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La Révélation, La foi sauvegarde contre la mauvaise pensée (p.60)

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La Révélation, La foi sauvegarde contre la mauvaise pensée (p.60)

 

 

 

    Dieu c'est l'amour et c'est cette force que nous puisons en Lui.

La Révélation, La foi sauvegarde contre la mauvaise pensée, p.60

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La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité (p.130)

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La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité (p.130)

   Nous savons que nous avons notre conscience pour guide et Dieu pour soutien.

La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité, p.130

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Max Deauville - Dieu Tout-Puissant

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    Dieu Tout-Puissant. Nous aussi nous sommes des dieux à certaines heures, mais le rôle est trop lourd pour nos épaules sans doute, ou bien tu te plais à nous faire retomber sur la terre. Maudit sois-tu ! Dieu Tout-Puissant, nous sommes face à face. J’aime ma poitrine sur laquelle coule la nuit, mes bras qui se tendent vers toi, mon front que ta lumière inonde. Tout mon corps, où la vie coule harmonieusement malgré les années, s’élève vers toi. Je t’aime, mais je te hais aussi parce que tu es l’avenir, parce que tu es l’inconnu, la mort qui ferme les yeux. Où te caches-tu, toi qui es tout et qui n’es rien encore ? Dieu Tout-Puissant, je suis en ce moment tout ce qui existe sur la terre. Tout ce qui est autour de moi vit par moi, et je me suis installé en roi dans ton royaume. Comme toi je suis seul et je goûte à ton image, avec volupté, la profondeur du silence et de la solitude absolue.

Max Deauville, Tamerlan, 1938
source : http://www.maxdeauville.be/ex.php

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La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales (p.113-14)

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La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales (p.113-14)    L'homme voit toujours mieux qu'il ne peut faire et s'efforce de paraître ce qu'il n'est pas. Il est vrai que vouloir donner plus qu'on ne possède, c'est déjà comprendre le progrès et y aspirer. Notre préparation à cet effet nous procure une telle réjouissance que nous nous croyons déjà au but et aimons de nous y montrer longtemps avant d'y être. Nous ne pensons pas mal faire, le monde agit ainsi généralement parce que le point de mire est la bonté suprême et qu'on affecte volontiers de la posséder.

La Révélation, Le Devoir impose la pratique des lois morales, p.113-14


    Nous sommes déjà dans la vérité, mais notre degré d'évolution met un voile plus ou moins épais sur celle-ci. Avec patience et résignation, nous atteindrons l'unité absolue de l'ensemble. La vérité existe puisque nous voulons y arriver, sachons la cueillir en nous-même et ne cherchons pas à y arriver, cela serait de l'acharnement.
    Le mot "vérité" est le dernier mot de l'Auréole de la Conscience. La vérité est au bout du chemin. Et nous sommes sur le chemin, nous pouvons l'apercevoir, et nous l'atteindrons.

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Arbre de la Science de la Vue du Mal, le Bien, interprété l'opposé de la réalité (p.297-303)

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Arbre de la Science de la Vue du Mal, le Bien, interprété l'opposé de la réalité (p.297-303)

    Un visiteur. - Père, n'est-ce pas aller un peu loin de dire que tous nous arriverons à l'unité absolue, à être Dieu même ?
    Le Père.- Il nous a toujours été enseigné que Dieu est notre Père, que nous sommes tous ses enfants. Cette question n'est pas bien comprise, peut-être parce qu'elle n'est pas non plus bien raisonnée. Il importe de savoir si c'est Dieu qui nous a donné la vie, car vouloir démonter une chose, qui est encore pour nous un mystère, ce serait croire de parti pris.
    Pouvons-nous dire que Dieu nous a donné la vie, qu'Il nous a tirés du néant ? Ce serait vouloir proclamer une grande vérité et ensuite la dénaturer. Si Dieu nous faisait sortir du néant, n'étant pas issus de Lui, Il n'est pas notre Père, pas plus que nous ne sommes ses enfants. Dire que Dieu nous a tirés du néant n'est-ce pas donner à croire que la vérité elle-même en est sortie ? Ce serait enseigner qu'elle résulte de l'erreur car tout ce qui existe réellement a toujours existé et ce qui n'existe pas ne peut être que l'erreur.
    Il nous a également été enseigner que Dieu a fait sa créature à son image. Un père aurait-il bien des enfants que ne seraient pas à son image ? peut-il y avoir entre un père et sa progéniture une dissemblance naturelle ? Nous ne devons pas encore aller trop loin dans cette question, car si Dieu nous avait créés et qu'Il nous eût faits d'une nature différente de la sienne, Il ne pourrait plus être notre père ni nous ses enfants, Il nous aurait dénaturés, nous serions dans la raison en Le haïssant au lieu de L'aimer, nous ne pourrions plus avoir aucune considération pour Lui parce qu'Il aurait Lui-même démenti son amour. Un père ne cherche-t-il pas à faire toujours son enfant plus grand que lui ? Proclamer Dieu autrement, ce n'est plus proclamer sa toute-puissance et sa bonté, ses grandes vertus, au contraire, c'est inciter plutôt à Le déprécier ; c'est Le faire plus petit que sa créature, car l'amour de celle-ci pourtant imparfait ne lui permettrait pas de refuser à ses enfants ce que Dieu pourrait refuser aux siens. A quoi Lui servirait son amour s'il en était autrement ? Quelle autre chose que notre grandeur peut faire son bonheur ? Douter de cette vérité, c'est douter de son existence, renoncer à se rapprocher de Lui, ignorer l'efficacité du travail moral qui permet de s'acquérir la foi. Tous ceux qui suivent l'enseignement ne doivent pas se récrier de m'entendre proclamer que nous sommes tous des dieux et qu'en surmontant l'imperfection, nous formerons l'unité absolue de l'ensemble, Dieu Lui-même. Ne rendons-nous pas encore un plus grand témoignage à sa bonté et à son amour ? Où pourrions-nous puiser qu'en Lui ? N'est-ce pas Lui qui nous revêt de toute sa puissance et de toutes ses vertus, en nous disant : « Vous vous êtes donné la peine de venir à moi, eh bien ! à présent, agissez ; cest vous qui êtes moi et moi qui suis vous, vous êtes dans mon amour et moi dans le vôtre parce que vous vous l'êtes acquis. » Dieu n'est-Il pas ainsi plus encore que notre Père, puisqu'il s'efface complètement pour nous, tout en nous laissant puiser à notre gré dans son amour ? Et ne sommes-nous pas plus près de Lui encore que des enfants vis à vis de leur père, car plus nous sommes grands, plus est grand son bonheur ?
    Nous avons souvent répété que la foi seule peut comprendre la foi et sans travailler à l'acquérir, ces questions sublimes nous restent ignorées. La foi seule fera d nous le vrai Dieu.
    Dieu possédant toutes les vertus à un degré infini, le bonheur dont Il jouit ne le puise-t-il pas dans le nôtre ? Qui autre que nous pourrait être l'objet de son amour ? N'ayons alors nulle crainte de proclamer que nous sommes Dieu nous-mêmes, que nous voulons aussi aimer à l'infini ; car plus grands nous ferons-nous, plus grand sera le bonheur de Celui qui a toujours été proclamé Dieu, notre Père.

Le Développement de l'Enseignement du Père, Arbre de la Science de la Vue du Mal, le Bien, interprété l'opposé de la réalité, p.297-303

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Positivisme et néo-apostolisme

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    Parmi les mouvements chrétiens non conformistes apparus dans l'histoire contemporaine, l'Eglise catholique-apostolique est l'un des plus intéressants et originaux, mais aussi des plus méconnus, faute d'accès au matériel documentaire sur son histoire. Quelques volumes en langue française ont cependant été publiés de façon privée ces dernières années et permettent d'en savoir plus sur ce mouvement qui a presque disparu de la scène, mais dont le témoignage continue de retenir l'attention de petits cercles.
    Dans le grand public, le nom de l'Eglise catholique-apostolique ne dit pas grand chose, un bref rappel préliminaire s'impose donc. Le choc causé par les événements de la Révolution française suscita une vague de spéculations millénaristes dans le monde chrétien: plus d'un auteur se demanda si ces turbulences étaient annonciatrices de transformations bien plus radicales. On se demanda aussi si l'on ne pouvait trouver trace de l'annonce de certains des événements dans les livres bibliques, ce qui permettrait d'identifier des étapes d'un scénario prophétique en cours.
   
    Eglise catholique-apostolique: un bref rappel historique
    Tel fut notamment le cas dans des cercles chrétiens des Iles britanniques. Parmi ceux qui s'intéressèrent alors aux prophéties figurait le riche aristocrate et banquier Henry Drummond (1786-1860), chrétien convaincu, qui avait fondé en 1819 une Continental Society for the Diffusion of Religious Knowledge, afin de prêcher l'Evangile sur le continent européen et de distribuer des Bibles et traités religieux, mais sans essayer de créer des communautés religieuses séparées. A partir de 1826, Drummond réunit dans sa demeure d'Albury plusieurs conférences prophétiques, rassemblant aussi bien des anglicans que des membres d'Eglises protestantes dissidentes. L'un des participants était le pasteur presbytérien Edward Irving (1792-1834), brillant prédicateur de l'église de Regent Square.
    Les chrétiens rassemblées à Albury aboutirent à plusieurs conclusions, dont la suivante:
"Qu'une grande période de 1260 ans a commencé au moment du règne de Justinien et s'est achevée avec la Révolution française; et que les coupes de l'Apocalypse ont commencé à être versées [Apocalypse, chapitre XVI]; que notre Seigneur béni apparaîtra bientôt et que c'est donc le devoir de tous ceux qui croient ainsi de porter ces considérations à l'attention de tous les hommes."
    Un autre apport allait rapidement se conjoindre au premier. Au début des années 1820, le pasteur anglican James Haldane Stewart (1776-1854) avait publié deux écrits très largement diffusés dans lequel il suggérait de tenir des assemblées de prière afin de demander une effusion du Saint-Esprit. En Ecosse, dans un groupe de croyants gagnés à ces vues, des manifestations charismatiques se produisirent près de Glasgow dès 1827: guérisons miraculeuses, parler en langue, prophéties - plusieurs composantes essentielles de ce qui devait devenir au début du XXe siècle le pentecôtisme. Un climat d'attente messianique n'était pas étranger à ces cercles.
    Les croyants d'Albury eurent bientôt connaissance de ce qui se passait en Ecosse. L'avocat londonien John Bate Cardale (1802-1877) alla lui-même se renseigner en 1830; il fut suffisamment impressionné pour réunir à son tour dans son domicile londonien des réunions de prière pour demander l'effusion de l'Esprit, laquelle se produisit finalement en 1831, lors d'une réunion au cours de laquelle l'épouse de Cardale elle-même aurait commencé à prophétiser l'imminente venue du Christ. Très vite, la paroisse d'Irving fut à son tour gagnée par les manifestations charismatiques.
    Ces développements ne furent cependant pas du goût de tous les membres de la paroisse d'Irving. Il finit lui-même par se trouver exclu de l'Eglise presbytérienne d'Ecosse en 1833. Il n'était pas le seul à rencontrer de l'opposition. Nos passionnés de prophéties commencèrent donc à former leurs propres communautés. Mais, tout inspirés qu'ils fussent, ils étaient également des hommes d'ordre. Il n'était pas question d'établir des ministères arbitrairement, le pouvoir d'ordonner un clergé devait venir d'en haut. Ce fut ainsi, en 1832, que Cardale se trouva appelé par une parole prophétique à devenir apôtre; d'autres suivirent et, en 1835, le collège de douze apôtres était au complet. – Le millénarisme inclut souvent une dimension "récapitulatrice": ce qui était au début se retrouve à la fin, le rétablissement du collège apostolique tel qu'il existait dans la première génération de l'Eglise s'inscrit dans cette dynamique.
    L'idée n'était pas tant d'établir une Eglise exclusive qu'un témoignage pour annoncer à tout le monde chrétien le retour imminent du Christ. Les apôtres catholiques-apostoliques ne se livrèrent d'ailleurs pas à une évangélisation de terres non chrétiennes, mais s'efforcèrent de communiquer leur message aux chefs religieux et séculiers de la chrétienté. Seul le refus de ce message pressant les contraignait à créer des communautés à part, mais ce n'était pas le premier objectif de leur ministère. Certes, le cas n'est pas unique, mais moins commun est le fait que l'Eglise catholique-apostolique qui vit alors le jour a maintenu dans une large mesure au cours des générations suivantes ce sentiment de n'être pas une Eglise excluant les autres.
    L'Eglise catholique-apostolique a parfois été qualifiée d'"irvingienne" par des observateurs extérieurs, mais ce ne fut jamais une appellation officielle du mouvement: Irving lui-même n'y exerça d'ailleurs jamais la fonction d'apôtre, mais celle d'"ange", c'est-à-dire d'évêque d'une communauté.
    L'Eglise catholique-apostolique élabora également une liturgie qui s'inspira de la richesse des textes liturgiques de la tradition tant occidentale qu'orientale et constitua, à certains égards, un courant de recherche et de renouveau liturgique. Vêtements liturgiques, encens, autel, cérémonies: l'allure était plus proche de celle du catholicisme romain ou de la High Church anglicane que des formes usuelles du protestantisme.
    Le mouvement s'étendit en dehors des Iles britanniques, notamment en Allemagne. Dans ces deux pays, les communautés se comptèrent par centaines à leur apogée. Mais il faut également important au Danemark et en Suisse et s'implanta aussi dans plusieurs autres pays européens (principalement de tradition protestante) et en Amérique du Nord.
    Malgré ces efforts d'organisation, l'espérance de ces croyants restait évidemment celle du proche retour du Christ. Celui-ci, croyait-on d'abord, ne pouvait manquer de revenir du vivant encore des apôtres. Ce fut donc un choc lorsque trois des apôtres moururent en 1855. Fallait-il les remplacer? Les apôtres survivants résistèrent à ceux qui les pressaient d'accepter des injonctions prophétiques à cet effet (les appels au ministère se faisaient en effet par l'entremise de ceux qui exerçaient la fonction de prophètes). Cependant, tout le monde n'accepta pas cette approche, et la double source d'autorité existant dans l'Eglise catholique-apostolique (la hiérarchie des apôtres, d'une part, et les prophètes, d'autre part) fit le lit de mouvements dissidents: certes, les paroles des prophètes devaient en principe être validées par les apôtres, mais il y avait néanmoins là un potentiel de tensions. Ce fut ainsi que les inspirations reçues par un prophète allemand conduisirent des communautés à accepter le principe du remplacement des apôtres défunts par de nouveaux apôtres, ce qui conduisit à la naissance de l'Eglise néo-apostolique, un mouvement aujourd'hui important [Issue, en 1863, de l’Eglise catholique-apostolique, elle est toujours dirigée par des apôtres, à l’instar des premières communautés chrétiennes]. Au cours de son histoire, cette dernière a également connu quelques schismes, et la postérité de l'Eglise catholique-apostolique a donc pris des formes variées.
    Mais les communautés catholiques-apostoliques proprement dites poursuivirent leur route en se tenant au refus du remplacement des apôtres défunts. Dès 1879, un seule était encore en vie. En 1901, le dernier d'entre eux quitta ce monde, à l'âge respectable de 96 ans. Il existait alors 938 communautés dans le monde, avec 200.000 membres environ.
    Avec la disparition du dernier apôtre, l'ordination de nouveaux ministres du culte devenait désormais impossible, selon la compréhension du sacerdoce qu'avait développée l'Eglise catholique-apostolique. Avec de rares exceptions, de nouveaux membres ne pouvaient plus être acceptés. Les derniers membres du clergé s'éteignirent dans les années 1970. Aujourd'hui, les membres des communautés catholiques-apostoliques qui subsistent, en nombre toujours décroissant, assistent aux services d'autres Eglise et se réunissent de temps en temps pour des prières en privé ou dans les chapelles qui n'ont pas encore été vendues.
    Pourquoi les événements espérés ne s'étaient-ils pas produits? C'est dans les livres prophétiques que les fidèles catholiques-apostoliques vont trouver la réponse: l'Apocalypse ne prédisait-elle pas, en effet, apèrs l'ouverture du septième sceau, "un silence dans le ciel" (VIII, 1)? Une courte pause avant le grand dénouement : telle est la situation de l'Eglise de la fin, privée de ses apôtres dans l'attente du Christ. Les apôtres ont adressé à l'Eglise chrétienne un message, mais celui-ci a été refusé. Comme l'écrivait un membre d'une famille catholique-apostolique à un périodique ecclésiastique anglais il y a quelques années:
"Le fait que Notre Seigneur ne revint pas comme prévu fut perçu [par ces croyants] comme la conséquence de leur échec à préparer adéquatement l'Eglise. Le 'temps de silence' est un temps d'humilité, et non d'embarras, et c'est dans cet esprit que les membres continuent, dans la prière et la piété, à attendre que Notre Seigneur dévoile ses desseins plus clairement." (Church Times, Londres, 11 juin 1993)
    Ce "temps du silence" marque donc logiquement le retrait de l'Eglise catholique-apostolique de la scène publique.

Eglise catholique-apostolique: une œuvre documentaire en langue française
Jean-François Mayer - Religioscope - 1 May 2006
source : http://religion.info/french/articles/article_241.shtml


    Concernant la réponse donnée aux événements espérés qui ne se sont pas produits et le phénomène que l'on nomme la "dissonance cognitive" [http://fr.wikipedia.org/wiki/Dissonance_cognitive], lire Leon Festinger, L'Echec d'une prophétie (When prophecy fails), 1957.

    Concernant les ressemblances avec le positivisme, les voici :
- Mouvement également issu de la Révolution française (Selon Raquel Capurro, le positivisme trouve sa source dans une forme de culte de la Raison, qui eut lieu pendant la Révolution française en 1793-1794)   
- Anges déjà dans le Positivisme : L'homme positiviste (c'est-à-dire délivré de Dieu et du frivole souci des fins dernières) devra être un pur, un tendre. Il devra se choisir des anges gardiens ou "déesses domestiques" parmi les femmes qu'il aura pu rencontrer : mère, soeur, épouse, fille, amie de coeur, il en trouvera toujours une capable de le rénover par sa sainte influence et, quelque métier qu'il exerce, cette affection pieuse pour une Dame importera bien "davantage que la meilleure préparation intellectuelle". La science et la philosophie sont ainsi découronnées au profit de l'amour (André Thérive, Clotilde de Vaux, p.241-42). On rencontre le même principe dans l'antoinisme où l'intelligence doit être suborbonnée à la conscience, principe de l'amour.
- Centre et missions apostolat-positiviste-universel : Paris devient "la Très Sainte-Métropole", bien qu'il soit le siège d'une simple légation occidentale entretenue par l'Apostolat-positiviste-universel, lequel ne saurait être centralisé en aucun point de la terre ni loger dans aucun Vatican. La notion d'Occident est conçue comme très large, elle comprend : France, Italie, Espagne (principal élément ibérique), Paraguay et Chili (qui représentent l'ensemble des anciennes colonies espagnoles), Haïti (symbole de la race noire occidentalisée par l'élement latin), Angleterre et Etats-Unis. S'y adjoint la Hollande pour incarner l'élément germanique, évidemment traité en parent pauvre. Quant à l'Orient, il faut y distinguer l'Inde, à titre de "civilisation initiale théocratique", la Perse, la Turquie, mandatées par l'élément islamique, avant-garde du monothéisme, la Russie chargée de figurer le christianisme en Asie, et enfin la Chine, avant-garde des peuples dits "fétichiques". Le Japon est omis, et pourtant le positivisme y a pris racine depuis quatre-vingts ans. (André Thérive, Clotilde de Vaux, p.256)

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Alfred Geiger Moses (Jewish Science) - Silence

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    Silence is the divine manner of manifestation. God reveals Himself to the listening ear of faith in complete stillness. IN SIlence, we find God and commune with the Spirit of all flesh. Be still and in the holy awe know that God exists. To know God means to cast off the coils of sensuous life and to enter the realm of spiritual thought. Casting off the bonds of mortal mind, we enter the SIlence of the inner soul and dwell on the thought of the Infinite and Eternal.

Alfred Geiger Moses, Jewish Science (1920), p.135
in Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science
Spiritual Healing and American Jews
, p.49
Oxford University Press, Oxford, New York, 2005

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Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXVIII)

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Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXVIII)

    Il faut avoir la foi pour comprendre la foi, comme il faut être Dieu pour comprendre Dieu.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi, p.XXXXVIII

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Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXIV)

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    C'est toujours avec l'espoir d'une double récompense que l'on agit par la croyance : pour que Dieu en tienne compte et pour que notre obligé nous témoigne sa reconnaissance. Nous perdons ainsi de vue que la main gauche ne doit pas savoir ce que fait la main droite, nos actes alors restent ignorés de Dieu parce qu'au lieu de les effectuer par l'amour, nous les puisons dans notre imperfection.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi, p.XXXXIV

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La Révélation, Dieu pourrait-il avoir créé la souffrance ? (p.160)

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La Révélation, Dieu pourrait-il avoir créé la souffrance ? (p.160)

    Nous disons que nous croyons en un Dieu, mais nous ne Lui consacrons pas toujours volontiers notre temps de crainte de travailler inutilement.

La Révélation, Dieu pourrait-il avoir créé la souffrance ?, p.160

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