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florian deregnaucourt

Liège (1917)(fermé)

Publié le par antoiniste

Liège (1917)

Adresse : 17, Hors-Château (au pied de la Montagne de Bueren) - 4000 Liège

 

Style : Art Nouveau, Néo Roman

Architecte : François Tinlot

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
gratuitement

Temple sans photo

Date de consécration (par Mère) : le 14 octobre 1917

Anecdote : Construit par Florian Deregnaucourt, pour servir d'imprimerie, ce fut Soeur Deregnaucourt, puis Soeur Louise (une des filles adoptives des Antoine) en furent les premières desservantes. (Historique du Culte Antoiniste)
    Le Frère Jean Lognoul en a été desservant 1955 à 1981. Puis Frère René Souverain et enfin Soeur Françoise.
    Il ne servit cependant jamais d'imprimerie, le Père ayant eut l'intuition d'installer l'imprimerie à Jemeppe (où elle se trouve toujours), la machine à imprimer de l'époque est partie dans un musée, après la modernisation des procédés d'impression.

Jusqu'en +/- 1995, c'était le centre non officiels des "Temples avec photos". Depuis le décès du desservant de l'époque, il connut diverses vicissitudes. Actuellement, il est desservi par un jeune adepte et s'est rangé parmi les "Temples sans photos". (http://antoinisme.20six.fr/antoinisme/art/66106/)
    Vers 2000, une desservante, Sr Françoise, spirite également, a remplacée le desservant, mais il reste un temple sans photo. L'habitation se trouve à l'étage, il faut donc monté plusieurs marches dans la journée quand on est desservant de ce temple, ce qui ne peut être rempli que par une personne encore mobile. La desservante a donc quitté le temple vers 2016.

    Sur la proposition du frère Nihoul, la société entreprit la publication d'une revue, où parurent au fur et à mesure les textes révélés. Cette revue qui s'appelait "L'Auréole de la Conscience", fut colportée par les adeptes, comme l'avait été naguère le livre de l'Enseignement*. Au bout de deux ans, les textes publiés dans la revue devinrent la matière d'un nouveau volume, qui eut pour titre : "La Révélation d'Antoine le Généreux". Tel était le nom que désormais les disciples donnaient à leur maître. C'étaient les Deregnaucourt qui s'étaient occupés de l'impression de la revue du livre. Pus tard, ils achetèrent à Liège, rue Hors-Château, un immeuble où ils transportèrent leur imprimerie. Ils imprimèrent dans la suite les deux autres livres sacrés, le "Couronnement de l'Oeuvre révélée" et le "Développement de l'Enseignement".

    Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord, p.309-310

* L'imprimeur Massillon publia, sous le titre d'Enseignement, le recueil des entretiens de Jemeppe. Robert Vivier - Délivrez-nous du mal, Ed. Labor - Espace Nord, p.286

    Les Deregnaucourt étaient des Français, qui habitaient, disait-on, dans un château près de la frontière (à Blandain (nous renseigne Régis Dericquebourg), près de Tournai). Des millionnaires, assuraient les gens. Ils étaient, en tout cas, d'une famille catholique ; et avaient même des parents dans les ordres. Attirés par la réputation du guérisseur, ils étaient venus à Jemeppe pour quelque maladie, et M.Deregnaucourt s'était senti bien soulagé. Ils en avaient été si reconnaissants, et il avaient si bien compris l'oeuvre de M.Antoine, qu'ils avaient tout abandonné là-bas pour s'installer à Jemeppe où ils consacraient leur temps et leur argent au travail moral et à la propagande des Vignerons. C'étaient eux aussi qui avaient fait construire cette imprimerie à côté du temple. Comme on les savait riches, on venait pleurer misère auprès d'eux, et ils donnaient toujours, - c'étaient des gens si charitables... Mme Deregnaucourt, une petit femme au visage ovale et aux grands yeux noirs très doux, se tenait silencieuse, et c'était inouï comme, rien qu'à la voir, on se sentait en paix.

    Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
    Ed. Labor - Espace Nord, p.281-282

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25 juin (apparemment) au Temple de Jemeppe (Archives du Temple de Retinne)

Publié le par antoiniste

25 juin (apparemment) au Temple de Jemeppe (Archives du Temple de Retinne)

25 juin (apparemment) au Temple de Jemeppe (Archives du Temple de Retinne)

Photo sans aucune annotation, ni date. On peut compter jusqu'à minimum 15 emblèmes.

25 juin (apparemment) au Temple de Jemeppe-détail (Archives du Temple de Retinne)

Au centre il semblerait que ce soit Mère et sa coiffe blanche.
Devant le pupitre à sa gauche le Frère Florian Deregnaucourt. S'agirait-il d'un 25 juin ?

Certainement, car c’était encore (si mes souvenirs sont bons) la seule date où on se retrouvait de tous les temples ou groupes (avec leur emblème) à Jemeppe.

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Cortège funèbre du Père - Frère Deregnaucourt (Archives du Temple de Retinne)

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Cortège funèbre du Père - Frère Deregnaucourt (Archives du Temple de Retinne)

Cortège funèbre du Père - Frère Deregnaucourt (Archives du Temple de Retinne)

C'est une photo de la presse (Sciences et Voyages et Excelsior, 2 juillet 1912) où Frère Deregnaucourt est individualisé

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The Latest Sect (The Tatler, December 21, 1910)(archive.org)

Publié le par antoiniste

The Latest Sect (The Tatler, December 21, 1910)(archive.org)

THE LATEST SECT

A Wonderful Faith-healer Arises in Belgium

ANTOINE THE HEALER

A new religion has taken Belgium by storm, the followers being known as Antoinists. This new sect has as its head one Antoine the Healer, who is seen above. Antoine is an ex-miner and has stirred the inhabitants of Jemeppe near Liège to their foundations by his remarkable preachings. A petition for the legal recognition of the sect has just been presented to the Belgian Government. This petition is said to have been signed by over 160,000 adherents. Antoinism is apparently a blend of faith-healing and Spiritualism, and the "Healer's" followers obey him unhesitatingly in everything. Wonderful cures by Antoine and his adept are reported from Jemeppe.

The Tatler, December 21, 1910 (source : archive.org)

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Mère et Frère F. Deregnaucourt (12 juillet 1914)(Archives du Temple de Retinne)

Publié le par antoiniste

Mère et Frère F. Deregnaucourt cons. Verviers ( 12 juillet 1914)(Archives du Temple de Retinne)

Mère et Frère F. Deregnaucourt
arrivant au Temple de Verviers pour sa consécration en 1914
(12 juillet 1914)(Archives du Temple de Retinne)
La voiture est arrêté juste devant le Temple dont on aperçoit le fronton.

Deux articles (la veille et le lendemain) sont consacrés à cet évènement.

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Temple de Liège Hors-Château en 2007 (antoinisme-documentation.skynetblogs.be)

Publié le par antoiniste

    Il s'agit du plus ancien des temples antoinistes de la ville de LIEGE.
Ce temple est toujours pourvu d'un desservant et est très bien fréquenté.
    Actuellement, ce temple a rejoint, depuis peu, le groupe des temples dits "sans photos".
    A l'origine, à cet emplacement, fut installée l'imprimerie du Culte Antoiniste.
Cet immeuble, acquis par le Frère DEREGNAUCOURT, fut détruit et remplacé par le Temple actuel.

source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be


    Actuellement le temple est fermé depuis le départ de Sœur Françoise. Occasionnellement, des lectures y sont faites.

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Après la ''désincarnation'' - Antoine le Guérisseur (La Tribune de Genève, 3 juillet 1913)(e-newspaperarchives.ch)

Publié le par antoiniste

Après la ''désincarnation'' - Antoine le Guérisseur (La Tribune de Genève, 3 juillet 1913)(e-newspaperarchives.ch)Après la ''désincarnation''
Antoine le Guérisseur

    Des fêtes antoinistes ont été célébrées l'autre jour à Jemeppe-sur-Meuse, en Belgique, à l'occasion de l'anniversaire de la mort d'Antoine.
    Il y a eu en effet un an mercredi dernier qu'est mort le visionnaire fameux, dont le renom est considérable tant en Belgique qu'à l'étranger : Antoine le Guérisseur.
    Cet homme, à qui son regard fulgurant et sa barbe de fleuve donnaient l'aspect d'un des anciens prophètes d'Israël, exerçait sur la plupart des gens qui l'approchaient un ascendant extraordinaire. Il disait posséder la révélation de la vérité. Il passait pour opérer, par le seul pouvoir de sa volonté, des guérisons miraculeuses.
    Mais l'antoinisme ne mourut pas avec Antoine, et le temple édifié à Jemeppe continue à être le centre d'un mouvement intense, centre où parviennent chaque jour, sous forme d'un courrier formidable, les plaintes et les vœux de l'humanité malheureuse.
    C'est qu'Antoine avait pris une sage précaution pour assurer la pérennité de son œuvre.
    Quand il fut sur le point de mourir, il fit savoir à ses disciples que sa femme lui succéderait, qu'elle pourrait s'assimiler à son fluide éthéré et il la chargea de recueillir et de lui transmettre les désirs des antoinistes.
    C'est en vertu de cette désignation que la veuve du guérisseur guérit à son tour, ou, du moins, s'y applique.
    Pour célébrer l'anniversaire de la désincarnation d'Antoine, celle qui fut sa femme conviait les antoinistes du monde entier à se rendre, mercredi dernier, à Jemeppe-sur-Meuse ; elle annonçait que les malades obtiendraient de grandes guérisons.
    Les antoinistes vinrent au nombre de plusieurs milliers. La Belgique, les Pays-Bas, certaines provinces du nord de la France fournirent le gros de cette armée singulière. Paris, qui compte quatre ou cinq groupes antoinistes, avait, pour sa part, envoyé environ cent-cinquante pèlerins.
    Les plus zélés suivent les recommandations du père Antoine à la lettre. C'est ainsi qu'ils s'imposent le port d'un costume disgracieux, dont le guérisseur fixa la couleur et la coupe : c'est, en serge noire, un vêtement sans nom, qui réalise une manière de compromis entre la soutane des prêtres maronites et la redingote de certains pasteurs américains ; comme coiffure, un « gibus » qui rappelle, avec moins d'ampleur, l'antique « bolivar », que nous pouvons voir, sur de vieilles gravures, couvrir le chef vénérable de nos arrière-grands-pères.
    Dans le temple antoiniste, c'est la Mère qui procède. La Mère, c'est la veuve d'Antoine, lequel n'est désigné par les antoinistes que sous le vocable le Père.
    Dans le silence qui précède les grands événements, les fidèles attendirent, regardant devant eux une tribune étroite et longue, sur le bord de laquelle était peint – blanc sur fond noir – l'arbre de la vie, symbole de s'antoinisme. Devant la tribune principale, quelques mètres plus bas, une autre tribune, plus petite.
    Au bout d'une demi-heure d'attente, un grand diable barbu et chevelu, avec les yeux perdus qu'on prête aux nihilistes russes, apparut sur la tribune la moins élevée et resta là, sans mot dire, le regard dans le vide.
    C'est, notre frère Deregnaucourt. Ainsi que la Mère a remplacé le Père, il remplacera la Mère le jour où celle-ci se désincarnera à son tour...
    Le frère Deregnancourt attendit... L'assistance était haletante et recueillie. Seule, la béquille d'un infirme, en tombant sur le plancher, troubla un instant le silence.
    Mais soudain, on entendit le tintement aigrelet d'une sonnette. Tous les pèlerins se dressent, d'un seul élan. C'est la Mère qui apparaît. Elle est sur la tribune. Toute blanche dans ses vêtements noirs, elle regarde vers le plafond, en se tordant les poignets... Avec un peu de bonne volonté, on peut retrouver dans l'expression de son visage l'air fatal et inspiré des anciennes sibylles... Cinq minutes, elle reste là, le regard fixe, les poings crispés... Puis elle s'en va... C'est fini. Les fidèles se retirent.
    C'est là « l'opération » annoncée. La mère dut la recommencer cinq fois, chaque fois devant cinq à six cents personnes.
    On avait aussi promis des guérisons. Mais c'est une autre affaire. Ce sera sans doute pour plus tard !
    Après les opérations, les antoinistes ont fait un pieux pèlerinage à travers le jardinet où tout en repiquant ses salades et en échenillant ses choux, le père Antoine sentit naître sa vocation de Christ nouveau...

La Tribune de Genève, 3 juillet 1913 (source : e-newspaperarchives.ch)

Reprend en partie l'article paru dans Le Matin du 30 juin 1913.

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Arrivée à Paris d'un pèlerinage antoiniste (Le Télégramme, journal quotidien de la démocratie du Midi, 29 octobre 1913)

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Arrivée à Paris d'un pèlerinage antoiniste (Le Télégramme, journal quotidien de la démocratie du Midi, 29 octobre 1913)

La Mère Antoine (1) et son grand prêtre M. Deregnaucourt (2) au milieu des adeptes

La même photo est reproduite dans le journal Excelsior du 26 octobre 1913.

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Conseil d'Administration du Temple (1910)

Publié le par antoiniste

Conseil d'Administration du Temple (1910)

    Tiré de Historique du Culte Antoiniste de Frère Jean-Marc Boffy.

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Encore une religion qui apparaît (Le Matin, 22 février 1912)

Publié le par antoiniste

 Encore une religion qui apparaît (Le Matin, 22 février 1912)

Encore une religion qui apparaît (Le Matin, 22 février 1912)Encore une religion
qui apparaît
et qui fait des miracles
par l’intermédiaire d’une petite modiste

    Mlle Camus, dans le temporel, est modiste. Elle habite, 14, rue Milton, une humble chambrette au fond d'une cour obscure.
    Bourguignonne d'origine, voilà dix ans qu'elle quitta son village natal – Auxou, commune de Saint-Branchet, dans l'Avallonnais – pour venir s'établir à Paris. Elle compte aujourd'hui trente-huit printemps, et il y a seulement deux mois que révélation lui fut faite de ses miraculeux pouvoirs.
    Miraculeux, en effet, si l'on songe que sa présence seule apporte aux malades, fussent-ils incurables, un soulagement immédiat ; qu'au bout de trois, quatre ou cinq séances, au plus, tel, dont le rein était dévoyé, et « l'estomac descendu à dix centimètres au-dessous du nombril », s'en retourne guilleret, estomac et rein remis en place, prêt à entonner comme un chantre et dévorer comme un ogre, tel autre, grabataire depuis un mois, par suite d'un asthme aigu, reconquiert en quatre séances la bienheureuse franchise-respiratoire ; tel encore, aveugle à la suite d'une méningite depuis l’âge de deux ans, voit, à trente-cinq ans, s'épanouir progressivement ses prunelles à l'ineffable printemps de la divine clarté libératrice tel autre... mais il faudrait des colonnes pour dénombrer les stupéfiantes guérisons – plus de quarante en deux mois – accomplies par la petite modiste : des guérisons, des lettres, des témoignages sont là qui les attestent. Et les rescapés que nous interrogeâmes se répandirent en actions de grâces sur le désintéressement et les prestiges – d'aucuns vont jusqu'à dire la sainteté – de leur bienfaitrice.
    – Comment je procède ? Mon Dieu, rien n'est plus simple, nous explique au bon sourire l'assembleuse de fanfreluches. Un malade se présente-t-il ? Je lui demande de penser au Père. De mon côté, je Lui communique ma pensée. Je puise en Lui comme Il puise en Dieu. Puis je m'endors et je lis à livre ouvert dans les parties souffrantes du malade. Je souffre moi-même de sa douleur, je l'accapare, je l'extirpe petit à petit de lui pour la pulvériser, l'égrener, la disperser au dehors. Et quand la guérison approche, je la sens venir. Alors je me réveille. Je ne suis pour rien dans cette guérison. Je ne suis que l'humble servante et inspirée du Père.
    – Du Père Eternel ?
    Pas tout à lait, mais presque : du père Antoine, Antoine le Généreux, le régénérateur de l'humanité, le grand révélateur de la doctrine intégrale du Christ.
    Les lecteurs du Matin n'ont pas oublié, pour l'avoir vu retracer à maintes reprises, l'extraordinaire figure de cet humble artisan liégeois, ancien ouvrier mineur, puis compagnon forgeron, puis prophète et thaumaturge, qui, il y a dix ans, à Jemeppe-sur-Meuse, fonda le nouveau spiritualisme, autrement dit la vraie religion de Jésus, épurée, et telle Fils de l'Homme, prétendit posséder le pouvoir de galvaniser les malades sous la simple imposition de ses mains rédemptrices.
    En vain cent cinquante médecins belges, insurgés contre l'empiétant le trainèrent en justice ; ils ne purent établir l'indignité d'un homme qui ne prescrivait à ses patients ni remèdes, ni le moindre débours.
    L'antoinisme, depuis lors, a fait son chemin. Dans le temple érigé à Jemeppe – Jérusalem de la nouvelle doctrine – et qui coûta 100.000 francs à M. Deregnancourt, le bon Samaritain du jeune bien que septuagénaire Messie, c'est par milliers – huit à neuf cents en moyenne par jour – que les malades affluent. Il en vint douze mille en une fois, à Pâques dernières, et la plupart s'en retournèrent guéris.
    Enfin le 5 décembre 1910, une pétition de posée sur le bureau de la Chambre des représentants, à Bruxelles, et paraphée de 160.000 signatures de citoyens cultivés, de professeurs, voire de médecins, sollicitait des pouvoirs publics la reconnaissance officielle du culte antoiniste.
    Deux de nos départements, le Nord et l'Aisne, comptent actuellement de nombreux adeptes. Des groupes importants de fidèles se sont fondés à Tours, Vichy, Nice, Monte-Carlo, Aix-les-Bains, Grenoble, et Paris même, au siège de la Fraternelle, 183, rue Saint-Denis, où chaque dimanche de cinq à six, les Antoinistes s'assemblent pour lire et méditer en commun le Grand livre de la révélation.
    – C'est là, nous dit Mlle Camus, le 12 décembre dernier, que je reçus en plein cœur l'illumination du Père. Je ne l'ai jamais vu. J'irai lui faire visite au printemps.
   » On dit qu'il est, aujourd'hui, presque totalement dématérialisé et qu'il est la réincarnation parfaite du Christ. Voyez : la ressemblance n'est-elle pas frappante ? »
    Sourie qui voudra ; c'est chose toujours émouvante de se pencher sur le berceau d'une religion.
    Et voici qu'en deux mois de temps, la plus humble des inspirées, une obscure petite ouvrière, a obtenu quarante guérisons.

Le Matin, 22 février 1912


    Le Bourguignon du 23 février 1912 cite cet article :

Encore une religion qui apparaît (Le Matin, 22 février 1912)

 

Les grands miracles de la petite modiste morvandelle.
    [Notre confrère le Matin consacre l'amusant article qui suit, à une de nos jeunes compatriotes de l'Avallonnais, modiste à Paris].

 

L'Écho de l'Yonne, 3 mars 1912

Un article de L'Écho de l'Yonne, du 3 mars 1912, cite également cet article du Matin.

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