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Jupille (1918)(vendu)
Adresse : 150, rue Charlemagne (coin de la rue du Commandant Duchesne) - 4020 Liège (Jupille-sur-Meuse)
Style : Art Nouveau
Panneau : Ecole du Nouveau
Spiritualisme
Vendredi
à 19 heures
pour tous renseignements
04 227 02 27 / 04 233 73 78
Tous les cours sont gratuits
Temple sans photo
Date de consécration (par Mère) : 25 août 1918Temple vendu en 2014 (une maison et une annexe avait déjà été vendues respectivement 2001 et 2006)
Anecdote : En 1934, un seul don anonyme a permis d'agrandir le temple de Jupille. Il a dû être réparé après la Deuxième Guerre mondiale.
En 1930, il y avait une quinzaine d'adeptes costumés fréquentant le temple (Pierre Debouxhtay, p.288)
L'école du Nouveau Spiritualisme a donné jour à la solidarité de groupe. Vu le peu d'intérêt rencontré, la Solidarité de groupe a pris fin et le temple a finalement était vendu. -
Par antoiniste le 31 Mai 2024 à 09:20
Consécration du Temple de Jupille le 25 août 1918
(temple vendu dans les années 2000) (Archives du Temple de Retinne)
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Par antoiniste le 19 Août 2022 à 12:37
Tympan du temple.
La façade porte également la mention ANNO 1918 indiquant la date de sa consécration (25 août 1918)
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Par antoiniste le 14 Janvier 2010 à 00:05
source : cartocit1.wallonie.be
Rue Charlemagne 150, 4020 Jupille-sur-Meuse, Liège
Caractéristiques
Type de bien Bien
Superficie de la parcelle 179m2
Largeur de la parcelle 11m
Profondeur de la parcelle 16m
Surface estimée du jardin 20m2
Coordonnées 50°38'37.5"N 5°37' 36.1"E
Orientation du jardin/arrière maison Nord
Nombre de façades Maison individuelle
Zone inondable Hors zone inondable
https://www.realo.be/fr/rue-charlemagne-150-4020-jupille-sur-meuse/1053614?
Il n'est pas indiqué sur le site ici.be.
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Par antoiniste le 9 Janvier 2010 à 22:00
A Jupille, il y a environ 60 personnes, dont 40 Jupillois, à la réunion du dimanche, vers 1930.
Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, p.288, note 85
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Par antoiniste le 10 Juin 2009 à 19:47
Pierre Debouxhtay nous renseigne qu'une salle de lecture existait à Jupille déjà en juillet 1913 (33 rue Piedbœuf).
Le temple put être construit en 1918.
Une salle de lecture existait encore vers 1920 à Jupille, route de Fléron.
Michel Meeus signale en 1917 des antoinistes à Jupille et Kinkempois (Angleur). Puis p.30 : Un rapport de l'Évêché rédigé en 1919 constate que l'antoinisme augmentait le nombre de ses adeptes, même dans les villages, du doyenné de Liège Saint-Barthélemy et de ses réunions dans celui de Liège Saint-Nicolas, soit à Jupille et à Kinkempois. Ailleurs aucun progrès n'était signalé. Par contre, le doyen de Liège Saint-Barthélemy nota le 22 février 1920 que si les réunions de la rue Hors-Château à Liège étaient toujours aussi suivies, l'antoinisme paraissait en recul dans certains villages où le temple fut fermé, comme à Vottem. Il avait recruté des fidèles dans les deux tiers des paroisses de Liège Saint-Martin, dont Grâce-Berleur, où il attirait les rares chrétiens, malgré les sermons répétés du clergé, et Ans Sainte-Marie, où il semblait reculer. [...]
Si l'antoinisme était toujours répandu dans une grande partie du diocèse de Liège, les progrès alternaient avec des reculs au cours de la dizaine d'années qui précédaient la guerre de 1940-1945. Là où le taux d'adhésion des habitants est connu, il demeura toujours et encore marginal, ne dépassant pas 1,5 % de la population, sauf quelques exceptions, c'est-à-dire Grand-Rechain en 1931 et 1932, Kinkempois en 1938, La Troque et, dans la vallée de l'Ourthe, Chanxhe et Poulseur. Il fut aussi plus élevé à Berloz à partir de 1933, une réussite qui sera cependant éphémère.
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Par antoiniste le 15 Janvier 2009 à 22:59
JUPILLE , commune du canton de Liège-Est ; bornée au N. par Herstal, N.E. par Wandre, E. par Bellaire et la Queue-du-Bois, S.E. par Fléron et Beyne-Heusay, S.O. et O. par Grivegnée, N.O. par Liège.
A 3/4 de 1. de Bellaire, 1 1/4 de Fléron , 1 1/2 de Grivegnée, et 1 E. de Liège.
Ses dépendances sont : les Bruyères, à 1/4 de l. du chef-lieu; le château de Fayenhois, à 3/4 de l.; la Ruelle-des-Juifs, à 1/2 l.; les Pietresses, à 1/2 l.Une partie du terroir est située dans le bassin de la Meuse ; le reste est entrecoupé de collines. Le terrain est argileux, caillouteux, schisteux. L'épaisseur de la couche végétale varie de 10 à 60 centim. On y trouve de la chaux carbonatée dodécaèdre, raccourcie et magnesifère primitive. La Meuse longe le territoire de cette commune au N.; un ruisseau venant de Fléron le traverse dans sa plus grande longueur. De Rickman, dans une satyre qu'il composa vers 1700, parle d'une Fontaine minérale de Jupille, qu'il tourne en ridicule.
La commune compte 320 maisons, la plupart construites en briques ; couvertes en paille et en ardoises ; en partie agglomérées. L'intérieur du village est pavé. On y remarque quelques belles maisons de campagne, et l'ancien château de Jupille, situé à gauche sur la route de Liège. Quoique ce château ne soit pas celui que le séjour de Pépin a illustré, sa construction fait connaître qu'il est ancien. — l'église dédièe à St.-Amand.
L'agriculture et l'exploitation des Usines et des houillères, forment les principales branches d'industrie. On y cultive le froment, le seigle, l'épeautre, l'avoine, l'orge, le trèfle, les fourrages, le houblon. Légumes et fruits. Quelques bois taillis. — 6 moulins à farine mus par eau, 2 fouleries de serges, 2 papeteries, 2 filatures de laine, 1 fabrique de chaudières de machines à vapeur, 1 fabrique de colle-forte en non activité, 1 distillerie. — On y trouve aussi un grand nombre de cloutiers. — Foire : le 28 octobre; celles des 15 avril et 24 juin ne sont plus suivies. Ces foires ont été établies en 1818. — La route de Liège à Aix-la-Chapelle touche le territoire au S. Celle de Jupille à Liège a été construite en 1773, et reconstruite en 1823.
Population : 2124 habitans.
Superficie : 675 h. 87 a. 93 c.
Ci-devant : pays de Liège. Il y avait une haute cour de justice, dont ressortissaient Chênée, Beaufays et Grivegnée.
Histoire : On prétend que Jupille fut une maison de plaisance, ou la demeure ordinaire du fameux Pépin de Herstal, qui y mourut le 16 décembre 714. Foullon et Bouille avancent que le roi Pépin-le-Bref y a tenu sa cour. Il y célébra les Pâques de l'an 700. Plusieurs croient que Charlemagne y a pris naissance.
Le village de Jupille, l'un des plus anciens du pays de Liège, a été aussi un des plus vastes fiefs qui y fussent compris. Il tenait un rang distingué entre les biens de ces braves et fameux ducs d'Austrasie, qui formèrent la seconde race des rois de France. Le partage qui se fit de l'Austrasie, en 870, mit Jupille entre les mains de Louis-le-Germanique, dont les descendans formèrent en Allemagne une branche séparée, qui par son extinction donna lieu à l'établissement d'un empire électif à qui tous ses biens furent adjugés. Jupille suivit le sort commun, et passa d'empereur à empereur jusqu'à Henri II, surnommé le Saint, qui en gratifia l'église de Verdun, qui se maintint dans cette possession jusqu'à l'an 1206, époque où l'église de Liège reçut la terre de Jupille à titre d'emphitéose sous la redevance annuelle de cent marcs liégeois. Le diplôme de cette concession se trouve dans Fisen et dans le Recueil diplomatique de Miré.
On voyait dans le village , les ruines d'une tour, qui passent pour les restes du palais de Pépin ; mais depuis 2 ou 3 ans, ces ruines sont entièrement disparues.
Il y avait aussi à Jupille un couvent de Minimes et un autre de Sépulchrines, qui ont été supprimés par le gouvernement français.
Dictionnaire géographique et statistique de la province de Liège (Henri Joseph Barthélemi Del Vaux) - 1835
source : GoogleBooks
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