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* Libre arbitre

Publié le par antoiniste

    C'est ce qui régit la vie d'un antoiniste.

    "Dieu nous a donné la faculté de créer des lois nous-mêmes au fur et à mesure que notre intelligence se développe" (La Révélation, Lois dites de Dieu). "Si Dieu avait établi des lois pour aller à Lui, elles seraient une entrave à notre libre arbitre ; fussent-elles relatives ou absolues, elles seraient obligatoires puisque nous ne pourrions nous en dispenser pour atteindre au but. Mais Dieu laisse à chacun, suivant sa nécessité, la faculté d'établir ses lois, c'est encore une preuve de son amour" (La Révélation, Loi de la Conscience).
    "Puisque en vertu de notre libre arbitre, nous pouvons établir des lois nécessaires à notre avancement, à qui nous en prendre, en cas d'échec, si ce n'est à nous-même ?" (La Révélation, La sanction morale).
    "En vérité, il n'existe qu'une loi, celle de la conscience et tout vérité y est contrôlée" (La Révélation, Lois dites de Dieu).
    "Notre création et notre perfectionnement sont donc notre œuvre." (La Révélation, L'origine de la vie)

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* Connais-toi

Publié le par antoiniste

* Connais-toi

    Dieu est dans le "Connais-toi", c'est en faisant son inspection de façon rigoureuse, un travail moral que nous pourrons progresser et découvrir le Dieu en nous qui n'est qu'amour et bonté. Il n'est donc pas utile de prier avec des paroles ou devant un sujet (gourou, Jésus en croix, tétragramme, totem, etc.) pour y arriver, même si cela peut être nécessaire pour certaines personnes pour se trouver elle-même.

* Connais-toi

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* Travail moral

Publié le par antoiniste

    En entrant dans un temple, il pourra vous être fait comme remarque : "Bon travail". En effet, avant la lecture et lors de l'opération, il faut faire une introspection, un travail sur soi-même pour découvrir son connais-toi, notre Dieu intérieur qui doit lutter pour se dévoiler.

    "L'oeuvre en elle-même n'est rien ; elle n'a de valeur que par le travail qu'elle impose, par les difficultés de tous genres qu'elle suscite et dont il faut triompher." (La Révélation, Être ou paraître, p.64)

    "Nous avons montré combien le travail moral est nécessaire à quiconque veut abréger sa route et s'épargner des tribulations de tous genres ; je n'en connais guère de plus utile que d'analyser ses pensées, d'en rechercher la source bonne ou mauvaise ; si elles sont dues à une imperfection et qu'elles séjournent en nous quelque temps, nous l'avons déjà dit, elles seront bientôt suivies d'autres qui pénétreront plus profondément dans les ténèbres et nous ne tarderons pas à en être tourmentés ; elles nous causeront autant de désagrément que nous avons eu de plaisir à les manier." (La Révélation, Être ou paraître, p.67-68)

    "Ne perdons jamais de vue, mes enfants, que sortir de la sincérité, c'est sortir de la vérité et par conséquent faire un mal. L'exemple est tout ; on ne devrait s'appuyer que sur l'amour parce qu'il est seul la base de toute puissance et de toute régénération. Cet amour naît de la foi et celle-ci est le fruit de notre expérience acquise par le travail moral. Si nous nous exprimons en toute sincérité, avec la bonne intention d'être utiles à nos semblables, ce n'est plus nous qui enseignons, c'est Dieu même, mais nous ne pouvons atteindre à Lui que par la foi qui est la clef de toutes les autres vertus." (La Révélation, Comment nous progressons, p.87).

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* Intelligence

Publié le par antoiniste

    Définition : [Chez les êtres animés] Fonction mentale d'organisation du réel en pensées chez l'être humain, en actes chez l'être humain et l'animal. Il n'y a cependant aucune incompatibilité entre l'action et la pensée dans une intelligence complète (Lamart., Voy. Orient, t. 1, 1835, p. 137). L'intelligence n'est pas seulement la faculté d'expliquer le monde, mais la faculté de s'expliquer avec lui (Lacroix, Marxisme, existent., personn., 1949, p. 102) : 1. L'intelligence et l'instinct étant donc communs, quoique à divers degrés, aux animaux et à l'homme, qu'est-ce qui distingue celui-ci? Selon F. Cuvier, c'est la réflexion ou la faculté de considérer intellectuellement, par un retour sur nous-mêmes, nos propres modifications. Proudhon, Propriété, 1840, p. 322.
P. anal. [Dans certains systèmes philos., dans certaines conceptions relig. ou certaines visions poét. animistes] Les anciens donnèrent au monde une grande ame, et une immense intelligence, dont toutes les ames et les intelligences particulieres étaient émanées (Dupuis, Orig. cultes, 1796, p. 488). Peut-on admettre qu'une intelligence infinie ait créé l'homme, et supposer que telle qu'une marâtre cruelle, elle ait abandonné son existence sociale au hasard de ses inventions (Bonald, Législ. primit., t. 1, 1802, p. 248). Ce n'est pas seulement dans la graine ou la fleur, mais dans la plante entière, tiges, feuilles, racines, que l'on découvre, si l'on veut bien s'incliner un instant sur leur humble travail, maintes traces d'une intelligence avisée et vivante (Maeterl., Intellig. fleurs, 1907, p. 12).
[P. oppos. à l'intelligence infinie qui est attribuée à Dieu] Intelligence finie. Comment pouvons-nous, avec nos sens bornés et notre intelligence finie, arriver à la connaissance absolue du vrai et du bien? (Flaub., Corresp., 1857, p. 181).

    Dans l'Enseignement, elle crée la matière et est à dompter et à anéantir pour se délivrer de l'emprise de son invention. Elle nous pousse également à voir le mal (qui est aussi en nous) chez l'autre. Elle nous fait douter et ne peut nous faire progresser. Cependant, elle peut aussi servir à acquérir une foi et une conscience meilleures.

    Elle est opposée à la conscience.

    Le Père disait au frère Delcroix en faisant la Révélation, "il y a trois sortes d'intelligence :
- l'intelligence, vue de la matière, qui, dans sa forme supérieure, est celle des savants ;
- l'intelligence de domination, qui, dans sa forme supérieur, est celle des grands monarques ;
- enfin l'intelligence, lucidité de la conscience, qui est celle que nous devons acquérir en passant par les deux premières."
    extrait de Textes recopiés d'un document écrit prêté par le Frère Céleste LOBET

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* Conscience

Publié le par antoiniste

Définition : [Chez l'homme, à la différence des autres êtres animés] Organisation de son psychisme qui, en lui permettant d'avoir connaissance de ses états, de ses actes et de leur valeur morale, lui permet de se sentir exister, d'être présent à lui-même; p. méton., connaissance qu'a l'homme de ses états, de ses actes et de leur valeur morale :
1. La conscience puise ses aliments dans l'immense milieu qu'elle résume en soi; mais elle ne le résume et ne le contient qu'en le dépassant, qu'en formant une synthèse originale, qu'en devenant l'acte de toutes ces conditions et de ces puissances subalternes.
M. Blondel, L'Action, 1893, p. 103.
2. ... il est impossible d'assigner à une conscience une autre motivation qu'elle-même. Sinon il faudrait concevoir que la conscience, dans la mesure où elle est un effet, est non consciente (de) soi. Il faudrait que, par quelque côté, elle fût sans être conscience (d') être. Nous tomberions dans cette illusion trop fréquente qui fait de la conscience un demi-inconscient ou une passivité. Mais la conscience est conscience de part en part. Elle ne saurait donc être limitée que par elle-même.
Sartre, L'Être et le Néant, 1943, p. 22.
3. ... l'unité de la conscience se construit ainsi de proche en proche par une « synthèse de transition ». Le miracle de la conscience est de faire apparaître par l'attention des phénomènes qui rétablissent l'unité de l'objet dans une dimension nouvelle au moment où ils la brisent.
Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, 1945, p. 39.
− [La conscience chez l'homme, p. oppos. aux végétaux et aux animaux] :
4. Radicale aussi, (...) est la différence entre la conscience de l'animal, (...) et la conscience humaine. Car la conscience correspond exactement à la puissance de choix dont l'être vivant dispose; elle est coextensive à la frange d'action possible qui entoure l'action réelle : conscience est synonyme d'invention et de liberté. Or, chez l'animal, l'invention n'est jamais qu'une variation sur le thème de la routine.
Bergson, L'Évolution créatrice, 1907, p. 264.
♦ [La conscience en tant qu'elle est prêtée à l'univers dans les visions poétiques, animistes] Dans toute la Nature, il [l'artiste] soupçonne une grande conscience semblable à la sienne (A. Rodin, L'Art, 1911, pp. 218-219) :
5. Sache que tout connaît sa loi, son but, sa route;
Que, de l'astre au ciron, l'immensité s'écoute;
Que tout a conscience en la création...
Hugo, Les Contemplations, t. 3, La Bouche d'ombre, 1856, p. 435.
− P. méton. L'être humain même, en tant qu'il est doué de conscience. On ne peut pas réaliser que les autres gens sont des consciences qui se sentent du dedans comme on se sent soi-même, dit Françoise (S. de Beauvoir, L'Invitée, 1943, p. 14).

    Selon Louis Antoine, elle devrait toujours nous guider pour agir naturellement selon notre nature, car elle ne peut se tromper, elle reflète notre Vérité, la part de Dieu qui est en nous. Elle ne peut douter. Cependant, c'est elle qui nous renseigne de notre vrai "moi", et un examen est toujours nécessaire pour progresser.

    Elle est opposée à l'intelligence.

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* Vue du mal

Publié le par antoiniste

    Malheureusement nous nous appliquons parfois à constater le manque d'amour de nos semblables et nous en souffrons, sans songer davantage à aimer nous-mêmes. Être affligé de ce qu'une personne n'éprouve pour nous que de la froideur, n'est-ce pas la preuve que l'amour nous fait également défaut ? Si nous aimions, nous n'aurions pas cette vue. Pour bien raisonner cette question, nous devrions nous analyser sincèrement, sans nulle prétention de paraître ce que nous ne sommes pas, nous étudier avant d'accuser autrui. Ne peut-il avoir des soucis que nous ignorons et en être absorbé ? C'est manque d'amour que de croire le sien absent. Quand il nous arrive d'être dans cette situation, nous nous trouvons tout naturels ; pourquoi penser autrement lorsqu'il s'agit de nos semblables ? Ne nous abusons pas. Si nous cherchons notre avancement moral, c'est à nous de nous efforcer d'aimer, sans critiquer les personnes qui ne sont pour nous que des instruments de progrès. Si nous désirons en être aimés, cherchons en nous la cause de leur indifférence, nous l'y découvrirons et ce sera nous élever, nous acquerrons la certitude qui abrégera beaucoup notre travail, qui nous fera mieux comprendre la grande nécessité d'aimer. Enseigner que le mal n'existe pas et encore se l'imaginer, c'est se déclarer coupable, montrer une imperfection qu'il serait urgent de démolir pour ne plus être contrarié ni chercher un refuge dans une justification en dehors de la raison. Si l'un ou l'autre personne suit l'impulsion de sa nature brutale, nous y voyons le mal. Nous frémissons d'horreur au récit de certains crimes que nous trouvons odieux, mais songeons-nous que nous sommes peut-être bien plus coupables dans ce que nous accomplissons journellement ? Au lieu d'assaillir un criminel de notre haine, nous ferions mieux de l'attirer à nous par notre amour, par notre exemple.

La Révélation, Nous ne pourrions posséder ni la foi ni l'amour sans les acquérir par la pratique de la charité, p.133-34

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* Unitif

Publié le par antoiniste

    Frère Nihoul eut l'idée de ce bulletin d'information mensuel pour les antoinistes, éloignés de Jemeppe mais aussi les personnes désirant restés en contact avec l'Enseignement du Père sans pour autant se rendre au temple.
    Il fut lancer en septembre 1911 et compte 11 numéros du temps du Père, et on y lit des choses similaires à ce qu'on trouve dans le Développement (Il contient la plupart des articles que le Père ANTOINE avait publiés lui-même dans l’UNITIF, ensuite sept révélations inédites sur les lois, l’amour, le bien et le mal et la reprise d’un long passage extrait de la REVELATION même (L’ARBRE DE LA SCIENCE DE LA VUE DU MAL) - source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/post/3987684/lenseignement-antoiniste-quel-statut-).
    Ensuite, il décrivit les activités des groupes qui se constitués ainsi que les conseils de Mère, jusqu'en 1914, date d'arrêt de publication.
    Le mot unitif a pour sens : unité de l'ensemble des antoinistes.

* Unitif

Pour les  principales traditions religieuses, la vie terrestre est un voyage spirituel, une quête spirituelle de la DIVINITE. Le but ultime est de retrouver DIEU.Dans les textes fondateurs des religions, y compris donc dans l’ENSEIGNEMENT Antoiniste, expriment en définitive  une conscience permanente de l'unité avec Dieu. C’est au fond l’enseignement de tous les prophètes exprimés de façon différentes.C’est ce qui explique le titre du bulletin d’information et d’éducation publié par le Culte Antoiniste à ses débuts : « L’UNITIf »La définition du mot « UNITIF » est «  qui unit en DIEU ». La vie unitive est la vie «  en union avec DIEU ».

source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/post/5174882/lunitif-la-vie-unitive

 

En effet, comme sens pour unitif, on trouve :
unitif, ive -
adj. (u-ni-tif, ti-v')

 
  • 1 Terme didactique.. Qui sert à unir.

    Terme d'anatomie. Fibres unitives du coeur, celles qui unissent les faisceaux musculaires ayant une direction donnée avec ceux qui ont une direction contraire.

  • 2 Terme de dévotion. Qui unit par le pur amour. "Tout amour est essentiellement unitif, ou plutôt c'est l'union même de celui qui aime avec son objet". [Bossuet, Passages éclaircis, 4] "Ne voilà-t-il pas [dans Pythagore] la voie purgative et la voie unitive dont nos mystiques ont dit tant de belles choses ?" Anal. de Bayle, t. III, p. 392]

    Vie unitive, état de l'âme dans l'exercice du pur amour.

  • 3 Terme de droit canon. Rescrit unitif, rescrit de l'évêque ou bulle du pape qui joint un bénéfice à un autre.
source : Le Littré (http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definition/unitif,_ive/75961)


ou
unitif,ive - (adjectif)
Qui unit.
Vie unitive: vie en union avec Dieu.

source : http://www.mediadico.com/dictionnaire/definition/unitif/1

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* Ecole du Nouveau Spiritualisme

Publié le par antoiniste

Une école du Nouveau Spiritualisme a été créée en septembre 2000.

Les cours sont donnés par des personnes de bonne volonté, désignées par le Représentant du Père. Ils ont pour but l'étude de l'Enseignement Moral révélé par le Père Antoine.

Ils sont destinés aux nouveaux adeptes, aux personnes qui s'intéressent aux questions philosophiques ainsi qu'à tous ceux qui veulent sortir de toutes les difficultés que suscite la vie matérielle de cette époque. Le programme des cours ainsi que le contenu de ceux-ci sont approuvés au préalable par le Représentant du Père.

Tout comme pour toutes les autres activités du Culte Antoiniste, ces cours sont gratuits et n'entraînent aucune obligation de quelque ordre que ce soit.

Classe de Jupille, rue Charlemagne, 150
    Le vendredi à 19 heures.

Classe de Huy, rue de France, 22
    Le 3ème jeudi du mois à 19 heures.

Classe de Jemeppe, rue Rousseau, 8
    Un samedi du deux à 14 heures.

Classe de Liège 1, rue Hors-Château, 17
    Le 2ème dimanche du mois à 10 heures (après la Lecture).

Classe de Liège 2, quai des Ardennes, 71
    Le 2ème mardi du mois à 19 heures.

Classe de Mons, Avenue du Général de Gaulle, 143
    Le dimanche à 10 heures 30.

Classe de Spa, Rue du Père Antoine, 2
    Un samedi par mois de 14 à 16 heures (à 15 heures à partir de 2010).

Pour tous renseignements s'adresser au n° 04/233.73.78

 

Vous pouvez consulter l'agenda du culte en bas de la page d'accueil de ce site.

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* Lecture dans l'Enseignement du Père

Publié le par antoiniste

* Lecture dans l'Enseignement du Père (ill. Sans Âme)    Dans les temples, le dimanche à 10 heures et tous les jours à 19 heures, excepté le samedi. Il est d'usage d'arriver un moment avant l'heure pour se receuillir. Elle commence par un recueillement et à la fin, on se lève avec le lecteur qui annonce : "Mes frères, Au nom du Père, Merci". Les personnes désirant consulter peuvent se rapprocher de la porte du cabinet.
    Des lectures ont également lieu dans les salles de lectures, ainsi que durant les Solidarités de groupe et les Ecoles du Nouveau Spiritualisme.

    On peut considérer que c'est le moment où le Père révèle, comme il fait l'Opération générale, qu'il consacre un temple ou qu'il aide à surmonter les épreuves.

    "Toute révélation émane de Dieu, sa base est donc toujours la même ; les mots ni les phrases n'y sont rien ; seule la morale qui en découle, qui est amour divin, est tout. C'est ainsi qu'il faut apprécier mon enseignement. Je ne dirai pas que je suis venu en mission, je dis plutôt à l'épreuve, car il est de mon devoir de respecter cette révélation autant que j'ai voulu l'enseigner." (La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.193).

    C'est par l'exemple, la foi et l'amour des adeptes antoinistes que l'on atteindra la morale, et c'est bien en assistant à la lecture (quand on en ressent le besoin) qu'on pourra aussi progresser. La consultation et l'Opération y participe bien sûr également.

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* Fêtes du culte

Publié le par antoiniste

 

Paris. Reportage sur les Antoinistes - Fonds Marcel Cerf (1935-1936)

* Fêtes du culte (Fête de Père)    Les fêtes du culte antoiniste sont :
- le 15 août, jour anniversaire de la consécration du temple de Jemeppe-sur-Meuse (BELGIQUE) et de  la sanctification du culte antoiniste (le 15 août 1910) ;
- 25 juin, fête du Père (désincarné le 25 juin 1912) ;
- 3 novembre, fête de Mère (désincarnée le 3 novembre 1940).

    En France, les Pâques, l'Ascension, la Pentecôte, la Toussaint et la Noël sont les autres fêtes célébrées dans le culte antoiniste.

    En Belgique, revenu à ce que faisait le Père, il n'y a que 15 août qui soit fêté. Lire à ce sujet, un extrait de l'Unitif :

    L'antoinisme ayant le plus grand respect du libre arbitre de chacun, ne condamne en rien les us et coutumes des différentes cultes existant sur le globe ; n'obéissant qu'à la conscience, il ne fait aucune distinction entre telle ou telle secte ou religion, ne contrarie aucune des règles qui y sont établies. Mais il n'en prescrit particulièrement aucune, il n'impose à ses adeptes aucune obligation.
    Un seul jour, cependant, doit nous être sacré, à nous qui nous disons antoinistes : c'est le 15 août, jour anniversaire de la sanctification du culte et de la consécration du temple. Le 15 août doit être pour nous une date à jamais mémorable, il serait bon que celui qui peut se déplacer assiste à l'opération ce jour-là, ce serait un bon accomplissement du devoir, afin de perpétuer dans les siècles à venir la cérémonie qui a eu lieu le 15 août 1910.

    L'Unitif n°11, p.15 - signé Un adepte encore novice

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