Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Jemeppe en 1866 (chemins.be) et les Quatre Ruelles

Publié le par antoiniste

Jemeppe en 1866 (chemins.be) et les Quatre Ruelles

Jemeppe - Les quatre ruelles (les qwates roualles)

Il s'agit d'une des dépendances de la ville de Jemeppe, car c'est le nom que l'on donne à un carrefour dans la région (il en existe également une à Liège). Cela n'est pas sans rappeler d'ailleurs le quartier des Quatre-Bras de Nandrin où un temple antoiniste sera plus tard édifié. On le voit sur cette carte de 1866 en haut à gauche. La Route de Seraing qui court de haut en bas est l'actuelle Rue Rennequin Sualen qui se continue par la Rue de la Station.

Le Temple antoiniste en forme un coin des coins, Rue Rousseau / Rue des Tomballes. Les deux autres rues formant le carrefour sont la Rue Hulos et la Rue des Housseux. La Rue Hulos sera coupée au XVIIIe siècle par la voie de chemin de fer de Namur à Liège. La portion du côté de la ville prendra le nom de Rue de Burnonville.

Voir les commentaires

Emplacement de la gare et du chemin de fer à Jemeppe

Publié le par antoiniste

Jemeppe vers 1850, avec la gare construite en 1851 (chemins.be)

Jemeppe vers 1850, avec la gare construite en 1851 (chemins.be)
On identifie bien ici le quartier des Quatre Ruelles où le Père établira domicile à son retour de Pologne, en 1884.

Cette ligne de chemin de fer sera doublée par une autre, comme on le voit sur cette carte de 1900 environ :

Emplacement de la gare et du chemin de fer à Jemeppe

Jemeppe-sur-Meuse, gare et Bois-de-Mont (carte 1902, balnam.be).
On retrouve également bien l'ancien cimetière.

Emplacement de la gare et du chemin de fer à Jemeppe

Jemeppe en 1971, vue aérienne avec la gare (détruite en 1973) qu'on voit encore (chemins.be)

Emplacement de la gare et du chemin de fer à Jemeppe

La gare (ancien emplacement) de Jemeppe-sur-Meuse (source GoogleMaps)

Voir les commentaires

Gare de Jemeppe, Rue Général Leman (act.), au fond rue de la Station (FB Jemeppe-sur-Meuse d'hier à aujourd'hui)

Publié le par antoiniste

Gare de Jemeppe, Rue Général Leman (act.), au fond rue de la Station (FB Jemeppe-sur-Meuse d'hier à aujourd'hui).jpg

source : groupe FaceBook Jemeppe-sur-Meuse d'hier à aujourd'hui

Voir les commentaires

L'antoinisme gagne... des âmes - Luxembourg (La Dernière Heure, 3 octobre 1924)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

L'antoinisme gagne... des âmes - Luxembourg (La Dernière Heure, 3 octobre 1924)(Belgicapress)

L'ANTOINISME GAGNE... DES AMES

    Luxembourg, 1er octobre. – L'« Antoinisme », qui est bien connu en Belgique, où il compte un certain nombre d'adeptes, a fait son apparition dans le Grand-Duché ; à Esch-sur-Alzette, où les antoinistes sont déjà nombreux, ils ont fondé un cercle d'études. Ils projettent même d'y construire un temple. En effet, le conseil municipal de la métropole minière a été saisi, dans la séance du 27 septembre, d'une requête de la communauté antoiniste d'Esch, demandant l'autorisation d'ériger un temple et de faire, au cours de leurs réunions, des collectes destinées à rassembler les fonds nécessaires à cette construction.
    A cette occasion, le bourgmestre d'Esch, M. Wilhelm, a fait une déclaration suivant laquelle la liberté des cultes étant garantie, il n'existait aucun motif pour repousser cette demande. – Belga.

La Dernière Heure, 3 octobre 1924 (source : Belgicapress)

Voir les commentaires

Le Père Dor contre la ''Région'' (La Gazette de Charleroi, 5 mars 1920)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Le Père Dor contre la ''Région'' (La Gazette de Charleroi, 5 mars 1920)(Belgicapress)

    LE PERE DOR CONTRE LA « REGION ». – Nous avons relaté les débats relatifs à cette affaire : le Père Dor s'étant jugé lésé par un article publié par le journal censuré lui envoya un droit de réponse qui ne fut pas inséré.
    M. le substitut Féron donne son avis.
    L'article incriminé était injurieux pour le père Dor. La question est donc de savoir si la réponse du père Dor constitue réellement un droit de réponse.
    Après des attaques violentes, le Père Dor a répondu par un minimum de ripostes. Sa réponse est adéquate aux attaques et ne dépasse pas les limites d'un droit de réponse.
    M. le substitut examine alors la question de la citation de tiers : on ne peut pas considérer comme tels les magistrats cités ; Alceste de la « Gazette de Charleroi » n'est pas un tiers, car c'est un journaliste et Dor n'a fait que reproduire un de ses articles ; quant à l'avocat de Dor, sa citation a été provoquée, car il était mêlé directement à l'affaire.
    Donc, conclut M. le substitut, j'estime que le prévenu a contrevenu à la loi de 1831 réglementant l'usage du droit de réponse.
    Après une courte réplique de M. Lefevre, le tribunal décide de prononcer son jugement samedi,

La Gazette de Charleroi, 5 mars 1920 (source : Belgicapress)

Voir les commentaires

Le père Dor contre ''La Région'' (Gazette de Charleroi, 7 mars 1920)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Le père Dor contre ''La Région'' (Gazette de Charleroi, 7 mars 1920)(Belgicapress)

    LE PERE DOR CONTRE « LA REGION ». – Le tribunal a rendu son jugement dans l'affaire « Père Dor-Région ».
    Ce jugement, longuement motivé, déclare que, le cas échéant, Pestiaux devant être condamné à une amende, bénéficie de la loi d'amnistie et que l'action publique est donc déclarée éteinte. – Le tribunal déboute le plaignant et le condamne aux frais.

Gazette de Charleroi, 7 mars 1920 (source : Belgicapress)

Voir les commentaires

Le nouveau thaumaturge (L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924)(eluxemburgensia.lu)

Publié le par antoiniste

Le nouveau thaumaturge (L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924)(eluxemburgensia.lu)

Le nouveau thaumaturge

    Le Luxembourg, décidément, semble appelé à de hautes destinées. Déjà nous avons notre thaumaturge, et le bruit de ses miracles, après s'être répandu dans le Grand-Duché, a passé la frontière et attire une foule de pèlerins animés d'un souffle insoupçonné de foi et d'espérance.
    Tout est étonnant dans ce phénomène extraordinaire. S'il y a une ville dont les préoccupations matérialistes soient peu propices à l'éveil de la folie mystique, c'est à coup sûr l'industrieuse métropole de notre bassin minier. Et pourtant c'est à Esch-sur-Alzette que le thaumaturge a élu son domicile et qu'il a réuni sa chapelle de fidèles. Son nom, dépouillé de tout prestige exotique, ne prête guère non plus à la transfiguration. Comment se faire passer pour un Messie, quand on s'appelle, comme le commun des mortels Nicolas Wagner, et quand, après avoir rempli les fonctions de chef de gare – voyez-vous un chef de gare fondateur d'une religion nouvelle ! – on en est réduit, par suite de l'inclémence des temps, à exercer le métier de mastroquet ? M. Nicolas Wagner est, en effet, cabaretier de profession.
    Poussé par la curiosité j'ai voulu assister à un des offices qui se tient tous les matins selon le rite antoiniste, dans une sorte d'arrière-boutique attenant au cabaret du guérisseur. Le débit de boissons que je traversais était bondé de clients et surtout de clientes qui attendaient impatiemment l'heure de l'office. Trois charmantes jeunes filles, les enfants du thaumaturge, servaient les boissons les plus variées. Une grande pancarte annonçait que ce jour-là il y avait des « poissons frits à toutes les heures ». Je pus à grand peine m'installer avec deux de mes amis au coin d'une table, et à cause de l'heure matinale je me fis servir une demi-bouteille d'eau minérale. Pendant que j'examinais les figures qui m'entouraient, des figures pâlottes, malingres et souffreteuses, et que j'écoutais les conversations où il n'était question que de guérisons miraculeuses, un murmure soudain annonça l'entrée du thaumaturge.
    Comment les imagiers – et les hagiographes de l'avenir s'y prendront-ils pour faire à ce cabaretier, qui a bien la figure de son emploi, une tête d'apôtre ? Comment la ceindront-ils d'une auréole ? Autant rimer hallebarde et miséricorde ! C'est un bonhomme trapu et balourd, taillé à grands coups de serpe. On me présenta à lui. Ah, Monsieur, me dit-il, que n'êtes-vous venu la semaine dernière ? Vous auriez vu des miracles extraordinaires. Vous auriez vu une vieille dame d'Audun-le-Tiche qui était entrée toute percluse et paralytique, se trainant sur ses béquilles, et qui sortit d'ici, sans appui, toute droite, pleine de vigueur et de santé. L'ineffable candeur qui s'exprimait dans ces paroles et qui écartait tout soupçon de charlatanisme, se décelait dans tous ses gestes et dans tout son être.
    Mais voici que les portes du fond s'ouvrent. A l'instant la salle se vide et tout ce monde d'hallucinés se précipite dans le sanctuaire et se dispute les rangées de chaises qui entourent la chaire rudimentaire, ornée de dessins symboliques. Le thaumaturge y apparait à présent, sanglé jusqu'au menton dans une redingote sombre qui rehausse singulièrement son prestige. A voir alors ces têtes dolentes se tourner vers le guérisseur, dont ils attendaient leur salut dans un invincible élan de confiance, à sentir l'exaltation s'accroître sous l'influence des invocations de l'officiant qui, esquissant des gestes d'hypnotiseur, étendant sa main à droite et à gauche, et marmonnant en un français aussi amphigourique que rudimentaire, les principes de « l'unitif » du Père Antoine, maîtrisait impérieusement ces âmes simples d'hypocondres et d'infirmes, je n'ai pu me défendre, en dépit de mes préventions d'incurable sceptique, d'une certaine émotion. Et quand j'ai entendu après cette séance impressionnante de suggestion des masses l'apôtre préféré du thaumaturge, un robuste boulanger en bras de chemises, me vanter les bienfaits de cette religion nouvelle et m'affirmer que bientôt on fêterait dans le temple antoiniste que son « comité » propose d'ériger à Esch, le plus grand de tous les miracles, la guérison tant attendue de la propre femme du thaumaturge, laquelle est atteinte de cécité complète depuis vingt ans, je me suis demandé si le récent arrêt de notre Cour d'appel, qui condamna M. Wagner pour exercice illégal de la médecine, sera capable d'arrêter à la frontière cette nouvelle vague de mysticisme.

                                                                                     PANGLOSS.

L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924 (source : eluxemburgensia.lu)

Voir les commentaires

Le nouveau thaumaturge (L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924)(eluxemburgensia.lu)

Publié le par antoiniste

Le nouveau thaumaturge (L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924)(eluxemburgensia.lu)

Le nouveau thaumaturge

    Le Luxembourg, décidément, semble appelé à de hautes destinées. Déjà nous avons notre thaumaturge, et le bruit de ses miracles, après s'être répandu dans le Grand-Duché, a passé la frontière et attire une foule de pèlerins animés d'un souffle insoupçonné de foi et d'espérance.
    Tout est étonnant dans ce phénomène extraordinaire. S'il y a une ville dont les préoccupations matérialistes soient peu propices à l'éveil de la folie mystique, c'est à coup sûr l'industrieuse métropole de notre bassin minier. Et pourtant c'est à Esch-sur-Alzette que le thaumaturge a élu son domicile et qu'il a réuni sa chapelle de fidèles. Son nom, dépouillé de tout prestige exotique, ne prête guère non plus à la transfiguration. Comment se faire passer pour un Messie, quand on s'appelle, comme le commun des mortels Nicolas Wagner, et quand, après avoir rempli les fonctions de chef de gare – voyez-vous un chef de gare fondateur d'une religion nouvelle ! – on en est réduit, par suite de l'inclémence des temps, à exercer le métier de mastroquet ? M. Nicolas Wagner est, en effet, cabaretier de profession.
    Poussé par la curiosité j'ai voulu assister à un des offices qui se tient tous les matins selon le rite antoiniste, dans une sorte d'arrière-boutique attenant au cabaret du guérisseur. Le débit de boissons que je traversais était bondé de clients et surtout de clientes qui attendaient impatiemment l'heure de l'office. Trois charmantes jeunes filles, les enfants du thaumaturge, servaient les boissons les plus variées. Une grande pancarte annonçait que ce jour-là il y avait des « poissons frits à toutes les heures ». Je pus à grand peine m'installer avec deux de mes amis au coin d'une table, et à cause de l'heure matinale je me fis servir une demi-bouteille d'eau minérale. Pendant que j'examinais les figures qui m'entouraient, des figures pâlottes, malingres et souffreteuses, et que j'écoutais les conversations où il n'était question que de guérisons miraculeuses, un murmure soudain annonça l'entrée du thaumaturge.
    Comment les imagiers – et les hagiographes de l'avenir s'y prendront-ils pour faire à ce cabaretier, qui a bien la figure de son emploi, une tête d'apôtre ? Comment la ceindront-ils d'une auréole ? Autant rimer hallebarde et miséricorde ! C'est un bonhomme trapu et balourd, taillé à grands coups de serpe. On me présenta à lui. Ah, Monsieur, me dit-il, que n'êtes-vous venu la semaine dernière ? Vous auriez vu des miracles extraordinaires. Vous auriez vu une vieille dame d'Audun-le-Tiche qui était entrée toute percluse et paralytique, se trainant sur ses béquilles, et qui sortit d'ici, sans appui, toute droite, pleine de vigueur et de santé. L'ineffable candeur qui s'exprimait dans ces paroles et qui écartait tout soupçon de charlatanisme, se décelait dans tous ses gestes et dans tout son être.
    Mais voici que les portes du fond s'ouvrent. A l'instant la salle se vide et tout ce monde d'hallucinés se précipite dans le sanctuaire et se dispute les rangées de chaises qui entourent la chaire rudimentaire, ornée de dessins symboliques. Le thaumaturge y apparait à présent, sanglé jusqu'au menton dans une redingote sombre qui rehausse singulièrement son prestige. A voir alors ces têtes dolentes se tourner vers le guérisseur, dont ils attendaient leur salut dans un invincible élan de confiance, à sentir l'exaltation s'accroître sous l'influence des invocations de l'officiant qui, esquissant des gestes d'hypnotiseur, étendant sa main à droite et à gauche, et marmonnant en un français aussi amphigourique que rudimentaire, les principes de « l'unitif » du Père Antoine, maîtrisait impérieusement ces âmes simples d'hypocondres et d'infirmes, je n'ai pu me défendre, en dépit de mes préventions d'incurable sceptique, d'une certaine émotion. Et quand j'ai entendu après cette séance impressionnante de suggestion des masses l'apôtre préféré du thaumaturge, un robuste boulanger en bras de chemises, me vanter les bienfaits de cette religion nouvelle et m'affirmer que bientôt on fêterait dans le temple antoiniste que son « comité » propose d'ériger à Esch, le plus grand de tous les miracles, la guérison tant attendue de la propre femme du thaumaturge, laquelle est atteinte de cécité complète depuis vingt ans, je me suis demandé si le récent arrêt de notre Cour d'appel, qui condamna M. Wagner pour exercice illégal de la médecine, sera capable d'arrêter à la frontière cette nouvelle vague de mysticisme.

                                                                                     PANGLOSS.

L'Indépendance luxembourgeoise, 23 octobre 1924 (source : eluxemburgensia.lu)

Voir les commentaires

Le Mois chez nous (La Meuse, 3 novembre 1911)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Le Mois chez nous (La Meuse, 3 novembre 1911)(Belgicapress)

BIBLIOGRAPHIE

    Le Mois chez nous. – Dans son quatrième numéro, cette intéressante revue belge publie un article captivant sur Antoine-le-Guérisseur, cet apôtre si original qui, dans son temple de Jemeppe, prêche une religion nouvelle. On y trouve encore les mille détails, généralement ignorés, de l'industrie des os, ainsi qu'une étude attachante sur la vie des reptiles. Mais ce n'est pas tout et le sommaire, des plus nourris, s'augmente encore de la description, abondamment illustrée, d'un nouvel et très curieux aéroplane belge et un article très documenté sur les voyages à pied et le « camping ». Enfin, citons encore cette exquise nouvelle de Maurice des Ombiaux, « Le Pâtre » et un acte désopilant, « Maison tranquille », dû à la plume autorisée de Jacques Baschet.
    Ainsi composée, cette revue, malgré son prix de trente-cinq centimes le numéro, rivalise victorieusement avec les meilleures revues françaises du genre et elle justifie pleinement son titre en restant en tous points nationale !

La Meuse, 3 novembre 1911 (source : Belgicapress)

    Une carte postale reproduit une illustration de cette revue et La Meuse en reproduit le texte dans un article du 28 octobre 1911.

Voir les commentaires

Le culte antoiniste - reconnaissance (Le Journal de Bruxelles, 15 octobre 1922)(Belgicapress)

Publié le par antoiniste

Le culte antoiniste - reconnaissance (Le Journal de  Bruxelles, 15 octobre 1922)(Belgicapress)Le Culte antoiniste

     Le « Moniteur » de vendredi publie les statuts de l'établissement d'utilité publique dénommé « culte antoiniste ».
    Il s'est constitué sous la forme d'association sans but lucratif.
    Antoine était un simple ouvrier métallurgiste wallon. Il s'en fut, il y a une trentaine d'années, travailler en Russie, où il se mit en rapports avec des guérisseurs qui détiennent une sorte de pouvoir de suggestion et dont la croyance s'exprime en de vagues enseignements de morale.
    Rentré en Belgique, Antoine, se mit à enseigner cette morale simpliste et à guérir la manière des ermites russes.
    Le temple de Jemmapes-sur-Meuse fut créé il y une quinzaine d'années. Les disciples d'Antoine adoptèrent une curieuse tenue (chapeau haut de forme et longue redingote noire).
    Le culte antoiniste compte actuellement une dizaine de temples en Belgique et en France.
    Ce culte n'est on somme qu'une excroissance. L'on a toujours remarqué que ces excroissances bénéficient de l'affaiblissement du sens vraiment religieux. Il n'y a guère, en Belgique de pays plus superstitieux que le paye de Charleroi. On ne veut pas du divin, là où il est et on le cherche là où il n'est pas !

Le Journal de Bruxelles, 15 octobre 1922 (source : Belgicapress)

 

    Quelques journaux belges se moquaient des Français faisant l’erreur de l’origine du Père Antoine, la situant à Jemmapes plutôt qu’à Jemeppe. On voit ici que les Bruxellois ne font pas mieux : aucune localité en Belgique ne s'appelle "Jemmapes-sur-Meuse"...

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>