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Intérieur du Temple de Paris XIIIe vers 1950

Publié le par antoiniste

Rare photo de l'intérieur du Temple de Paris XIIIe (rue Vergniaud) 

publiée par un journal français
consacré à l'inauguration du temple de Octeville (aujourd'hui Cherbourg-en-Cotentin).
(Archives du Temple de Retinne)

La consécration du Temple de Cherbourg date de 1952, on peut penser donc que la photo du temple parisien date de la même période.

 

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Consécration du Temple de Cherbourg en 1952 (Archives du Temple de Retinne)

Publié le par antoiniste

Consécration du Temple de Cherbourg en 1952

Photo extraite d'un article d'un journal français (non identifié)

(Archives du Temple de Retinne)

Légende de la première photo: "Guérir par la foi", tel est le premier précepte de l'Eglise antoiniste. Cet infirme, escorté par sa soeur et par sa mère, n'a pu trouver place dans le Temple de Cherbourg le jour de l'inauguration. Il n'en suit pas moins l'office depuis le parvis, en attendant d'être reçu par le frère-guérisseur. Sur le visage de l'homme, l'extase mystique a déjà marqué son empreinte. Les mains se joignent et se serrent convulsivement. La prière prépare le miracle.

Une autre photo montre l'intérieur du Temple de Paris XIIIe.

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Photos du Père (par le photographe H. Dardenne)

Publié le par antoiniste

    Le frère Émile Scuflaire et sa femme sœur Mimi Versteylen, desservant du Temple de Retinne après frère et sœur Bronckart prirent en charge le Temple de Retinne et conservent les archives dans la tradition du culte laissé par Mère.

Photo originale du Père (négatif dans les Archives du Temple de Retinne)

Photo originale du Père (négatif dans les Archives du Temple de Retinne)#2

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Lot de photographies de presse de 1910 environ

Publié le par antoiniste

1910s Antoinism Religious Cult - Antoine (retouche)1910s Antoinism Religious Cult - The Good Mother (corrigé)       Photographies de presse : Le Père fait l'Opération                         La Mère dans le jardin du Temple

1910s Antoinism Religious Cult - Adept curing a child (1)1910s Antoinism Religious Cult - Adept curing a child (2)

Photographies de presse : une adepte "guérissant" un enfant      

Un lot de photographies de presse des années 1910 a été un temps mis en vente sur le site https://curleysantiques.com, ainsi que sur ebay.com. Une partie ont été publié par le Daily Mirror.

1910s Antoinism Religious Cult - reverse

1910s Antoinism Religious Cult Belgian Coal Miner Press Photos

Antoine, Mdm Antoine (The Good Mother) & two 'adepts' curing children reverse. Healing image shows a poignant young girl doubly exposed.  (4) photographs each measure 4.75 x 6.5"  w/ early NYC press markings.

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Musée de Folklore et des Imaginaires-10-21 aout 1921 (inventaire.proscitec.asso.fr)

Publié le par antoiniste

Musée de Folklore et des Imaginaires-10-21 aout 1921 (inventaire.proscitec.asso.fr)

 Description

Photo reproduisant une autre photo et un texte. Mention : « 21 aout 1921 / consécration du temple de Tours. // Pendant l’Opération, deux faisceaux de fluides sont photographiés au-dessus des mains de notre bonne Mère ».

source : https://www.inventaire.proscitec.asso.fr/objets/musee-de-folklore-et-des-imaginaires/photo-culte-antoiniste-11/


    Il existe plusieurs photos de la Consécration du Temple de Tours et notamment de ce moment.

    Tours est la 3e ville en France à voir consacrer un temple antoiniste après Paris (1913) et Vichy (1920). Le Temple de Monaco est consacré également en 1913. Plusieurs temples ont été consacrés en Belgique avant cela : Stembert (par le Père lui-même en 1911), Bierset (1912), Souvret (1913), Villers-le-Bouillet (mars 1914), Ecaussinnes (avril 1914), Verviers (juillet 1914), Seraing (octobre 1915), Momalle (décembre 1915), Visé (avril 1916), Forest (août 1916), Liège (octobre 1917), Herstal (novembre 1917), Jupille (1918), Jumet (avril 1919), Montegnée (octobre 1919).

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Fêtes du 15 août 1911 et des années suivantes

Publié le par antoiniste

    Pour la première fête d'anniversaire de la consécration, en 1911 donc, on se réunit, après l'opération, dans une salle de fêtes de Jemeppe, ce qui froissa plus d'un antoiniste. "L'an passé, écrit un adepte d'Anvers (L'Unitif, octobre 1912, p.15), en arrivant dans une salle de fête et de plaisirs je fus désorientée et mon recueillement fut comme paralysé : beaucoup étaient dans mon cas. Cependant nous avions pu puiser à l'opération un fluide réconfortant et nous étions partis du Temple dans un fluide homogène qui nous réunissait tous dans la seule et même pensée sous l'égide du Père. Mais l'aspect de la salle où avait lieu la réunion était si peu en harmonie avec le sentiments de notre cœur que pour ma part j'en fus frappé et souhaitai qu'on fit un autre choix à l'avenir."
    Ce vœu fut exaucé : en 1912, la cérémonie eut tout entière dans le Temple.
Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, p.226-27

    Cette date est la seconde grande fête antoiniste : c'est l'anniversaire de la sanctification du culte et de la consécration du temple de Jemeppe.
    Cet anniversaire fut célébré, pour la première fois, en 1911. Cette année-là, l'Opération se déroula au Temple. Puis on se réunit dans une salle de fêtes de Jemeppe. Ce qui froissa de nombreux Antoinistes.
    C'est pourquoi, dès 1912, la cérémonie se déroula en entier dans le Temple.
Ce jour-là, même si cela tombe en dehors des 4 jours d'ouverture des Temples, il y a Opération Générale à 10H00. Dans les Temples "avec photos", l'Opération Générale est suivie de la lecture des "Dix Principes".
source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/

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Opération (Temple de Roanne)

Publié le par antoiniste

Opération (Temple de Roanne)

La Desservante, Myriam Bouquet (en haut) et Robert Pierrefeu (en bas), un « costumé ».
Les trois cadres représentent (de gauche à droite), le symbole Antoiniste, la photographie de « Père » et la photographie de « Mère ». Photo JM.

source : leprogres.fr,  22 mars 2013

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Mère Antoine, Opération à l'extérieur du temple

Publié le par antoiniste

Mère Antoine, Opération à l'extérieur du temple

(photo issue du livre de Régis Dericquebourg, Les Antoinistes)

On peut reconnaître Frère Florian Deregnaucourt

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Rue Vergniaud, on lit et on opère (Excelsior, 27 octobre 1913)

Publié le par antoiniste

Rue Vergniaud, on lit et on opère (Excelsior, 27 oct 1913)

      LES ANTOINISTES A PARIS

          Rue Vergniaud
       on lit et on opère

    Inaugurant le temple élevé par ses
adeptes, la Mère Antoine monte à la tri-
 bune et y pratique quatre "opérations
                         générales".

    Lorsque la Mère Antoine monta à la tribune hier matin pour inaugurer son temple de la rue Vergniaud par une « opération générale », les huit ou neuf cents adeptes qui se trouvaient réunis dans cette salle, et sur qui retombait la lumière verte provenant des fenêtres, se laissèrent entraîner par une violente émotion extatique. Un véritable concert de sanglots et d'exclamations s'éleva, tandis qu'au premier rang, sous la chaire même, une douzaine de malades attendaient les effets de l'opération.
    La veuve du Désincarné, toujours vêtue de sa simple robe de serge noire, se contenta d'étendre ses mains au-dessus de cette foule silencieuse. Et après être demeurée quelques secondes en extase, elle redescendit l'escalier de la tribune pour aller se recueillir dans une petite cabane en bois momentanément édifiée dans un terrain vague derrière le temple.
    A trois reprises, la Mère revint opérer et la suggestion fut si forte que trois ou quatre assistantes, qui étaient venues se soumettre au fluide, se crurent guéries. L'une d'elles, une dame T..., amenée spécialement de Vichy pour voir la Mère, laissa tomber la béquille dont elle se sert depuis neuf ans ; mais il ne me fut pas possible de constater si l'« opération » avait agi, car ceux qui avaient transporté la pauvre femme la prirent sous les bras et l'entrainèrent. Les autres patientes, de simples névrosées, pleurèrent à chaudes larmes et répétèrent à qui voulait les entendre que la Mère venait de leur rendre la santé.
    Un phtisique, venu de Charleroi dans le train des Antoinistes et qui fut pris de vomissements de sang alors qu'il faisait les cent pas devant le temple, fit implorer la Mère et, comme l'hémorragie s'arrêta, on ne manqua pas d'attribuer son soulagement à l'intervention d'Antoine.
    Après les quatre « opérations » de la Mère, le lecteur habituel du temple de Jemeppe-sur-Meuse, M. Delcroix, sortit sur le parvis, précédé d'un antoiniste portant l'Arbre de la Science de la Vue du Mal et accompagné de M. Derégnaucourt, le grand-prêtre du culte, et de M. Noël, le « légat » à Paris.
    Devant la foule amassée, M. Delcroix, qui, on le sait, est un des plus distingués professeurs de l'Athénée royal de Liége, lut le Grand Livre de la Révélation, sans paraître se soucier des cinématographes et des photographes qui opéraient sans relâche.
    A midi, tout était fini et les pèlerins belges se dispersèrent pour visiter Paris.
    Vers 4 heures, la Mère prit place dans une automobile qui la conduisit à la gare du Nord, où l'attendaient les quatre cents adeptes belges. Et, à 5 heures, le train spécial démarrait pour regagner Jemeppe.
    D'ici peu, la Mère va entreprendre un long voyage : elle doit en effet inaugurer, le mois prochain un nouveau temple... à Monte-Carlo. – HENRY COSSIRA.

Excelsior, 27 octobre 1913

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Le Père Antoine (Le Grand écho du Nord de la France, 28 septembre 1925)

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Le Père Antoine (Le Grand écho du Nord de la France 28 sept 1925)

Le Père Antoine (Le Grand écho du Nord de la France 28 sept 1925)

 Les petites religions

              LE
Temple Antoiniste
    d'Hellemmes
: s'est ouvert hier :

De nombreux antoinistes étaient venus
   de Belgique et la « Mère Antoine »
           a présidé la cérémonie

(Voir notre cliché en première page)

    On rencontrait, dans les rues de Lille, dimanche, des hommes et des femmes – femmes âgées, jeunes filles et même fillettes, – vêtus d'une façon très particulière. Les premiers avaient l'allure de clergymen, avec une longue lévite noire, boutonnée sur un col rigide ; et un chapeau haut-de-forme aux bords ronds et plats. Les secondes étaient coiffées d'un voile noir que supportait un bonnichon bordé de tulle plissé, également noir, et leurs épaules s'enveloppaient d'un châle de laine ou d'une cape.
    Ces gens étaient des Antoinistes venus assister à la cérémonie de consécration du nouveau temple de leur culte, dont nous avons signalé l'existence à Hellemmes.
    Il était arrivé des adeptes d'un peu partout, de Paris, de Lyon, même de Monaco, mais, principalement, de Belgique. Deux trains spéciaux étaient partis de Liége avec dix-sept cents personnes.

      L'« opération »

    A dix heures, la rue Jean-Bart, aux abords du Temple, était noire de monde. La cérémonie était commencée à l'intérieur. L'assistance, trop dense, restait massée sur la chaussée et les trottoirs. Il y avait surtout des Antoinistes. Les curieux, dressés sur la pointe des pieds, cherchaient à voir « quelque chose ».
    Mais on ne voyait rien, si ce n'est parmi la foule, les lévites noires et les voiles garnis de tulle. Le « costume », chez les Antoinistes est purement facultatif. Les plus fidèles l'arborent pour se rendre au Temple le dimanche ou les jours de cérémonie comme celui-ci.
    Au bout d'une vingtaine de minutes, l'emblème du culte, « l'arbre de la science du Bien et du Mal », apparut sous le portail, précédant une vieille femme au visage paisible, qu'encadraient des bandeaux de cheveux blancs échappés de la rituelle coiffe noire : la « mère Antoine », la veuve d'Antoine-le-Guérisseur âgée de soixante-quinze ans et venue de Jemmeppe-sur-Meuse, près de Liége, pour pratiquer l'« opération ».
    Et c'est cette « opération » qui se renouvela devant la porte, en raison de l'affluence. La lecture des principes se perdit dans le vent, puis on aperçut, par-dessus les têtes recueillies, la vieille « mère » étendre la main dans un geste de bénédiction, sur les deux mille personnes qui l'entouraient.
    C'était tout.
    La foule fut admise ensuite à visiter le Temple qui n'est, comme nous l'avons dit, qu'un local aux murs sévères, sans la moindre ornementation.
    Avant de partir, j'ai revu le desservant, qu'accompagnait sa femme – tous deux vêtus de noir.
    J'appris, par lui, qu'il n'existe pas d'ordre. Les desservants des temples vivent librement, sous la seule réserve qu'ils ne doivent accepter aucune rétribution. Il me dit qu'il était entré au service de l'Antoinisme après s'être guéri, sans aucun autre remède que « la confiance », d'une grippe infectieuse qui l'avait terrassé...

                                                            J.-S. DEBUS.

Le Grand écho du Nord de la France, 28 septembre 1925

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