Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

croyance

Jean Rostand - Des dieux toujours plus croyables

Publié le par antoiniste

    "C'est la destinée de l'homme que de se faire des dieux toujours plus croyables auxquels il croira de moins en moins."
(Jean Rostand / 1894-1977 / Pensées d'un biologiste)

source : http://atheisme.free.fr/Citations/Homme_crea_dieu.htm

Voir les commentaires

Claude Bernard - L'homme est un animal métaphysique

Publié le par antoiniste

    L'homme est un animal métaphysique et orgueilleux. Comme tel il continuera longtemps à échafauder des systèmes et à y croire ensuite, simplement parce qu'il les a construits.

Claude Bernard
in Eugène Gascoin, Les Religions inconnues, p.90
Gallimard, Les documents bleus N°41, Paris, 1928

Voir les commentaires

Hubert Aquin, L'Invention de la mort (p.136)

Publié le par antoiniste

    Mais je divague, car le ciel n'existe pas ; il n'y a pas de communion des saints, ni quatre fleuves au paradis et Dieu n'existe pas indépendamment de ses vicaires ! Vingt siècles de christianisme prouvent que l'Eglise est solide, voilà tout. Ce ne sera pas la première fois dans l'histoire qu'un mythe traverse les siècles et enfante des temples plus durables que lui. Il faudrait établir, quelque part, dans un site bien choisi, un cimetière de dieux. On disposerait leurs tombes en rangée comme dans les cimetière de mortels, et ils auraient droit eux aussi à des stèles dorées ou à des statues de marbre. Dieu n'existe pas ; je le sais de tout mon corps et de toute mon âme. Les hommes l'ont créé à leur image et à leur ressemblance...

Hubert Aquin, L'Invention de la mort
Bibliothèque québécoise, 2001, p.136

Voir les commentaires

Jewish Science - the God of belief from the God of faith

Publié le par antoiniste

    In grappling with the question "If God is not a Being, to whom does one pray ? - in other words, "How can one pray to a process or power ?" - Lichtenstein attempted to separate the God of belief from the God of faith. While the God in whom he believed was a naturalistic power, the God to whom he prayed, and, he suspected, the God to whom most people prayed, was indeed a providential and transendent being. Belief, he asserted, is dependent on intellectual assent; faith is dependent on feeling. Unlike belief, faith rests on something that can neither be seen nor experienced through one's senses. We cannot perceive God's presence, he maintained, because God is "too closely intertwined with the very essence of our life", yet we can and do experience or intuit God's presence. Faith, he maintained, is more than belief. While belief is usually established "either as a sequence to logical deductions or as the outcome of trust in authority", faith rests neither on authority nor logic. Thus, the man of faith does not rationalize, he feels that there is an owerwhelming Presence filling the universe and interested in the destiny of each of His beings, also in him who is one of His creations. In a sense, faith is like love which, when it surges in the heart, has no interest in agument or in proof, but strives only to identity itself with its object.

    Unlike the man of philosophy, then, who may believe in God either a a philosophical necessity or as a "remote First cause", the man of faith, he insisted, "knows God as a living reality; he 'feels' His presence and turns to Him for aid knowing that [God] will never fail him."

Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science
Spiritual Healing and American Jews
, p.102
Oxford University Press, Oxford, New York, 2005

Voir les commentaires

Shalom Auslander - La lamentation du prépuce (p.176)

Publié le par antoiniste

    Parmi les livres que j'avais chipés ces derniers temps, il y en avait un qui expliquait comment en écrire un. Je les avais tous lus en commençant par celui-là, non parce que j'étais tenté de devenir écrivain mais parce qu'il y avait beaucoup de fictions dans ma vie, des inventions destinées à masquer d'humiliantes réalités telles qu'une fixation sur la pornographie, une kleptomanies galopante, un besoin irrépressible de désacraliser le Shabbat, de manger de la viande avec du lait et de sortir sans kippa. Comme ma survie dépendait entièrement de ma capacité de rendre mes histoires crédibles, à ouvrir ce que les écrivains appellent - ainsi que je venais de l'apprendre grâce à ce livre - "une longue parenthèse dans l'incrédulité", je m'étais dit que je ne me porterais pas plus mal si je reprenais quelques uns de leurs trucs aux professionnels de la fiction. Et c'est ainsi que mes vingts minutes sur une chaise confortable sont devenues huit heures de confinement en compagnie d'une bande de clochards noirs et d'un néo-nazi avec un swastika tatoué sur le bras qui n'arrêtait pas de me lancer des regards haineux. C'est ce que les écrivains appellent "ajouter de la couleur".
    David a secoué la tête, épaté. Je lui ai résumé l'audience au tribunal, l'amende et la peine de travail d'intérêt général. Il a beaucoup aimé que j'aie à rendre compte à un contrôleur judiciaire, ce qui m'a fait plaisir car c'était l'un des rares éléments authentiques de mon récit. Et puis, sur un coup de tête, j'ai fait mention de Kelly.
    - Kelly ! a-t-il répété avec un sourire béat. Parle-moi de Kelly...
    - Elle a une Trans Am, ai-je commencé. Et elle joue dans l'équipe de lacrosse de son lycée.
    En voyant les yeux de David s'écarquiller d'émerveillement, je me suis demandé si toute création n'est pas un accident, au départ. Peut-être Dieu n'avait-Il l'intention que de créer quelques lacs et deux ou trois oiseaux, mais voilà qu'il faut des arbres pour vraiment épater les oiseaux, mais les arbres ont besoin de soleil... Le troisième jour venu, le processus à complètement dérapé, un hibou par-ci, une montagne par-là, et une semaine plus tard Dieu se retrouve avec toute une foutue planète sur les bras. Il y a des gens qui ne savent pas s'arrêter, et maintenant je comprenais ce qu'Il avait dû éprouver. Au cours des vingt minutes suivantes, j'ai décrit la Kelly Enjolivée en petits et gros détails - ses seins étaient gros, son nez petit. C'était un assemblage de toutes mes stars porno préférées, une super-nana-Frankenstein qui avait les lolos de Christy Canyon, les cheveux de Ginger Lynn et le cul de Traci Lords. Et une pontiac Trans Am. Et une crosse de lacrosse. C'est ce que les écrivains appellent "l'épaisseur du personnage".

Shalom Auslander, La lamentation du prépuce
10/18, Paris, 2007, p.176

Voir les commentaires

Le serpent à travers les mythes

Publié le par antoiniste

Publié le 3 juillet 2010 par moglug

La kundalini

Dans Psychologie du Yoga de la Kundalini, C. G. Jung fait plusieurs fois référence au serpent dans la mythologie. Tout d’abord dans la mythologie tantrique :  le yoga de la Kundalini est aussi appelé yoga de la Shakti.  Shakti-Kundalini est une déesse, c’est elle que l’on représente comme une serpente lovée autour du centre, de l’oeuf primordial, le joyau. La Shakti est l’énergie créatrice du dieu, celle qui « détient le pouvoir », « qui est capable ». Elle créé le voile de l’illusion qui enferme les mortels dans l ‘erreur et l’ignorance et les rend prisonniers de leur désir. Certains courants tantriques liés à Shakti ont pour vocation de libérer l’homme de l’ignorance par l’accomplissement de ses désirs : la libération s’acquiert en atteignant le paroxysme du plaisir… en simplifiant à l’extrême !

Mais Jung ne s’arrête pas là. Pour lui, la Kundalini est également semblable à Soter, le serpent sauveur des gnostiques, le serpent tentateur de la Bible qui offrit la pomme à Eve. Les gnostiques considèrent que le monde matériel est imparfait. Il faut s’en libérer, ou plutôt libérer son âme d’essence divine, de ce monde inférieur pour atteindre l’être suprême par la Connaissance, la gnose. On comprend mieux le rapprochement avec les religions indiennes qui ont également pour objectif la libération de l’âme et du cycle des réincarnations pour atteindre l’Etre Suprême, Brahman, ou encore le nirvana, la félicité suprême ou l’anéantissement total. Pour les gnostiques, le serpent Soter est un sauveur puisqu’il offre à Eve à travers la pomme, la Connaissance, la gnose libératrice qui permettra au mortel de se libérer de ce monde matériel. Pour en savoir plus sur le gnosticisme, le mieux pour commencer est encore d’avoir recours à Wikipédia.

Ouroboros

Toujours dans la mythologie chrétienne, C.G. Jung aborde la question du serpent solaire et du serpent du zodiaque. Je n’ai pas trouvé d’informations supplémentaires sur ces deux notions (apparemment Google n’a pas réponse à tout). Il s’agit, toujours selon Jung de représentations de la métamorphose de la puissance créatrice : la course du soleil est comparé  au cycle de la vie. Quant au serpent, il correspond à la Kundalini qui monte et descend au rythme des évolutions de l’individu. Je ne peux pas m’empêcher de penser ici à l’ouroboros, ce serpent qui se mord la queue et représente ainsi le cycle éternel de la nature.

Quetzalcoatl, le serpent à plumes

Au cours de ces allusions aux serpents, C.G. Jung mentionne également l’une de ses patientes qui rêvait régulièrement d’un indien… Une nuit, l’indien se transforma en serpent à plumes. Ce rêve et la confession qui s’ensuivit auprès de son thérapeute lui permis d’achever sa thérapie. Pour C.G. Jung, il est évident que le serpent à plumes des rêves de sa patiente n’est autre que Quetzalcoatl, le dieu aztèques, également reconnu par les peuples mayas, toltèques, olmèques et mixtèques. Il s’agit du dieu rédempteur des indiens d’Amériques, symbole de la mort et de la résurrection mais également inventeur des livres et du calendrier, donc de la Connaissance. Selon Jung, le serpent à plume Quetzalcoatl incarne l’esprit de l’inconscient dans la psyché de l’américain.

La puissance du serpent d'Arthur Avalon

Pour conclure sur le sujet, je mentionnerai un ouvrage de référence cité deux fois par Jung dans Psychologie du Yoga de la Kundalini. Il s’agit de la Puissance du serpent de John Woodroffe, également connu sous le nom d’Arthur Avalon, l’un des premiers orientalistes britanniques qui a largement contribué à la diffusion de la philosophie hindoue et des pratiques yogiques en Occident, notamment par ses traductions du sanskrit. L’ouvrage traite essentiellement des pratiques tantriques liées au yoga de la kundalini tout en laissant de côté les théories farfelues sur la sexualité tantrique et autres sujets à la mode. L’auteur étant spécialiste en la matière, l’ouvrage est réputé pour diffuser une connaissance véridique du tantrisme. Je suis curieuse d’en savoir plus…


Voir le texte illustré : http://synchroniciteetserendipite.wordpress.com/2010/07/03/le-serpent-a-travers-les-mythes/

Voir les commentaires

Seulement 4,5 % des catholiques sont messalisants, en majorité des femmes

Publié le par antoiniste

    Le pourcentage des messalisants (s’applique aux catholiques pratiquants allant à la messe chaque dimanche) subit une nette érosion (4,5 % aujourd’hui, contre 20 % en 1972), et l’auteur de souligner que le pontificat de JP II, malgré les apparences, n’aurait en fait pas enrayé cette désaffection.
    Ajoutons que ces 4,5 % sont en majorité des messalisantes. Les femmes sont partout le noyau dur ! Cela ne peut guère nous surprendre : Rabelais, ce messéant, ne disait-il pas que “les femmes sont folles de la messe” ?

source : http://correcteurs.blog.lemonde.fr/2009/08/19/atheisme-la-france-sur-le-podium/

Voir les commentaires

Adhésion et conversion, pourquoi

Publié le par antoiniste

    Régis Dericquebourg conclut son Croire et guérir par ces mots :
    " Nos enquêtes ont montré qu'une grande partie [des] fidèles [des religions de guérison] ne doivent pas leur adhésion à une maladie ou à un héritage religieux familial. Pourquoi des personnes nons socialisées dans une de ces religions, ayat confiance en la médecine allopathique et n'ayant pas besoin de soins empruntent-elles des voies de salut dont l'enseignement est fortement orienté sur la guérison ? En tout cas, cette question nous invite à réfléchir sur la complexité de l'adhésion à une croyance et à l'appropriation de celle-ci par les individus dans un contexte donné. L'étude des religions de guérison peut être un révélateur des manières dont les hommes construisent et recherchent des voies de salut. "
Régis Dericquebourg, Croire et guérir, Dervy, 2001, p.161

    Il est possible de croire que Régis Dericquebourg nous proposera bientôt un nouvel ouvrage essayant de répondre à cette question. Jean-Yves Roy dans son Syndrôme du berger a plutôt cherché à expliquer pourquoi certaines personnes ressente un moment dans leur vie le besoin d'intégrer un groupe totalitaire. Des éléments de réponse peuvent s'y trouver.
    Le philosophe de la contre-culture américaine, Alan Watts, évoque également une solution : " issu du christianisme, notre civilisation occidentale a développé des oppositions arbitraires entre l'homme et la nature, l'amour et la connaissance, le bien et le mal, le « Moi » et l'autre. Pour lutter contre l'horrible dessèchement de l'âme qui nous guette, il faut effectuer une sorte de retour au sources ; c'est ce que Watts explique, entre autres, dans l'un de ses textes fondamentaux, « Amour et connaissance » ".
Patrick Ravignant & Pierre Mariel, Les maîtres spirituels, 1972, p.166

    Un dessèchement de l'âme. Il s'agit bien de cela. Beaucoup d'auteurs s'intéressant aux sectes ont également avancer l'idée que la défection à l'Eglise officielle pouvait s'expliquer par l'ennuie des chrétiens dans ces Eglises froides : " Aucune communication entre ceux qui sont là, assis épars sur leurs chaises ou à genoux sur leur prie-Dieu. Et pas davantage entre le clergé et les fidèles. Aucun souffle ne passe, qui soulève l'asemblée. « Le souffle du Seigneur » est bien là, quelque part, dans ces psaumes, dans ces textes de l'Evangile et de saint Paul, dans cette Préface à la gloire de la Trinité, sur cet autel où le Prêtre éternel présente sa Passion, sa Résurrection et son Ascencion au bénéfice de ceux qui sont rpésents et du monde entier. Mais combien sont à même de s'en rendre compte, dans la plupart des paroisses ? Le souffle du Seigneur est là, mais dans trop d'églises encore il est comme comprimé en formules que personnes n'entend (à tous les sens du verbe), en gestes qu'on ne voit guère et dont la signification échappe, en « antiennes » qui furent des refrains, qui devraient en être, mais que personne ne chante. "
H.-Ch. Chéry, o.p., L’Offensive des sectes, Les Editions du Cerf, Rencontres 44, Paris, 1954, p.432-433

    Dans beaucoup des obédiences installées, on remarque ce fait. Catholicisme, protestantisme, judaïsme (aux Etats-Unis, du moins).
    " The modern Synagogue had lost this spiritual art, and that, under the influence of radical thought which minimized Emotion and Sentiment, and exalted Reason and Logic, the average Jew of to-day was losing his prayerful sense. "
Alfred Geiger Moses, Divine healing in Judaism, with special reference to the Jewish scriptures and prayer book, 1916, p.11.
    Morris Lichtenstein pensait que " through prayer, everyone could arrive at the same realization. This was because one attained a knowledge of God not through study, a path long emphasized by rabbinic Judaism, but rather through feeling and inspiration." 
Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science, Oxford University Press, 2005, p.83.
    Lisont plus loin ce que dit cet auteur : " Armed with these critiques, Morris Lichtenstein thus set out to form a new movement that would offer the Jew that which he felt neither Reform nor Orthodoxy provided, namely, à real concern for the individual's own spiritual needs. To satisfy there needs, he sought to bring Jews to an awareness of the reality of God. By emphasizing the centrality of private prayer, and by creating a brief liturgy highlighted by personal affirmations and silent meditations, he sought to hemp individuals recognize their own hopes and aspirations. By suggesting specific material that one read each day, he hoped to inspired greater religious feeling. Through healing sessions that he conducted and thrgough the ministrations of spiritual practitioners whom he himself trained, he hoped to demonstrate the power of faith. Finally, through his lectures and writings, he sought to provide American Jews with what he felt they not only needed but wanted, namely, a satisfying concept of God and practical advice on how to make that concept, and spirituality in general, a central part of one's daily existence. The organizational base that he established was meant to support and help spread his teachings. Lichtenstein's expressed intent was not just to lead Jews away from Christian Science, but also to lead them toward an understanding of Judaism as a personal and practical religion concerned with the physical and spiritual well-being of American Jews.
Ellen M. Umansky, From Christian Science to Jewish Science, Oxford University Press, 2005, p.84-85.

Voir les commentaires

Les Antoinisites à Roubaix

Publié le par antoiniste

    C'était une maison du vieux Roubaix, petite, basse, avec d'étroites fenêtres pareilles à des hublots, un gros pilier d'angle devant la porte, des plafonds qu'on touchait de la main, traversés d'énormes poutres, et laissant couler de perpétuels petits jets de plâtre et d'argile. Elle était pleine de rats, de souris, de puces et de fourmis. La cave immense et voûtée était noyée d'eau. Il y nageait des choses mousseuses, ouatées, d'un moisi blanc et vert. Antoinette, telle qu'elle était, adorait cette maison, précisément pour sa bizarrerie et son pittoresque.
[...]
    Volontiers, elle se fût tournée vers une religion, une espérance, un idéal. Elle avait la sourde, la confuse prescience que la vie ne pouvait se borner à ce qu'elle en savait, à cette stérile et stupide bataille pour l'unique souci de perpétuer une existence sans but. Mais ce n'est pas à dix-sept ans, et sans aide, qu'on se bâtit un dogme, qu'on peut aller au delà des rites, pour atteindre l'esprit. Elle se prit d'une ferveur soudaine, fréquenta l'église Sainte-Elisabeth, face à la boutique d'Edith. Mais cela ne dura pas. Elle connaissait trop la vie, la pauvre Antoinette. Elle avait trop vu le monde, la réalité. Elle ne pouvait plus accepter. Il y avait quelque chose de flétri, de mort en elle. L'utilité de la prière ne lui apparaissait pas. Elle ne voyait pas jusqu'à quel point elle était responsable de ses fautes. Tantôt elle se jugeait une innocente, tantôt une criminelle. Elle abandonna une église aussi compliquée. Elle fut au temple réformé deux fois, séduite par le contraste de l'austérité et de la simplicité, s'y ennuya bientôt, rendit visite aux Antoinistes et ne retourna plus les voir...
    Et pourtant, il y avait "quelque chose", elle le présentait, le soupçonnait. La vie ne pouvait se borner aux horizons qu'elle connaissait. Elle entrevoyait vaguement, confusément, tout le problème de la conscience et de la grandeur morale, comme elle entrevoyait la science et la connaissance, de très loin, et dans un brouillard...

Maxence van der Meersch, Invasion 14, Chapitre V, I, p.220, p.225-226
Editions Albin Michel, Paris, 1946

Voir les commentaires

Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXVIII)

Publié le par antoiniste

Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi (p.XXXXVIII)

    Il faut avoir la foi pour comprendre la foi, comme il faut être Dieu pour comprendre Dieu.

Couronnement de l'Œuvre Révélée, La croyance & la foi, p.XXXXVIII

Voir les commentaires

1 2 3 4 5 6 > >>