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epreuve

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.175)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.175)

    Dieu est entré en moi à chaque épreuve que j'ai endurée mais je ne Le comprenais pas et je souffrais de la résistance de mon imperfection qui ne pouvait pas Le supporter.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.175

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La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.173 §1)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.173 §1)

    Tout ce qui arrive a sa raison d'être.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.173 §1

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La Révélation, La foi & l'amour ne s'acquièrent que par le travail moral (p.90-91)

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    Rappelons-nous que rien ne se perd, qu'on obtient plus par la patience et la résignation que par la vengeance et nous aurons un double paiement, à la fois matériel et moral.

La Révélation, La foi & l'amour ne s'acquièrent que par le travail moral, p.90-91

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La Révélation, La foi & l'amour ne s'acquièrent que par le travail moral (p.90-91)

Publié le par antoiniste

    Rappelons-nous que rien ne se perd, qu'on obtient plus par la patience et la résignation que par la vengeance et nous aurons un double paiement, à la fois matériel et moral.

La Révélation, La foi & l'amour ne s'acquièrent que par le travail moral, p.90-91

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Les instituts psychosiques - 2 - Jules Berthelin

Publié le par antoiniste

Les instituts psychosiques - 2 - Jules Berthelin

Illustration : Calonne-Ricouart - 9, rue de l'Eglise - Institut Psychosique (Google Streeview)

Les instituts psychosiques - 2 - Jules Berthelin

Les guérisseurs de l'Institut sont disponibles gracieusement
Mardi, jeudi, vendredi sur RDV
Mercredi 9H 12H - 14H 17H  Samedi 9H 12H

Réconfort par imposition des mains et prières. 
Voir également l'article Institut des forces psychosiques après guerre

    Jules Berthelin, né en 1881, connaît sa révélation en 1909 au fond de la mine. Il entend alors une voix qui lui prédit qu'il soignera les malades et obtiendra leur guérison. Il se croit devenir fou et tombe malade la même année. Puis il apprend l'existence de l'Institut des Forces Psychosiques de Sin-le-Noble où, en 1909, il fait la connaissance de Paul Pillault.
    Jules Berthelin subit un examen à l'Institut qui lui valut d'être nommé censeur à la « Fraternelle » n° 1 d' Avion. Là, il forme un cercle de trente-cinq membres, fonde une bibliothèque et crée un groupe de solidarité.
    Après la première guerre, Jean Bréziat se retire dans le Midi et continue à soigner; Pillault est à Aubervilliers. Mais les Instituts et les Fraternelles manquent de liaison et disparaissent l'une après l'autre.
    Cependant, l'Institut de Nœux-les-Mines reste debout. Son grand animateur, fidèle à la doctrine des Forces Psychosiques, maintient le contact avec Paul Pillault qui meurt en 1921.
    Sans bruit, sans vain tapage, Jules Berthelin, maintenant secondé par le jeune médium guérisseur Marcel Lhomme, porte haut et ferme le drapeau de l'Amour et de la Bonté.
    Et l'Institut général revit. Les Guérisseurs se lancent à nouveau à l'assaut du mal. Marcel Lhomme est accrédité Guérisseur en 1932 ; en 1951, c'est le tour de A. Deswante et W. Stodolny ; et plus récemment, Georges Gelé. Par leur foi, ils font rayonner le Bien, en une activité et un dévouement inlassables, sous l'égide de leurs guides spirituels et de leur guide terrestre, Jules Berthelin.
     Mais l'Institut Général des Forces Psychosiques voit à nouveau surgir de jeunes rameaux : trois nouveaux groupes viennent de se créer : Berck, Bully et Liévin. Le Groupe Triangulaire de Nœux-les-Mines les guide et les aide à réaliser leur mission. Le Médium-Guérisseur Marcel Lhomme a été désigné pour les diriger.
source wikipedia et Reviendra-t-il ? de Victor SIMON.

    Officier dans l'ordre national du Mérite, cet homme a donné son nom à une rue de Noeux-les-Mines. Il est décédé le 29 janvier 1963 et a laissé derrière lui un Institut général des forces psychosiques. Parmi ses élèves se trouvait un certain André Fardel, né le 2 avril 1921 à Hersin-Coupigny. Désigné comme « guérisseur spirituel » par Jules Berthelin en 1958, il fondait à son tour l'Institut spirituel psychosique de Calonne-Ricouart en 1986. Cette école de médiums se situe aujourd'hui encore au 9, rue de l'Église, à Calonne-Ricouart. Après sa mort en 2005, les élèves d'André Fardel, devenus à leur tour « guérisseur » ont poursuivi l'oeuvre du maître.
    L'institut et le courant spirite d'Allan Kardec L'Institut spirituel psychosique n'est pas une secte selon les critères définis par la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES). 
source : La Voix du Nord du mercredi 27.01.2010

      Depuis 2005, André TASSIN est le successeur d’André FARDEL à la tête de l’Institut Spirituel Psychosique. André Tassin a été l'élève assidu d'André Fardel pendant de nombreuses années.
source : http://institutspirite.com/accueil.htm

    Le site internet est le suivant : Institut Spirituel Psychosique - Calonne Ricouart
http://institutspirite.com/
Tous les membres de l’Institut sont des bénévoles.
Tous les soins et enseignements, basés sur une éducation morale spirite, spiritualiste, sont donnés gratuitement.
Une équipe de guérisseurs bénévoles est à votre écoute à l’institut. Vous pourrez leur soumettre vos angoisses, vos souffrances, vos questions…
Ils vous prodigueront réconforts, conseils, soins spirituels adaptés.
HORAIRES des visites
Les guérisseurs suivants sont à votre disposition à l’Institut aux horaires donnés ci-dessous : 9 rue de l’Eglise 62470 Calonne Ricouart
Mardi 9h-12h et 15h-17h : Mr et Mme BECOURT
Mercredi de 9h-12h : Mr et Mme BECOURT
Jeudi de 9h-12h : Mr et Mme BECOURT
Vend. 9h-12h et 15h-17h : Mr et Mme BECOURT
Samedi 9h-12h : Mr André TASSIN
Téléphone - 03-21-53-62-95

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Les instituts psychosiques - 1 - Jean Béziat

Publié le par antoiniste

Les instituts psychosiques - 1 - Jean Béziat

Illustration : SIN LE NOBLE - Institut des Forces Psychosiques

    La conception spirite du "médium-guérisseur" est particulièrement claire dans le Fraternisme, où les médiums de cette catégorie occupe la première place. Il semble que cette secte y prend même ses origines selon ce qu'écrit Paul Pillault en 1913 :
    Il y a à peine 5 ans, à Auby, dans mon bureau, et parfois chez moi, j'essayai mes propres facultés de guérisseur que mon bon frère de l'espace [sic], Jules Meudon, a découvert en moi, et qu'il me proposait d'utiliser. J'eus quelques succès de cures, de la cécité au simple mal de tête. Content des résultats obtenus, je décidai de mettre les facultés guérisseuses à autant de compagnon que possible. A ce moment, notre directeur, Jean Béziat, se joint à moi pour former l'Institut général psychosique à Sin-le-Noble (près de Douai), qui devint l'Institut des Forces psychosiques ne. 1, et qui, en 1910, commença la publication de notre journal, Le Fraterniste. (Le Fraternite, 26 décembre 1913).
    Continuant le travail de guérison, ils commencèrent de plus ample préoccupations (nous ne disons pas plus élevé, car pas beaucoup plus de "moralisme" humaniste n'entre en action), comme le montre la citation de Béziat :
    Nous encourageons la science de mettre en pratique les recherches sur le spiritisme, et si nous l'amenons finalement à y prendre un intérêt, il le trouvera. Et quand la science l'aura trouvé et prouvé, c'est l'humanité entière qui s'en trouvera heureuse. Donc Le Fraterniste n'est pas seulement le journal le plus intéressant, mais aussi le plus utile dans le monde. C'est par Le Fraterniste que l'on peut atteindre la tranquilité et la joie de l'Humanité. Quand les fondements du spiritisme auront été démontrés, ainsi qu'établis, la question social s'en trouvera presque résolue. (Le Fraterniste, 19 décembre 1913. Notons que le pacifisme et le féminisme sont des sujets de prédilections du journal).
René Guénon, The Spiritist Fallacy, p.287
source : GoogleBooks

    René Guénon cite encore d'autres écoles spirites indépendantes fondées ou dirigées par des "médiums-guérisseurs" comme M.A. Bouvier de Lyon qui publia le Journal La Paix Universelle, et qui rejoindra ensuite les Fraternistes. Il fera sécession en 1928 en fondant un Institut Psycho-Magnétique à Sens (Yonne).

    Signalons que Paul Pillault et Jean Béziat, avec Jules Jesupret éditeront à Douai en 1909, un livre disponible sur le site : institutspirite.com. Jules Jésupret est encore l'auteur de Catholicisme et Spiritisme.

 

Les instituts psychosiques - 1 - Jean Béziat

Sin-le-Noble - Institut des Forces Psychosiques - Entrée


    Jules Jésupret devient spirite en 1874. Il rencontre Jean Béziat et forme à Sin-le-Noble en 1912 un Institut Psychosique. Puis une branche s'ouvre à Béthune.
    Au 1er août 1914, trois guérisseurs (Pillault, Béziat, Lormier) soignent ensemble une moyenne de 300 malades par jour. Certains jours, on compta plus de 500 malades et visiteurs. Chaque matin, à 10 heures et chaque après-midi, à 15 heures, une Conférence d'initiation était faite par le Secrétaire général, M. Breye ; les soins étaient donnés gratuitement. Le Secrétaire général se déplaçait dans d'autres instituts qui fonctionnaient grâce à des guérisseurs accrédités par l'Institut Général, à Lille, Lens, Soissons, Nœux-les-Mines, Aubervilliers, etc.
     Des Fraternelles s'étaient créées, ayant pour but de réunir les adeptes des Forces Psychosiques, d'y entretenir la solidarité et la fraternité entre les malades guéris. Quatre-vingt-douze groupements se créent ainsi, La Fraternelle la plus éloignée est à Alexandrie (Egypte) ; une autre est à Nottingham (Angleterre). La Fraternelle de Vendin-le-Vieil atteint 300 membres.
    Instituts et Fraternelles ont, dès 1910, un organe de liaison : « Le Fraterniste ». Tirage : 7.000 ; abonnés : 6.000, hebdomadaire, format quotidien sur 4 pages.

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Serge Gainsbourg - Ce grand méchant vous (musique de Francis Claude)

Publié le par antoiniste

Promenons-nous dans le moi
Pendant qu'le vous n'y est pas
Car si le vous y était
Sûr'ment il nous mangerait

J'ai peur, j'ai peur du grand méchant vous
Ah ! la vilaine bête que ce vous !
Mais je ne sais comment j'arriverai à chasser
Pour toujours ce grand méchant vous de mes pensées

Promenons-nous dans le moi
Pendant qu'le vous n'y est pas
Car si le vous y était
Sûr'ment il nous mangerait

Je me suis mis dans la gueule du vous !
Ah ! quel enragé que ce vous !
Combien de nuits ce grand méchant vous m'a sauté
À la gorge, comme j'allais le caresser

Promenons-nous dans le moi
Pendant qu'le vous n'y est pas
Car si le vous y était
Sûr'ment il nous mangerait

Je ne sais hurler avec le vous
Ah ! quel animal que ce vous !
Mais comment savoir dans cette rivalité
Qui de l'homme ou du vous l'emporte en cruauté ?

Promenons-nous dans le moi
Pendant qu'le vous n'y est pas
Car si le vous y était
Sûr'ment il nous mangerait

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Rue de l'Acier (Stalowa ulica) à Nowa Praga

Publié le par antoiniste

Illustration : n° 50, 52 et 54 de la rue de l'Acier, à Varsovie-Praga

    La rue Stalowa est signalée entre 1865 et 1867. Ce fut l'une des principales rues de Nowa Praga.
    Son nom lui vient en 1891 de l'usine sidérurgique de Varsovie créé en 1878-1879 (c'est l'époque des grandes constructions en acier, chemins de fer et ponts, en Europe de l'Est) entre les rues Stalowa (de l'Acier), Szwedzka (des Suédois) et autour de la rue de Saint-Pétersbourg.
    Initialement, la rue était construite avec revêtement en bois et des bâtiments à étage unique, où vivaient principalement des ouvriers. Avec le temps, on a commencé à construire des maisons en briques atteignant jusqu'à 4 étages.
    Au début du XXe siècle a été effectuée le pavage des rues et des trottoirs ont été construits. De cette période sont conservés des maisons en rangée de 3 étages situé dans la rue Stalowa : nr 34, 36, 50, 52, 54 et 56. Après la Deuxième Guerre mondiale, la plupart des façades ont été décorées.
    Dans la maison avec porche au n° 40/42 se trouvent les restes du mikwe (bain rituel juif), qui, depuis le dernier incendie dans les années quatre-vingt, a été préservée dans son intégralité. Les résidents de la rue se souviennent qu'avant la guerre la vapeur s'élevait au-dessus de cette riche et élégant maison juive.
    Par contre, il ne reste rien du marché des frères Pakulski au n° 41, où les Juifs offraient alors leurs marchandises.


Usine sidérurgique de Varsovie :
    L'usine sidérurgique de Varsovie a été construit entre 1878-1879. Elle a été bâti par l'entreprise Lilpop, Rau et Loewenstein (le baron belge Leon Władysław Loewenstein de Lenval, 1836-1900) de Varsovie et la Société des Equipements miniers de Starachowice. Son ouverture eut lieu le 1 Avril 1879. Louis Antoine s'y rend cependant dès le 20 Février 1879, comme chef marteleur.
    Au début de l'usine, elle comprenait quatre branches:
    * martelage;
    * roulement des rails;
    * moulin hydraulique;
    * système Bessemer.

    Les marteaux (6 à vapeur, y compris deux de plus de 13 tonnes) et une usine de 9 fourneaux, dont 8 à gaz. Les matières premières pour la production d'acier venaient en majorité de l'étranger (comme le fer importés d'Angleterre et d'Allemagne, la Haute-Silésie et le coke de charbon du bassin de Dabrowski).
    En 1879, l'usine à employée 896 salariés (dont 330 étrangers) ; en 1880, 1037 ; en 1881, 1881, et en 1882, environ 1300 salariés.
    Sa production allait principalement à des rails, les pneus et les essieux des wagons de train (notamment à destination de la Russie). Dans les années 80 du XIXe siècle, il était le plus gros fabriquant d'acier dans le Royaume de Pologne. Il a dû produire plus d'un million de kilos de rails en acier. La société a construit alors des maisons de location pour les ouvriers et des écoles pour les enfants. C'est alors certainement que Louis et Catherine Antoine ouvrent leur pension.
    Dans les années ultérieures, l'augmentation des droits sur le fer importés de l'étranger et le coke ont diminués la rentabilité. La fonte a commencé à être importés d'usines du Ostrowiec Swietokrzyski (au sud entre Varsovie et Cracovie).
    En 1885, la société a décidé de transférer à l'acier dans le Bassin du Donets. En 1886, la société a fermée l'usine et a commencée à la démonter jusqu'à ce que la nouvelle usine aient transférées les machines, ainsi que les travailleurs et les ingénieurs qualifiés.
    En 1887, la fonderie a été reconstruite en acier coulé et des restes de la précédente installation. Les Russes commencèrent à faire de l'artillerie dans les entrepôts. Puis la plupart des bâtiments ont été démolis.
    A son emplacement, on construit l'armurerie Zbrojownia nr 2 qui fonctionna jusque dans les années 1924-1939. En 1939, la zone a été bombardé. Il ne reste de cette époque qu'une usine de conserve.
    Dans la rue des Suédois (ul. Szwedzka) au n°2/4, il reste :
    * Bâtiment de production
    * Entrepot principal (en partie)
    * Bâtiment administratif
    * Magasin
    * Sous-sol (passages souterrains)
    * Enceinte

sources : http://pl.wikipedia.org/wiki/Ulica_Stalowa_w_Warszawie
http://pl.wikipedia.org/wiki/Lilpop,_Rau_i_Loewenstein
http://www.praga.warszawa.pl/lits.html
http://adonai.pl/turystyka/?id=8

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Simone Weil - comme Dieu dans la Genèse

Publié le par antoiniste

    Il est naturel à l'homme et il lui convient de s'arrêter quand il a fait quelque chose, fût-ce l'espace d'un éclair, pour en prendre conscience, comme Dieu dans la Genèse ; cet éclair de pensée, d'immobilité et d'équilibre, c'est ce qu'il faut apprendre à supprimer entièrement dans l'usine, quand on y travaille. Les manoeuvres sur machines n'atteignent la cadence exigée que si les gestes d'une seconde se succèdent d'une manière ininterrompue et presque comme le tic-tac d'une horloge, sans rien qui marque jamais que quelque chose est fini et qu'autre chose commence. Ce tic-tac dont on ne peut supporter d'écouter longtemps la morne monotonie, eux doivent presque le reproduire avec leur corps.

Simone Weil, La condition ouvrière, p.207
source : classiques.uqac.ca

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Maxence van der Meersch, Corps et âmes - Il n'y a pas de maladie, il n'y a que des malades

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    " Il faut tout voir, disait-il. Une maladie des rein, ça réagit sur le coeur, le foie, et le cerveau. La belle affaire, d'avoir un rein en main ! Il n'y a pas de maladie locale ! Et même, il n'y a pas de maladie, il n'y a que des malades. Vos manuels vous donnent des listes de symptômes pour chaque maladie : c'est de la blague. On ne trouve jamais tous les symptômes, et on trouve toujours d'autres symptômes étrangers à côté. Vous verrez ça avec l'expérience, Doutreval. Et c'est pourquoi il y a bien des médecins médiocres : ils se sont fiés aux manuels. Je prétends que tout étudiant en médecine devrait au moins avoir été externe dans un hôpital. L'externe a vu des malades, les a surveillés lui-même longtemps, soigneusement, à son aise, sans avoir derrière le dos un professeur ni des camarades. Il a pu s'intéresser. Il a "pratiqué". Avec les systèmes actuels trop d'étudiants deviennent médecins sans avoir guère vu de patients ! Rares, oui, assez rares somme toute sont ceux qui ont la possibilité de faire de longs séjours dans les hôpitaux, d'étudier les hommes, les cas... "

Maxence van der Meersch, Corps et âmes, p.257
Le Livre de Poche, Paris, 1943

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