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Toulouse (1993)
Adresse : 12, Rue de Cherbourg - 31300 Toulouse
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Style : éclectique
Panneau : Lecture de l'Enseignement du Père, le dimanche à 10 heures et tous les jours à 19 heures, excepté le samedi. Opération au nom du Père, les cinq premiers jours de la semaine à 10 heures. Le temple est ouvert du matin au soir aux personnes souffrantes. Tout le monde est reçu gratuitement
Temple avec photos
Date de consécration (par un délégué du Collège des Desservants au Nom du Père) : 16 mai 1993
Anecdote : c'est le dernier en date des temples antoinistes. Régis Dericquebourg a décrit son ouverture dans : "Inauguration d'un temple antoiniste à Toulouse en 1993", in Mouvements Religieux, Février 1993
Un site (http://toulouse.localnear.fr/company/culte-antoiniste/) indique un numéro de téléphone : 05 34 51 86 15 -
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Par antoiniste le 2 Mars 2021 à 11:25
Voir le billet pour la consécration du Temple d'Écaussinnes et de Paris. Cf. le billet sur les consécrations des temples antoinistes.
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Par antoiniste le 16 Septembre 2010 à 16:05
Jean-Marie Leduc et Didier de Plaige nous renseignent sur les salles de lecture qui existaient à Toulouse en 1978 :
- 26, rue Benjamin-Constant,
- 14, rue de Cherbourg.
Le Père Chéry signale dans les années 50 des Antoinistes, mais sans plus de précisions.
Le temple de Toulouse a été inauguré en 1993 au 12 de la rue de Cherbourg, remplaçant ainsi la salle de lecture de la même rue.2 commentaires
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Par antoiniste le 9 Mars 2010 à 20:57
Région pyrénéenne. - Pas d'Antoinistes signalés.
Sud-Ouest. - On les signale à Toulouse sans précisions ; pas de temple.
C.Ch. Chéry o.p., L'Offensive des sectes, 1954, p.264
Le temple de Toulouse a été consacré en 1993.votre commentaire
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Par antoiniste le 4 Février 2008 à 14:12
Ville d'une énergie que la délicatesse de ses goûts n'amollit pas, Toulouse commerce, travaille activement, manipule le fer, la fonte, l'acier, moud et blute le blé dans les grandes minoteries du Bazacle, fabrique des papiers peints, des toiles vernies et des chapeaux. Son peuple d'ouvriers se répand dans les vastes faubourgs Saint-Cyprien, Matabiau, Saint-Pierre, Saint-Michel et dans celui de Saint-Étienne, que domine la bizarre cathédrale inachevée, dont la nef et le chœur sont si distincts, qu'ils ne se trouvent pas sur le même axe. Le vieux portail de cette sombre église s'harmonise aux siècles lointains où chaque année, à la grand'messe de Pâques, un juif agenouillé sur le seuil devait recevoir un soufflet de la main d'un gentilhomme, cette main fût-elle gantée de fer, ainsi qu'il advint une fois; par quoi le juif sur-le-champ mourut, la tête fracassée.
Louis Barron, Le nouveau voyage de France (1899)
souce : gallicavotre commentaire
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