Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

epreuve

Le petit-fils de Raspoutine est guérisseur à Castelginest

Publié le par antoiniste

 Accueil » Grand Sud
Publié le 27/05/2001 | LaDepeche.fr
Le petit-fils de Raspoutine est guérisseur à Castelginest
GRAND SUD : Il serait le descendant du sulfureux conseiller des tsars

D'un côté une image du Christ, de l'autre une statuette de Bouddha. Fixées au mur dans leur cadre, deux photos: l'une représente Raspoutine, moine russe paillard, conseiller de la tsarine Alexandra et que l'on disait doté de pouvoirs surnaturels; l'autre, forcément plus récente, montre Jean-Louis Raspoutine, son petit-fils.

Même carrure, même barbe rebelle, même regard sombre. Inquiétant chez l'ancêtre, bienveillant celui qui se dit son descendant direct. « C'était mon grand- père », affirme Jean-Louis, 57 ans, guérisseur-magnétiseur installé depuis une vingtaine d'années à Castelginest (1). Après l'assassinat de l'ancêtre en 1916 à Saint-Petersbourg (lire en encadré), le fils de Raspoutine, prénommé Gregori, aurait fui la révolution russe à l'adolescence pour se réfugier en France, dans les Alpes-de- Haute-Provence.
En héritage

Son père lui a laissé pour tout héritage un nom - en fait un sobriquet - lourd à porter et surtout un don: celui de soulager, sinon de guérir par l'imposition des mains. Gregori Raspoutine fils fera de ce don un métier qu'il exercera à Arles-sur-Rhône, jusqu'à sa retraite. Entre-temps, il épouse une autre immigrée russe, Annaïssa, qui lui donnera un fils. Ainsi naît en 1944 Jean-Louis, lequel, parvenu à l'âge adulte sera d'abord électricien avant de s'installer, lui aussi héritier du don familial, comme guérisseur-magnétiseur.

Tel est le récit de Jean-Louis Raspoutine qui ne tient pas plus que ça à son arbre généalogique. Son cabinet de consultation est pourtant un véritable bric-à-brac ésotérique et oecuménique au sein duquel se mélangent symboles chrétiens, figurines bouddhistes, masques égyptiens et poupées russes gigognes... Mais il ne faut pas se fier aux apparences. « Je ne suis ni un gourou, ni un magicien », prévient-il d'une voix grave enjolivée d'un bel accent provençal. « Ni médecin », ajoute-t-il en montrant l'affichette qui précise: « Je ne saurais vous conseiller d'interrompre le traitement prescrit par votre médecin. » Il détient pourtant le don, vivement contesté par l'ordre des médecins, d'apaiser différentes formes de souffrance. « C'est difficile à expliquer. J'ai en moi la volonté de ne plus voir les gens souffrir. J'appellerais ça la rage de guérir », explique-t-il en se bornant à constater: « Les gens disent que ça leur fait du bien... » Coût de la séance: 200 F.

Sa première évaluation lui serait fournie par « l'aura » qui émane de ses patients, du jaune au violine en passant par le vert et le rouge. Mais c'est bien l'imposition des mains qui apporte au patient le soulagement espéré. Jean-Louis Raspoutine s'est « spécialisé dans l'accompagnement de personnes atteintes de graves maladies », mais il a également le célèbre et mystérieux don « d'enlever le feu » par l'association de l'imposition des mains et d'une prière qu'on se transmet de génération en génération.
En échange de la douleur

Qu'on « y croie » ou non, son livre d'or regorge de témoignages: apaisement de la douleur d'une femme atteinte d'un cancer du sein, d'une autre souffrant d'un zona ou de telle autre guérie d'un psoriasis. Ou encore l'histoire de ce jeune homme, Christophe, sorti du coma dans lequel l'avait plongé un terrible accident de la route.

Comme tous ses confrères, Jean-Louis Raspoutine ne peut fournir aucune explication rationnelle. « J'envoie une énergie à quelqu'un et en échange je prends sa douleur. » Tandis que le conseil de l'ordre des médecins considère qu'il s'agit d' « exercice illégal de la médecine », de nombreux praticiens se montrent moins rigoristes.

« J'ai observé, par exemple, que certains guérisseurs arrêtent la sensation de brûlure du zona plus vite que les médicaments », confirme un généraliste toulousain qui tient à rester anonyme mais affirme: « Je crois que des gens ont cette capacité inexpliquée d'apporter un soulagement aux autres. » En ajoutant aussitôt qu'il faut tout de même « se méfier des charlatans. »

Un praticien ira-t-il jusqu'à envoyer ses patients chez cet étrange collègue? « Beaucoup de patients me sont envoyés par des médecins », affirme Jean- Louis Raspoutine. Information invérifiable, mais divers témoignages confirment que des guérisseurs interviennent dans des services hospitaliers, y compris auprès de cancéreux ou de grands brûlés. A la demande des familles, certes, mais sous le regard neutre d'infirmiers et de médecins qui admettent implicitement ne pas tout savoir des mystères de la souffrance humaine.

______

(1) En Haute-Garonne, une cinquantaine de personnes sont inscrites sous la rubrique « Magnétiseurs » dans les pages jaunes de l'annuaire

René GRANDO

Ni le poison, ni les balles...

Né en Russie en 1864, Grigori Iefimovitch Raspoutine, fils de paysan et analphabète, était doué d'un pouvoir de guérisseur qui le fit considérer par les uns comme un saint homme, par les autres comme l'incarnation du diable. Accueilli à la cour du tsar Nicolas II, il sauva à trois reprises la vie du tsarévitch Alexis atteint d'hémophilie. Ses succès lui attirent le respect du tsar et surtout la vénération de l'impératrice Alexandra. Sa paillardise insolente, ses débauches et son influence occulte sur la famille impériale lui vaudront la haine de l'aristocratie russe. Trois membres de la noblesse organisent son assassinat dans la nuit du 16 au 17 décembre 1916 à Saint- Petersbourg. Il est alors âgé de 53 ans et il a déjà survécu au coup de poignard d'une prostituée dans un bordel sibérien. Selon le récit du prince Youssoupov, principal exécuteur du complot, Raspoutine absorba ce soir-là, quasiment sans broncher, une dose de cyanure propre à tuer un boeuf, le poison étant mélangé à du vin et des gâteaux. Youssoupov tirera quatre balles de revolver et s'acharnera sur lui à coups de matraque pour en venir à bout. La victime sera jetée du haut d'un pont dans les eaux glacées de la Neva. Selon l'autopsie pratiquée ensuite sur le corps de Raspoutine, celui-ci n'était pas mort lorqu'il a été jeté dans le fleuve. Ses poumons contenaient de l'eau, la preuve qu'il respirait encore en dépit du cyanure et des balles tirées sur lui.

R. G.

Voir les commentaires

Allan Kardec, La Genèse selon le spiritisme - Guérisons

Publié le par antoiniste

Guérisons

31.- Le fluide universel est, comme on l'a vu, l'élément primitif du corps charnel et du périsprit, qui n'en sont que des transformations. Par l'identité de sa nature, ce fluide, condensé dans le périsprit, peut fournir au corps les principes réparateurs ; l'agent propulseur est l'Esprit, incarné ou désincarné, qui infiltre dans un corps détérioré une partie de la substance de son enveloppe fluidique. La guérison s'opère par la substitution d'une molécule saine à une molécule malsaine. La puissance guérissante sera donc en raison de la pureté de la substance inoculée ; elle dépend encore de l'énergie de la volonté, qui provoque une émission fluidique plus abondante et donne au fluide une plus grande force de pénétration ; enfin, des intentions qui animent celui qui veut guérir, qu'il soit homme ou Esprit. Les fluides qui émanent d'une source impure sont comme des substances médicales altérées.
32.- Les effets de l'action fluidique sur les malades sont extrêmement variés, selon les circonstances ; cette action est quelquefois lente et réclame un traitement suivi, comme dans le magnétisme ordinaire ; d'autres fois, elle est rapide comme un courant électrique. Il est des personnes douées d'une puissance telle, qu'elles opèrent sur certains malades des guérisons instantanées par la seule imposition des mains, ou même par un seul acte de la volonté. Entre les deux pôles extrêmes de cette faculté, il y a des nuances à l'infini. Toutes les guérisons de ce genre sont des variétés du magnétisme et ne diffèrent que par la puissance et la rapidité de l'action. Le principe est toujours le même : c'est le fluide qui joue le rôle d'agent thérapeutique, et dont l'effet est subordonné à sa qualité et à des circonstances spéciales.
33.- L'action magnétique peut se produire de plusieurs manières :
1° Par le fluide même du magnétiseur ; c'est le magnétisme proprement dit, ou magnétisme humain, dont l'action est subordonnée à la puissance et surtout à la qualité du fluide ;
2° Par le fluide des Esprits agissant directement et sans intermédiaire sur un incarné, soit pour guérir ou calmer une souffrance, soit pour provoquer le sommeil somnambulique spontané, soit pour exercer sur l'individu une influence physique ou morale quelconque. C'est le magnétisme spirituel, dont la qualité est en raison des qualités de l'Esprit ;
3° Par le fluide que les Esprits déversent sur le magnétiseur et auquel celui-ci sert de conducteur. C'est le magnétisme mixte, semi-spirituel ou, si l'on veut, humano-spirituel. Le fluide spirituel, combiné avec le fluide humain, donne à ce dernier les qualités qui lui manquent. Le concours des Esprits, en pareille circonstance, est parfois spontané, mais le plus souvent il est provoqué par l'appel du magnétiseur.
34.- La faculté de guérir par l'influence fluidique est très commune, et peut se développer par l'exercice ; mais celle de guérir instantanément par l'imposition des mains est plus rare, et son apogée peut être considéré comme exceptionnel. Cependant on a vu à diverses époques, et presque chez tous les peuples, des individus qui la possédaient à un degré éminent. En ces derniers temps, on en a vu plusieurs exemples remarquables, dont l'authenticité ne peut être contestée. Puisque ces sortes de guérisons reposent sur un principe naturel, et que le pouvoir de les opérer n'est pas un privilège, c'est qu'elles ne sortent pas de la nature et qu'elles n'ont de miraculeux que l'apparence.

Allan Kardec, La Genèse selon le spiritisme (1868)
CHAPITRE XIV - Les Fluides
source : http://spirite.free.fr/ouvrages/genese/genese15.htm#lien9

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.194)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.194)

    Nous le disons dans LE COURONNEMENT, il faut que ce soit le malheur qui nous fasse sentir ce qu'est le bonheur, car il faut la maladie pour apprécier la santé et il en est de même dans tous, c'est l'obscurité qui donne le prix à la lumière.

La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.194

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien (p.193)

Publié le par antoiniste

 

    Toute révélation émane de Dieu, sa base est donc toujours la même ; les mots ni les phrases n'y sont rien ; seule la morale qui en découle, qui est amour divin, est tout.
    C'est ainsi qu'il faut apprécier mon enseignement. Je ne dirai pas que je suis venu en mission, je dis plutôt à l'épreuve, car il est de mon devoir de respecter cette révélation autant que j'ai voulu l'enseigner.

La Révélation, L'arbre de la Science de la vue du bien, p.193

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.189)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.189)

    Au milieu des souffrances qui nous accablent et surtout dans les plus accentuées, n'oublions pas que c'est Dieu qui cherche à s'installer en nous et à démolir à cet effet tout ce que nous y avons construit en dehors de la réalité. Je l'ai encore dit, nous sommes plus malheureux que l'animal et d'autant plus que notre intelligence est développée.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.189

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.182)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.182)

    Sans nous être rendu compte du but de la vie, nous recherchons le bonheur dans l'imperfection, mais ce bonheur n'est qu'apparent, il ne fait qu'augmenter nos faiblesses et nous empêche d'autant plus de supporter la réalité, Dieu, puisque, dans l'incarnation, nous sommes dans l'opposé de la réalité.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.182

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.181)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.181)

    L'imperfection proprement dite n'est pas là où nous nous la figurons ; elle consiste en tout notre être matériel qui est tout l'opposé de perfection. Nous pourrions croire en un Dieu et nous imaginer que nous Le servons bien tandis que nous ferions tout le contraire, car nous ne voyons le bien qu'artificiellement, c'est-à-dire par l'intermédiaire d'un sens matériel, par l'intelligence qui voit de même le mal dans ce qui est bien.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.181

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.180)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.180)

    Ah ! si nous pouvions comprendre combien nous vivrions plus heureux en respectant la nature de toute chose ! La faim et la soif redeviendraient alors également naturelles.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.180

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.179)

Publié le par antoiniste

La Révélation, L'arbre de la science de la vie du bien (p.179)    Rendons-nous compte de notre situation et nous reconnaîtrons que les besoins factices nous dirigent dans le sens opposé à notre amélioration, qu'ils nous obligent à marcher vers le malheur plutôt que vers le bonheur ; nous en sommes véritablement l'esclave car ils nous font dépasser en tout la mesure du nécessaire. Voilà où nous voyons que l'intelligence est le siège de notre imperfection. Si elle était ce qu'on la croit généralement, pourrait-elle nous diriger de la sorte ? Il est donc vrai qu'elle ne peut supporter la réalité, puisqu'elle prend plaisir à la dénaturer, qu'elle cherche jour et nuit les moyens d'y parvenir. Quand nous voudrons examiner consciencieusement les effets de notre intelligence, nous reconnaîtrons que ce sont nos vices et caprices qui nous divisent, proportionnément à son développement. Mais elle se refuse à nous montrer notre esclavage, elle nous porte, au contraire, à nous croire plus heureux que d'autres qui semblent moins intelligents que nous. J'ai dit que cette faculté ne sait supporter ce qui est réel ; elle est toujours tentée à le falsifier. Elle est même son propre ennemi, son poison puisqu'elle s'ingénie à dénaturer jusqu'aux aliments eux-mêmes. C'est bien là qu'elle prépare la majeure partie de ses souffrances car les mets excitants provoquent des excès qui détraquent l'organisme. Nous sommes donc obligés de constater que notre intelligence nous conduit à la gourmandise, à l'avarice, à l'égoïsme.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.179

Voir les commentaires

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien (p.176)

Publié le par antoiniste

    Pourquoi est-il dit que sans épreuve il n'est point d'avancement ? C'est parce que Dieu doit démolir petit à petit notre imperfection pour s'établir en nous.

La Révélation, L'arbre de la science de la vue du bien, p.176

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 > >>