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Léon Denis - Vivre pour les autres, tout est là !

Publié le par antoiniste

    [...] Chassez tout découragement, évitez toute défaillance. Élevez vos regards au-dessus de ce monde passager ; appelez à vous les secours divins. Étouffez le moi ; affranchissez-vous de cette affection trop vive que nous avons pour nous-mêmes. Vivre pour les autres, tout est là ! Ayez l'esprit de sacrifice. estes pauvres, plutôt que de vous enrichir par la fraude et la trahison. Restez obscures, plutôt que de trafiquer de vos pouvoirs. Sachez souffrir, en vue du bien et de votre propre progrès. La pauvreté, l'obscurité, la souffrance ont leur beauté, leur charme, leur grandeur ; c'est par elles que se forment lentement, travers les générations silencieuses, des trésors de patience, de force, de vertu. C'est par elles que l'âme se détache des vanités matérielles, s'épure et se sanctifie, devient vaillante à gravir les âpres sommets.
    Dans le domaine de l'esprit, comme dans le monde physique, rien n'est perdu, tout se transforme. Toute douleur, tout sacrifice est un enfantement. La souffrance, c'est l'ouvrière mystérieuse qui travaille à notre élévation. En prêtant l'oreille, vous entendriez presque le bruit de son oeuvre. Souvenez-vous d'une chose : c'est sur le champ de la douleur que se construit l'édifice de nos puissance, de nos vertus, de nos joies à venir !

Léon Denis, Dans l'invisible (p.472-73)
Pratique et dangers de la médiumnité
Librairie des Sciences Psychiques, Paris, 1911

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Léon Denis - trompés, aussi bien par l'Église que par le spiritisme

Publié le par antoiniste

    Si nous devons admettre, avec les théologiens, que Dieu ait permis, en tous temps et en tous lieux, les plus odieuses supercheries, le monde nous apparaîtra comme une immense imposture, et nous n'avons aucune garantie de n'être pas trompés, aussi bien par l'Église que par le spiritisme.

Léon Denis, Dans l'invisible (p.447)
Pratique et dangers de la médiumnité
Librairie des Sciences Psychiques, Paris, 1911

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Léon Denis - un foyer rayonnant de pureté et de lumière

Publié le par antoiniste

    L'amour de la science ne suffit pas, a dit le professeur Falcomer ; il faut encore la science de l'amour. Dans les phénomènes, nous n'avons pas seulement affaire à des éléments physiques, mais à de agents spirituels, à des êtres moraux, qui, comme nous, pensent, aiment, souffrent. Dans les profondeurs invisibles, l'immense hiérarchie des âmes s'étage, des plus obscures jusqu'aux plus radieuses. Il dépend de nous d'attirer les uns et d'écarter les autres.
    Le seul moyen consiste à créer en nous, par nos pensées et nos actes, un foyer rayonnant de pureté et de lumière. Toute communion est une oeuvre de la pensée. Celle-ci est l'essence même de la vie spirituelle ; c'est une force qui vibre avec une intensité croissante, à mesure que l'âme monte, de l'être inférieur à l'esprit pu et de l'esprit pur à Dieu.
    Les vibrations de la pensée se propagent à travers l'espace et attirent à nous des pensées et des vibrations similaires. Si nous comprenions la nature et l'étendue de cette force, nous n'aurions que de hautes et nobles pensées. Mais l'homme s'ignore encore, comme il ignore les ressources immenses des facultés créatrices et fécondes qui sommeillent en lui et à l'aide desquelles il pourrait renouveler le monde.
    Dans notre inconscience et dans notre faiblesse, le plus souvent, nous attirons à nous des êtres mauvais, dont les suggestions nous troublent. C'est ainsi que la communion spirituelle s'altère, s'obscurcit par le fait de notre infériorité ; des fluides empoisonnés se répandent sur la terre, et la lutte du bien et du mal se déroule dans le monde occulte comme dans le monde matériel.

Léon Denis, Dans l'invisible (p.430-31)
Pratique et dangers de la médiumnité
Librairie des Sciences Psychiques, Paris, 1911

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Léon Denis - les pensées sont des forces

Publié le par antoiniste

   Les pensées sont des forces, d'autant plus puissantes qu'elles sont plus pures et plus élevées. La prière, aidée par l'union des volontés, oppose une barrière fluidique infranchissable aux Entités inférieures.

Léon Denis, Dans l'invisible (p.425)
Pratique et dangers de la médiumnité
Librairie des Sciences Psychiques, Paris, 1911

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Malade chez le Père

Publié le par antoiniste

Malade chez le Père

 

Malade chez le PèreMalade chez le Père

Malade chez le Père (colorisé par colourise.sg)

 

 

Malade chez le Père colorisé (Colorized by MyHeritage)

 

(cliquez sur les images pour agrandir)

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Temple de Nice et ses adeptes (Colorized by MyHeritage)

Publié le par antoiniste

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Fraternelles de Valenciennes de l'Institut général de Psychosie

Publié le par antoiniste

    Des Fraternelles de l'Institut général de Psychosie a existé à Valenciennes et alentours :

Fraternelle de Valenciennes de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°8 de Valenciennes (Le Fraterniste, 6 juin 1913)

Fraternelles de Valenciennes de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°64  d'Aulnoy-lez-Valenciennes (Le Fraterniste, 22 août 1913)

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La lecture ''antoiniste'' (La Liberté, 29 juillet 1934)

Publié le par antoiniste

La lecture ''antoiniste'' (La Liberté, 29 juillet 1934)

« TOI QUI VAS TES GUETRES TRAINANT »

La lecture "antoiniste"

    C'est à l'angle des rues des Grands-Augustins et Christine.
    Une pancarte, modeste, apprend aux passants qu'ils peuvent assister, tous les jeudis, à 19 h. 30, gratuitement, à une lecture de l'Enseignement du Père. Tout le monde y est admis. On entre par la rue des Grands-Augustins ; pour les renseignements concernant le culte « antoiniste », c'est à la porte de la rue Christine qu'il faut frapper – porte qui est celle du laboratoire d'un fabricant de produits chimiques.
    La chapelle antoiniste est connue dans le quartier ; tous les gardiens de la paix de l'arrondissement vous l'indiqueront.

*
**

    Vous entrez, presque de plain-pied, dans une salle rectangulaire propre ce comme une salle d'opération, aux murs gris jusqu'à mi-hauteur et blancs dans leur partie supérieure, meublée de quatre bancs et d'une chaire, pareille à celle des instituteurs, recouverte d'un sombre tapis vert. Aux murs, un œil de bœuf et quelques inscriptions encadrées, dont une sur fond bleu : « Le Père, le grand guérisseur de l'humanité pour celui qui a la foi. » Autres inscriptions : « On ne doit pas parler dans la salle », « Pour comprendre l'enseignement du Père, il faut pratiquer les lectures », « Tout adepte qui fait payer sa prière n'est plus d'accord avec la loi divine », « L'enseignement du Père est basé sur l'amour, la foi et le désintéressement. Nous ne sommes divises que par l'intérêt » ; au-dessus de la chaire : « L'arbre de la science de la vue du mal » et, sur un tableau noir, d'autres principes de l'enseignement du Père.
     – Mais, me demandez-vous, de quel Père s'agit-il ? Je vous réponds : « Patience. »
    Cinq personnes attendent, dans la pénombre et le silence, l'heure de la lecture : quatre femmes qui, pour attendre, ne trouvent pas d'autre attitude que celle que l'on a dans les églises avant la messe ; un homme à longue barbe et longue chevelure – c'est, apprendrons-nous, un musulman de grande culture, qui fréquente régulièrement cette salle dont l'atmosphère lui est agréable.
    Les bruits du soir emplissent la rue. A l'intérieur, le silence.
    Sept heures et demie. Le « servant » gagne la chaire. Il a passé, par-dessus son costume de ville, une façon de redingote noire boutonnée jusque sous le menton, qui lui arrive au-dessus du genou et lui donne l'air d'un quaker. Sa femme garde la porte, dans son costume de « servante » : longue robe noire et sur la tête, un de ces petits chapeaux comme en portent encore les vieilles femmes du Nord et que l'on appelle, je crois, des « capelines ».

*
**

    Debout, le menton posé sur ses mains refermées, l'une recouvrant l'autre, le servant se recueille, prie.
    Il lit maintenant, dans la pénombre toujours, et nous notons, mal, au passage, quelques phrases de la lecture du jour : « Je dis que la solidarité est le principe de la création... Nous ne pouvons nous améliorer que par l'épreuve, sans laquelle il n'est pas d'avancement et, pour ce, le contact de nos semblables est indispensable : voilà la solidarité...
    La lecture terminée – elle dure un quart d'heure – tout le monde se retire.

*
**

    – Mais qui est le Père ?...
    C'est le « père Antoine », qui naquit à Mons-Crotteux dans la province de Liége, en 1846, de parents pauvres. Cadet de onze enfants, il accompagne tout jeune son père à la mine. Devenu ouvrier métallurgiste, il voyage en Allemagne et en Pologne... Il professe avec ferveur jusqu'en sa quarante-deuxième année, la religion catholique, s'applique à la pratique du spiritisme, puis, ayant enfin trouvé sa voie, crée en 1906 le Nouveau Spiritualisme. Il guérit ; aussi, ses adeptes l'appellent-ils « le guérisseur ». Il meurt en 1912, laissant une religion nouvelle que l'on enseigne, aujourd'hui, dans des temples. Le culte antoiniste compte trente-deux temples en Belgique, quatorze en France, dont deux à Paris : 34, rue Vergniaud et 49, rue du Pré-Saint-Gervais, – on en construit un à Saint-Etienne.
    L'enseignement du Père Antoine est contenu en deux volumes que l'on ne peut vendre qu'aux personnes éloignées des centres de lecture. Il se résume en dix principes, dont ces quelques phrases vous donneront une idée : « Vous ne pouvez faire la morale à personne. Ce serait prouver que vous ne faites pas bien. Parce qu'elle ne s'enseigne pas par la parole, mais par l'exemple », « Ne dites jamais que vous faites la charité à quelqu'un qui vous semble dans la misère. Ce serait faire entendre que je suis un mauvais père. Si vous agissez envers votre semblable comme un véritable frère, vous ne faites la charité qu'à vous-mêmes », « Tâchez de vous pénétrer que la moindre souffrance est due à votre intelligence, qui veut toujours plus posséder ».
    Ajoutons, avant de quitter la rue des Grands-Augustins, où je m'excuse de vous avoir retenu si longtemps, que le père Antoine a admis et développé la doctrine consolante, autant que chimérique, des incarnations successives.

                                                                     Marius RICHARD.

La Liberté, 29 juillet 1934

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Aider les autres par la pensée, in Catéchisme théosophe (Le Fraterniste, 21 février 1913)

Publié le par antoiniste

Aider les autres par la pensée, in Catéchisme théosophe (Le Fraterniste, 21 février 1913)AIDER LES AUTRES PAR LA PENSEE

1. Pouvons-nous, à travers l'espace, communiquer avec les autres par la pensée ?
    Oui ; c'est un fait d'expérience. Toutefois, dans la télégraphie sans fil, il faut un poste expéditeur et un poste récepteur bien organisés : pour l'un, des pensées très fortes, pour l'autre, une grande réceptivité.
    Toute réelle qu'elle soit, cette communication passe inaperçue pour beaucoup de gens. Deux personnes, par exemple, pensent en même temps à la même chose cela signifie que l'une a transmis à l'autre sa pensée de près ou de loin ; c'est la télépathie.

2. Est-il facile d'influencer les autres par la pensée ?
    Oui, et tout aussi facilement pour le mal que pour le bien. Voici une personne sensitive, qui reçoit et subit des pensées hostiles, très pénibles. Elle perçoit ainsi des formes-pensées visibles pour des clairvoyants. Ces formes ont des couleurs significatives, se terminent par des crochets qui s'accrochent au mental de cette personne pour la faire souffrir. Mais, si celle-ci les repousse par sa volonté ou en s'enfermant dans sa coque astrale, ces formes-pensées, obéissant à la loi de réaction, retournent leur force hostile contre leurs propres auteurs, juste punition infligée par ce que l'on appelle choc en retour.

3. Quels devoirs rigoureux en découlent pour nous ?
   
Jamais, au grand jamais, nous ne devons adresser aux autres de mauvaises pensées. Au contraire, ne fût-ce que par prudence, adressons-leur des pensées d'aide, de protection, de secours, de sincère sympathie, de profonde affection. Gardons-nous, même, de forcer quelqu'un au bien par la pensée ; ce serait abuser d'un tel pouvoir et se créer de graves responsabilités. A l'égard des enfants surtout bornons-nous à persuader, à encourage, à réconforter.

4. Comment devons-nous procéder ?
    Si je veux envoyer des pensées d'aide à mon ami, je dois tout d'abord me le représenter comme s'il était devant moi et lui adresser directement des formes-pensée qui subsisteront d'autant plus longtemps que ma pensée sera plus forte et mon émotion plus intense. Ces formes resteront près de mon ami ; il en subira nécessairement l'influence bienfaisante.
    On peut même, de cette façon, écarter de quelqu'un des dangers physiques. C'est ainsi qu'une mère peut parfois protéger de loin son fils absent.

5. N'existe-t-il pas un moyen très efficace de venir en aide aux autres ?
    Oui, en adressant des prières à des Intelligences supérieures en faveur de personne en vue. Des prières ardentes ne sont pas autre chose que des formes-pensées, dont l'action est toujours efficace.

6. Pouvons-nous aider les défunts ?
    Oui ; par la pensée, nous pouvons aider, secourir les défunts et beaucoup plus facilement même que les vivants, attendu que, dans l'au-delà, ils sont débarrassés du corps physique, si difficile à mettre en vibration. Enfermés dans leur corps astral, les défunts sont très accessibles à toutes les influences qui viennent du monde mental. Une pensée aimante est aussi sensible pour eux que pour vous une caresse ou une parole affectueuse.
    Adressons-leur donc des pensées d'amour, d'encouragement, que ces pensées soient leurs anges-gardiens sur la route du monde céleste. Imitons le chrétien qui prie pour son ami : Accorde-lui, Seigneur, la paix, le repos, la lumière éternelle ».

7. Le pouvoir de la pensée peut-il être renforcé ?
    Il peut être renforcé par l'union de plusieurs personnes. Lorsque, par exemple beaucoup de théosophes s'unissent par pensée pour assurer le maintien de paix, ils contrebalancent les influences mauvaises en faveur de la guerre.
    Le travail de la pensée se trouve suffisamment secondé par l'intensité de la prière en commun. C'est pourquoi les congrégations contemplatives, de quelque religion qu'elles soient, accomplissent une somme considérable de bon et utile travail.

Catéchisme théosophe par A. Le Cler, leçon XXIII (in Le Fraterniste, 21 février 1913)

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Aider les autres par la pensée, in Catéchisme théosophe (Le Fraterniste, 21 février 1913)

Publié le par antoiniste

Aider les autres par la pensée, in Catéchisme théosophe (Le Fraterniste, 21 février 1913)AIDER LES AUTRES PAR LA PENSEE

1. Pouvons-nous, à travers l'espace, communiquer avec les autres par la pensée ?
    Oui ; c'est un fait d'expérience. Toutefois, dans la télégraphie sans fil, il faut un poste expéditeur et un poste récepteur bien organisés : pour l'un, des pensées très fortes, pour l'autre, une grande réceptivité.
    Toute réelle qu'elle soit, cette communication passe inaperçue pour beaucoup de gens. Deux personnes, par exemple, pensent en même temps à la même chose cela signifie que l'une a transmis à l'autre sa pensée de près ou de loin ; c'est la télépathie.

2. Est-il facile d'influencer les autres par la pensée ?
    Oui, et tout aussi facilement pour le mal que pour le bien. Voici une personne sensitive, qui reçoit et subit des pensées hostiles, très pénibles. Elle perçoit ainsi des formes-pensées visibles pour des clairvoyants. Ces formes ont des couleurs significatives, se terminent par des crochets qui s'accrochent au mental de cette personne pour la faire souffrir. Mais, si celle-ci les repousse par sa volonté ou en s'enfermant dans sa coque astrale, ces formes-pensées, obéissant à la loi de réaction, retournent leur force hostile contre leurs propres auteurs, juste punition infligée par ce que l'on appelle choc en retour.

3. Quels devoirs rigoureux en découlent pour nous ?
   
Jamais, au grand jamais, nous ne devons adresser aux autres de mauvaises pensées. Au contraire, ne fût-ce que par prudence, adressons-leur des pensées d'aide, de protection, de secours, de sincère sympathie, de profonde affection. Gardons-nous, même, de forcer quelqu'un au bien par la pensée ; ce serait abuser d'un tel pouvoir et se créer de graves responsabilités. A l'égard des enfants surtout bornons-nous à persuader, à encourage, à réconforter.

4. Comment devons-nous procéder ?
    Si je veux envoyer des pensées d'aide à mon ami, je dois tout d'abord me le représenter comme s'il était devant moi et lui adresser directement des formes-pensée qui subsisteront d'autant plus longtemps que ma pensée sera plus forte et mon émotion plus intense. Ces formes resteront près de mon ami ; il en subira nécessairement l'influence bienfaisante.
    On peut même, de cette façon, écarter de quelqu'un des dangers physiques. C'est ainsi qu'une mère peut parfois protéger de loin son fils absent.

5. N'existe-t-il pas un moyen très efficace de venir en aide aux autres ?
    Oui, en adressant des prières à des Intelligences supérieures en faveur de personne en vue. Des prières ardentes ne sont pas autre chose que des formes-pensées, dont l'action est toujours efficace.

6. Pouvons-nous aider les défunts ?
    Oui ; par la pensée, nous pouvons aider, secourir les défunts et beaucoup plus facilement même que les vivants, attendu que, dans l'au-delà, ils sont débarrassés du corps physique, si difficile à mettre en vibration. Enfermés dans leur corps astral, les défunts sont très accessibles à toutes les influences qui viennent du monde mental. Une pensée aimante est aussi sensible pour eux que pour vous une caresse ou une parole affectueuse.
    Adressons-leur donc des pensées d'amour, d'encouragement, que ces pensées soient leurs anges-gardiens sur la route du monde céleste. Imitons le chrétien qui prie pour son ami : Accorde-lui, Seigneur, la paix, le repos, la lumière éternelle ».

7. Le pouvoir de la pensée peut-il être renforcé ?
    Il peut être renforcé par l'union de plusieurs personnes. Lorsque, par exemple beaucoup de théosophes s'unissent par pensée pour assurer le maintien de paix, ils contrebalancent les influences mauvaises en faveur de la guerre.
    Le travail de la pensée se trouve suffisamment secondé par l'intensité de la prière en commun. C'est pourquoi les congrégations contemplatives, de quelque religion qu'elles soient, accomplissent une somme considérable de bon et utile travail.

Catéchisme théosophe par A. Le Cler, leçon XXIII (in Le Fraterniste, 21 février 1913)

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