Tours - façade du temple

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Tours en est la grande ville, et le chemin de fer vous y conduit, qui vous montre en passant les ruines du château fort de Montbazon, son gros donjon rectangulaire, ses remparts démantelés. De la gare au fleuve, la rue Royale, vraiment royale, partage la jolie capitale de la Touraine en deux parties de physionomies distinctes. A droite, le quartier de la cathédrale, calme infiniment, comprend les hôtels de la noblesse et de la vieille bourgeoisie tourangelles à gauche, les rues laborieuses et mouvantes des draperies, des fabriques de soie, des tanneries, du négoce, des vastes ateliers de l'imprimerie et célèbre maison d'édition Alfred Mame, s'entre-croisent entre les vieilles tours Charlemagne et Saint-Martin, les églises Notre-Dame-la-Riche et Saint-Saturnin.
Ce dernier côté, le plus intéressant des deux, fut le noyau de la cité moderne, en grande partie formée en dehors de l'oppidum des Turones, du Césarodunum gallo-romain, étroitement comprise entre la Loire et l'archevêché, comme en, témoignent les debris de son enceinte.
Louis Barron, Le nouveau voyage de France (1899)
souce : gallica
L'antoinisme se propagea très vite en Indre-et-Loire, l'Unitif du 1er septembre 1912 indiqué 6 maisons de lecture rien qu'à Tours (notamment : 33 rue de la Grosse Tour, 15 rue Colbert, 21Bd Marchant Duplessis, 4 rue des orfèvres, 55 avenue de la tranchée, 26 rue du cygne).
Puis cela essaima : Savonnière-Au Morier en mai 1912, deux nouvelles à Tours en novembre 1912 et juillet 1914, deux à Palluau-sur-Indre en septembre 1913. Une est encore active en 1914 (chez Mme Brouard).