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Edvard Munch - Le Baiser (1897)

Publié le par antoiniste

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Légende urbaine : Bielefeld n'existerait pas ?!

Publié le par antoiniste

    L'anecdote suivante souligne le manque de notoriété, ou pour certains, le manque d'intérêt de la ville : des étudiants de l'université de Kiel ont commencé à soupçonner en 1994 que la ville de Bielefeld n'existait pas. En effet, elle ne faisait pas beaucoup parler d'elle et ils étaient persuadés que pour diverses raisons, une grande conspiration avait été organisée pour faire croire à l'existence de la ville, en particulier la création d'un site web factice de la municipalité, et le recrutement d'acteurs pour constituer une équipe de football...

Liens externes
    * Le premier post à ce sujet dans un newsgroup Google (en allemand)
    * Un article détaillé sur le sujet (en anglais)
    * L'article wikipedia en anglais

    On prétend aussi sur internet que la Belgique n'existe pas... (cf. l'article en anglais : http://zapatopi.net/belgium/)

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René Magritte - Empire des lumières

Publié le par antoiniste

Reflète tout à fait le non-sens, expression qui se dit en yiddish a nakhtiger tog (un jour nocturne).

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Marcel Moreau - Je me souviens d'immolations grossières

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Marcel Moreau - Monstre

Je me souviens d'immolations grossières

    "Ma sensibilité à l'état brut, aidés de noires énergies mystiques, moins promptes à parler de l'éternel qu'à éterniser le Verbe, c'est par elle que je fis œuvre inactuelle, en ce monde si français, du divorcé d'avec lui-même. Oeuvre rythmée de magies, de fascination, de transes, de remous biologiques aussi ardents que la foi des anciens, créatrice d'une seule idole en ses métamorphoses : l'écriture comme un défi aux idoles d'aujourd'hui, tout ce que vous aimez, gens sans âme, excréments du passé et déjà de l'avenir."

source : http://membres.lycos.fr/arachnid/monstre.html

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Nous voyons tous le monde différemment - Fille ou Garçon

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Quintilien - les préceptes et l'expérience

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Presque en toutes choses,
les préceptes valent moins que l’expérience.

Quintilien

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William Penn - et toutes cérémonies extérieures finirent en lui et par lui qui était la réalité même

Publié le par antoiniste

    Il se montre alors de plus près qu'autrefois, car suivant sa promesse il écrira sa loi dans notre coeur, et nous donnera sa crainte et son esprit au dedans de nous. Dès lors les signes, les images et les emblêmes disparurent ; la lumière qui commençait à lui, ayant fait voir leur peu d'efficacité à purifier la conscience, puisqu'ils ne pouvaient atteindre à l'intérieur du vase, et toutes cérémonies extérieures finirent en lui et par lui qui était la réalité même.

William Penn, Histoire abrégée de l'origine et de la formation de la société dite des Quakers (1839), p.7
source : Google Books

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Octave Mirbeau - Maladies infantiles

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    La première [lettre] me vient d’une femme qui, si j’en juge par les sentiments qu’elle exprime, est un grand coeur. Elle administre une des crèches municipales de Paris, « non par vanité, dit-elle, non pour voir mon nom imprimé dans les rapports et les journaux, non par désoeuvrement, comme tant d’autres, mais poussée par le très grand amour que j’ai pour les petits, et par les soucis de mes devoirs de solidarité humaine » – car elle croit à la solidarité humaine, cette rêveuse !... Dans la mission difficile qu’elle a acceptée, elle fait ce qu’elle peut, tout ce qu’elle peut, plus qu’elle ne peut. Et, bien que les ressources dont elle dispose soient très maigres, bien qu’elle se trouve, sans cesse, arrêtée par des règlements barbares autant qu’idiots, contre lesquels se brisent souvent son intelligence et son énergie, elle s’en tire à peu près... Grâce à des soins persistants, à une surveillance de toutes les minutes, à une ingéniosité, une initiative, qui savent quelquefois suppléer aux étranges lacunes du règlement, et tourner les obstacles administratifs, les petits s’élèvent, grandissent. On va peut-être les sauver... Eh bien, non !... Toute cette bonne volonté, tout ce mal, toute cette abnégation tout ce génie de la tendresse et de l’amour deviennent inutiles devant une épidémie de rougeole, par exemple. Et Paris voit revenir cette épidémie, périodiquement, dans le premier trimestre de chaque année. Or ce n’est pas de l’épidémie qu’ils meurent, les pauvres enfants, mais de quelque chose de bien plus mortel que les plus mortelles maladies du règlement !
    Chaque semaine, M. Bertillon, statisticien précis et illusoire, nous apprend le nombre des décès causés par le fièvre typhoïde, la tuberculose, la scarlatine, la diphtérie, la rougeole, la variole etc. De l’administration qui dépeuple et du règlement qui tue, il ne nous dit jamais un mot... Et pourtant, il n’est pas de choléra, de peste, de fièvre infectieuse, qui fassent autant de victimes, surtout parmi les tout jeunes. Aussitôt que l’épidémie de rougeole, avec une régularité en quelque sorte mathématique, se produit à Paris, ordre est donné de fermer les crèches, soi-disant pour préserver les enfants d’une contagion immédiate. Les mères sont invitées à aller chercher leurs enfants et à les conduire à l’hôpital. Car la société est admirable : elle a de tout, des crèches, des asiles, des hôpitaux... Mais, à l’hôpital, le nombre de lits est toujours insuffisant, et puis un enfant, guéri d’une maladie, risque d’en attraper une autre. Au bout de huit à dix jours, vite, on le renvoie, alors que trois semaines de soins attentifs et de surveillance sévère seraient indispensable pour assurer une guérison complète, et surtout pour éviter les rechutes, qui sont presque toujours mortelles... On le renvoie donc. Où peut-il aller ? La crèche est fermée. Force est bien à la mère de ramener le petit de l’hôpital chez elle... Et comme elle doit travailler pour vivre – car le plus souvent le père manque, ou il boit – elle donne son enfant en garde, soit à la concierge, soit à une voisine; ou bien elle le laisse aux soins capricieux d’un enfant plus âgé. Alors le pauvre petit être, mal couvert, mal nourri, exposé aux courants d’air d’une chambre mal close et sans feu, succombe en quelques jours aux inévitables atteintes de la pneumonie. C’est ainsi qu’en 1899, sur trente-deux enfants, cette crèche dont je parle et qui, par exception, est une crèche admirablement tenue, n’en a vu revenir que quinze à la réouverture. Dix-sept étaient morts !...

 

Extrait d’un article d’Octave Mirbeau,
dans Le Journal, du 2 décembre 1900
(source : www.scribd.com)

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Rudolf Steiner - Je pense, donc je suis

Publié le par antoiniste

    Je pense, donc je suis. Toutes les autres choses que la pensée, tout le reste de l'univers, existent sans moi et je ne puis savoir si leur existence est réalité, illusion ou rêve. Mais je sais qu'une chose est certaine parce que je lui donne moi-même une existence certaine : ma pensée.

Rudolf Steiner, La Philosophie de la liberté, 1918 (p.48-49)
source : Gallica

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Apollo 8 - Earthrise (Levée de terre)

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source : wikipedia

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