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Enterrement - Cercueil du Père dans le porche du temple

Publié le par antoiniste

Enterrement - cerceuil du Père dans le porche du temple

On voit l'emblème de l'Arbre de la Science de la Vue du Mal et on aperçoit l'Enseignement posé sur le cercueil.

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Nouveau Spiritualisme

Publié le par antoiniste

Nouveau SpiritualismeNouveau Spiritualisme

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Voici deux photos (mises amicalement à notre disposition par la desservante du Temple des Disciples du Père et Mère, à Retinne, soeur Arlette, cf. le lien vers le groupe FaceBook en haut à gauche) illustrant l'évolution de la formation du Culte par le Père Antoine (à l'époque encore Antoine le Guérisseur).

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No pain, No gain (Sans épreuve, point d'avancement)

Publié le par antoiniste

    Expression d’origine anglaise, sa traduction en français littérale serait "sans d’effort, pas de récompenses" que l’on peut alors rapprocher de notre expression figée "qui ne tente rien n’a rien" ou "pas de mérite sans effort" ou encore cette citation, tirée du Cid de Pierre Corneille, "A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire". En anglais, on trouve l'expression "No pain no gain" pour la première fois au XIIe siècle, puis est réinterprétée au XVIIe avant d’être popularisée au XVIIIe par Benjamin Franklin.

Source : http://www.linternaute.fr/expression/langue-francaise/13897/no-pain--no-gain/

    Il a pris de l’importance après 1982 lorsque l’actrice Jane Fonda a commencé à produire une série de vidéos d’entraînement aérobic. Dans ces vidéos, Fonda utilisait "No pain, no gain" et "Feel the burn" comme slogans pour le concept de travailler au-delà du point de ressentir des douleurs musculaires. 0L’expression a été adoptée dans une variété d’activités sportives et de remise en forme, du début des années 80 à nos jours.

Source : https://en.wikipedia.org/wiki/No_pain,_no_gain

 

Origine :

    Une forme de cette expression se trouve au début du IIe siècle, dans Chapitre des pères 5:21 (connue en hébreu sous le nom de Pirkei Avot) :

:« 

לְפוּם צַעֲרָא אַגְרָא   

»

בֶּן הֵא הֵא אוֹמֵר  

    Le rabbin Ben Hei Hei dit : "En accord avec le travail, il y a la récompense." [lapom tsara agra]

     - Pirkei Avot 5:23

    Ceci est interprété comme une leçon spirituelle ; sans la douleur de faire ce que Dieu ordonne, il n’y a aucun gain spirituel.

    En anglais, l’une des premières attestations de la phrase vient du poète Robert Herrick dans ses "Hesperides". Dans l’édition de 1650, un poème de deux lignes a été ajouté :

NO PAINS, NO GAINS.

 

    If little labour, little are our gains:

 

    Man's fate is according to his pains.

AUCUNE DOULEUR AUCUN GAIN.

     À peu de travail, peu de gains :

     Le destin de l’homme dépend de ses douleurs.

     - Hesperides 752.

    Une version de la phrase a été conçue par Benjamin Franklin, dans son personnage de Poor Richard (1734), pour illustrer l’axiome "God helps those who help themselves" (« Dieu aide ceux qui s’aident eux-mêmes ») :
    Industry need not wish, as Poor Richard says, and he that lives upon hope will die fasting. There are no gains, without pains...
    « L’industrie n’a pas besoin de le souhaiter, comme le dit le pauvre Richard, et celui qui vit d’espoir mourra à jeun. Il n’y a pas de gains, sans douleurs... »

     - tel que réimprimé dans The Way to Wealth (1758)

Source : https://en.wikipedia.org/wiki/No_pain,_no_gain
& https://he.wikipedia.org/wiki/לפום_צערא_אגרא

 

    L’expression hébreu biblique peut être rapprochée également à l’expression française : « Tout travail mérite récompense » que l’on retrouve dans les Contes nouveaux et nouvelles nouvelles en vers de Henri Pajon (1753) les Éléments raisones de la gramaire françoise de Joseph Roullé (1797).
    Elle semble une adaptation de l’italien Per nulla il prete non canta messa (« Le prêtre ne chante pas la messe pour rien »).

    Mais venons-en à l’expression que l’on trouve dans l’Enseignement : Sans épreuve, point d’avancement ». On la retrouve dans plusieurs chapitres (La Révélation, Lois dites de Dieu, p.47 ; La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité, p.127 ; La Révélation, L'existence de Dieu est la négation de la matière & l'existence de celle-ci la négation de celle de Dieu, p.168, §2 ; La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien, p.176) ainsi que dans le Dixième principe : « Sachez qu'une grande épreuve / Sera votre récompense ».

    Il semble que c’est bien le Père qui y soit à l’origine. On ne la retrouve sous cette forme nulle part ailleurs que dans l’enseignement. Aurait-elle un lien avec l’expression wallonne : i n’a nole avance, souvent rendu en français (jusque dans le Nord de la France) par « il n’y a pas d’avance » et qui signifie « ça ne sert à rien. »

 

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Cercueil du Père mené par les adeptes

Publié le par antoiniste

Cerceuil du Père mené par les adeptes

source : Que savez-vous du culte antoiniste ? (Édité par Jemeppe)

Cerceuil du Père mené par les adeptes

Funéraille du Père (archives de Roland AE Collignon)

Cortège funèbre du Père vers le cimetière de Jemeppe (Archives du Temple de Retinne)

Cortège funèbre du Père vers le cimetière de Jemeppe (Archives du Temple de Retinne)

en tête de cortège funéraire, tête baissée, le frère Florian Deregnaucourt

La photo est également dans les archives de Sœur Mya

C'est une photo de la presse publiée dans l'Excelsior, le 2 juillet 1912

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Ernest Blanc-Talon, Grand Prêtre (Excelsior 30 août 1912)

Publié le par antoiniste

Ernest Blanc-Talon (Excelsior 30 août 1912)

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Mère au temple de Paris avec le bonnet blanc

Publié le par antoiniste

Mère au temple de Paris avec le bonnet blanc

Ici, au temple de Paris 13e, rue Vergniaud, le 25 juin (Jour du Père) 1935 avec le bonnet blanc

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Le Père Dor (Les célèbres défenseurs), 16 mai 1917

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Le Père Dor (Les célèbres défenseurs), 16 mai 1917

Lucien Lebeau, avocat de Charleroi
Louis Morichar, avocat à la cour d'appel de Bruxelles

LES CÉLÈBRES DÉFENSEURS du CHRIST au XXe SIÈCLE
16 MAI 1917

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Le Fraterniste et Le Petit Fraterniste

Publié le par antoiniste

Le Fraterniste (9 février 1911)

Numéro du 9 février 1911 du Fraterniste,
Organe de l'Institut général psychosique : revue générale de psychosie / dir. Jean Béziat / adm. Paul Pillault

Le Fraterniste (9 février 1911)

numéro du 1er septembre 1922

Le Petit Fraterniste. Spiritualisme moderne, scientifique et philosophique (faisant suite au Fraterniste)

 « Les morts ne sont pas des absents, mais des invisibles. » Le Petit Fraterniste se plaît à répéter dans ses pages cette affirmation de Victor Hugo qui, de son exil de Jersey puis de Guernesey, interrogeait volontiers les tables tournantes.
Le Petit Fraterniste traite en effet, comme il l'affirme au-dessus de son titre de « Psychosie… Spiritisme… Philosophie ». Les débuts du périodique sont modestes. Lors de son lancement, il se présente, sous la forme de deux feuilles ronéotypées, écrites sur deux colonnes, « en manuscrit au limographe » précisera son directeur Henri Lormier. Le premier numéro ne comporte encore aucune date, aucune adresse.
La justification du néologisme « fraterniste » par son directeur n'éclaire guère des esprits peu initiés sur le « psychotisme ». Cette déclaration relève surtout d'un idéalisme aux accents naïfs prêchant l'amour et la fraternité : « Il faut donc être fraterniste, c'est-à-dire tolérant, bon secourable, charitable, patient et doux. Et pour être bon fraterniste, il faut savoir aimer mieux son prochain que soi-même. Plus il y aura de fraternistes, plus il y aura d'amour de bonté, de charité. Cette trinité est la seule vraie, elle est divine, elle est tout. »
Le second article est beaucoup plus révélateur des intentions de ce périodique. Il s'agit d'une longue lettre de Jean Béziat, guérisseur de son état. Créateur du psychosisme, une doctrine étudiant l'influence du monde de l'occulte sur l'homme, il évoque sa vie, ses « travaux » depuis qu'il a quitté le Nord en 1914. Le numéro 2 du Petit fraterniste, daté du 15 mai 1922, lui permet d'expliquer le psychotisme. Cet exposé doctrinal est complété par une liste de périodiques recommandés aux lecteurs : essentiellement des publications de Kardec, fondateur de la Revue spirite, de Léon Denis, président d'honneur de l'Union spirite française, Gabriel Delanne. Dans les numéros suivants, le journal révèle aussi que les activités de Béziat ne font pas l'unanimité. L'homme est en effet poursuivi pour la troisième fois pour ses activités de guérisseur.

La forme de la publication ne devait être que provisoire. Lormier l'avait déjà annoncé dans le premier numéro : « Plus les lecteurs seront nombreux, plus vite le journal sera imprimé. » Celui-ci l'est à partir du 1er août 1922. Vendu 50 centimes le numéro, il comporte quatre pages de format 25 x 32 cm, et imprimées sur trois colonnes par G. Boyau, rue Méaulens à Arras. Son siège est situé chez Lormier, 12, rue des Bouchers-de-Cité et il paraîtra le 1er et le 15 de chaque mois.
Sous le titre deux citations : « Je suis homme et rien de ce qui touche à l'humanité ne doit m'être étranger » du poète latin Térence, et « La plus grande maîtrise est celle de soi-même » de Léonard de Vinci 1452-1519, mais aussi deux invitations « Lire, relire et méditer », « Conserver avec soin chaque numéro ».
Son objet est devenu le « spiritualisme moderne scientifique et philosophique » que Lormier explique avec les mêmes mots dans une nouvelle profession de foi : [Les] « croyants, au spiritualisme raisonné, logique, se font un devoir d'exposer leur foi et leur morale : Aimer et toujours faire le bien, consoler, encourager, aider les faibles, secourir la détresse, en un mot, remplir utilement sa vie de passage sur terre devant servir d'instruction à ceux qui restent après eux. […] Pas de sectarisme, pas de dogme philosophique, des pensées exposées, des idées développées, un encouragement constant dans la voie évolutive de tout progrès et surtout de toutes les croyances. »
Quelque trois mois plus tard, le 15 novembre 1922, le directeur de la publication affiche sa satisfaction : « Le succès s'affirme, l'œuvre grandit ! ». Il ajoute que le périodique fidélise 400 abonnés. Cette réussite lui permet, à lui ou aux théoriciens de la « psychosie », de voir plus grand. Le Petit Fraterniste redevient Le Fraterniste. Ce journal « d'avant-guerre », fondé par Jean Béziat, « reprend après un sommeil forcé, une léthargie dont il sort victorieux » annonce triomphalement l'Arrageois (1).
Comme pour mieux prouver qu'il s'agit d'une renaissance, la première livraison du Fraterniste d'après guerre, datée du 1er janvier 1923, porte le n° 193. Une des boucles de la première lettre de son titre écrit en cursives porte la date de sa fondation : 1910. Son directeur-gérant est toujours Henri Lormier, mais son « directeur psychotique » est Jean Béziat, guérisseur d'Avignon.
De format 45 x 62 cm, ce périodique, imprimé sur six colonnes par Crépin et Louven à Douai, se présente comme l'« organe de l'institut général psychosique ». Tous les 1er et les 15 de chaque mois, il proposera des « études scientifiques et sociales [sur le] psychisme, l'occultisme, le pacifisme, le féminisme, la psychologie ». Le prix de l'abonnement au « plus grand journal de conquête spiritualiste et d'études métapsychiques » est de 12 F, soit 0,60 F le numéro. Le siège est toujours à Arras, mais le périodique annonce deux bureaux, à Paris et à Lyon, qui correspondent à l'adresse de deux guérisseurs magnétiseurs.
La Une s'ouvre généralement par un article de Jean Beziat. Les autres chroniques sont signées : Albin Valabrègue, L. Ferrand, Saltzmann, guérisseur magnétiseur, mais aussi Marinette Benoit-Robin... Le Nord est-il une terre plus sensible aux théories du psychotisme que le Pas-de-Calais ? Lormier qui fait régulièrement le point sur les activités des cercles fraternistes, parle de réunions à Douai, à Cambrai, à Valenciennes, à Saint-Saulve, mais n’évoque aucune ville du Pas-de-Calais. Le dernier numéro consultable aux Archives départementales du Pas-de-Calais date du 1er janvier 1924, mais la publication se poursuit au moins jusqu’à ma veille de la Seconde Guerre. Sin siège est alors 178, rue du Faubourg à Sin-le-Noble.

(1) Nous n’avons trouvé aucun exemplaire de ce Fraterniste d’avant-guerre aux Archives départementales du Pas-de-Calais. Par contre, la médiathèque de Lille en possède quelques exemplaires (Jx 88 : 1911, février à juillet 1914 [manque mai])

Source : https://www.presselocaleancienne-hdf.fr/fiche/789

Le Fraterniste et Le Petit Fraterniste

Le Petit Fraterniste (in Revue scientifique et morale du spiritisme, v25, 1922)

Le Fraterniste et Le Petit Fraterniste

Le Fraterniste, un des derniers numéros (janvier 1939)

    Jules Berthelin fonde Le Biéniste en avril 1922 avec Mme Dubuc et Mlle Duval, secrétaire de Paul Pillault. Des questions matérielles, la perversité de certaines personnes qui ne savent pas résister à l'attrait de l'argent, nuisent à l'essor du mouvement, le journal sombre.
    Le Fraterniste reprend sa parution imprimée en janvier 1923. Le Petit Fraterniste a paru lui du 1er mai 1922 au 15 juillet 1922 en version manuscrite et du 1er août au 15 novembre 1922.

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Temple de Roanne - L'auréole de la conscience (intérieur)

Publié le par antoiniste

Temple de Roanne - L'auréole de la conscience (wiki)

source : wikipedia

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