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souvret

Souvret (1913)(fermé)

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Souvret (1913)

Adresse : rue de l'Avenir 30 (entre la N582 et la N583, vers Forchies-la-Marche, anciennement rue de Fontaine) - 6182 Courcelles (Souvret)



Style : néo-roman, éclectisme

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
gratuitement

Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : 22 septembre 1913

Anecdote : c'est le premier des trois temples de la région de Charleroi avec Jumet (1919) et La Louvière (1933). Ce dernier a été vendu.


Il est plus de onze heures lorsque Mère arrive au nouveau temple. Il y aura cinq Opérations dans le temples puis on lut les Dix Principes à l'extérieur. La cérémonie se termina à midi (Historique du Culte Antoinniste, p.63).

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Statuts du Culte Antoiniste (Moniteur belge)(1922)

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Statuts du Culte Antoiniste (Moniteur belge)(1922)

MINISTERE DE LA JUSTICE.

Fondation d'établissement d'utilité publique.
« Culte Antoiniste ». – Statuts. – Approbation.

(1re direction générale, 3e section, n° 10042s.)

 

        ALBERT, Roi des Belges,

      A tous, présents et à venir, SALUT.

    Vu les expéditions des actes passés les 15 janvier et 10 juin 1922, devant le notaire Lapierre, de résidence à Jemeppe-sur-Meuse, par lesquels Mme Collon (Jeanne Catherine) veuve de M. Antoine (Louis Joseph), sans profession, demeurant en la dite commune, déclare fonder un établissement d'utilité publique, sous la dénomination : « Culte Antoiniste », et en soumettre les statuts à Notre approbation ;
    Vu les statuts de cet établissement insérés dans les actes susvisés ;

    Vu le procès-verbal d'expertise, en date du 10 juin 1922, et les pièces de l'instruction d'où il résulte que les temples avec leurs dépendances affectés à la fondation comprennent :

    1e Les immeubles inscrits au cadastre, commune de Jemeppe-sur-Meuse, section A, nos 29212, 29243, 292n3, 292q3, 292r3, 292s3, 29243, 292l3, 292m3, 292s, 292a3, 292j3, 292r3, 292p3 ; commune de Jupille, section A, n° 454t2 ; commune de Jumet, section D, n° 293v53 ; commune de Seraing, section B, n° 507s ; ville de Visé, section A, n° 335t ; commune de Momalle, section A, n 301c et 504k ; commune de Villers-le-Bouillet, section B, n° 1203k ; commune de Forest-lez-Bruxelles, section A, 400k ; commune de Souvret, section B, n° 753n ; ville de Liége, section C, n° 300h ; commune de Herstal, section G, n° 905k ; commune d'Ecaussinnes-d'Enghien, section A, nos 562f, 562g, 562e (ces deux derniers biens en nue propriété) ; commune de Montegnée, section A, partie des nos 55w et 55x ; commune de Bierset, section A, n° 398; ville de Verviers, section A, n° 22v4, et commune de Stembert, section B, n° 164k, d'une contenance totale de 88 ares 77 centiares et d'une valeur globale de de 508,900 francs et les biens meubles évalués à 19.900 francs ;
    2e Deux temples situés en France, l'un à Vichy, rue Bargoin, d'une contenance de 3 ares 60 centiares, l'autre à Tours, rue d'Ambroise, d'une contenance de 3 ares 96 centiares.

    Vu le titre II de la loi du 27 juin 1921 sur les associations sans but lucratif et les établissements d'utilité publique ;

    Sur la proposition de Notre Ministre de la Justice, Nous avons arrêté et arrêtons :

    Article 1er. La fondation susvisée de l'établissement d'utilité publique dénommé : « Culte Antoiniste » est approuvée.

    Art. 2. Les statuts de cet établissement, annexés au présent arrêté, sont approuvés.
    Notre Ministre de la Justice est chargé de l'exécution du présent arrêté.

    Donné à Bruxelles, le 3 octobre 1922.

ALBERT.

Par le Roi :
Le Ministre de la Justice
F. Masson

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Souvret, Les Antoinistes bâtissent (Journal de Charleroi, 27 juin 1913)(Belgicapress)

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Souvret, Les Antoinistes bâtissent (Journal de Charleroi, 27 juin 1913)(Belgicapress)SOUVRET
    Les Antoinistes bâtissent. –
 Les religions sur la terre sont inventées par milliers ; aucune religion n'équivaudra jamais à celle de la solidarité humaine entre tous les êtres humains. Depuis quelque temps un certain nombre de croyants, parmi lesquels quelques anciens incroyants, ont été conduits à Roux, chez celui qu'on appelle le « Père d'Or ». Toux ceux qui les connaissent depuis quelques années, quand ils les regardent de très près, remarquent que les pratiques alimentaires de cette fameuse et nouvelle religion, leur donnent à tous, jeunes et vieux, une couleur cadavérique, qui n'est guère enviable et n'est pas de nature à déterminer de nouvel des recrues !
    Aussi, raconte-t-on que la brouille est dans la religion d'Antoine ! – ne pas confondre avec St-Antoine, patron des pourchats – C'est à cette brouille, dit-on, que serait due l'érection d'un bâtiment actuellement en construction le long du chemin de Fontaine, un peu au-dessus de la rue de la Science, s. v. pl. ; ce bâtiment va servir à toutes les pratiques du culte antoiniste, le vrai, le pur, le père qui est d'or à Roux, et considéré à Souvret pour moins que du nickel, qui ne respecte pas toutes les traditions du père Antoine de Jemeppe-sur-Meuse, près de Liége ; c'est, paraît-il, un très jeune et joli prédicateur de cette contrée, neveu ou petit neveu du brave Antoine, qui viendrait prêcher ou occuper ce bâtiment pour autant que le passage du tram, tous les quarts d'heure, ne dérange pas ses cours.
    Bref, très sérieusement, notre petite commune devient célèbre depuis 20 ans : l'église catholique très grande est toujours vide, à l'exception des jours, d'enterrements par sympathie pour le défunt et la famille.
    Un jour, arrive un curé en pleine force de l'âge, flanqué d'un jeune vicaire, plus joli encore, et voilà le contingent de femmes renforcé. Mais pa-ta-tas, Antoine, le saint étant à l'église), vint ériger un temple.
    Alors, c'est la concurrence entre la clientèle. N'est-ce pas abominable, surtout que la libre-pensée fait encore des progrès chaque jour. On dit qu'ils sont 150 familles, sans compter ceux qui se font enterrer civilement et qui n'en sont pas membres. Il faudra augmenter le budget de fabrique, surtout les postes vins et huiles. Les huiles surtout qui serviront à huiler les cloches qui doivent battre à toute volée pour rappeler les fidèles.
    Si les Antoinistes mettent une cloche à leur temple, nous seront écervelés.
                                                                       TANT PIS.

Journal de Charleroi, 27 juin 1913 (source : Belgicapress)

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Évolution de la population de Souvret (Statbel)

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Évolution de la population de Souvret (Statbel)

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La robe révélée (Le Midi socialiste, 9 novembre 1913)

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La robe révélée (Le Midi socialiste, 9 novembre 1913)

La Robe révélée !

    Allons-nous avoir une polémique entre antoinistes ?
    Peut-être bien.
    Nous avons l'autre jour donné écho aux lamentations d'un correspondant occasionnel qui trouvait que ça se gâtait déjà chez les disciples du Père.
    En voici un autre qui nous écrit pour contester les dires du premier. Et à preuve, il cite les manifestations triomphales de l'antoinisme ces derniers temps : inauguration d'une salle à Spa, le 7 septembre, route Torrent ; consécration du temple de Souvret, le 21 septembre, avec le concours de la bonne Mère ; consécration du temple de Paris, le 27 octobre, toujours avec la bonne Mère.
    Notre premier correspondant affirmait que plus le culte antoiniste s'étendrait, plus l'anarchie l'envahirait puisqu'il n'admet ni discipline ni organisation intérieures.
    C'est une erreur à ce qu'il parait. Le culte antoiniste est parfaitement organisé. Il a un conseil d'administration « qui gère les affaires matérielles ».
    Quant à la question de la robe (entendez par là, l'espèce de redingote qu'endossent les antoinistes), « oui, le Père a dit qu'elle maintenait les frères et sœurs dans le bon fluide, confirme le contradicteur, mais il en est de même pour ceux qui ne la portent pas et qui pratiquent l'enseignement du Père ».
    Et il ajoute : « La barque ne va pas à la dérive, car la robe a été révélée par le Père, uniquement pour consacrer l'unité de l'ensemble. »
    Si la robe a, en effet, été révélée, on aurait tort d'insister sur cette histoire de barque !

Le Midi socialiste, 9 novembre 1913

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Guérisons de l'Institut Psychosique en Belgique

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Guérisons de l'Institut Psychosique en Belgique (Le Biéniste 1er avril 1922)

Guérisons de l'Institut Psychosique en Belgique (Le Biéniste 1er avril 1922)

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Courcelles et son temple protestant

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    "C'est le 1er novembre 1845 qu'un pasteur, Monsieur Jaccard, fit la première tournée à Courcelles ; il venait de Fontaine-l'Evêque, où il avait été prêcher et retournait à Jumet, lieu de sa résidence. Il entra dans la commune par Forrière." (Élie Lemal, Histoire de Courcelles, 1930)
    Courcelles, dont fait maintenant partie la ville de Souvret, abrite, dans la Rue du Temple, le temple protestant. Construit vers 1877, par le même architecte que celui du temple de Jumet, il est cependant plus discret et moins imposant.

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Protestants dans le Borinage

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Protestants dans le Borinage
L'ancienne église des filles de Sainte Marie (chapelle des Visitandines) servit de temple protestant à l'époque de la garnison sous le régime hollandais. EN 1841, il devient Musée de peinture. En 1919, après une rénovation, il devient une bibliothèque et espace muséal de l'U-Mons.

    Le Borinage abrite une importante communauté protestante depuis la Réforme, dès le XVIe siècle donc. Les protestants y représentent environ 5 % de la population à la fin du XIXe siècle.
    Un des plus célèbre acteur de cette époque est Vincent Van Gogh. C'est durant son séjour au Borinage, de décembre 1878 à octobre 1880, qu'il renonce à sa carrière d’évangéliste et décide de devenir artiste. Habitant successivement à Colfontaine, Wasmes ou encore Cuesmes, deux des maisons où il a vécu sont aujourd’hui accessibles au public et forment un incontournable lieu de pèlerinage. Dans le Temple de Petit-Wasmes, Van Gogh épaule deux pasteurs dans la conduite des cultes et l’annonce publique de l’Évangile, l’animation de lectures bibliques ou encore les visites aux malades. Van Gogh n’officiera pas dans le temple protestant. Ce dernier ne sera érigé qu’en 1897, soit vingt années après son passage dans le Borinage.
cf. Route van Gogh

    L'Edit de Tolérance (1781) de Joseph II permit aux protestants de se rassembler pour leur culte dans les maisons particulières.
    C'est en 1788 que commencèrent à Dour des pourparlers avec les autorités pour la construction d'un temple, projet qui rencontra de nombreux obstacles. La même année, cette communauté obtint les services d'un pasteur itinérant : Jean de Visme, de Quiévy en Cambraisis, qui desservit la paroisse et la région jusqu'en 1817. La petite communes de Dour possède ainsi pas moins de trois temples protestants :
Dour (1827) - Rue Roi Albert 1er 56, 7370 Dour (1er temple en 1795)
Dour (ca. 1925) - Rue de Boussu 53, 7370 Dour (ancienne maison bourgeoise)
Dour (1927) - Rue Pairois 34, 7370 Dour (temple évangélique luthérien, arch. Robert Phébade)

    Les XIXe et XXe siècles ont marqué le retour des protestants, suite aux actions d'évangélisation des églises du Réveil dans le Borinage. On assista ainsi à la naissance des communautés suivantes :
La Bouverie (1836) - Rue de la Régence 1-3, 7080 Frameries
Grand-Wasmes (1847) - Rue Saint-Pierre, 7340 Colfontaine
Cuesmes (1850) - Rue du Cerisier 4, 7033 Mons
Frameries (1862) - Rue Joseph Dufrane 13, 7080 Frameries
Baudour/Douvrain (1870) - Rue du Temple 56/Rue du Pasteur Grégoire 2/Rue des Juifs 124), Saint-Ghislain
Quaregnon (1871) - Rue Paul Pastur 100, 7390 Quaregnon (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Petit-Wasmes (1878) - Rue du Pasteur Lhost 9, 7340 Colfontaine
Boussu (1878) - Rue Alfred Dendal 86, 7300 Boussu-Bois
Hornu (1878) - Rue de la Chapelle 79, 7301 Hornu (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne, sur les plans d'Henri Sauveur ?)
Jemappes (1896) - Avenue du Maréchal Foch 826, 7012 Jemappes (arch. Henri Sauveur ?)

    Bientôt d'autres voient le jour :
Courcelles (1877) - Rue du Temple 60, 6180 Courcelles (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Charleroi (1880) - Boulevard Audent 20, 6000 Charleroi (1851, Place Verte, act. Place Albert Ier)
La Louvière (1862) - Rue du Temple 29-31, 7100 La Louvière
La Louvière (1928) - Rue Anatole France 3, 7100 La Louvière
Herchies-Vacresse (1887) - Rue du temple 13, 7050 Jurbise
Jolimont (1891) - Rue Henri Aubry 19, 7100 La Louvière (arch. Henri van Dievoet, détruit puis nouveau par arch. Charles Bamban)
Fontaine-l'Evêque (1895) - Place Charles Brogniez 42, 6140 Fontaine-l'Evêque (transformation de deux maisons en temple, arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Marchienne-au-Pont (1897) - Rue de Beaumont 206, 6030 Marchienne-au-Pont (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Marcinelle (1906) - Rue du Temple 38, 6001 Marcinelle (paroisse EPUB) (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Marcinelle (2007) - Rue des Cayats 190, 6001 Marcinelle (paroisse EPEB)
Ransart (1870) - Rue Charbonnel 121, 6043 Ransart
Jumet (1875) - Rue François Dewiest 42, 6040 Jumet (arch. Siméon Dupont de Mont-sur-Marchienne)
Pâturages (1842) - Rue Jean-Baptiste Clément 2/Rue de l'Incroyable, 7340 Colfontaine
Pâturages (1925) - Rue du Grand Passage 228, 7340 Colfontaine (Temple des Darbystes)
Laneffe (1932) - Rue Tienne du Moulin/Rue du Temple
Ghlin (1933) - Rue du Temple 8, 7011 Ghlin


    Plus loin, vers Bruxelles, un petit temple se trouve à Ohain (1897) sur la Place de Ransbeck, 8 (1380 Lasne). L'Eglise Saint-Nicolas de Leers-et-Fosteau servi quelques temps de temple protestant.

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Souvret (Courcelles) - Rue de l'Avenir 30 (Google Satellite - Vue 3D)

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Souvret (Courcelles) - Rue de l'Avenir 30 (Google Satellite - Vue 3D)

source : Google Satellite - Vue 3D

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Inscription de la façade des temples antoinistes

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    Tous les temples portent la mention CULTE ANTOINISTE sur leur fronton. La plupart porte l'année de sa consécration. Ils suivent en cela l'exemple des temples de Jemeppe et de Stembert, consacré par le Père lui-même.
Certains présentent d'autres caractéristiques.

Lyon-Villeurbanne et Retinne sont les seuls temples où soit inscrit TEMPLE sur la façade. Cela a été le cas de celui de Verviers (où apparaît la date 1914 maintenant).

Le Temple de Spa porte deux fois la date, en façade et au pignon.

Le Temple de La Louvière ne porte plus la mention du culte depuis sa vente à la communauté musulmane.

Le Temple de Forest porte la date en petit suivant le nom de l’architecte. La mention Culte Antoiniste de la façade a été repeinte en blanc, comme le reste de sa façade blanche et verte, la rendant presque invisible.

Les temples suivant ne portent pas la date de consécration mais seulement "Culte Antoiniste" :
Le Temple de Liège-Hors Château (1917).
Le Temple de Schaerbeek (1925) porte le nom de l’architecte (elle devait y figurer selon les plans).
Le Temple de Montegnée (1919).
Le Temple de Seraing (1915).
Le Temple de Souvret (1913).
Le Temple de Momalle (1915).

La mention CULTE a disparu du temple (vendu) de Tournai depuis des dégâts dus à une tempête.

Le Temple de Retinne porte la date sur le pas de moineau supérieure de la porte d'entrée et la mention TEMPLE – ANTOINISTE et non CULTE ANTOINISTE. C'est certainement la conséquence du jugement de la Cour d'Appel de Liège qui, en voulant empêcher la confusion, demandait au frère Hanoul qui fonda un temple dissident en 1949 de ne pas porter la mention de Temple antoiniste.

    Tous les temples de France porte la date d’inauguration ainsi que la mention CULTE ANTOINISTE. Seul celui de Monaco ne semble pas l’indiquer. Est-ce à comprendre comme une volonté de montrer l’évolution du culte en France (le temple de Monaco sera certainement toujours le seul de ce territoire confetti) par la multiplication des temples qui, rappelons-le, est la seule forme de "prosélytisme" que se permet le culte.

    La salle de lecture de Poitiers (Buxerolles) porte déjà la mention CULTE ANTOINISTE et l'année 1963. Celle de Tergnier (Quessy) portait également cette mention et la date, jusqu'à ce qu'elle doit vendue à l'Église Catholique Gallicane (sans changer la date 1988). Depuis peu, l'inscription de l'église a disparu.

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