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Montegnée (1919)(fermé)
Adresse : 69, rue Mâvis (sur les hauteurs de Montegnée, vers Grâce-Hollogne) - 4420 Saint-Nicolas (Montegnée)
Style : Art Nouveau / Art DécoPanneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
gratuitementTemple sans photo à service réduit (Lecture le dimanche à 10 heures, et lundi à 19 heures)
Date de consécration (par Mère) : le 12 octobre 1919
Anecdote : C'est soeur et frère Elskens qui ont construit le temple, soeur Elskens en sera desservante, car frère Emile Elskens décède dans un accident à 39 ans en 1913. La soeur Elskens était une adepte de la première heure du Père : elle faisait partie des Vignerons du Seigneur et a suivi le Père lors du Nouveau Spiritualisme. A la désincarnation du Père, elle suit Mère dans son Travail Moral. Et à la désincarnation de Mère, en 1940, elle reste fidèle à son héritage. Le Frère Joseph Nihoul qui devient Représentant du Père ad intérim puis définitivement jusqu'à sa désincarnation, réinstaure le culte à son état laissé par le Père. La soeur Elskens se verra alors renvoyé du Conseil d'Administration. Les Antoinistes français la soutiendront et elle sera chargée des consécration des temple de Roanne (1961), Bordeaux (1964) et Mantes-la-Jolie (1966), en tant que déléguée du Collège des Desservants au Nom du Père, assistée par frère Albert Jeannin (Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France, le titre de Représentant du Père ne sera porté en France qu'à partir de 1988). Un groupe "dissident", se proclamant fidèle à la véritable tradition antoiniste, ouvrait un temple à Angleur. En 1965, se créé l'ASBL les Disciples du Père et Mère Antoine, à Retinne.La dernière desservante, encore longtemps vaillante (elle ramenait vers 2000 l'argent des dons de Saint-Nicolas à Jemeppe en vélo), n'occupe plus depuis longtemps le temple.
Il y avait de nombreuses mines de charbons à Montegnée, qui alimentaient les hauts-fourneaux de Seraing.
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Par antoiniste le 4 Novembre 2021 à 16:58
Pierre Debouxhtay évoque cette tragique histoire dans son chapitre Louis Antoine, prophète.
La mort tragique et mystérieuse d'une fillette à Montegnée
On retrouve son cadavre dans un puits profond de 6 mètres 50, situé dans une cave
M. Hans, commissaire de police à Montegnée, a avisé le Parquet, dimanche matin, d'un événement tragique qui s'est passé dans la nuit ou samedi soir, à Montegnée.
Il s'agit de la mort dramatique, et dont les circonstances restent obscures, d'une fillette âgée de 14 ans, Rosine Pér.... demeurant avec ses parents rue d'Angleur, 31, à Montegnée.DISPARUE !
Le père, M. Pér.... et son épouse travaillent tous deux au charbonnage. La fillette d'habitude restait à la maison et s'occupait du ménage.
Samedi, à la soirée, en rentrant chez lui, M. Pér... n'y trouva pas son enfant.
Il s'informa et fit part de son inquiétude à son beau-frère, M. Marcel Jeusette, âgé de 73 ans et demeurant également à Montegnée, rue Voie des Veaux, n. 51.DES IDEES NOIRES ?
Ce dernier narra alors au père Pér... des faits assez étranges.
Dans l'après-midi, raconta-t-il, sa nièce était venue le trouver chez lui. Elle paraissait mal à l'aise. A plusieurs reprises, elle aurait manifesté l'ennui de vivre, au point d'aller même jusqu'à solliciter la clef de la cave pour s'y aller noyer.
Dans cette cave se trouve, en effet, un puits profond de 6 m. 50 et contenant une hauteur d'eau de 2 m. 50.
L'oncle aurait naturellement refusé et rendu quelque courage à l'enfant, laquelle s'en serait allée reprendre ses occupations ménagères.VAINES RECHERCHES
M. Pér..., au retour de son épouse, l'avisa de la disparition de leur fille et lui fit part du récit inquiétant fait par l'oncle Jeusette.
La famille avisa M. Hans, commissaire de police et, d'accord avec elle, entreprit des recherches à Montegnée même et dans les communes voisines On ne put trouver nul indice.L'INTERVENTION DU « PERE ANTOINE » ??
La famille Pér... a des confessions philosophiques. Elle est ralliée à la confession du « Père Antoine ».
Ce fut la mémoire de celui-ci que M. Pér... invoqua.
C'est ainsi, affirma-t-il peu après au commissaire de police, qu'il eut la vision de son enfant dans le puits de la maison Jeusette.LE PUITS TRAGIQUE
Sur cette indication venue de l'au-delà, on s'en fut à nouveau rue Voie des Veaux.
Mais la porte de la cave était fermée à clef, depuis le moment où M. Jeusette – d'après ses déclarations – avait, par prudence, retiré la clef.
Il paraissait donc impossible que l'enfant ait pu s'introduire là.
La famille renonça donc, sur le moment, à son idée.
Cependant, vers minuit, les recherches restant toujours vaines, M. Pér..., poussé par un obscur instinct, revint rue Voie des Veaux, descendit à la cave avec son épouse et son beau-frère et se mit en devoir de sonder le puits.ON RETIRE LE CADAVRE
La sonde révéla la présence d'un corps humain !
Il n'y avait plus de doutes.
Tandis que des assistants couraient prévenir M. Hans, commissaire de police, la famille s'efforçait de ramener le corps du fond du puits.
Elle y parvint, non sans peine. Halé par une corde, attaché à un croc, le cadavre de la jeune Rosine apparut.
M. Hans, survenant peu après, fit des constatations assez troublantes.
Le cadavre ne portait pas de traces apparentes de violence, mais du sang s'était échappé de l'oreille en un mince filet rouge qui soulignait la pâleur du visage.
Cette hémorragie paraissant indiquer la fracture du crâne, M. Hans manda un médecin qui réserva son diagnostic.
Seul, un examen complet, par le médecin légiste, pouvait donc déterminer les circonstances exactes de la mort.
M. Hans prévint le Parquet et chercha à établir un second fait absolument obscur : à savoir comment la gamine avait pu pénétrer dans la cave, la porte en étant fermée.
Faute d'une autre, il fallut bien admettre qu'elle s'y était introduite par le soupirail.
Cependant, celui-ci est en pente droite et se termine par un boyau cylindrique très étroit.
Pour s'y introduire, l'enfant aura da se livrer à de véritables acrobaties.LA PETITE ETAIT MALADE ?
M. Hans poursuivant son enquête, apprit de Mme Pér… que sa fillette paraissait malade. Depuis quelque temps, elle se plaignait fréquemment du ventre.
Ce serait donc parce qu'elle souffrait que Rosine Pér... aurait mis fin à ses jours dans les circonstances dramatiques que nous venons de relater.
L'instruction du Parquet le déterminera sans doute.DESCENTE DE PARQUET
Le Parquet a fait une descente, dimanche après-midi.
Il était représenté par M. Laurent, juge d'instruction ; M. Constant, substitut du procureur du roi, et MM. Gilles et Leroy.
Les magistrats ont décidé que l'autopsie du cadavre de la fillette n'aurait lieu que lundi matin. – P. A.La Wallonie, 24 novembre 1930 (source : Belgicapress)
La mort tragique d'une fillette à Montegnée
LE PARQUET CONCLUT A UNE MORT NATURELLE PAR SUICIDE
Après une rapide enquête, le Parquet a renoncé à l'autopsie du cadavre de la petite Rosine Pér...
Le corps, en conséquence, a été rendu à la famille, les magistrats ayant admis l'hypothèse du suicide.La Wallonie, 25 novembre 1930 (source : Belgicapress)
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Par antoiniste le 19 Octobre 2021 à 12:49
CHUTE MORTELLE D'UN ANTOINISTE DE MARQUE.
Au charbonnage de Bonne-Fortune à Ans un abatteur, M. Emile Elvens (sic), a fait une chute dans un puits et s'est fracassé le crâne. M. Elvens, qui était âgé de 39 ans, était antoiniste fervent. Sa maison, rue des Mâris (sic), à Montegnée, était devenu une sorte de temple, où les adeptes du culte se rendaient en foule. Ils attribuaient à Elvens nombre de guérisons.
L'Avenir du Luxembourg, 14 novembre 1913 (source : Belgicapress)
Il faut lire Emile Elskens, car c’est ainsi qu’on le retrouve dans le Procès verbal de la Fondation d’Établissement d’Utilité Publique. Il fut l'époux de soeur Elskens.
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Par antoiniste le 16 Novembre 2011 à 16:06
Photo de Mathilde Elskens (issue des archives de Roland AE Collignon) qui conduit à Mère Antoine la mère de Frère Roland pour son baptême.
signature sur l'acte de naissance de sa fille
Mme Mathilde Maréchal, ménagère, née à Montegnée le 13 mars 1879, veuve de M. Emile-Jean-Joseph Elskens, demeurant à Montegnée.
Et sa fille :
Dame Marie-Catherine-Joséphine Elskens, ménagère, née à Montegnée, le 28 août 1896, épouse assistée et autorisée de M. Léon-Louis Daniel, comptable, né à Ans le 3 juin 1887, demeurant ensemble à Montegnée.
Mme veuve Elskens-Maréchal et sa fille Mme Daniel :
Commune de Montegnée.
Les parts leur appartenant dans un temple d'une contenance d'environ cent m2, sis rue des Mavis, joignant la rue, Massart-Maréchal et la famille Elskens-Maréchal.
Tous les titres de propriété ont été remis à Mme veuve Antoine, comparante, qui le reconnait, à l'exception toutefois du titre de Mme veuve Elskens-Maréchal et de ses enfants qui l'a conservé à charge d'en aider s'il était besoin le culte antoiniste.
Procès verbal de la Fondation d'Etablissement d'Utilité Publique, le 3 octobre 1922
Recueil des circulaires, instructions et autres actes émanés du Ministère de la Justice ou Relatifs à ce Département. Troisième série. 1922
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Par antoiniste le 14 Janvier 2010 à 20:55
source : antoinisme-documentation.skynetblogs.be
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Par antoiniste le 14 Janvier 2010 à 20:52
source : cartocit1.wallonie.be
Rue Mâvis 69, 4420 Montegnée, Saint-Nicolas
Caractéristiques
Type de bien Bien
Superficie de la parcelle 164m2
Bâtiment: 94 m²
Surface estimée du jardin 79m2
Coordonnées 50°38'30"N 5°30' 39.5"E
Nombre de façades Maison mitoyenne d'un côté
Zone inondable Hors zone inondable
https://www.realo.be/fr/rue-mavis-69-4420-montegnee/1120815?
https://ici.be/4420::Rue+M%E2vis::49/fr
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Par antoiniste le 10 Juin 2009 à 19:00
Salle de lecture du dimanche (Unitif de 1914)
Pierre Debouxhtay nous renseigne qu'une salle de lecture existait à Grâce-Berleur (23 rue sous l'Enclos et 82 rue du Berleur) en 1914 et à Montegnée (69 rue Mavis) en juillet 1913. Cette dernière a été ouverte par le Frère et la Sœur Elskens dans leur maison. Le temple put être construit en 1919.
De plus, la ville de Montegnée vota un vœu de sympathie au collège communal en faveur de la reconnaissance légale du culte.
Michel Meeus signale (p.37) : Contrairement aux années 1919-1930, la période 1931-1940 fournit de nombreux renseignements au sujet des paroisses de l'agglomération liégeoise. S'il y avait en 1933 quelques antoinistes dans celle de Saint-François de Sales et en 1938 un enterrement spirite parmi les 33 décès à Cointe, la population de Saint-Nicolas-lez-Liège était fortement entamée par l'antoinisme. Un « thaumaturge et ses prétendues guérisons à Liège » vint s'installer en 1929 dans ce village et acheta un local-temple, mais en 1933 les adhérents y semblaient néanmoins en recul.
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Par antoiniste le 3 Février 2009 à 11:42
- La formation de guérisseur a été abordée par un groupe d'Antoinistes. Leurs entretiens on été transcrits dans un opuscule intitulé A propos du travail moral dans les cabinets de consultation, travail de groupe à Montegnée, Culte antoiniste, Jemeppe-sur-Meuse, 1976.
Régis Dericquebourg, en retire une information : Les participants au colloque de Montegnée estiment que déconseiller à quelqu'un de recourir à la médecine relève du "fanatisme aveugle" car il s'agit avant tout de libérer un être de la souffrance. [...] Avant de parler de l'Enseignement, il faut attendre que la souffrance diminue et que la conscience soit rassérénée. (Les Antoinistes, Brepols, p.108-109)
Le chapitre est consultable sur HAL-SHS. Régis Dericquebourg s'appuie sur ceux-ci pour écrire La thérapie spirituelle antoiniste (1993).
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Par antoiniste le 3 Février 2009 à 11:33
(source FaceBook de Mya Delcourt)
En 1978, connu comme les Entretiens de Montegnée :
Chers frères et soeurs,
Parmi les personnes qui viennent chercher un peu de réconfort au Temple, beaucoup souffrent de dépression nerveuse, d'autres se découragent et sont accablés par leur vie matérielle.
Dans son ENSEIGNEMENT, comme dans tous les grands Enseignements, le Père nous dit et nous répète que DIEU est en nous et nous le croyons sans toutefois nous y arrêter. Cependant, là est la solution à tous nos problèmes, le remède à tous nos maux. Par LUI, qui est en nous, nous pouvons tout.
"Croire qu'un autre DIEU pourrait faire ce qui nous est impossible serait désapprouver la révélation de la puissance de la FOI, dire que les prophètes qui l'ont enseignée sont faux"
Ce qui nous fait souffrir, c'est le manque de confiance en nous, dans les autres et par conséquent en DIEU. si nous nous en remettions à LUI pour tout, si nous nous laissions diriger par LUI sans LUI fermer la porte par notre intelligence qu "foule aux pieds la conscience"", nous arriverions toujours à mener à bien toutes nos entreprises.
Ce manque de confiance suscite en nous la peur, l'angoisse et nous doutons de tout et ce doute provoque toutes sortes de pensées qui nous accablent, nous terrassent.
Dans ces moments de grande détresse, nous ne devons plus lutter mais bien nous réfugier auprès de DIEU, de notre Père intérieur: LUI seul peut nous aider, nous délivrer de nos souffrances. Pensons qu'il est là dans notre coeur, ouvrons-LUI toutes grandes les portes.
Lorsqu'une chose nous tracasse, confions-la au PERE, ne cherchons pas une solution avec notre intelligence, n'y pensons plus et bientôt elle se résoudra, nous semble-t-il, d'elle-même et cela nous paraîtra tout simple. Mais pour cela, il faut faire confiance, pleinement, entièrement, nous dire que: "Nos souffrances n'ont toutes qu'une seule et même cause, le doute qui nous montre par la vue du mal, tout opposé à la réalité."source : http://antoinisme.20six.fr/
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Par antoiniste le 29 Janvier 2008 à 16:34
GRACE et MONTEGNÉE, commune du canton de Hollogne-aux-Pierres ; bornée au N. par Loncin, Ans et Glain, E. par St.-Nicolas, S. par Jemeppe, O. par Mons et Hollogne-aux -Pierres.
Grâce a 3/4 de l. O. de Liège, et Montegnée, 1/2 l.
Cette commune est composée de trois hameaux principaux ; savoir : Grace, comprenant Chaume de Grâce, Perou, Bois-Mulette et Jale ; Montegnée, comprenant Chaussée de Montegnée, Trixhay, Verdbois, Pansy et Lamay ; Berleur, comprenant le petit hameau de Toutes-Voies.
La superficie de cette commune est assez inégale, entrecoupée de petites collines ; il s'y trouve aussi des parties plates, principalement vers le N. Le terrain est argileux, et dans quelques endroits sablonneux, marneux et rocailleux. La profondeur de la couche végétale varie de 30 à 60 centim. Un petit ruisseau, qui prend naissance près du château de Hollogne-aux-Pierres, arrose la commune. Il y a deux fontaines à Grâce, et 2 à Montegnée.
La commune comprend 620 maisons ; la plupart construites en briques, peu en pierres, quelques-unes en bois et argile ; couvertes en paille, à l'exception de quelques-unes en ardoises et en tuiles ; disséminées, sauf celles situées sur la chaussée de Grâce et celle de Montegnée, et près des églises de ces deux endroits. On y remarque l'ancien château de Grâce avec trois tours carrées, qui n'est plus habité depuis l'an 1794. — 2 églises, une à Montegnée, dédiée à St.-Lambert, et l'autre à Grâce, dédiée à St.-Remi ; 1 chapelle à Berleur.
L'agriculture et l'exploitation de la houille, forment les principales branches d'industrie. On y cultive le froment, le seigle, l'épeautre, l'orge, l'avoine, le colza, les féveroles. Fourrages. Beaucoup de légumes et fruits. 3 petits bois taillis. — 110 chevaux, des vaches et moutons. — Il y a 4 grandes houillères, savoir : celle de Pansy, celle de l'Espérance, celle des Sarts et celle du Bonnier. Il y a un petit chemin de fer depuis la houillère du Bonnier jusqu'à un dépôt, établi près de la grande route de Liège à Bierset, à l'aide duquel on y transporte la houille et le charbon : un seul cheval traîne 900 kilogrammes. — 1 moulin à farine, mu par le vent ; 1 idem, mu par eau ; 1 fabrique de chaudières ou de machines à vapeur, à Montegnée ; 2 brasseries. — La route de Liège à Bierset traverse la commune.
Population : 3664 habitans.
Superficie : 792 h. 70 a. 29 c.
Ci-devant: pays de Liège, banlieue Cismosane.
Histoire : C'est dans une plaine entre les villages de Grâce et de Bolzée, où l'armée des princes était rangée en ordre de bataille, ayant l'évêque Jean de Bavière à leur tète, en 1408 ; on lui demanda grâce, et ensuite les seigneurs de Seraing et de Rochefort lui furent présentés avec 120 autres, qui furent tous décapités sur l'heure, et leurs corps jetés dans les carrières. Cruelle exécution. Ce fut au château de Grâce, où le comte de Marleboroug avait pris son quartier, et que la capitulation fut conclue et signée au camp devant Liège, le 14 octobre 1702, d'un côté par ce général et les députés des états-généraux des Provinces-Unies, et de l'autre par ceux de la ville et principauté de Liège.
Dictionnaire géographique et statistique de la province de Liège (Henri Joseph Barthélemi Del Vaux) - 1835
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