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Par antoiniste le 16 Octobre 2020 à 12:18
Illustration : église de la science chrétienne à vendre à Muncie (Indiana) et à Buttle (Montana) ou
vides à Neillsville (Wisconsin) et Oklahoma City.
On a déjà évoqué le futur des églises de la commune de Seraing, pressenties comme pouvant être transformées en "maisons du peuple". Dans chaque page des temples en Belgique, on évoque l'histoire des temples protestants. Deux synagogues à Schaerbeek ont été vendues et la synagogue d'Arlon, la première construite en Belgique, est devenu un musée après sa rénovation. La synagogue de Charleroi est en piteux état et abrite également le Musée de la Mémoire des Justes parmi les Nations. La communauté juive de Charleroi ne compte plus qu'une quarantaine de familles. À Liège, après la guerre, quelques Juifs libanais et syriens vinrent s'ajouter à la communauté jusque-là essentiellement ashkénaze. Actuellement, cette petite communauté survit grâce à la présence d'étudiants français. Quelques israéliens (travaillant notamment pour l'aéroport de Liège) sont venus s'y ajouter.
La déchristianisation en Belgique y semble plus forte qu'en France, car en effet, en Belgique, les agnostiques sont également reconnus comme laïques organisés (reconnu en 1993) et par le Conseil central laïque (reconnu par la loi du 21 juin 2002)(Le budget à charge de l'État belge en 2003 pour ces subventions s'élevait à 9 010 190 €).
L'Antoinisme connaît également une baisse de fréquentation des temples, alors même que beaucoup restent attachés à la figure du Père et de la Mère. Une conséquence directe est l'obligation pour le culte de vendre les temples n'ayant plus assez d'adeptes pour prendre la relève. Ce fut le cas du temple de Tournai et de Schoten (Anvers), les plus éloignés de Jemeppe. Puis ont été vendus les deux temples de Bruxelles (Forest et Schaerbeek), et enfin celui de La Louvière (Province de Hainaut) et d'Evelette (Province de Namur). Plusieurs sont en attente d'un nouveau desservant. En France, un article publié sur le site RAGEMAG indique également quelques difficultés : "Si, après des débuts prometteurs, le culte est actuellement « au creux de la vague », Sœur Maryvonne ne désespère pas de le voir rebondir à l’avenir." ou bien "Pestant contre un monde « où le recul de la religion est généralisé », il [Frère Norbert Madelaine, Représentant du Père en France] confie, la voix remplie d’amertume : « Mon principal problème, c’est l’insuffisance d’adeptes en Province, où j’ai du mal à nommer des desservants. Il y a aussi moins de salles de lectures qu’avant, j’essaie d’y remédier ». Difficile mission cependant en raison du manque de moyens et de la règle sacrée de non-prosélytisme chère à la religion antoiniste. « Avant, nos adeptes venaient grâce au bouche à oreilles, le boucher ou la boulangère leur parlait du culte. Seulement, c’est difficile maintenant, car les gens n’ont plus de contact, il n’y a plus d’échange humains »."
Une religion que l'on compare souvent à l'antoinisme connaît les mêmes déboires, d'autant plus impressionnants à la hauteur de son pays d'origine, il s'agit de la Science chrétienne, de l'Américaine Mary Baker Eddy. un chapitre de la page wikipedia nous renseigne :
Apogée et déclin de la Science Chrétienne
Selon le sociologue Rodney Stark, la Science chrétienne atteint son apogée en 1936 avec 2 048 adhérents par million d’Américains d’après ses estimations. Ensuite, le nombre d’adeptes de la Science chrétienne ne cesse de baisser aux États-Unis pour atteindre, toujours selon lui, 427 adhérents par million d’Américains en 1990. Pour le sociologue, il faut y voir la conséquence « d’une fertilité inadéquate, d’une socialisation sans effet […], d’un déclin de l’efficacité relative de son effet placebo [par rapport aux progrès de la médecine moderne] et des possibilités bien plus grandes d’occupation pour les femmes [dans la société d’aujourd’hui] ».
Rodney Stark, The rise and fall of Christian science,
Journal of Contemporary Religion, vol. 13, no 2, mai 1998, p. 189-214
En 1941, il y avait 11 200 praticiens (practitioners) aux États-Unis, contre 965 en 2015 (1 249 dans le monde). Stark écrit que des groupes de praticiens répertoriés dans le Christian Science Journal en 1998 vivaient dans les mêmes petites communautés retirées. Dans une étude citée par Stark, sur 80 personnes élevées au sein de la Science Chrétienne, seulement 26 (33%) sont devenues des scientistes eux-mêmes.
En Belgique, le site principal n'indique qu'une adresse, à Bruxelles, 57, rue François Bossaerts (1030 Schaerbeek), où le service est en anglais, mais dont rien ne laisse penser à l'existence d'une église (aucun écriteau sur la façade, pas de signalement sur google maps). Aux Pays-Bas, il y aurait d'après le même site 3 First Churches : Amsterdam seul bâtiment d'importance dans le prolongement de la Rossinistraat, Haarlem et La Hague, dont le bâtiment est dû à l'architecte Hein Berlage et le designer Piet Zwart.Première, Deuxième et Troisième Église du Christ scientiste à Paris (cliquez pour agrandir l'image)
Pour la France, Paul Lesourd indique dans les années 70 les églises de Cannes, Nice, Paris (en plus, au 45, rue de la Boétie). Didier de Plaige et Jean-Marie Leduc citent les adresses suivantes :
Paris : 36 rue de Washington 75008
58 boulevard Flandrin 75116 (existe encore)
36 boulevard Saint-Jacques 75014 (existe encore)
45 rue de la Boétie 75008 (abrite un café restaurant après un magasin d'instruments de musique)
Béthune : 10 rue de l'Industrie 62400
Bordeaux : 3 cours de Gourgue 33000
Cannes : 11 rond-point du Bois d'Angers 06000 (existe encore)
Châteauroux : 44 bis, rue du 14 juillet 36000
Enghien-les-Bains : 9 rue des Thermes 95880
Grenoble : 42 rue Lesdiguières 38000 (a changé d'adresse)
Lyon : 11 rue Dubois 69000
Montpellier : 3 bis impasse Barnabé, rue de l'Argenterie 34000
Mulhouse : 1 rue du Sauvage 68100
Nice : 7 rue Galléan 06000
Pau : 36 rue de Monpezat 64000
Strasbourg : 4 passage de la Cathédrale 67000
Vincennes : 9 avenue Clemenceau 94300
Actuellement référencées sur le site de la Science Chrétienne :
PARIS (75)
Première Église du Christ, Scientiste, Paris
Salle de lecture
36, bd Saint Jacques 75014 Paris
Email: pecsp1@gmail.com
Site : http://www.sciencechretienneparis1.com
Tél : 01 47 07 26 60
Deuxième Église du Christ, Scientiste, Paris
Salle de lecture
58, bd Flandrin 75116, Paris
Email : conseil.cs2paris@gmail.com
Site web: www.sciencechretienneparis2.com
Tél: 01 45 03 24 80
Troisième Église du Christ, Scientiste, Paris
Salle de lecture
33 bis, bd Bourdon 75004 Paris
Email : tecsp4@free.fr
Tél: 01 42 74 45 82
En France :
CANNES (06)
Première Église du Christ, Scientiste, Cannes
Salle de lecture
11-13, Rond-Point Duboys-d’Angers, 06400 Cannes
Tél.: 04 93 38 46 80
GRENOBLE (38)
Groupe des étudiants de la science chrétienne à Grenoble
29, Quai Claude Bernard, 38000 Grenoble
Interphone "Terre d'Essences" touche 001, Rez-de-chaussée
Email : eglise38@free.fr
Tel : 06 60 08 14 15
Site web : www.sciencechretienne38.wordpress.com
Historique
MARSEILLE (13)
Société de la Science Chrétienne
Bâtiment C, immeuble "Le Liberté"
Place du 8 mai 1945
13400 Aubagne
Tél.: 06 70 48 20 49
MELUN (77)
Société de la Science Chrétienne, Melun
Salle de lecture
6 bis, Rue de la Rochette, 77000 Melun
Tél.: 01 64 37 14 81
NICE (06)
Première Église du Christ, Scientiste, Nice
Salle de lecture
7, Rue Galléan, 06000 Nice
Tél.: 04 93 07 58 35
PAU (64)
Première Église du Christ, Scientiste, Pau
17, rue Montpensier - 64000 Pau
Email : pau@sciencechretienne.org
Tél. 05 59 27 33 63
Site web : www.sciencechretiennepau.org/
Historique
TOULOUSE (31)
Société de la Science Chrétienne, Toulouse
57, Rue des Fontaines, 31300 Toulouse
Tél.: 06 73 71 43 23
Site web: www.sciencechretiennetoulouse.org
Historique
Celles de Melun et de Marseille semblent avoir fermées depuis peu, l'adresse de Melun n'est plus indiquée et celle de Marseille a changée sur le site de Grenoble, la Première Église du Christ, Scientiste de Paris cite en revanche une adresse à Aubagne.
Sur le blog du site www.lasciencechretienne.com, il n'y a plus d'articles postés depuis fin 2016.
Aux États-Unis, où le mouvement a vu le jour, la situation est identique. Le mouvement a fermé 23 de ses églises à Los Angeles entre 1960 et 1995. Même des First Churches (parfois issue de fusion d'autres églises Second ou Third) doivent être vendues, comme celle de Mahnattan (1 West 96th Street), de 1903, considérée comme une des plus belles églises de la ville de New York. La Second Church of Christ, Scientist de Manhattan (77 Central Park West) utilise donc maintenant le nom de First Church of Christ, Scientist. La Fourth Church of Christ, Scientist de New York est devenue la Hebrew Tabernacle of Washington Heights (551 Ft. Washington Avenue).
Signalons anecdotiquement que le Mary Baker Eddy Birthplace Monument, à Bow, New Hampshire (petit état à la frontière canadienne, proche de Boston où est située l'église mère) représentant une pyramide en granit a été dynamité par l'église même. Son monument funéraire au Mount Auburn Cemetery (Cambridge, dans le Massachusetts) représente un mausolée de huit colonnes de 4 mètres et demi. La dernière demeure de Mary Baker Eddy, fondatrice de la religion, avec sa propriété de 34,000 m2 a été vendue en avril 2006 à une organisation privée, la Longyear Museum, dans le but de "faire progresser la compréhension de la vie et de l'œuvre de Mary Baker Eddy".
Une page wikipedia en anglais est consacrée à la liste des églises vendues, relocalisées ou réunies. Par exemple, la First Church of Christ, Scientist, London, monument historique sur Sloane Terrace à Chelsea/Belgravia, est maintenant une salle de concert. La bâtiment a été fermé en 1996 et racheté par Mohamed Al-Fayed, mais il est resté indiqué comme lieu de culte jusqu'en mai 2019. Aux États-Unis, beaucoup d'églises ont été vendues à d'autres communautés protestantes ou même parfois orthodoxes, juives, musulmanes ou bouddhistes, ou pour tout autre affectation (Internet Archive, Zen Center of Denver, Croatian American Cultural Center, Casa de Jesus, des collèges, salles de concert, théâtres, librairies, bureaux, habitations). Celle de Lawrence (Kansas, 1701 Massachusetts Street) est devenue un salon de toilettage pour chat (Cat Clinic).votre commentaire
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Par antoiniste le 16 Septembre 2010 à 16:09
In grappling with the question "If God is not a Being, to whom does one pray ? - in other words, "How can one pray to a process or power ?" - Lichtenstein attempted to separate the God of belief from the God of faith. While the God in whom he believed was a naturalistic power, the God to whom he prayed, and, he suspected, the God to whom most people prayed, was indeed a providential and transendent being. Belief, he asserted, is dependent on intellectual assent; faith is dependent on feeling. Unlike belief, faith rests on something that can neither be seen nor experienced through one's senses. We cannot perceive God's presence, he maintained, because God is "too closely intertwined with the very essence of our life", yet we can and do experience or intuit God's presence. Faith, he maintained, is more than belief. While belief is usually established "either as a sequence to logical deductions or as the outcome of trust in authority", faith rests neither on authority nor logic. Thus, the man of faith
does not rationalize, he feels that there is an owerwhelming Presence filling the universe and interested in the destiny of each of His beings, also in him who is one of His creations. In a sense, faith is like love which, when it surges in the heart, has no interest in agument or in proof, but strives only to identity itself with its object.
Unlike the man of philosophy, then, who may believe in God either a a philosophical necessity or as a "remote First cause", the man of faith, he insisted, "knows God as a living reality; he 'feels' His presence and turns to Him for aid knowing that [God] will never fail him."
Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science
Spiritual Healing and American Jews, p.102
Oxford University Press, Oxford, New York, 2005votre commentaire
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Par antoiniste le 27 Juillet 2010 à 15:23
Silence is the divine manner of manifestation. God reveals Himself to the listening ear of faith in complete stillness. IN SIlence, we find God and commune with the Spirit of all flesh. Be still and in the holy awe know that God exists. To know God means to cast off the coils of sensuous life and to enter the realm of spiritual thought. Casting off the bonds of mortal mind, we enter the SIlence of the inner soul and dwell on the thought of the Infinite and Eternal.
Alfred Geiger Moses, Jewish Science (1920), p.135
in Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science
Spiritual Healing and American Jews, p.49
Oxford University Press, Oxford, New York, 2005votre commentaire
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Par antoiniste le 29 Juin 2010 à 20:25
Mrs Eddy modifie le pater en ces termes :
« Notre Père-Mère Dieu, tout harmonieux,
« Seul adorable,
« Ton règne est arrivé, tu es toujours présent.
« Rends-nous capables de connaître que Dieu, sur la terre comme au ciel, est tout puissant, suprême,
« Donne-nous ta grâce pour aujourd'hui ; nourris l'ardeur languissante,
« Et l'amour se reflète dans l'amour.
« Et Dieu ne nous induit pas en tentation, mais nous délivre du péché, de la maladie et de la mort.
« Car Dieu est infini, toute Force, toute Vie, toute Vérité, tout Amour, par-dessus tout et tous. »
La Science chrétienne et la Pensée Nouvelle
par M. Charles-Baudouin
Foi et vie 16/01/1924
source : gallicavotre commentaire
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Par antoiniste le 29 Juin 2010 à 20:23
illustration : Morris Lichtenstein (1889-1938)(irenedanon.com) & Tehilla Lichtenstein (1893-1973)(americanjewisharchives.org)
Alfred Geiger Moses est un rabbin réformé de Sha’arai Shomayim U-Maskil El Dol (Les Portes du ciel et de la Société des Amis des nécessiteux, ou simplement “The Temple”) à Mobile (Alabama). En 1904, il écrit une histoire des Juifs de sa ville. EN 1907, il participe à la dédication de la nouvelle synagogue de la Government Street de Mobile.
Il arrive à la constatation que "the modern Synagogue had lost this spiritual art, and that, under the influence of radical thought which minimized Emotion and Sentiment, and exalted Reason and Logic, the average Jew of to-day was losing his prayerful sense." (p.11). Voyant de plus en plus de ses corelégionnaires se tourner, en partie pour cette raison, vers la Science Chrétienne, il écrit en 1916 Jewish science. Divine healing in Judaism, with special reference to the Jewish scriptures and prayer book (à lire et télécharger sur archive.org) où il explore le mouvement Hassidique d'Europe où la pratique de la guérison spirituelle est encore en cours et cherche dans les textes bibliques les liens entre spiritualité et guérisons, comme Mary Baker Eddy. Dans son esprit, celle-ci peut-être remplacé par le fondateur du Hassidisme, le Baal Shem Tov. En 1920, il écrit Jewish science; psychology of health, joy and success: or, The applied psychology of Judaism.
Convaincus de ses idées le rabbin Morris Lichtenstein (1889–1938) et sa femme Tehilla Hirschenson Lichtenstein (1893-1973) se joignent à lui et fonde la Science Juive (Jewish Science) en 1921 ou 1922 dans la West 85th Street à Manhattan (New York).
Tout comme la Science chrétienne, la Science juive estime que la prière est la clé pour le bonheur intérieur et le bien-être physique. Elle minimise le rôle des rituels et d'action sociale, et met l'accent sur la puissance de "l'auto-suggestion" et l'efficacité de l'activité de dévotion. Contrairement aux scientistes chrétiens, cependant, les scientistes juifs ne sont pas opposés à demander de l'aide médicale, si nécessaire.
Ne se voulant pas en désacord avec le judaïsme traditionnel, il propose des heures de guérisons le dimanche. Ainsi comme dans l'antoinisme, on précise que l'on peut rester juif tout en pratiquant le judaïsme appliqué.
A la mort de Morris Lichtenstein, sa femme reprend son poste et devient la première femme juive en Amérique à la tête de sa propre congrégation. Elle n'a toutefois jamais été ordonné, et n'a jamais eu un titre rabbinique (elle préférait elle-même se dire une spiritual leader). Elle a également repris ses fonctions de rédacteur en chef du magazine Jewish Science Interpreter jusqu'à sa mort en 1973.
Sur le site internet du Judaïsme appliqué, on lit :
Spirituality • Meditation • Healing • Tradition • Worship,
c'est-à-dire Spiritualité, Meditation, Guérison, Tradition, Culte.
On est proche des idées New-Age et le groupe a même abordé la question de la réincarnation car comme le dit le 9e fondement : Nous croyons que la mort est une élévation vers la vie éternelle, et non pas une cessation de l'existence. Cependant le mouvement est plus à rapproché de la Nouvelle Pensée (New Thought), qui démare avec Phineas Quimby et adhèrent à une théorie de la guérison mentale selon laquelle toute maladie est provoquée par des croyances erronées.
Le mouvement n'a certainement jamais dépassé les 1000 adhérents mais son Journal continue d'être édité. Ses membres continuent d'assister aux services conventionnels. Le sanctuaire se trouve maintenant au 109 East 39th Street, toujours à Manhattan. Chaque service offre la possibilité d'une expérience spirituelle, la prière traditionnelle, la méditation et un sermon portant sur les défis de la vie quotidienne.
Il existe par ailleurs une autre congrégation de la Society of Jewish Science à Los Angeles (Californie),
Parmi les affirmations, on trouve "Dieu est en moi et avec moi tout le temps, donc je n'ai pas peur !" et que la meilleure prière positive qui soit, est celle faite en silence.
Il existe également 10 fondements qui ne sont pas imposées, mais sont une conséquence d'une recherche de la vérité spirituelle. Il sont à lire ici : http://www.irenedanon.com/Rabbi.htm
La profession de foi pourrait être : Sur ces fondements, nous, dans la science juive, professons notre foi sincère en l'efficacité de la prière, nous reconnaissons le droit de rester serein et joyeux, de chérir la bonne volonté et le contentement, de bannir l'inquiétude et la peur, nous déclarons notre confiance en Dieu, la bonté et l'amour, nous professons notre assurance de l'immortalité, car nous avons foi en Dieu, la bonté et la pérennité de ses créations.
Tout comme la Science chrétienne, le mouvement est typiquement américain dans son optimisme et sa foi en la puissance de l'individu ; d'après la science juive, on pense que si seulement les gens ont la bonne attitude, ils pourraient résoudre leurs problèmes.
source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_Pens%C3%A9e
livres de et sur la Nouvelle Pensée en anglais : http://newthoughtlibrary.com/
http://en.wikipedia.org/wiki/Jewish_Science
http://forward.com/articles/2890/
http://en.wikipedia.org/wiki/Morris_Lichtenstein
http://www.americanjewisharchives.org/aja/FindingAids/Lichten.htm
http://www.appliedjudaism.org/
http://www.irenedanon.com/Rabbi.htm
http://www.jweekly.com/article/full/7394/jewish-science-groups-explore-karma-reincarnation/votre commentaire
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