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Jemeppe - Temple Antoiniste (écrite par Mme Heimgartner)

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Jemeppe - Temple Antoiniste (écrite par Mme Heimgartner)

Une salle de lecture à Villeneuve-sur-Lot était tenu par Yolande Heimgartner
peut-être s'agit-il de la même personne

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La Foi comparée avec la croyance (petit fascicule Antoine le Guérisseur)

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La Foi comparée avec la croyance (petit fascicule Antoine le Guérisseur)

Extrait de la Révélation d'Antoine le Guérisseur,

LA FOI comparée avec la croyance

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Dieu ne nous a pas donné la croyance (petit fascicule Antoine le Guérisseur)

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Dieu ne nous a pas donné la croyance (petit fascicule Antoine le Guérisseur)

Dieu nous a donné la croyance (petit fascicule Antoine le Guérisseur)

    Dieu ne nous a pas donné la croyance pour nous guider, mais bien la conscience qui seule doit nous diriger et qui devient plus sensible au fur et à mesure que nous nous améliorons.

(petit fascicule Antoine le Guérisseur, La Foi comparée avec la croyance)

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BORDEAUX - Culte Antoiniste - Tympan du temple

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BORDEAUX - Culte Antoiniste

1964 - Culte Antoiniste
Tympan du Temple de Bordeaux avec sa date de consécration

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Nécrologie, Louis Antoine fils (Le Messager, Liège, 1er Mai 1893)(iapsop.com)

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Nécrologie, Louis Antoine fils (Le Messager, Liège, 1er Mai 1893)(iapsop.com)

Nécrologie du fils de Louis et Catherine Antoine

    Une famille spirite très dévouée de Jemeppe-sur-Meuse, vient d'être éprouvée cruellement par la mort de M. Louis Antoine, employé au chemin de fer du Nord, décédé le 23 avril 1893 à l'âge de 20 ans.
    L'Union Spirite, de Seraing, a procédé aux funérailles civiles le surlendemain à 5 heures du soir. Elles ont été imposantes dans leur simplicité.
    A la levée du corps, le cercueil fut recouvert d'un beau drap mortuaire appartenant à la Société Spirite. Un discours d'une émotion communicative, que nous reproduisons plus loin, fut prononcé par M. Houart et la prière des morts dite par M. Engel. Précédé du magnifique drapeau de l'Union, un long cortège composé de parents, d'amis et de spirites, s'est dirigé vers le cimetière où deux discours ont aussi été prononcés : l’un par M. Engel, l'autre par M. Gony, tous deux écoutés avec l'attention et le recueillement le plus religieux.
    La populeuse et intelligente commune de Jemeppe, qui compte près de 10.000 habitants, sait toujours rendre hommage à ses enfants, aux esprits éclairés surtout que n'aveuglent plus les préjugés d'antan. Beaucoup de personnes y connaissent, du reste, la sublime et consolante philosophie spirite qui réhabilite devant l'Esprit humain l'Être Suprême défiguré par les religions intéressées. Qu'il nous soit permis de constater, une fois de plus, combien l'esprit de tolérance s'affirme en ces milieux livrés jadis aux influences d'un clergé fanatique et ignorant. Voici le discours prononcé par M. Houart :

                              Mesdames, messieurs,
    Au nom des amis de M. Louis Antoine, je remplis le pénible devoir de dire ici quelques mots d'adieu au jeune homme qui descend si prématurément dans la tombe.
    Je dis : devoir pénible, parce que, père de famille également éprouvé dans mes affections par la mort d'êtres chéris, j'apprécie mieux toute la portée du malheur qui accable en ce moment la famille Antoine.
    Ah ! je renonce à sonder la profondeur de son légitime chagrin, car l'étendue de sa peine est d'autant plus grande qu'elle ne possédait que cet enfant, ce fils si justement aimé, si bien doué des qualités du cœur et de l'intelligence.
    Pauvre ami Louis qui disparaît au printemps de la vie à l'âge des rêves dorés où tout dans la nature sourit aux aspirations intimes de l'âme comblée d'espérance !
    Il a lutté pourtant, il voulait vivre. Miné depuis trois ans par la terrible maladie qui l'a emporté, il a souffert courageusement sans trop se plaindre, combattant les progrès du mal avec une constance admirable, une force de volonté telle qu'il se faisait allusion sur sa situation.
    Mais à bout de force, il avait atteint il y a quelques jours ce degré de faiblesse qui ne supporte plus la lutte et c'est à ce moment suprême qu'il comprit qu'il était irrémédiablement perdu. Appelant près de lui son brave et digne père, il l'embrassa une dernière fois, le serrant de ses bras mourants sur sa poitrine expirante.
    Malheureux père ! votre douleur est immense, nous la comprenons.....
    Et vous, infortunée mère, votre affliction est-elle moins profonde, votre chagrin moins cuisant ? Non, certes ! le cœur d'une mère est infini et quand il est atteint dans ce qu'il y a de plus cher au monde, de quel déchirement ne subit-il pas l'étreinte douloureuse ! Vous voilà seule maintenant, seule avec le souvenir de l'absent, de l'objet de votre tendresse, vous voilà privée de la vue de l'être aimé, de sa compagnie assidue et agréable. Vous seriez à plaindre davantage s'il ne vous restait une grande et précieuse consolation, celle de savoir que l'Esprit de votre fils est là, dégagé de ses liens terrestres et qu'il pourra bientôt venir vous confirmer les nobles et précieux enseignements d'outre-tombe dont il aimait à s'entretenir.
    Résignez-vous aux décrets divins, parents désolés : puisez dans les témoignages de sympathie et d'estime que cet évènement pénible vous procure, la force nécessaire pour supporter courageusement l'épreuve qui vous afflige en ce moment.
    A toi, jeune ami Louis, je dis au nom de ta famille éplorée, au nom de tes amis et de l'assistance si nombreuse qui nous entoure : adieu et au revoir dans un monde meilleur.

Le Messager, Liège, 1er Mai 1893 (source : iapsop.com)

    Louis Martin Joseph, dit Martin, est né le 23 septembre 1873 et décédé le 23 avril 1893, à même pas 20 ans, donc.

    Octave Houart était membre des Vignerons du Seigneur d’après Robert Vivier. Mais il était également membre de l’Union spirite de Seraing. Il participa aux Congrès spiritualistes de Liège en 1875 et en 1905, et en fut président du comité du Congrès National de 1920.
    On sait que François Tinlot, architectes de plusieurs temples antoinistes, est également l’auteur de la Manufacture de caoutchouc Octave Houart, à Sclessin (14, Quai de l'Industrie, mtn quai François Timmermans).

    Pierre Engel fera le discours funèbre pour le père du Frère Delcroix.

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Mort à Seraing de M. Delcroix (La Wallonie, 13 février 1926)(Belgicapress)

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Mort à Seraing de M. Delcroix (La Wallonie, 13 février 1926)(Belgicapress)

Mort, à Seraing, de M. Delcroix

    Nous venons d'apprendre, avec un vil regret, la mort de M. Fernand Delcroix, professeur à l'Athénée royal de Liége, après une longue et pénible maladie.
    M. Fernand Delcroix était un excellent professeur de latin, de grec et de français, qui considérait sa tâche comme un véritable apostolat.
    Il fut parmi les premiers, les plus dévoué, et les plus convaincus zélateurs de l'Antoinisme. A la mort du Père Antoine, il remplit les fonctions de secrétaire général du Conseil d'administration du culte antoiniste, et c'est grâce à ses multiples démarches que fut votée la loi accordant la personnification civile aux associations sans but lucratif, dont devait tirer parti le culte antoiniste pour éviter les droits de succession sur la propriété des temples.
    M. Delcroix coopéra largement à la campagne entreprise par les représentants du culte antoiniste pour faire reconnaître officiellement la religion nouvelle, qui écarte systématiquement toute idée de fonctionnariat religieux et de rémunération.
    Pour M. Delcroix, tout se rapportait à cette simple et unique conception : l'amour du prochain. On peut dire qu'il l'a appliquée avec le plus absolu désintéressement.
    Aussi, tenons-nous à lui rendre ce suprême hommage. M. Delcroix était un homme bon, généreux, cordial. Il emporte avec lui les sympathies et les regrets de tous.

                                         *  *  *
    L'enterrement de M. Delcroix aura lieu, selon le rite antoiniste, dimanche prochain, à 2 heures de relevée.
    Réunion à la maison mortuaire, rue du Chêne, 73, à Seraing, à 1 h. 3/4.

La Wallonie, 13 février 1926 (source : Belgicapress)

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Édouard Saby, Fin et Résurrection d'un monde (1948), p.128

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Édouard Saby, Fin et Résurrection d'un monde (1948)-p.128 (Auréole de la conscience)

La Foi.
    Un seul remède peut guérir l'Humanité, LA FOI ; mais il n'est de foi inébranlable que celle qui peut regarder la raison face à face.
    Douter de tout ou tout croire sont deux solutions extrêmes qui dispensent de réfléchir : une foi aveugle est aussi pernicieuse qu'un scepticisme exagéré.
    Comme les certitudes inébranlables n'habitent que des intelligences profondes et des coeurs fortement trempés, exerce ton intelligence, mais cultive aussi ton caractère.
    Sache, enfin, qu'il est des cas où, même obscure, la Foi est un guide plus sûr que la raison la plus éclairée ! Ne vous arrive-t-il pas de marcher vers la lumière qui se cache, guidés par sa chaleur plus proche ? C'est ainsi que la Foi, pour être féconde, n'a pas besoin de se formuler : il lui suffit d'être sentie.

Édouard Saby, Fin et Résurrection d'un monde (1948), p.128

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L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif)

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L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif)

    Une phrase a commencé à être récursive sur la page de couverture des Unitifs : L'expérience, seule, peut raisonner toute chose. Cependant, il semble que plusieurs versions en a existé. En voici quelques-unes :

L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif)

L'expérience, seule, a le droit de parler (Unitif, 1911)

L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif)

L'expérience, seule, a le droit de raisonner les choses (Unitif, 1911)

L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif)

L'expérience, seule, peut raisonner toute chose (Unitif, 1914)

    Parfois, les Unitifs ont aussi porté une autre phrase : Le travail donne les connaissances et l’épreuve le savoir. On la retrouve sur d'autres publications, comme des Fragments de la Révélation ou le Journal d'informations morales.

    Parfois, on retrouve, comme pour les nouveaux exemplaires de la Révélation, seulement la phrase inspirée par Mère : L'Enseignement du Père, c'est l'Enseignement du Christ révélé à cette époque par la foi, phrase qui figure maintenant dans les Temples avec photos.

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Les fluides (Le Fraterniste, 4 avril 1912)

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Les fluides (Le Fraterniste, 4 avril 1912)

 

 

PSYCHOSE

    Nous engloutissons une atmosphère mentale, INVISIBLE, par nos deux hémisphères cérébraux ;
    Comme nous engloutissons une atmosphère aérienne, INVISIBLE, par nos deux sacs pulmonaires.
    La première de ces atmosphères se nomme Dieu.
    La seconde se nomme Air.
    L’une n'est pas davantage visible que l'autre.... Nous voudrions bien que l'on médite sur ce fait....

Le Fraterniste, 4 avril 1912

 

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Les Principes du Père Dor

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Les Principes du Père Dor    Les Principes du Père Dor

    Aux pages 184 à 186 du livre Christ parle à nouveau du Père Dor, neveu (et plagiaire) du Père Antoine, on retrouve une liste de pas moins de 30 principes. En les lisant, on s’aperçoit à quel point le neveu s’est inspiré de l’antoinisme et comme, l’indique Régis Dericquebourg, et surtout « plus moralisatrice ». (p.32)    

1.

Ne croyez plus en Dieu comme vous le comprenez
Car ce n’est guère ainsi que je l’ai révélé.

2.

Il n’est ni un esprit, ni un être à prier
Comme vous le faites sans cesse croyant être exaucés.

3.

Non ce n’est pas ainsi qu’il faut l’interpréter
Et non plus de cette façon que vous devez l’aimer.   

4.

Dieu est au cœur de l’homme, et vous le sentirez
Quand vous pratiquerez ce que j’ai enseigné.

5.

D’aimer vos ennemis et de bien pardonner
A ceux qui vous causent des peines et des contrariétés,

6.

Si je parle à nouveau, c’est pour vous exhorter
A changer d’un chemin qui peut vous égarer.

7.

Car Dieu vous ne priez que pour lui demander
Tous les biens de la terre, la fortune, la santé.

8.

Tout cela non pas pour faire la charité
Et encore moins pour vous améliorer.

9.

Mais seulement pour vous amuser
Dans vos vices, vos passions dites de bestialité.

10.

Or de cette façon, vous vous écartez
Du chemin du bonheur que tous vous cherchez.

11.

Hommes quand vous comprendrez Dieu, vous serez étonnés
Que vous avez perdu du temps pour vous en rapprocher.

12.

Souvenez-vous que j’ai prêché
suffisait pas de m’aimer si vos cœurs restaient fermés

13.

Aux douleurs de vos frères et être sans charité
Envers leurs fautes, en ce qu’ils peuvent manquer.

14.

Par ces actes vous ne faites que vous isoler
De Dieu auquel vous êtes loin de penser.

15.

Car Dieu n’est qu’un mot qui veut dire charité
Et seul l’amour du bien peut vous en rapprocher.

16.

De ce fait vous devez bien vous pénétrer
Qu’il ne peut avoir créé :

17.

Ni vous, ni rien de tout ce qui peut exister
Ni le ciel, ni la terre, ni tout ce que vous pouvez penser.

18.

Quand votre nature vous connaîtrez
Vous direz en vous mêmes : Merci Christ, vous m’avez éclairé

19.

Sur des choses qui sont de pure vérité
Et très simples cependant à pouvoir juger.

20.

Pour en arriver-là, une minute ne perdez
Pour surmonter vos vices par votre volonté.

21.

Si je dis par votre volonté, c’est pour ne plus vous attarder
A simplement me prier, croyant être pardonnés.

22.

Non, vous vous y prenez mal, quand vous pouvez supposer
Que par des mots répétés, au ciel vous pourriez monter.

23.

Je vous le dis en vérité : au bonheur vous n’atteindrez
Qu’en pratiquant la loi d’amour et de charité.

24.

Loi d’amour qui vous dit d’aimer
Tous vos frères en humanité.

25.

Et toujours se tenir prêt à pouvoir les aider
Même le plus vil, le plus criminel, le plus arriéré.

26.

J’ai dit assez pour le présent, je vous laisse à penser
Et à réfléchir sur vos actions pour ne plus succomber.

27.

Car on est plus responsable quand on est éclairé
Sur un chemin à suivre, et qu’on marche à côté.

28.

Si par des mots simples je me suis exprimé,
C’est pour que tous vous les compreniez.

29.

Afin que la morale qui en découle puisse s’expliquer,
Pour en comprendre la valeur, et puis la pratiquer.

30.

Alors, mes frères, hourra ! vous crierez
Car vous pourrez vivre dans le monde des esprits dématérialisés.

    A vous tous, mes enfants, à vous mettre à l’œuvre pour comprendre cette instruction.
    A vous tous de vous détacher du fluide crédule pour ne plus vous attacher qu’à la question morale qui vous prouve qu’un seul bien est à acquérir pour sortir de la douleur. Et ce bien, quel est-il ? C’est :

L’Amour de soi-même !

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