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Hellemmes-Lille (1923-1943)

Publié le par antoiniste

Hellemmes-Lille (1923-1943)

Adresse : 56, rue Jean-Bart - 59260 Hellemmes-Lille

Hellemmes-Lille (1923-1943)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source :  11/08/1932 (remonterletemps.ign.fr)

Date de consécration (par Mère) : 27 septembre 1925

Anecdote :   "C’était frère Galliez qui était desservant puis après sa fille Sœur Jeanne qui s’est mariée avec frère Jean Lovinfosse puis Sœur Francine Lemesre qui était desservante et son époux Frère Marcel Lemesre qui l’aidait car il travaillait encore quand ils ont été au temple de Lille !" (Souvenir de Sœur Sylviane) 

   Frère et Sœur Jeannin, aidés de frère Lovinfosse, sont à l'origine des cahiers (les Tomes) rassemblant les pensées de Père et de Mère et mis à disposition dans les Temples français. Frère et Sœur Laho y ont longtemps fait du service

    Détruit par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale en janvier 1943, il semble n'en rester aucun document. La rue Jean-Bart constituait le quartier ouvrier de cette ville de la banlieue lointaine de Lille, avec notamment une filature et une Mission ouvrière dominicaine qui se maintint jusqu'au XXIe siècle.

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RONCQ - Les Antoinistes pendant la Guerre de 40

Publié le par antoiniste

Illustrations : Monique Delmotte et son beau-frère Jean-Luc Jéret nous font partager leur histoire familiale.

RONCQ
Mai 40 : l'histoire d'un petit carnet
Publié le dimanche 22 août 2010 à 06h00

    C'est un petit journal que tenait son père entre le 17 mai et le 20 août 1940. Un trésor familial que Monique Delmotte a retrouvé il y a quelques années et qu'elle nous fait partager.

    C'est un petit carnet beige. À vue de nez quatre centimètres sur huit que Monique Delmotte a retrouvé il y a cinq ou six ans dans la maison de ses parents, rue Jules Watteeuw. « J'ai pleuré quand je l'ai retrouvé. C'était très émouvant » , raconte la dame aujourd'hui âgée de 78 ans. Ce carnet, c'est un agenda, un petit journal que son père Marcel a tenu, au jour le jour, du 17 mai au 20 août de l'année 1940. Un trésor d'histoire familiale, marquée par la seconde guerre mondiale. Des souvenirs que Monique Delmotte nous fait partager.
    Elle n'avait que sept ans en 1940, son petit frère André un an. « Au début de la guerre, mon père était soldat au contrôle postal à Lille » . Au service du contre-espionnage, il était chargé d'ouvrir les courriers, la nuit. « Il avait pris l'habitude de fumer pour se tenir éveillé », se souvient-elle. Et puis, disait-on à l'époque, la fumée de tabac désinfectait le papier, susceptible d'être contaminé par la tuberculose. À l'invasion allemande, Marcel prend la route en camion avec son régiment vers Rennes. « Mon père a eu la bonne idée de prendre son vélo ». Un vélo avec lequel il faisait déjà les allers et retour entre Roncq et Lille, pour retrouver sa famille quand il avait des permissions.

« Adieu ou au revoir »
    « Adieu ou revoir ? À ma femme et mes chers petits enfants Monique et André ». D'une écriture fine en italique, à la date du 17 mai 1940, Marcel Delmotte s'interroge. Ce n'est que le 19 mai que le régiment prend le départ. Haubourdin, Aire-sur-la-Lys, Montreuil, Maronne, Moulineaux... Marcel Delmotte arrive une semaine plus tard à Rennes. « Déjeuner et dîner à Cesson, le soir départ pour Rennes. Lettre à Marguerite », écrit -il à la date du 24 mai.
    « Lettre à Marguerite », une annotation qui revient toujours au fur et à mesure des pages. Mais les lettres ne parviennent jamais à son épouse restée à Roncq. « Ma mère envisageait d'évacuer avec mon frère et moi, comme tout le monde, se souvient Monique Delmotte, c'est mon oncle Jules Renaerd qui l'a découragée de ne pas partir, seule sur les routes avec deux enfants ». Finalement, la famille Delmotte restera à Roncq. « Heureusement. Beaucoup de gens partaient, les commerçants aussi. Mais il y a un boulanger du Blanc Four qui n'est pas parti, il disait "si je pars, les gens n'auront plus de pain" ».

« Je ne vois que la route, la route, la route »
    De son côté à Rennes, Marcel Delmotte et le régiment ont ordre de rejoindre Villeneuve-sur-Lot... mais par leurs propres moyens. « Heureusement que mon père avait pris la précaution de prendre son vélo ». Il part le 6 juin. Et au fur et à mesure des jours, les lettres se succèdent pour Marguerite, qui, elle, ne les recoit toujours pas. « On n'avait aucune nouvelle de lui. Alors ma mère est allée consulter les Antoinistes. La mère lui a dit qu'il fallait penser très fort à Dieu le père. Puis elle a prié pour chercher mon père parmi les morts, il ne s'y trouvait pas. Parmi les noyés, il ne s'y trouvait pas, parmi les prisonniers non plus. "Je ne vois que la route, la route, la route", disait-elle ».
    Après la démobilisation du 3 août, Marcel Delmotte est effectivement sur la route. Le 5, il part de Villeneuve-sur-Lot, pour un périple - semblable au tour de France - qui le ramènera jusque Roncq. « Langon » (en Gironde) : c'est la dernière annotation de Marcel Delmotte à la date du 20 août.
    Monique ne saurait plus dire la date précise : « C'était un samedi en fin d'après-midi. il est enfin rentré. Maman avait conservé une bouteille de Malaga pour l'ouvrir à son retour. La bouteille a donc été ouverte ».
    Le 21 juillet 1946, Marguerite et Marcel Delmotte ont leur troisième enfant, Claudine.

Nord-Eclair, le dimanche 22 août 2010
source : http://www.nordeclair.fr/Locales/Tourcoing/Environs/2010/08/22/mai-40-l-histoire-d-un-petit-carnet.shtml

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Tracts sur l'antoinisme

Publié le par antoiniste

(TRACT SUR L'ANTOINISME). — Je vous serais très reconnaissant de vouloir bien m'indiquer quelques brochures, dont je pourrais me servir pour étudier et combattre l'antoinisme.
    Cette secte vient d'établir un temple dans notire ville et bien des âmes faibles ne savent que répondre aux commis-voyageurs qui leur parlent de cette nouvelle superstition.

    Je crois avoir lu, peut-être dans la Revue des lectures, qu'il existe un tract sur ce sujet. Pourriez-vous m'en indiquer l'éditeur ou mieux, si je ne suis pus indiscret, m'envoyer une centaine d'exemplaires ? D'avance, je vous remercie au nom des âmes à qui je pourrai ainsi rendre service.

R. — Nous avons fait expédier le tract. On le trouve à la librairie de la « Croix du Nord », 1, rue des Sept-Agaches, à Lille (Nord).

Revue des lectures, 1928
source : gallica

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Costume antoiniste dans les années 30

Publié le par antoiniste

    On voit ici les voiles des femmes, et les chapeaux, dont certains sont des chapeaux-melons.

Lors de l'inauguration du temple d'Hellemmes (Nord), fait par la Mère (le Père s'étant désincarné en 1912, il était présent en pensée pour cette consécration).

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HELLEMMES - Culte antoiniste (1925)

Publié le par antoiniste

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