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Le prophète

Publié le par antoiniste

    La manière de décrire les prophètes ainsi que les différents termes employés par la Bible à leur sujet insistent sur leur rôle socio-religieux et  sont souvent semblables, ce qui permet au lecteur de reconnaître la nature exacte du personnage. Le terme "prophète" est la traduction du mot hébreu nâbî, qui signifie sans doute orateur ou porte-parole.
    La vocation première du prophète n'est donc pas d'être un devin prédisant l'avenir - bien qu'il en ait certainement le pouvoir -, mais plutôt le héraut de Dieu, comme l'indique le préambule particulier : "Ainsi parle Yahvé".
    La fonction essentielle du prohète biblque est d'aider la nation à conserver une juste relation avec la divinité et, par se sparoles et se sactes, de cimenter cette relation.
    Le verbe dérivé de nâbî signifie "agir en prophète" et s'applique souvent en comportement incontrôlé appelé "extase". L'emprise de l'"esprit" de Dieu ou l'imposition de sa "main" sont toujours à l'origine de la prophétie. Le prophète ressent la compulsion d'énoncer le message divin, parfois même contre son gré. Un tel comportement n'est pas réservé aux prophètes de Yahvé : au XIe siècle avant J.C., l'histoire égyptienne d'Ounamon relate comment, dans la cité phénicienne de Byblos, un jeune homme est saisi d'une transe prophétique pendant une cérémonie rituelle afin de délivrer un message émanant de la divinité.

    Également appelé "voyant" ou "visionnaire", le prophète a le don de double vue et peut interpréter des présages à partir de phénomènes naturels. Une autre dénomination fréquente est "homme de Dieu", car il est toujours en contact avec l'univers spirituel. Selon la tradition juive, le prophète peut siéger à l'assemblée des conseillers divins qui entourent Yahvé et devenir son "messager". Aussi, lorsqu'il rend un oracle, commence-t-il fréquemment par la formule consacrée qu'emploie l'émissaire parlant au nom d'un supérieur.

    Le prophète biblique émerge dans des contextes sociaux différents. Il peut être attaché à un lieu particulier - un sanctuaire -, comme Samuel à Rama. Il peut également faire partie d'une confrérie de prophètes parcourant le pays d'un lieu saint à l'autre, comme ce fut le cas aux premiers temps de la monarchie.

Histoire Universelle - J.R. Porter, La Bible
VI Les Prophètes - Le Rôle du prophète, p.94
Evergreen Taschen, Cologne, 2007

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Etablissement d'un groupe à Liège

Publié le par antoiniste

NOUS DEVONS TOUJOURS
RESPECTER NOTRE
NATUREL

    Mon Père, je suis un peu contrariée depuis quelque temps, peut-être ne suis-je pas arrivée à saisir le vrai sens de l'Enseignement, je dois le croire puisque en analysant la manière d'agir de certains adeptes, je vois le mal en eux alors que Vous enseignez qu'il n'existe pas ! J'ai même été très étonnée certain dimanche que j'assistais à la lecture, car après la réunion une dame s'est levée et a lu une explication dictée par Vous relativement à une question qui m'avait paru bien grave lorsqu'on m'en avait parlé ; on disait, et avec raison me semblait-il, que certains adeptes agissaient tout à fait contrairement à votre Enseignement et cette dame a lu qu'ils faisait le bien, que ceux-là seuls en souffriraient qui y verraient le mal. Je croyais que cette chose allait se terminer ainsi et j'y applaudissais intérieurement. Mais je me trompais, car ce n'était pas tout et il me semble aujourd'hui qu'au lieu de ramener les brebis au bercail en disant qu'elles ont fait le bien, on les a égarées davantage puisque, depuis dimanche dernier, elles sont établi un groupe à Liège. Jusque là, rien de répréhensible, direz-Vous, mais ce qui démontre qu'elles ne sont pas réunies dans une pensée qui découle de l'Enseignement et en même temps de la Vérité, c'est qu'elles font leur réunion à la même heure qu'ici, c'est-à-dire à dix heures. Père, comment concilier l'Enseignement avec la manière de faire de ces personnes ? Je crois bien difficile de démontrer qu'il y a là un bien vu qu'elles ne font que tenter les adeptes à se diviser et que Vous nous avez révélé l'Unité de l'ensemble.
    Père, je Vous serais bien reconnaissante de m'éclairer et je crois que Vous éclaireriez aussi beaucoup de vis adeptes qui peuvent comme moi s'arrêter à ce point et l'interpréter mal.

    Le Père. - Lorsque nos intentions sont de travailler à notre progrès et que nous faisons effort pour surmonter la vue du mal, ne nous trompons-nous pas encore en ne voulant plus viser en tout que le bien ? Car celui qui a la vue du mal, puisqu'ils sont corrélatifs, l'un ne peut exister sans l'autre. C'est en agissant naturellement, avec la seule intention de nous améliorer, que nous parviendrons à surmonter cette vue ; l'idée de nous désintéresser suffit pour arriver à notre but. J'ai révélé que nous sommes dupés par notre intelligence qui nous montre le bien dans le mal et le mal dans le bien, qu'elle est la vue de notre imperfection. Dans celle-ci tout nous apparaît contrairement à sa réalité, notre intelligence qui n'est sensible qu'à la matière nous fait effectuer nos actes en vue du bien qui la satisfait. Si nou¨s étions plus avancés moralement, nous comprendrions l'erreur que nous commettons souvent en agissant par son intermédiaire ; le temps se charge par notre progrès de nous faire tout apprécier en réalité. Mais le monde est encore loin de comprendre cette réalité, voilà pourquoi nous disons que sans épreuve il n'est point d'avancement. C'est par l'épreuve qu'il doit arriver à surmonter cette fausse vue de l'intelligence. Dans l'incarnation où nous nous sommes plongés, nous ne nous basons que sur nos sens, ignorant que ce sont eux qui nous égarent puisqu'ils ne sont que les attributs de notre intelligence. N'avons-nous pas révélé que celle-ci est opposée à la conscience, qu'elle n'est que le siège de notre imperfection ? Nous nous la sommes développée parce que nous avons cru qu'elle nous maintenait sur le chemin de la vérité, aujourd'hui que nous sommes mieux à même d'apprécier le but de la vie, nous devons nous rendre compte de la réalité de toutes choses. Quiconque cherche à résoudre le problème de l'existence, s'il désire savoir où il va, doit chercher d'où il vient, il doit connaître de quelle façon nous nous sommes incarnés : toute solution est là. Quand nous comprendrons que notre intelligence ne nous sert que pour nous diriger matériellement, autrement dit dans l'imperfection, nous saurons aussi que ce n'est pas elle qui pourrait nous en extraire, que si elle nous y plonge, nous devons arriver à la surmonter pour atteindre au vrai bonheur. Mais aussi longtemps que nous nous ignorerons, nous ne ferons qu'obéir à cette faculté et à l'amour qui en résulte. Voilà où nous faisons erreur, nous confondons l'amour divin avec le nôtre, auquel il est incompatible, c'est pourquoi je répète souvent que nous devons apprendre à nous connaître, et nous ne le pourrions qu'en agissant naturellement.
    Mais si nous faisons le bien tel que notre amour nous le montre nous serons toujours opposés à celui de Dieu. J'ai enseigné que pour réaliser une chose nous devons remonter à sa cause, en procédant ainsi nous saurons si ce bien que nous commande notre amour est réel ou faux. S'il est imparfait, sa vue ne peut l'être moins, car ce n'est qu'elle qui nous fait repousser le véritable. La raison en est bien simple : n'ai-je pas dit que notre imperfection ne sait le supporter?  Elle ne nous permet pas d'y obéir puisqu'elle en est l'opposé.
    Je m'aperçois que je vous entretiens de chose que vous savez car je les ai déjà enseignées et maintes fois répétées. Si pour tout ce qui arrive je vous renvoie à l'Enseignement, c'est que toute explication s'y trouve. Mais on peut se tromper en l'interprétant. Vous ai-je jamais enseigné que vous devez faire le bien ? au contraire, je suis allé jusqu'à vous dire de faire le mal et que vous deviez chercher plutôt à ne plus aimer. Mon Enseignement n'étant pas plus basé sur le bien que sur le mal, puisque l'un n'est pas plus réel que l'autre, je crois qu'on aurait tort de se plaindre à moi et de dire que certains adeptes agissent contrairement à ce qu'il proclame. Ne visons-nous pas ces personnes avec la vue du mal ? Vous oubliez sans doute que j'ai enseigné que nous devons toujours agir naturellement, voilà de quel façon vous devez me comprendre quand je vous dis : faites le mal alors que je démontre qu'il n'existe pas. Si nous interprétons les choses erronément par notre fausse vue, ce mal que nous voyons dans certains adeptes n'est-il pas le bien véritable ? mais si nous nous basons sur celui que nous montre notre amour imparfait, nous verrons tout contrairement. N'ai-je pas révélé que par notre intelligence nous prenons les défauts des autres pour des réalités et leurs qualités pour des défauts ? Tâchons de nous pénétrer de l'Enseignement, nous ne verrons plus le bien quand nous ne verrons plus le mal, parce que sachant que nous devons agir par notre naturel, nous comprendrons qu'un autre doit le faire également, ainsi il ne nous trompera pas et il ne permettra pas davantage que nous le trompions nous-mêmes. Mais si nous exigeons qu'il effectue ses actes de façon à nous satisfaire, par le moi apparent, ne serons-nous pas dupé ? n'est-ce pas là qu'il nous tromperait en voulant montrer ce qu'il n'est pas ? Ne devrions-nous pas être autant réjouis des actes de ces personnes qu'ils ne peuvent nous susciter le moindre doute puisqu'elles se basent sur le naturel ? ne devrions-nous pas craindre plutôt de les voir agir autrement ? Votre question fait supposer que nous ignorez l'Enseignement que vous voulez proclamer, car vous l'interprétez bien contrairement. N'ai-je pas dit dans la lecture que cette dame a faite au temple : n'en souffrira que celui qui y verra le mal ? Mais si vous ne vous en rapportez qu'aux effets, vous méconnaissez leur cause et, je le répète, c'est à celle-ci que nous devons toujours remonter pour nous rentre compte de la réalité.
    Vous me parlez de l'Unité de l'ensemble, disant que ces adeptes en sortent plutôt que de s'y maintenir, puisqu'ils se divisent et tenteraient les autres à le faire également. Mais comment interprétez-vous cette unité ? car c'est là, je crois, que vous vous trompez. Vous entendez par elle que tous les adeptes devraient s'unir et ne faire qu'un groupe, que tous devraient revêtir la robe et qu'ainsi, toute distinction disparaissant, tous seraient dans cette unité. C'est là que vous faites erreur, car si votre vue ne se porte que sur l'effet, vous serez dans celui-ci réunis mais d'autant plus divisés à la cause ; la manière d'agir de ces adeptes doit vous prouver qu'ils sont dans l'unité, car c'est bien au sein de ce que vous envisagez comme telle que gît l'imperfection, puisque tous ceux qui y participeraient en vue de montrer qu'ils font le bien, ne seraient basés que sur l'apparence, ce serait la véritable imperfection tandis que, je le répète, si même vous êtes divisés à l'effet en agissant naturellement, vous ne le serez pas à la cause. Voilà de quelle façon nous arriverons à l'unité de l'ensemble ; celui qui suit son naturel effectue ses actes instinctivement, il ne voit pas le bien parce qu'il ne voit pas le mal. Nous sommes encore loin d'apprécier cette question que nous devons pour être heureux agir naturellement. Arrivés là, on sait que ses semblables procèdent de la même façon et on a d'autant plus de confiance en eux qu'on pourrait en douter s'ils faisaient autrement. Celui qui marchera naturellement ne pourra étonner que ceux qui se basent sur le bien tel que nous le voyons, qui le critiqueront et le blâmeront parce qu'il leur semblera agir contre la raison tandis que ce sera le contraire. Ah ! si nous respectons l'Enseignement, nous devons nous attendre à recevoir parfois de grandes observations de la part de celui qui dit qu'il faut faire le bien car le naturel froissera souvent puisque ce bien n'est saisi qu'en vue de l'intelligence qui ne sait supporter la réalité. Les personnes qui ont établi un nouveau groupe et y font des réunions pour la lecture de l'Enseignement, témoignent qu'elles ont l'intention de la propager ; si elles ne voient pas plus de mal dans les adeptes de groupe de Jemeppe que ceux-ci ne doivent le voir en elles, elles seront toujours ainsi dans la raison, sur laquelle j'ai appuyé cet Enseignement, elles ne font que donner plus d'extension à notre libre arbitre, de cette façon chacun pourra agir à sa guise tandis que s'il n'y avait qu'un seul groupe, on ne serait pas libre puisque pour entendre l'Enseignement, on ne pourrait se dispenser d'en faire partie.
    Voilà, mes enfants, ce que je puis enseigner à ce propos. Si vos intentions sont de respecter ce que je vous ai révélé, agissez comme bon vous semble, sans vous préoccuper de votre semblable, qui fera de même et ainsi vous pourrez dire que vous appartenez à l'Unité de l'ensemble. Les plus élevés qui ne verront en aucune façon le mal en ceux qui sont plus arriérés, leur montreront l'exemple et ceux-ci seront d'autant plus dévoués et courageux pour s'améliorer parce qu'ils ne seront plus entourés de mauvais fluides que l'on se prodigue réciproquement par la vue du mal. C'est ainsi que vous vous entr'aiderez à votre insu, vous apprécierez l'efficacité de l'épreuve, vous comprendrez combien elle nous est indispensable pour atteindre à notre but. L'interprétant en réalité, vous savez qu'on n'en souffre plus, car si actuellement elle vous est encore douloureuse, c'est parce que vous la dénaturez par la vue du mal, celle qui vous montre le bien dans les actes que vous accomplissez et qui vous fait exiger que votre semblable, pour vous satisfaire, agisse de la même façon. Si nos intentions sont de travailler à devenir plus heureux, appuyons-nous sur cet Enseignement, il est la lumière qui nous éclaire sur tous les obstacles qui nous empêchent d'atteindre à l'amour vrai.

L'Unitif, numéro 9 et 10 et témoignage réuni dans
Le Développement de l'Enseignement du Père
, p.160

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Les Salles de lectures avant les temples de Forest et Schaerbeek

Publié le par antoiniste

    Pierre Debouxhtay nous renseigne sur les salles de lecture qui existaient dans le Brabant, avant qu'elles ne soient fermées par Mère en 1932 : Auderghem (décembre 1912, 34 rue des deux chaussées déjà en 1914 et jusqu'en 1920), Forest (juillet 1913, 404 chaussée de Bruxelles), Genval (novembre 1912), Ixelles (septembre 1912), Laeken (décembre 1913, rue Champ de la Couronne n°15), Vieux-Genappe (avril 1913, 114 chaussée de Nivelles)...

    Un Unitif de 1914 indique à Schaerbeek (rue Auguste Lambiotte n°40) l'existence d'une salle de lecture. Le Temple sera construit de l'autre côté du Parc Josaphat, rue Jacques Rayé en 1925.

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Premier goupe de lecture à Bruxelles

Publié le par antoiniste

Premier goupe de lecture à BruxellesLE GROUPE DE BRUXELLES

              Local : 30, rue Saint-Georges.

Bruxelles - 30, rue Saint-Georges
actuellement (Google StreetView)
maison aux boiseries vertes


Fidèle adepte d'Antoine le Généreux, j'ai ressenti un bonheur de voir naître et grandir notre groupe.

Il commença, il y a deux ans à peine. A la première lecture nous n'étions que deux, le lecteur et la dame de la maison ; à la seconde il y avait un auditeur, à la troisième, deux et cela ne fit qu'augmenter ainsi jusqu'au jour où l'on dut avoir recours à un plus grand emplacement. Grâce à ceux qui ont désormais consacré leur vie à cette oeuvre humanitaire, nous voici installés, depuis dix mois, rue Saint-Georges, 30. De jour en jour, le nombre des adeptes augmente et actuellement notre groupe est très important ; la plupart appartiennent à la meilleure bourgeoisie et parmi eux nous remarquons beaucoup d'intellectuels, professeurs, philosophes, tous, toujours assidûment fidèles, venant prendre place bien avant l'heure et attendant dans le plus grand silence.

Pas un mot, pas le plus léger bruit !

Aussitôt que la lecture commence, le silence a fait place au plus grand recueillement. On sent que le lecteur, avec beaucoup de calme et de clarté, veut convaincre ceux qui l'écoutent, et la parole de notre Père répand dans toutes ces âmes ce baume qu'elles viennent Lui demander et que seul, Il sait leur donner.

On se sent frères, réunis dans une même pensée, travaillant pour la même cause. On a enfin compris que le vrai bonheur est dans la pratique de la loi d'amour et de charité que notre Père nous a révélée et dont Il nous donne un si grand exemple.

La lecture terminée, chacun se retire avec le même recueillement et dans le même silence.

Il est vraiment heureux et consolant pour ceux qui ont la tâche si difficile de contribuer à cette oeuvre, de voir notre groupe augmenter si rapidement, et cela, dans un centre aussi mondain que Bruxelles, où la foi semble anéantie sous le poids de tant de luxe et de plaisirs, ce qui donne libre cours au matérialisme.

C'est ce qui, au début, nous faisait douter d'une réussite aussi prompte maintenant nous sommes rassurés ; nous avons même acquis la certitude qu'il y a encore, ici, beaucoup d'êtres sensibles à la morale et désireux non seulement d'étudier l'Enseignement de Antoine surnommé le Généreux, mais surtout de le mettre en pratique par leur sincérité et leur dévouement.

                         Un adepte.

source : extraits des Unitifs

    L'Unitif sorti en 1914 indique l'adresse 404, chaussée de Bruxelles comme lieu de Lecture de l'Enseignement du Père (jeudi à 7 1/2 h. et le dimanche à 10 h.).

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Dora García, devant le temple antoiniste

Publié le par antoiniste

En de Antoinistische Tempel (Van Haelenlaan 132), waar aanhangers van deze Luikse sekte – verscholen onder zwarte kappen – op zondag 28 december hun eerstvolgende bijeenkomst houden, toont met zijn afbrokkelende gevel duidelijk dat het materiële tijdelijk is.

Brusselnieuws.be (BRUZZ) - vrijdag 26 december 2008
Met Dora Garcia langs veertig spirituele huizen

Traduction :

Et le temple antoiniste (Van Haelenlaan 132), où les adeptes de cette secte liégeoise - cachés sous des cagoules noires - tiendront leur prochaine réunion le dimanche 28 décembre, montre clairement avec sa façade en ruine que le matériel n'est que temporaire.

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Classe de l'Ecole du Nouveau Spiritualisme à Mons

Publié le par antoiniste


Une classe de l'Ecole du Nouveau spiritualisme (étude des diverses philosophies) est organisée au temple, le dimanche à 10 heures 30 (cf. l'agenda du culte au bas de la page d'accueil de ce site pour les dates).

Elle est ouverte aux antoinistes et aux adeptes d'autres religions, et enfin aux non croyants.

Renseignements : tél 04/233.73.78

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Salles de lecture en Indre-et-Loire

Publié le par antoiniste

    L'antoinisme se propagea très vite en Indre-et-Loire, l'Unitif du 1er septembre 1912 indiqué 6 maisons de lecture rien qu'à Tours (notamment : 33 rue de la Grosse Tour, 15 rue Colbert, 21Bd Marchant Duplessis, 4 rue des orfèvres, 55 avenue de la tranchée, 26 rue du cygne).
    Puis cela essaima : Savonnière-Au Morier en mai 1912, deux nouvelles à Tours en novembre 1912 et juillet 1914, deux à Palluau-sur-Indre en septembre 1913. Une est encore active en 1914 (chez Mme Brouard).

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Consécration du Temple de Tours (21-8-1921)

Publié le par antoiniste

source : Photo Boucher, Tours ; Pierre Debouxhtay, Antoine le guérisseur et l'Antoinisme

    L'Opération sur le seuil du nouveau temple.

    Mère, les mains levées vers le ciel, a receuilli les fluides bienfaisants pour les répandre sur la foule. Devant elle, le second guérisseur reste  les mains jointes pendant toute la durée de l'opération.

    A droite l'emblème antoiniste.

    Au dessus de Mère, on voit deux trainées assez claires ; certains adeptes disent que ce sont des fluides d'une telle intensité qu'on a pu les photographier.

 

    Voir une prise plus large de cette photo

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Salles de lecture au nord-est de la France

Publié le par antoiniste

    Il y avait une salle de lecture à Strasbourg en août 1913 (au 7 Anckergässchen [Imp. de l'ancre], près de la place du Corbeau), alors sous domination allemande.
    Cependant l'antoinisme s'est peu développé dans l'est de la France, on compte un autre temple à Vervins (1923), très proche du Nord où le culte est très présent avec 5 temples rien que dans le département du Nord (Caudry, Valenciennes, Tourcoing, Croix, Lille, et signalons celui d'Hellemmes, détruit en 1943). Et un autre très récent à Saulnes/Longwy (1986), près de la frontière belgo-luxembourgeoise.
    On trouva d'autres salles de lecture dans les années 10-20, dans la région de Saint-Quentin : Boiré, Estrées et Sains-Richaumont.
    On a actuellement des salles de lecture à Creil et Meaux au nord-est de Paris.

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Le Blog de Pratick Mottard

Publié le par antoiniste

Mon exploration commence aujourd’hui avec le 5.12 (5e canton, 12e bureau) dont le petit nom est « Fontaine du Temple ». En fait, nouvelle licence poétique, la zone géographique du bureau n’a rien à voir avec la place du même nom, même si elle est tout proche. Le territoire du bureau « Fontaine du Temple » se situe en fait au sud du stade du Ray dans un quartier qui est celui des écrivains (rue Paul Bourget, rue Alphonse Daudet, avenue Guy de Maupassant, avenue Edmond Rostand) et des militaires (rue Colonel Driant, rue Général Laperrine). L’avenue des Sources, quant à elle, rappelle l’abondance de l’eau vive dans les entrailles du quartier.

L’endroit est calme et ignore l’agitation des deux axes qui en constituent les frontières est et ouest (l’avenue du Ray et le boulevard Gorbella). Un quartier de villas à frises, de petits immeubles résidentiels et de jardins fleuris, très fleuris. Un quartier tout en montées (parfois par escaliers) et en descentes, qui exige du promeneur une bonne condition physique.

A l’égal de Rome, le 5.12 a sa villa Médicis (sans Frédéric Mitterrand…). Il a surtout sur son territoire l’insolite Temple antoiniste qui appartient à un mouvement religieux présent essentiellement en France et en Belgique. Le culte antoiniste – du nom de son créateur, Louis Antoine, ouvrier belge plus ou moins guérisseur grâce à ses talents médiumniques – fait une large place à la prière et est assuré par des bénévoles qui portent un costume noir. L’antoinisme prône le libre-arbitre, la tolérance (on peut pratiquer en parallèle une autre religion) et la solidarité. Mais, avant de vous précipiter au Temple de l’avenue de l’Assomption, sachez quand même que l’antoinisme a été épinglé par l’Observatoire des sectes comme étant une « secte guérisseuse ».

source : http://patrickmottard.blogspot.com/2008/09/512-fontaine-du-temple.html

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