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Acte de décès de Louis-Martin-Joseph Antoine 23 avril 1893

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Acte de décès de Louis-Martin-Joseph Antoine 23 avril 1893

L'AN MIL HUIT CENT quatre-vingt-treize, le vingt-quatrième  jour du mois d'Avril, à neuf heures du matin par devant nous Eustache Bougnet, Bourgmestre, Officier public de l'état civil de la commune de Jemeppe, arrondissement judiciaire et province de Liége sont comparus Louis Antoine, encaisseur, âgé de quarante-sept ans, père du défunt, et Alfred Gony, menuisier, âgé de trente-quatre ans, connaissance, tous deux domiciliés à Jemeppe-sur-Meuse,
lesquels nous ont déclaré que hier, vingt-trois avril courant, à cinq heures de relevé, Louis-Martin-Joseph Antoine, employé, âgé de dix-neuf ans, domicilié à Jemeppe, célibataire, né à Meiderich (Prusse), le vingt-trois septembre Mil huit cent septante-trois, fils du premier comparant et de Jeanne Collon, est décédé rue du Bois-de-Mont, à Jemeppe-sur-Meuse,
et après avoir donné lecture du présent acte aux comparants, ils ont signé avec nous.

Suivent les signatures donc de L. Antoine, Alfred Gony (frère de Gustave Gony) et le bourgmestre E. Bougnet.

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Pensées - Vous vivez en Dieu (Le Fraterniste, 15 janvier 1927)

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Pensées - Vous vivez en Dieu (Le Fraterniste, 15 janvier 1927)

    Ne cherchez pas Dieu autre part qu'en vous-même, car si vous avez compris ce qu'est l'amour du prochain vous êtes en Lui, vous vivez en Dieu.

Le Fraterniste, 15 janvier 1927

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Temple antoiniste de Lyon - le porche (twitter.com_culteantoiniste)

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Temple antoiniste de Lyon - le porche (twitter.com_culteantoiniste)

C'est ici qu'on est accueilli par un frère ou une sœur par un "Bonjour frère, ou Bonjour sœur" et qui peut vous remettre un jeton pour consulter (si cela se pratique dans le temple), et qui pourra vous souhaiter un bon travail.
Dans tous les porches se trouvent différents écrits du mouvement religieux, le règlement intérieur (en France uniquement), la liste des lieux de culte et les fêtes. Les photos du couple Antoine et des temples sont exposés derrière des vitrines.

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Temple de Roanne - carte pour l'Inauguration

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Temple de Roanne - carte pour l'Inauguration

          1 octobre 1961

Chère Sœur Henriette
cher Frère Paul
   En ce jour béni de la consécration du temple de Roanne nos âmes (sœurs) sont plus que jamais réunies, ma pensée d'Amour s'élève vers notre divin Père et notre divine Mère à votre attention, qu'ils vous bénissent et vous comblent de leur Amour.
                      Votre Sœur qui vous aime et vous embrasse affectueusement.
                                             Sr Nelly

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Seances of the Antoinists (The Sun, New York, August 3, 1913)

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Seances of the Antoinists (The Sun, New York, August 3, 1913)

SEANCES OF THE ANTOINISTS.

Belgian Pilgrimage of “Miracle Worker’s” Followers.

    PARIS, July 19. – The Antoinists of Europe have been holding high celebration at Jemeppe-sur-Meuse, Belgium, on the occasion of the first anniversary of the death of Antoine, known to his followers as “The Healer.” Antoine, it will be remembered, had all the appearance of a prophet of ancient Israel, and he was said to possess the power of revelation, while miraculous cures of all kinds were attributed to him. He had an enormous following among the poorer classes, which did not crumble away, however, on his “disincarnation” last year, but transferred its allegiance to bis widow, to whom, it was stated, his power had been passed on.
    To celebrate the anniversary of the healer’s death the Mother, as the new healer is called, summoned the Antoinists of the world to the temple which has been raised at Jemeppe. She announced incidentally that sick people would obtain wonderful cures.
    Antoinists to the number of many thousands answered her call. The majority came from Belgium, the Netherlands and certain of the northern provinces of France, while Paris herself supplied a little company of no fewer than fifty-five pilgrims. The most zealous of them followed Father Antoine’s sumptuary code to the letter. In obedience to his instructions they were garbed in extraordinary garments of black serge and as headgear wore “gibus,” which recall the hats fancied by our great-grandfathers.
    In the temple where the “operations” were to take place two tribunes had been erected, on the most prominent of which a tree of life had been painted in white on a black ground. In the less important tribune sat Brother Deregnaucourt, the Antoinist crown prince, so to speak.
    After a wait of some time the tinkling of a bell announced the arrival of the Mother, who, garbed in black, took her stand in the chief tribune. For five minutes she remained there, her clenched fists quivering as if she was undergoing a great strain and her gaze fixed on the ceiling. Then she retired. The “operation” was over and the congregation withdrew. Five times the Mother gave a fresh seance, each time before 500 or 600 people.
    As for the cures, says the correspondent of the Matin, “those I saw enter lame came out lame and the rheumaticky did not appear to me any brisker after the operation than before. The cures will take place later, doubtless.”
    After the operations the Antoinists made a pious pilgrimage to the garden, where Father Antoine felt his vocation come to him as he was transplanting lettuce and picking caterpillars of his cabbages.

The Sun, New York, August 3, 1913

 

Traduction :

LES SEANCES DES ANTOINISTES.

Pèlerinage belge des adeptes de l’"ouvrier miracle".

    PARIS, 19 juillet. - Les antoinistes d'Europe ont organisé une grande fête à Jemeppe-sur-Meuse, en Belgique, à l'occasion du premier anniversaire de la mort d'Antoine, connu par ses adeptes comme "le Guérisseur". Antoine, on s'en souvient, avait tout d'un prophète de l'ancien Israël, et on disait qu'il possédait le pouvoir de révélation, tandis que des guérisons miraculeuses de toutes sortes lui étaient attribuées. Il avait une énorme clientèle parmi les classes pauvres, qui ne s'est pas effondrée lors de sa "désincarnation" l'année dernière, mais a transféré son allégeance à sa veuve, à qui, disait-on, son pouvoir avait été transmis.
    Pour célébrer l'anniversaire de la mort du guérisseur, la Mère, comme on appelle le nouveau guérisseur, a convoqué les Antoinistes du monde entier au temple qui a été élevé à Jemeppe. Elle annonce incidemment que les malades obtiendront de merveilleuses guérisons.
    Des milliers d'antoinistes ont répondu à son appel. La plupart venaient de Belgique, des Pays-Bas et de certaines provinces du nord de la France, tandis que Paris même fournissait une petite compagnie de pas moins de cinquante-cinq pèlerins. Les plus zélés d'entre eux suivaient à la lettre le code somptuaire du Père Antoine. Pour obéir à ses instructions, ils étaient vêtus d'extraordinaires habits de serge noire et portaient comme couvre-chef des "gibus", qui rappellent les chapeaux appréciés de nos arrière-grands-pères.
    Dans le temple où devaient se dérouler les "opérations", deux tribunes avaient été érigées, sur la plus importante desquelles un arbre de vie avait été peint en blanc sur un fond noir. Dans la tribune la moins importante était assis le frère Deregnaucourt, le prince héritier antoiniste, pour ainsi dire.
    Après un certain temps d'attente, le tintement d'une cloche annonça l'arrivée de la Mère, qui, vêtue de noir, prit place dans la tribune principale. Pendant cinq minutes, elle reste là, les poings serrés frémissant comme si elle était soumise à un grand effort et le regard fixé sur le plafond. Puis elle se retire. L'"opération" est terminée et la congrégation se retire. Cinq fois, la Mère donna une nouvelle séance, chaque fois devant 500 ou 600 personnes.
    Quant aux guérisons, dit le correspondant du Matin, "ceux que j'ai vu entrer boiteux sont sortis boiteux et les rhumatisants ne m'ont pas paru plus vifs après l'opération qu'avant. Les cures auront lieu plus tard, sans doute."
    Après les opérations, les Antoinistes ont fait un pieux pèlerinage au jardin, où le père Antoine a senti sa vocation lui venir alors qu'il repiquait des laitues et qu'il arrachait les chenilles de ses choux.

The Sun, New York, 3 août 1913

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Revue Mensuelle de l'Enseignement du Nouveau Spiritualisme / de la Révélation, L'Auréole de la Conscience (1907-1909)

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Revue Mensuelle de l'Enseignement du Nouveau Spiritualisme / de la Révélation, L'Auréole de la Conscience

cf. la galerie d'images

    En 1905, Louis Antoine, qu'on appelle encore Maître ou Antoine le Guérisseur, fait bâtir pour son groupe spirite un temple du Nouveau Spiritualisme. Il publie alors l'Enseignement, dont il brûlera quelques années plus tard les exemplaires restants.
    La Revue Mensuelle de l'Enseignement du Nouveau Spiritualisme est fondé par Antoine le Guérisseur en avril 1908. En juin 1908, le titre fut modifié en Revue Mensuelle de l'Auréole de la Conscience. En juillet 1908, le titre devient Revue Mensuelle de la Révélation : L'Auréole de la Conscience. Il restera tel jusqu'à la fin de la revue. On la retrouve encore en 1910 faisant partie des principaux ouvrages et périodiques français et étrangers en relation avec le Fraterniste.
    La plupart des articles parus dans l'Auréole puis dans le Couronnement se retrouvent, revus et corrigés, dans l'Enseignement (édition 1910), puis dans la Révélation et le Couronnement de l’œuvre révélée. Ce qui parut dans les Unitifs sera en partie repris dans le Développement de l'Enseignement du Père.

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Défilé antoiniste avec l'Esprit Consolateur (photo 12x8.5)

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Montegnée - défilé antoiniste avec l'Esprit Consolateur (photo 12x8.5)

la carte est indiquée comme provenant de Grâce-Berleur (Montegnée, Saint-Nicolas), mais elle a été prise en descendant l'Avenue Guillaume Lambert, à Jemeppe. L'entrée du cimetière avec la tombe des Antoine est derrière la maison et le bus.

pour en savoir plus sur le panneau de l'Esprit Consolateur, voir le billet suivant.

Généralement, ou dans le temps, le panneau était accompagné par un autre :
PERE ANTOINE, le grand guérisseur de l'humanité pour celui qui a la foi

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Prier c'est bien, Paul Pillault (Le Fraterniste, 1er octobre 1927)

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Prier c'est bien, Paul Pillault (Le Fraterniste, 1er octobre 1927)

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MÈRE avec un bonnet blanc, un 25 juin 1935 (intérieur du temple de Paris 13e)

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MÈRE avec un bonnet blanc, un 25 juin 1935 (intérieur du temple de Paris 13e)

MERE avec un bonnet blanc, symbôle de la pureté, ELLE écoute la lecture un 25 juin. Au centre en-dessous d'ELLE, l'image du PERE surélevé, à Sa Gauche MERE, formant l'unité et partageant en tout Sa Mission. Du côté opposé, "L'Arbre de la Science de la vue du mal", symbôle de notre infériorité.

Dans l'Historique de Frère Boffy, on lit :
1934-1935 : Désormais, pour les cérémonies exceptionnelles (consécrations, fêtes), Mère revêtira un bonnet blanc, pour symboliser qu'elle avait atteint le fluide du Couronnement.
Dans la revue A-Z Hebdomadaire illustré (n°11-3 Juin 1934), on dit que MÈRE a paru en public le 25 juin 1933 et à la Noël de la même année, "avec le bonnet  b l a n c  et  non noir. Cette coiffure indique que son esprit a déjà en partie quitter la terre."

On la voit le porter comme ici lors de la Fête du Père en 1935 à Paris ainsi que pour une opération sur le seuil du Temple de Jemeppe, pour la consécration du Temple de Saint-Étienne le 12 mai 1935 ou encore un défilé dans les rues de Jemeppe. Étonnamment un article de 1913 dit que Mère était apparu pour la consécration du temple de Paris "vêtue de noir, pâle sous ses bandeaux blancs" (Le Voltaire, 27 octobre 1913). On possède des photographies prises à l'époque et d'autres description parlent du "voile des veuves". Un article pour la consécration du Temple d'Écaussinnes dit comment "la mère Antoine, en costume noir, la tête coiffée d'un bonnet noir auquel tient un voile noir rejeté en arrière, entre les mains jointes" (Journal de Charleroi, 21 avril 1914).

MÈRE a été imitée par Sœur Deregnaucourt qui porte un bonnet blanc pour la consécration du Temple d'Angleur le 9 juin 1935 (on n'en possède pas de photo). D'après les archives du Temple de Rétinne, cela lui causa une telle épreuve, qu'elle a dit : "Plus jamais !". Après 8 jours on a reconsacré le Temple avec Mère. Avec Mère, il y avait foule.

Pour l'histoire de la robe, cf. le billet suivant ainsi que celui consacré à Mlle Marie Camus.

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Règle de conduite (Le Fraterniste, 27 juin 1913)

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Règle de conduite (Le Fraterniste, 27 juin 1913)

Épitaphe sur la tombe (au Père-Lachaise, à Paris) de Charles Loyson,
plus connu sous son nom religieux de Père Hyacinthe (1827-1912), fondateur de l'Église gallicane.

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