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albert jeannin

Albert Jeannin, Paris

Publié le par antoiniste


    Né en 1894 dans les Yvelines, il fut inspecteur d'enseignement primaire. Il entre dans la Marine en 1911. Pendant la 1er guerre mondiale, "affecté au Bataillon de Fusiliers Marins, il est cité à l'ordre de l'Armée navale en février 1919 : "Officier particulièrement brave ; le 14 septembre 1918, a entraîné superbement sa troupe à l'attaque. Bien que blessé une première fois, a continué à diriger énergiquement son unité jusqu'au moment où un éclat d'obus lui fracturant gravement la jambe l'obligea à abandonner le commandement. A donné à tous un superbe exemple de courage et d'énergie.".
    Gazé et blessé au front, il avait été amené sur une civière à Jemeppe par ses parents antoinistes (Victor et Emma Jeannin), et la Mère Antoine l'avait guérit. Il reçoit la légion d'honneur. En 1936, il est retraité en tant que blessé. Il devait marché encore longtemps avec une béquille, comme on le voit sur une carte postale représentant le temple de Paris dont il fut desservant, dans la rue du Pré-Saint-Gervais. Il était présent à l'inauguration du Temple de Retinne en 1968, sans canne ni béquille.
    Il se marie en 1924 avec Yvonne Vachter à Bruxelles.
    Le couple habite alors quelque temps sur place et ils louèrent une maison dans la rue longeant le temple. Après guérison, les Jeannin retournèrent habiter dans la ville de Paris et en reconnaissance, y établirent un temple antoiniste aux environs des Buttes Chaumont, dans le 19e arrondissement. Le frère Albert Jeannin a été le Secrétaire Moral du Collège des Desservants de France jusqu'à sa désincarnation.
    Il se désincarne le 4 juin 1970. Sa femme se désincarne le 19 décembre 1973.

Albert Jeannin, Paris


signature sur le procès-verbal de remise de la Légion d'honneur


    Jacques Cécius nous renseigne sur sa désincarnation : "J'étais présent lors des funérailles du frère Jeannin, qui fit énormément pour la pénétration du Culte en France. Je n'ai, bien entendu, pas compté les adeptes présents, mais il y en avait plusieurs centaines, voire un millier, dont de nombreux "costumés", ce y compris des enfants. Contrairement à l'habitude, la lecture des Dix Principes se fit au temple, avant le départ pour le cimetière de Baigneux-parisien. A l'époque temples belges et français s'étaient "réconciliés". La lecture au temple et au cimetière fut d'ailleurs faite par le frère Lucien Miot, qui avait été l'artisan de cette "réconciliation" et qui avait créé une revue, le "Journal d'informations morales"."
    A Paris, la fille de M. et Mme Jeannin, sœur Christiane Marcelle Jeannin, née à Jemeppe en 1925, poursuit l’œuvre entamée par ses parents. Elle fut par ailleurs nommée Président du conseil d'administration de la clinique médicale du Château de Goussonville. Elle a un frère, Alfred, dit "Freddy", né également à Jemeppe en décembre 1926 et qui fut médecin.

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Hellemmes-Lille (1923-1943)

Publié le par antoiniste

Hellemmes-Lille (1923-1943)

Adresse : 56, rue Jean-Bart - 59260 Hellemmes-Lille

Hellemmes-Lille (1923-1943)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source :  11/08/1932 (remonterletemps.ign.fr)

Date de consécration (par Mère) : 27 septembre 1925

Anecdote :   "C’était frère Galliez qui était desservant puis après sa fille Sœur Jeanne qui s’est mariée avec frère Jean Lovinfosse puis Sœur Francine Lemesre qui était desservante et son époux Frère Marcel Lemesre qui l’aidait car il travaillait encore quand ils ont été au temple de Lille !" (Souvenir de Sœur Sylviane) 

   Frère et Sœur Jeannin, aidés de frère Lovinfosse, sont à l'origine des cahiers (les Tomes) rassemblant les pensées de Père et de Mère et mis à disposition dans les Temples français. Frère et Sœur Laho y ont longtemps fait du service

    Détruit par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale en janvier 1943, il semble n'en rester aucun document. La rue Jean-Bart constituait le quartier ouvrier de cette ville de la banlieue lointaine de Lille, avec notamment une filature et une Mission ouvrière dominicaine qui se maintint jusqu'au XXIe siècle.

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Anniversaire du Temple de Retinne (1983)(Sœur Arlette Weerts)

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Anniversaire du Temple de Retinne (1983)(Soeur Arlette)

Anniversaire du Temple de Retinne (1983)(Sœur Arlette Weerts)

Le 10 Novembre 1968-1983
15ème anniversaire de la
Consécration du Temple Antoiniste situé:
3 rue de la Briqueterie (Retinne)

       Rue Carl Jost, un frère dévoué et sa femme mirent à la disposition des adeptes une pièce de leur modeste maison pour y faire les lectures et chaque dimanche nous étions heureux de nous retrouver ensemble.
       Ce groupe devint de plus en plus grand et quand il fut question de bâtir un Temple, nous nous y sommes mis tous avec un vif désir de réaliser au plus tôt ce que nous pressentions seulement ! Petit à petit tout s'est mis sur le chemin pour faire aboutir ce beau projet. Sans une grande solidarité, il n'aurait pas été possible de trouver les fonds nécessaires, puisque l'Oeuvre est désintéressée et tout se fait gratuitement. Durant plusieurs années des personnes généreuses et charitables ont contribué par des dons dans la boîte aux lettres, parfois dons importants, parfois dons modestes, pour construire le Temple. Franc par franc a été épargné !
       Juste une semaine après la Fête de MERE, le 10 Novembre 1968 – enfin – notre Temple était là, bien achevé et prêt à recevoir tous les frères adeptes convaincus d'ici et d'ailleurs.
       Même la commune avait aidé à la réussite de ce grand jour. Les rues étaient fléchées pour pouvoir situer facilement l'endroit du Temple, un local chauffé dans l'école de la Cité fut mis à la disposition des adeptes et l'on pouvait se procurer une légère collation et boissons chaudes.
       Notre bon frère JEANNIN, très éprouvé cependant a fait le long voyage de Paris pour faire la Consécration de ce Temple, construit avec beaucoup d'amour. Toute l'organisation était impeccable et préparé avec soin de longue date. Dans le Temple, il n'y avait ni bancs, ni chaises pour permettre le plus grand nombre d'adeptes à pouvoir prendre place. Plusieurs OPERATIONS furent nécessaires pour que chacun puisse entrer et savourer le bon fluide éthéré ! Nos coeurs battaient à l'unisson, beaucoup de personnes de Belgique et de France étaient présents, venus en car ; tous se souviennent encore de ce jour !
       Quinze années ont passé et le travail intégral, tel que PERE et MERE l'ont montré, tel qu'ILS l'ont souhaité, se fait toujours sans rien y changer.

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Frère Jeannin (Archives du Temple de Retinne)

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Frère Jeannin (Archives du Temple de Retinne)

Frère Jeannin (Archives du Temple de Retinne)

"Les Disciples de Père et Mère Antoine" A.S.B.L. créée pour faire le travail moral,
tel que Mère nous l'a transmis.
Le Temple : 10-11-1968-
Consacré par Fre Jeannin, du Culte Antoiniste de France - à Paris.

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Sr Jeannin - Pré-St-Gervais 1970 (Archives du Temple de Retinne)

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Sr Jeannin - Pré-St-Gervais 1970 (Archives du Temple de Retinne)

 

 

Sr Jeannin - Pré-St-Gervais 1970
(Archives du Temple de Retinne)

 

 

    Le frère Albert Jeannin se marie avec Yvonne Eugénie Marie Vachter à Bruxelles (dont elle est originaire) le 18 mars 1924, à leur retour de Jemeppe où leur deux enfants naitront. 

 

 

    Régis Dericquebourg (p.56) nous informe encore : L'attente d'un retour ne s'est probablement pas limitée au Père. Nous pouvons lire dans une lettre d'un adepte à Sœur Jeannin (1973) "que bientôt les anciens adeptes vont se réincarner pour redonner un second souffle à l'expansion du Culte". Pour être honnête, il faut dire que l'auteur de ces lignes nous a confié qu'il ne fallait pas prendre cette phrase à la lettre. Néanmoins l'idée est présente.
    Régis Dericquebourg ne nous dit donc pas comment Sœur Jeannin a reçu cette pensée.

 

    Sœur Jeannin se désincarne le 19 décembre 1973.

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Frère Miot - Sr Jeannin - Pré-St-Gervais 1970 (Archives du Temple de Retinne)

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Culte antoiniste à Schaerbeek (L'Indépendance Belge, 4 août 1925)(Belgicapress)

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Culte antoiniste à Schaerbeek (L'Indépendance Belge, 4 août 1925)(Belgicapress)

LE CULTE ANTOINISTE

    Rue Jacques Rayé a été inauguré dimanche, en présence de nombreux adeptes venus du Hainaut et surtout de Liége, un temple dédié au culte antoiniste.
    La mère Antoine présidait et M. Janin, ancien commandant de la marine française officiait.

L'Indépendance Belge, 4 août 1925 (source : Belgicapress)

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Un nouveau temple antoiniste à Schaerbeek (L'Étoile belge, 3 août 1925)(Belgicapress)

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Un nouveau temple antoiniste - Schaerbeek (L'Étoile belge, 3 août 1925)(Belgicapress)

 UN NOUVEAU TEMPLE ANTOINISTE

    Dans toute la ville, on rencontrait, hier, des citoyens paisibles aux mines austères de quakers, et tout de noir vêtus, le corps serré dans une longue lévite étroitement boutonnée jusqu'au col, coiffés d'un chapeau haut-de-forme en feutre mat, aux larges bords plats. Avec eux, de très nombreuses femmes en uniforme, rappelant celui de certaines béguines : mantille et bonnet noir entouré de tulle tuyauté.
    Ce n'est pas sans une certaine curiosité que les passants les dévisageaient, intrigués la fois par leur nombre et par leurs mines compassées.
    Qui était-ce donc ? Tout simplement des adeptes du culte antoiniste, venus de tous les coins du pays pour assister à la consécration du nouveau temple de Schaerbeek. De Liège seulement, par trois trains spéciaux, il en était arrivé plus de 1800.
    Le nouveau temple – le troisième à Bruxelles – est situé rue Jacques Rayé, une artère à peine amorcée au milieu de terrains vagues, près du boulevard de la nouvelle ceinture. Rien de l'aspect d'une cathédrale d'ailleurs. C'est un gentil bâtiment en briques roses, percé de larges baies et aux portes de chêne clair.
    A 9 heures du matin, il y a là une foule immense d'hommes en lévite, de femmes en mantille, et, lorsqu'une pluie soudain se met à tomber, c'est une boule de houle de parapluies qui s'étend à perte de vue. Il y a aussi pas mal de profanes, attirés là par la simple curiosité et dont les vêtements clairs jettent, parmi tout ce noir, une image choquante.
    La mère Antoine, souveraine pontife du culte – qui est aujourd'hui officiellement reconnu par les pouvoirs publics – tint à venir en personne procéder à la consécration du temple, mais son état de santé ne le lui a pas permis.
    Une adepte que nous interrogeons nous dit que la Mère est, à son avis, en train de se préparer au « grand voyage ». Il annonce cela, sans affectation, simplement, comme une chose naturelle dont on ne saurait s'émouvoir ou s'attrister. La Mère Antoine a, en effet, près de 80 ans, mais le Père dit que la mort était le commencement de la vie.
    En son absence, c'est le frère Musin – reconnu par ses coreligionnaires comme un homme éclairé dans l'enseignement du culte – qui va procéder à l'opération avec l'aide de la Mère de Rogneaucourt.
    Le culte est fort simple d'ailleurs. Quelques adeptes se sont groupés sur le parvis du temple devant lequel on a amené l'emblème du culte : l'arbre de la science et de la vue du mal, en zinc découpé et monté sur une longue hampe.
    Devant lui, tous les assistants se découvrent et le frère Musin, l'air inspiré, lève les bras vers la foule dans un geste d'imposition. Cette attitude d'ailleurs le transfigure, ses traits se détendent, se figent, dans une expression de béatitude, comme si une paix immense descendait en lui. Ses yeux, levés vers le ciel, peu à peu se révulsent. Un courant fluidique semble s'établir entre lui et les autres frères et sœurs qui le fixent, hypnotisés, et on sent comme le souffle de leur foi intense qui passe, les unissant dans une communion spirituelle, émouvante, hallucinante même.
    Soudain, une sœur arrivée au paroxysme de la tension nerveuse s'évanouit, sans même que l'attention de ses voisins s'en distraie. On l'emporte à l'écart et c'est tout. Sur tous ces visages comme pétrifiés où les yeux seuls vivent, animés par la flamme d'une révélation mystérieuse, la même expression de mysticisme frappe.
    Ils voient, ils sentent, par on ne sait quel obscur mécanisme de psychose collective qui se propage dans l'atmosphère recueillie, de sublimes abstractions dégager leur esprit de la matière et l'inonder de lumière par le miracle de la foi.
    C'est comme une extase.
    Mais la pluie lentement se met à tomber et le frère Janin, officiant du nouveau temple, ancien commandant de la marine française, procède à la lecture des dix principes de Dieu, révélés au père Antoine, et transmis par celui-ci à ses disciples. Le style en est quelque peu hermétique, mais, nous dit un frère, il paraît que personne ne peut dès l'abord en saisir la profondeur. Il faut la pratique et surtout la foi.
    En voici quelques-uns :

Si vous m'aimez,
Vous ne l'enseignerez à personne,
Puisque vous savez que je ne réside
Qu'au sein de l'homme.
Vous ne pouvez témoigner qu'il existe
Une suprême bonté
Alors que du prochain vous m'isolez.
*
*   *
Quand vous voudrez connaître la cause
De vos souffrances,
Que vous endurez toujours avec raison,
Vous la trouverez en l'incompatibilité de
L'intelligence avec la conscience
Car elles sont la base des termes de comparaison.
Vous ne pouvez ressentir la moindre souffrance
Qu'elle ne soit pour vous faire remarquer
Que l'intelligence est opposée à la conscience.
C'est ce qu'il ne faut pas ignorer.
*
*   *
Ne vous laisser pas maîtriser par votre intelligence
Qui ne cherche qu'à s'élever toujours
De plus en plus ;
Elle foule aux pieds la conscience,
Soutenant que c'est la matière qui donne
Les vertus,
Tandis qu'elle ne renferme que la misère
Des âmes que vous dites
« Abandonnées »,
Qui ont agi seulement pour plaîre
A leur intelligence qui les a égarées.
*
*   *

    Faut-il entendre par là que l'intelligence est incompatible avec la conscience et avec la croyance aux enseignements antoinistes ? Notre incompétence en cette exégèse ne nous autorise pas à risquer une interprétation. Mais revenons au temple.
    Bientôt les portes s'ouvrent et les fidèles sont autorisés à en visiter l'intérieur. Ce qui ne se fait pas sans encombre, étant donnée l'affluence. Une grosse demi-heure s'écoule avant que nous puissions, dans la cohue, atteindre le seuil.
    Une désillusion nous attend d'ailleurs. Plus rien ici ne rappelle l'intérieur d'un quelconque édifice consacré au culte église, synagogue, pagode, mosquée, pastophore ou hypèthre.
    C'est la nudité absolue, froide, sans aucune image ou ornement qui permette de reposer un instant le regard.
    Imaginez une vaste salle carrée de douze mètres de long sur autant de large, au sol carrelé, percée de trois baies aux vitres claires. Les murs blanchis à la chaux, d'une nudité uniforme et désolante encadrent cette vacuité. Dans le fond, un petit pupitre en bois peint, comme ceux qu'on trouve dans les écoles pauvres, est surmonté d'une affiche de papier bleu sur laquelle ce texte se détache en caractères blancs :

 L'AUREOLE DE LA CONSCIENCE
« Un seul remède peut guérir l'humanité ; La Foi ; c'est de la foi que naît l'amour : l'amour qui nous montre dans nos ennemis Dieu Lui-même ; ne pas aimer ses ennemis, c'est ne pas aimer Dieu ; car c'est l'amour que nous avons pour nos ennemis qui nous rend dignes de Le servir ; c'est le seul amour qui nous fait vraiment aimer, parce qu'il est pur et de vérité. »

     A part cela rien !
    Dans le Narthex qui donne accès à la salle, les naophylax et les néocorats canalisent la foule qui lentement fait le tour de la Cella. Çà et là, dans les angles, des mateologiens, plus ardents demeurent adossés au mur les mains jointes, les yeux clos, perdus dans une rêverie télétique, retranchés dans la tour d'ivoire de leur anagogie.
    Ils sont, chaque jour, plusieurs dizaines de milliers, comme cela, dans les 49 temples que le culte antoiniste a élevés à ce four pour servir à l'enseignement du Père ! Ce sont quelques dizaines de milliers de braves gens avides d'idéal !                                                                                                           G. H.

L'Étoile belge, 3 août 1925 (source : Belgicapress)

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Le nouveau temple à Schaerbeek (Le Peuple, 3 août 1925)(Belgicapress)

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Le nouveau temple à Schaerbeek (Le Peuple, 3 août 1925)(Belgicapress)    Le nouveau temple antoiniste, situé à Schaerbeek, rue Jacques Rayé, a été inauguré, dimanche matin, devant de nombreuses délégations venues de Liége et du Hainaut.
    Il y eut, deux cérémonies, l'une à l'intérieur, l'autre à l'extérieur du temple. M. Janin, ancien commandant de la marine française, officiait. La mère Antoine, une octogénaire, apparut en extase devant les adeptes, tandis que M. Janin disait :
    – « Au nom du père Antoine, la mère Antoine dédie ce temple au culte antoiniste. Nous allons méditer pendant quelques instants, et, selon notre piété, nous recevrons des grâces. »
    C'est tout. Mais cela fit, pendant quelque temps, une animation inaccoutumée autour du temple et dans les rues avoisinantes.

Le Peuple, 3 août 1925 (source : Belgicapress)

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Inauguration du Temple de Schaerbeek (2 août 1925)

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On peut suivre le déroulement dans plusieurs articles de journaux belges, dont Le Journal de Bruxelles.
Voici une photo prise à l'occasion:

Inauguration du Temple de Schaerbeek - 2 août 1925

Au loin, à droite on voit le Bd Lambermont avant l'urbanisation de ce quartier de Bruxelles.

Voici un détail de la façade avec encore le panneau du maître d’œuvre, Jean Tombeur :

Inauguration du Temple de Schaerbeek (2 août 1925)

On peut voir le porte-arbre, rôle dévolu au frère Delcroix (celui-ci se désincarne en l'année suivante),
et peut-être entrapercevoir la sœur Emma Deregnaucourt :

Inauguration du Temple de Schaerbeek (2 août 1925)

l'Opération sur le seuil par le frère Musin selon le Journal de Bruxelles et frère Jean-Marc Boffy ou
le frère Jeannin selon le Nieuwe Rotterdamsche Courant.

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