Deregnaucourt s'était senti bien soulagé. Ils en avaient été si reconnaissants, et il avaient si bien compris l'oeuvre de M.Antoine, qu'ils avaient tout abandonné là-bas pour s'installer à Jemeppe où ils consacraient leur temps et leur argent au travail moral et à la propagande des Vignerons. C'étaient eux aussi qui avaient fait construire cette imprimerie à côté du temple. Comme on les savait riches, on venait pleurer misère auprès d'eux, et ils donnaient toujours, - c'étaient des gens si charitables... Mme Deregnaucourt, une petit femme au visage ovale et aux grands yeux noirs très doux, se tenait silencieuse, et c'était inouï comme, rien qu'à la voir, on se sentait en paix.

    Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord, p.281-282

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Octave C. Houart, spirite à Seraing

Publié le par antoiniste

Octave Houart, spirite à Seraing

    0ctave Constant Houart (ca. 1845-1927) a été président de l'Union Spirite de Seraing. Il prononcera à ce titre le discours funéraire pour le fils du Père et de la Mère.
    Il faisait également partie des Vignerons du Seigneur d'après Robert Vivier. Mais à notre connaissance, il ne suivra pas le Père dans la fondation du culte antoiniste.
    Marié à Adèle Daloze (née vers 1848), une nécrologie paraît dans Le Messager du 15 avril 1876 pour leur fille, Octavie-Adèle Houart, décédée en bas âge (18 mois, née à Seraing le 29 septembre 1874), au domicile, rue des Houilleurs (à sa naissance, ils habitent rue Saint-Eloi). L'article indique simplement que les spirites de Seraing procèderont à l'enterrement (L'Union spirite de Seraing sera constituée en association deux ans plus tard). C'est Auguste Dor qui se chargea du discours lors des funérailles. On ne connaît pas son degré de parenté avec le Père Dor.
    0ctave C. Houart meurt vers le 31 mars 1927. On le dit ancien chef de bureau des Charbonnages Cockerill, à Seraing. Il est enterré au cimetière des Biens Communaux, à Lize-Seraing. Adèle Houart, née Daloze, meurt le 27 décembre 1906, à 69 ans.
 
    Ils ont un fils, Octave Adelin Houart (1872-1929), qui sera industriel.
    D'après un article de 1903, où il est mentionné comme président du Cercle d'arboriculture et de culture maraîchère de Seraing, on sait qu'il habite rue de la Baume, 146, à Lize. Il faisait également partie de l'Œuvre du vestiaire (sorte de bourse aux vêtements).
    Il possédait la Manufacture de caoutchouc Octave Houart (fondée en 1889), à Sclessin, Quai François Timmermans (quai de l'industrie avant 1886), et dont François Tinlot (architectes de plusieurs temples antoinistes) fit les plans en 1925.
    Ils ont encore un autre fils, Marcel qui reprendra la direction de l'entreprise industrielle familiale, qui est alors devenue les Etablissements Octave Houart, spécialisée dans les isolants électriques. L'entreprise existe toujours sous le nom Doedijns Fluid Industry (pneumatique et instrumentation). Marcel se marie religieusement avec Denyse Gérard, d'une famille de meuniers, brasseurs et bourgmestres de père en fils à Ocquier. Il reçoit en 1946 de la Croix Rouge la médaille de première classe avec barrette or pour sa "belle conduite pendant la guerre 1940-45". On évoque également un Jacques Houart dans un article de 1947 sur la reconstruction des locaux détruits par la guerre. Ce dernier, administrateur-directeur, meurt accidentellement le 9 août 1966 à 44 ans seulement.
    Né en 1872, Octave Adelin Houart meurt à 56 ans le 26 mars 1929. On le dit alors industriel et ancien conseiller communal.  
    Le caveau de famille dès lors est situé au cimetière d'Ocquier (commune de Clavier, entre Huy et Durbuy), mais Le Messager décrit également la sépulture de la famille O.C. Houart, au cimetière de Seraing.

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Seraing - Une expulsion - Fr.Tinlot (La Wallonie, 9 août 1928)(Belgicapress)

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Seraing - Une expulsion - Fr.Tinlot (La Wallonie, 9 août 1928)(Belgicapress)

                                                                                                     SERAING

    UNE EXPULSION. – Il y a un mois que le concierge du temple antoiniste a été expulse. Huissier et policiers étaient de la partie.
    Aucune habitation n'étant disponible, le concierge expulsé a dû se réfugier avec sa famille dans un wagon, rue de la Forêt.
    A la vérité, des antoinistes lui ont offert une maisonnette de briquetiers dans un petit patelin à 10 km. de Barvaux. Mais l'ex-concierge, qui est architecte de son métier, n'y trouverait rien à faire.
    Son expulsion a produit un joli pétard dans le landerneau antoiniste. Il paraît que c'est la Mère qui l'a désigné pour le sacrifice. Elle n'a tenu aucun compte du fait que, depuis trente ans le concierge se dévouait pour la nouvelle religion et qu'il est l'auteur du portrait du Père qui est placé sur les tribunes dans tous les temples.
    Que doit se dire le père Antoine s'il rôde encore par ici, car, pour être désincarné, il n'en continue pas moins à s'occuper de ce que fait sa femme !

La Wallonie, 9 août 1928 (source : Belgicapress)

    L'article ne donne pas plus d'explication quant au motif de Mère. Il semblerait que François Tinlot continuait a pratiquer le spiritisme expérimental, ce que le Père avait abandonné. Mère aurait alors dit "si je ne le fais pas de mon vivant, personne ne l'expulsera."

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Le mobilier liégeois - exposition temple Tinlot (La Nation Belge, 30 août 1921)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Le mobilier liégeois - exposition temple Tinlot (La Nation Belge, 30 août 1921)(Belgicapress)

Qui évoque (de manière dégradante) le projet d'un temple antoiniste
pour la ville de Liège par le frère François Tinlot

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