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epreuve

TRACT DISTRIBUE AU TEMPLE DE MONTEGNEE

Publié le par antoiniste

Entretiens de Montegnée (FaceBook Mya Delcourt)

(source FaceBook de Mya Delcourt)

En 1978, connu comme les Entretiens de Montegnée :

Chers frères et soeurs,

     Parmi les personnes qui viennent chercher un peu de réconfort au Temple, beaucoup souffrent de dépression nerveuse, d'autres se découragent et sont accablés par leur vie matérielle.

     Dans son ENSEIGNEMENT, comme dans tous les grands Enseignements, le Père nous dit et nous répète que DIEU est en nous et nous le croyons sans toutefois nous y arrêter. Cependant, là est la solution à tous nos problèmes, le remède à tous nos maux. Par LUI, qui est en nous, nous pouvons tout.

     "Croire qu'un autre DIEU pourrait faire ce qui nous est impossible serait désapprouver la révélation de la puissance de la FOI, dire que les prophètes qui l'ont enseignée sont faux."

     Ce qui nous fait souffrir, c'est le manque de confiance en nous, dans les autres et par conséquent en DIEU. si nous nous en remettions à LUI pour tout, si nous nous laissions diriger par LUI sans LUI fermer la porte par notre intelligence qu "foule aux pieds la conscience"", nous arriverions toujours à mener à bien toutes nos entreprises.

     Ce manque de confiance suscite en nous la peur, l'angoisse et nous doutons de tout et ce doute provoque toutes sortes de pensées qui nous accablent, nous terrassent.

     Dans ces moments de grande détresse, nous ne devons plus lutter mais bien nous réfugier auprès de DIEU, de notre Père intérieur: LUI seul peut nous aider, nous délivrer de nos souffrances. Pensons qu'il est là dans notre coeur, ouvrons-LUI toutes grandes les portes.

     Lorsqu'une chose nous tracasse, confions-la au PERE, ne cherchons pas une solution avec notre intelligence, n'y pensons plus et bientôt elle se résoudra, nous semble-t-il, d'elle-même et cela nous paraîtra tout simple. Mais pour cela, il faut faire confiance, pleinement, entièrement, nous dire que: "Nos souffrances n'ont toutes qu'une seule et même cause, le doute qui nous montre par la vue du mal, tout opposé à la réalité."

source : http://antoinisme.20six.fr/

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Liqueur de Koene

Publié le par antoiniste

    Observations sur la préparation de la créosote par M. Koene

   M. Koene a reconnu que le goudron de pin ne fournissait qu'une très petite quantité de créosote pure, et que celle que d'autres chimistes prétendaient en avoir obtenue était une huile pesante particulière imprégnée seulement de créosote ; mais en opérant de la manière suivante sur le goudron de la houille, il a recueilli dix gros de créosote par litre.
    M Koene distille le goudron de la houille dans une cornue munie d'une longue alonge à large ouverture, sous laquelle il place une capsule. Il obtient d'abord une huile volatile légère, puis en changeant de temps en temps le récipient, il recueille une huile pesante, il continue la distillation en élevant la température jusqu'à ce que la naphtaline se condense dans le col de la cornue, il reste dans l'alonge une certaine quantité d'huile pesante unie à la naphtaline, et formant un mélange de consistance butyreuse ; en chauffant légèrement l'alonge, il le fait écouler dans la capsule.
    Il expose ensuite le produit au froid et en sépare la naphtaline par l'expression. Pour enlever toute la créosote, il chauffe la naphtaline exprimée avec son poids de vinaigre de bois jusqu'à ce qu'elle entre en fusion. En refroidissant, la naphtaline cristallise et peut être séparée par la pression de la liqueur que l'on sature ensuite avec le sous carbonate de potasse. Les huiles pesantes obtenues sont traitées successivement par 1/40 de leur poids d'acide phosphorique et par un volume d'eau égal au leur. On sépare l'eau et on rectifie en ayant soin de mettre à part l'huile légère qui distille d'abord.
    On dissout alors l'huile rectifiée dans la potasse, et on isole la créosote libre au moyen d'un léger excès d'acide phosphorique étendu, on rectifie de nouveau, et en séparant l'eau qui distille d'abord on obtient de la créosote parfaitement pure.

Journal de pharmacie et des sciences accessoires, 1836, p.90 (Google Books)

    Huile de goudrons de houilles, la créosote du grec kréas : chair, et sôzein : conserver, découverte par Karl von Reichenbach, est un dépôt croûteux formé par la fumée montant et se déposant sur les parois d'une cheminée, pouvant s'enflammer lorsqu'il y a accumulation. La créosote est le produit d'une combustion incomplète du bois, donc la plupart des cheminées traditionnelles. (wikipedia)

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Thé de Saint-Germain

Publié le par antoiniste

    Thé de Saint-Germain: Fleurs de sureau, semences de fenouil, anis... Chaque matin une tasse d'infusion préparée avec un de ces paquets (Bouchardat, Nouv. formulaire, 1894, p. 235).

source : Trésor de la Langue Française Informatisé, article Thé

Espèces purgatives de Saint Germain.
Thé de santé, Thé de Saint-Germain, Poudre de longue vie, species purgativoe

Séné 120
Anis 50
Sureau 50
Crème de tartre 30
Fenouil 30
    Incisez et divisez en paquets de 5 gr. dont chacun sert pour une tasse d'infusion (Codex).
    Dose : une cuillerée a café pour six tasses d'eau (Jourd.) 5 à 10 gr. (1 à 2 cuillerées à bouche) infusés pendant 1/4 d'heure dans une tasse à thé d'eau bouillante, prise le soir ou le matin. (Pierlot.) C'est, paraît-il, un bon moyen à opposer à la constipation ; en Prusse, il est populaire. 

François Dorvault, L'officine ou répertoire général de pharmacie pratique, p.466 (Google Books)

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La bible - Marc, VIII, 22-26 - Jésus guérisseur

Publié le par antoiniste

    "Ils se rendirent à Bethsaïda ; et on amena vers Jésus un aveugle, qu'on le pria de toucher. Il prit l'aveugle par la main, et le conduisit hors du village ; puis il lui mit de la salive sur les yeux, lui imposa les mains, et lui demanda s'il voyait quelque chose. Il regarda, et dit : J'aperçois les hommes, mais j'en vois comme des arbres, et qui marchent. Jésus lui mit de nouveau les mains sur les yeux ; et quand l'aveugle regarda fixement, il fut guéri, et vit tout distinctement..."

Marc, VIII, 22-26

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Bruges - le Régiment de Ligne - Service de Campagne

Publié le par antoiniste

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Robert Vivier - Délivrez-nous du mal - Qui a tiré ?

Publié le par antoiniste

    - Qui a tiré ? Hurla le premier chef.
    Le capitaine avait reparu devant les rangs, le shako en arrière, très rouge, myope, sans lorgnon. Il n'avait plus du l'air d'un capitaine.
    - Qui a tiré ? dit-il à son tour, d'une voix curieusement décolorée. C'était à peine une question.
    Antoine sortit des rangs, présentant son fusil à deux mains. Tout lui semblait noir. Il avait mal à la nuque, sons dos était engourdi. La détonation l'emplissait tout entier et ne voulait plus prendre fin. Il ne comprenait pas. Il avait cru d'abord que l'homme qui était derrière lui avait tiré.
    Le capitaine le regardait venir et semblait lui aussi ne pas comprendre. Antoine sentait l'arme irrécusablement chaude sous ses doigts. Il la tendit gauchement au capitaine, comme si celui-ci avait dû la lui prendre des mains, l'en débarrasser. Ce fut le premier chef qui s'en saisit. Il observait Antoine d'une air étonné :
    - Vous, disait-il. Vous...
    Soudain une autre voix, derrière le capitaine, prononça vite et distinctement :
    - Tué net. Une balle au cœur.
    Il y avait toujours cette odeur irrespirable. Là-bas, on portait à bras d'homme un paquet sombre, curieusement mou. C'était comme un jeu de silhouettes. On eût dit que tout était encore révocable, qu'on allait revenir en arrière et recommencer, tout cela autrement.

Robert Vivier - Délivrez-nous du mal
Ed. Labor - Espace Nord, p.66-67

 

    On ne sait pas précisément avec quelle arme l'accident se produit. Mais plusieurs modèles étaient utilisés à l'époque par l'armée belge.

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Louis Scutenaire - Mes Inscriptions - Souffrir

Publié le par antoiniste

     Souffrir, connaître cette mort ou, cette dure maladie du coeur, plus amère de ce que l'on ne sait si elle vient du dehors vous frapper comme une balle ou si, née en même temps que nous, elle est une blessure intime qui se ferme et s'ouvre, plus amère de ce que l'on ne sait, cette souffrance, mort ou dure maladie du coeur, si elle n'est point une mort ou une dure maladie de l'esprit.

Louis Scutenaire - Mes Inscriptions
Ed. Labor - Espace Nord, 1990 (p.316)

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Les Mystères de l'inconnu - Le Don de guérir

Publié le par antoiniste

     Les experts qui adoptent une attitude conciliante [envers les médecines orientales] insistent sur le fait que les différences culturelles et sémantiques tendent à voiler les principaux points communs qui rapprochent les techniques médicales orientales et occidentales. De toute évidence, il est difficile pour un médecin matérialiste de l'Ouest, habitué à la terminologie grecque et latine, de comprendre les diagnostics chinois de "feu interne, faiblesse du sang" ou "de vent interne, flegme excessif".

Les Mystères de l'inconnu - Le Don de guérir
Chapitre 2 - Les médecines orientales (p.54)

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