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Jean Béziat n'est plus de ce monde (Le Fraterniste 15 mai 1926)

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L'Antoinisme après Mère (antoinisme-documentation.skynetblogs.be)

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    Depuis 1960, il faut bien reconnaître que le CULTE ANTOINISTE stagne en Belgique. Les deux derniers Temples inaugurés l’ont été dans les années 1950 (celui de MONS en 1956 et celui de RETINNE en 1958). A noter que le Temple de RETINNE n’appartient pas au CULTE ANTOINISTE mais à l’ASBL «  Les Disciples de Père et de Mère ANTOINE »

    Cette stagnation est due à la rigueur de comportement du CULTE ANTOINISTE qui s’interdit tout prosélytisme même vis-à-vis des visiteurs des Temples ! Il faut bien admettre aussi que le CULTE ANTOINISTE subit les mêmes problèmes de désaffection et de manque de bénévoles pour exercer dans les Temples que les autres religions, sauf l’Islam.

    Toutefois, dans certains pays, l’ANTOINISME connaît un regain de popularité depuis les années 1990. En France, notamment, plusieurs Temples ont été ouverts ces dernières années. Au CONGO ( ex-belge), une petite église comptant+/- 10.000 membres s’est convertie à l’ANTOINISME. Il y a des implantations au BRESIL et des fidèles dans divers pays.

source : https://web.archive.org/web/20060525223237/http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/?date=20050425&number=1&unit=days#1109115

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Jean-Baptiste Baronian - Guide secret de Bruxelles (2019)

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Jean-Baptiste Baronian - Guide secret de Bruxelles (2019)

Auteur : Jean-Baptiste Baronian
Titre : Guide secret de Bruxelles
Éditions Ouest France, 2019, 143 p., 14 €

4e de couverture :
    Ville éminemment plurielle et pleine d'arcanes, Bruxelles, la capitale de la Belgique, renferme une multitude de secrets : une rivière qui la traverse de part en part, mais qu'on ne voit pas ; un grand musée à la gloire d'un peintre complètement barjo ; la statuette d'un petit gamin tout nu en train de faire pipi, mais qui possède d'innombrables vêtements de toutes les couleurs ; des monuments qui se mettent à déménager ; des cellules de prisons transformées en chambres d'hôtel cinq étoiles ; des sociétés secrètes farfelues ; des rues dont les noms sont des casse-têtes ; des lions en bronze qui marchent de travers...
    A Bruxelles, d'un lieu à l'autre, et parfois à une trentaine de mètres de distance, la magie se tapit puis se découvre, surgit puis disparaît, vous ensorcelle puis vous repousse. Le présent guide illustré cherche à révéler le Bruxelles méconnu, à travers son histoire millénaire ainsi que les femmes et les hommes, célèbres ou non, qui y ont vécu ou séjourné.

Recension :
     Voilà le genre d’ouvrage qui séduit d’emblée, par sa seule facture, les bibliophiles au rang desquels s’inscrit l’auteur, Jean-Baptiste Baronian. Couverture cartonnée, vignette reprenant une gravure de la Grand-Place en couverture, iconographie sépia sur papier crème et autres caractéristiques qui invitent le lecteur à découvrir ce Guide secret de Bruxelles.
    Baronian, sur un peu plus de cent pages, ne pouvait donner le livre total sur Bruxelles, si tant est qu’il puisse exister. Il invite davantage à une promenade dans le temps et l’espace, dénichant des anecdotes méconnues, qui donnent de la ville une image plurielle et cosmopolite. Le lecteur a l’impression de parcourir la capitale avec un guide particulier, parsemant chaque recoin de tel ou tel commentaire issu de sa vaste culture : la récurrence du chiffre sept, l’importance des portes, le surnom de village des ânes donné à Schaerbeek, le voisinage de Notre-Dame du Sommeil et du Coin du Diable, les vignobles bruxellois et la renaissance de l’hypocras, la ghettoïsation de la prostitution, etc. Tout cela dans un plaisant va-et-vient entre le passé et le présent, mais aussi le futur avec un certain Monsieur van Grippenbergh, roman d’anticipation publié en 1909. Mais que serait une ville sans ses habitants, réels ou imaginaires ? Tout un chapitre leur est consacré. On sait que Balzac, Baudelaire, Hugo, Marx et Engels, Verlaine et Rimbaud, Proudhon ont contribué à son aura, mais que dire de Wiertz, peintre autoproclamé plus grand coloriste au monde, de la Malibran, des anges d’Odilon-Jean Périer, du fondateur d’une Armée Belgique qui avait pris les Français en grippe, du père Antoine et des Antoinistes, des Riches Claires pas si riches, de Quick et Flupke ou encore des Agathopèdes, membres farfelus d’une de ces sociétés discrètes dont Bruxelles a le secret, qui reçurent en grandes pompes Alexandre Dumas. Société qu’on verrait bien renaître pour réjouir notre troisième millénaire…
    Derrière chaque lieu, un personnage et à chaque personnage, son lieu…
    Certes, une fois arrivés au bout de ce guide, vous ne connaîtrez pas tous les secrets de Bruxelles (il en restera toujours heureusement), mais une chose est certaine : vous ne considérerez plus la capitale avec le même regard !
Michel Torrekens
source : https://le-carnet-et-les-instants.net/2019/07/02/baronian-guide-secret-de-bruxelles/

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Frère Madelaine entrant dans le Temple des Ternes (photo Bec-fin Line)

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Frère Madelaine entrant dans le Temple des Ternes (photo Bec-fin Line)

Frère Norbert Madelaine était desservant du Temple des Ternes Paris 17e et Représentant du Père en France

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Dieu ne s'achète ni ne se vend (Le Fraterniste, 15 juin 1924)

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Dieu ne s'achète ni ne se vend (Le Fraterniste, 15 juin 1924)

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Marcel Thiry - Robert Vivier et la rencontre d'autrui (1994)

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     Vivier a puisé dans la petite histoire contemporaine de sa terre wallonne le sujet de son grand roman, Délivrez-nous du mal, large monographie d'un ouvrier guérisseur et prophète, le Père Antoine, et de la secte antoiniste. Non seulement il y échappe au souci dominant de cette couleur locale qui avait été, pendant une génération dans son pays, la ressource des conteurs régionalistes, mais il parvient à transposer la langue de ses personnages de façon qu'ils parlent un français pur, tout en laissant entendre comme à l'arrière-plan l'intonation d'un terroir, tantôt par un vouvoiement un peu insolite, tantôt par telle construction toute correcte, mais plus familière au pays liégeois, surtout par ce don de faire reconnaître ou deviner une fidèle ressemblance, épurée, au langage des simples. Et c'est d'ailleurs de la même habilité à concilier le respect de la langue avec la vérité de la vie qu'usera Vivier quand il fera parler les soldats de la première guerre : son réalisme, plus réel que celui de Barbusse, ne prête à ses personnages aucun vocabulaire spécial qui aurait proliféré dans les tranchées ; mais quelque chose d'intimement adapté à leurs habitudes d'expression les fait entendre au naturel, en même temps qu'une discrète purification — où l'on sent un grand respect pour eux — exhausse insensiblement leurs propos jusqu'au mode du français le plus simplement classique.

Robert Vivier et la rencontre d'autrui par Marcel THIRY (p.180)

Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises
Tome LXXII — Nos 1-2 (1994)

Source : https://www.arllfb.be/bulletin/bulletinsnumerises/bulletin_1994_lxxii_01_02.pdf

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Le Malaise social de la médecine (Revue spirite, Nov-Déc 1955)

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 Le Malaise social de la médecine (Revue spirite, Nov-Déc 1955)    LE MALAISE SOCIAL DE LA MEDECINE. – Ce fut le but du Ve Congrès de Sociologie médicale, qui tint ses assises à Paris, du 14 au 16 octobre écoulé, que d'aborder, une fois de plus, cette grave question et de prendre des résolutions qui doivent trouver leur pleine valeur dans l'action.
    Si le docteur Claoué fut l'âme de cette manifestation, il fut entouré de notre autre ami le docteur Fouqué, de Lyon, et de nombreuses personnalités et militants convaincus de la valeur de leur cause. Paul Reboux, président d'honneur du Congrès, ne fut pas le moins agissant. Rappelant qu'en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Argentine et dans certains cantors de Suisse notamment, la médecine empirique collabore avec la médecine classique pour le plus grand bien du malade, le célèbre écrivain – dont nous nous plaisons, une fois de plus, ici, à louer l'infatigable activité – a posé cette question :
    « Pourquoi n'en est-il pas de même chez nous ? »
   
Et Paul Reboux a continué, ainsi que le rapporte notre grand confrère parisien La Presse (n° 520) :
    « Il y a, présentement, une crise de la médecine. Elle est évidente. La médecine avait inspiré une confiance presque religieuse. Maintenant, le publie perd sa foi scientifique.
    « Au Congrès qui s'achève, des voix françaises et étrangères se sont élevées pour exhorter confraternellement tous les médecins du monde à faire de la médecine ce qu'elle était quand elle était partout honorée. Qu'il me soit permis de lui transmettre les remerciements des malades.
    « Quand la médecine aura subi cette transformation que vous voulez lui faire subir, elle inspirera de nouveau une confiance illimitée et remplira sa mission traditionnelle. Elle redeviendra un art où se concilieront la connaissance des choses de la nature et les dons précieux de ceux qui savent influencer, en même temps que la chair, les âmes. »
    Auparavant, le Congrès avait déploré – comme nous le déplorons nous-même – les attaques dont sont l'objet à leur tour les antoinistes, accusés à tort de détourner leurs adeptes des soins de la médecine classique !
    A leur propos, La Presse souligne avec raison que les antoinistes n'ont d'autre but, face à une société qui tend à fonder le bonheur des êtres sur des bases matérialistes, que de montrer l'être comme une âme, mais une âme incarnée.
    Et, plus loin, nous retenons ces judicieuses affirmations de nos frères en conviction :
    « Les guérisons par la Foi, disent-ils, s'obtiennent par la prière et le redressement moral des êtres ; elles existent en tous lieux et de tout temps. A Lourdes, à Lisieux, on guérit les malades par la Foi. On n'y détourne pas les malades des médecins. On obtient par la Foi. Ne perdons pas de vue que c'est Dieu qui est le grand docteur. Il ne condamne pas. Il peut nous rendre la santé par la prière d'une personne qui a foi en lui. Il arrive que la science dise « Non » et que la foi dise « Oui ». Lourdes ou Lisieux ne vont pas sur le terrain de la science. »
   
C'est un des torts de la médecine de limiter l'être humain à son corps ; ce faisant, elle limite ses moyens ; le corps n'est que le vêtement de l'âme. L'âme est le moteur du corps. S'élevant contre les injustes accusations portées contre les Antoinistes, La Presse en souligne le ridicule et ajoute :
    « Aussi ridicules que celles portées contre les magnétiseurs – nous parlons, bien entendu, des magnétiseurs sérieux – sous prétexte que les dons qu'ils déploient ne sont pas – du moins pas encore scientifiquement explicables.
    « Aussi ridicules que celles portées contre des chercheurs, des savants qui ont enfin compris cette notion de terrain, enseignée déjà par Claude Bernard et qui s'attachent non point à soigner les effets de la maladie – la fameuse tumeur du cancer, par exemple – mais bien à rechercher et à traiter les causes de la maladie, rejoignant dans ce domaine, ce que d'instinct font les magnétiseurs et, par la Foi, les guérisseurs mystiques. »
    Enfin, voici – toujours d'après notre confrère La Presse, courageusement agissante dans le combat entrepris contre l'injustice du conformisme médical – quelques-unes des résolutions prises au terme de ce Ve Congrès de Sociologie médicale :
    « Le Congrès, considérant que certains traitements de la tuberculose et du cancer donnent des résultats heureux, soulagent, guérissent, s'élève énergiquement contre les persécutions dont ces traitements sont les victimes et réclame la liberté de leur emploi.
    « Il demande que le médecin choisi par le malade soit autorisé à contrôler l'action et le résultat de toute thérapeutique officielle ou non.
    « Il se promet d'obtenir la suppression des décrets qui ont institué l'Ordre des médecins, organisation dictatoriale profondément contraire à l'esprit français et le retour à la situation de 1939.
    « D'obtenir aussi que, dans les hôpitaux, sauf cas d'urgence, chacun puisse recevoir les soins du médecin de son choix et non de médecins imposés.
    « Demande qu'on revienne au régime légal laissant aux seuls praticiens le pouvoir de Vacciner ou non. »
    Puissent ces vœux – auxquels nous nous associons pleinement – être entendus et retenus par le législateur. Ce sera un grand bien fait pour ceux qui souffrent. – (R. S.)

Revue spirite, Novembre-Décembre 1955

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Henegouwen - Het Antoinisme (Belgisch dagblad, 9 juin 1916)

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Henegouwen - Het Antoinisme (Belgisch dagblad, 9 juin 1916)

Henegouwen.

 Het Antoinisme.

    Het Parket van Charleroi heeft een bevel tot inhechtenisneming uitgevaardigd tegen twee personen van Morlanwelz. Zij worden beschuldigd wegens ontvreemding van rijst, een zaak dateerende van de maand December, toen op aanklacht van het Amerikaansch Komiteit, een wagon rijst, welke op het punt stond verzonden te worden, in de statie van Morlanwelz in beslag genomen werd. Di wijze van optreden is dezelfde zooals overal inzake van opkoopingen: opkoospers die lieden zochten, die de hoeveel heden rijst, waarop zij recht hadden niet kochten, en welke zij dan aan groothandelaars gaven, die ze dan tegen de overdreven prijzen, zooals men die in den handel vraagt, verkochten. Het onderzoek van deze zaak zal wellicht tot nieuwe aanhoudingen aanleiding geven, daar binnen kort nieuwe getuigen zullen gehoord worden.
    Vader Dor is vroeger een werkman geweest, van zijn eigen naam Pierre Dor, die, zegt men, een verwant is van „Pere Antoine” de stichter van het Antoinisme, en die hier sedert eenige jaren een sekte „Lorisme” geheeten, ge sticht heeft; welke eenige overeenkomst heeft met den godsdienst van den Apostel van Jemeppe a/d Maas. Vader Dor wordt thans wegens het onwettig uitoefenen der geneeskunst vervolgd. Heden, toen hij de verhoorzaal verliet, heeft een menigte zijner aanhangers, welke om het Paleis van Justitie geschaard was, eene manifestatie van sympathie voor Vader Dor gehouden, en terzelfdertijd van protest tegen de vervolgingen waarvan hij het voorwerp is. Vrouwen begeleidden hen, bloemen werden hem aangeboden, kreten aangeheven, in 't kort te veel leven voor niets.
    Verleden Woensdagmorgen heeft de politie van Gosselies naar Marchienne een arme gekke vrouw teruggebracht die op de markt van Gosselies opgeraapt werd, waar zij, in het hartje van den nacht, aan het gillen was. Als identiteitsbewijs had de ongelukkige niets anders bij zich dan het portret van Vader Dor. Zij was een zijner volgelingen, of eerder, een slachtoffer van zijne theorieën.

Belgisch dagblad, 9 juni 1916

 

Traduction :

    Le père Dor était un ouvrier, de son vrai nom Pierre Dor, qui serait un parent de "Pere Antoine", le fondateur de l'antoinisme, et qui a fondé ici il y a quelques années une secte appelée "Lorisme" [sic], qui présente une certaine similitude avec la religion de l'apôtre de Jemeppe s/ Meuse. Le père Dor est actuellement poursuivi pour exercice illégal de la médecine. Aujourd'hui, lorsqu'il a quitté la salle d'interrogatoire, une foule de ses partisans, réunis autour du Palais de Justice, a organisé une manifestation de sympathie pour le père Dor, et a en même temps protesté contre la persécution dont il fait l'objet. Des femmes les accompagnaient, on leur offrait des fleurs, on criait, bref, beaucoup trop de bruit pour rien.
    Mercredi matin dernier, la police de Gosselies a ramené à Marchienne une pauvre folle qui avait été ramassée au marché de Gosselies, où elle criait au milieu de la nuit. Comme preuve d'identité, la malheureuse n'avait rien d'autre sur elle que le portrait du père Dor. Elle était l'une de ses adeptes, ou plutôt, une victime de ses théories.

Journal belge, 9 juin 1916

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Antoine Faivre - L'ésotérisme (Que sais-je N°1031, 2019)

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Antoine Faivre - L'ésotérisme (Que sais-je N°1031, 2019)

Auteur : Antoine Faivre (directeur d’études émérite à l’École pratique des hautes études, dans la section des sciences religieuses)
Titre : L’ésotérisme
Éditions : Que sais-je ? N° 1031, 2019, 128 pages

Résumé :

    De l’initiation maçonnique au yoga en passant par l’alchimie ou le spiritisme, l’extrême diversité de ce qui relèverait de la catégorie d’ésotérisme fait perdre tout sens précis à cette notion. Or l’intérêt porté à la dimension irrationnelle et spirituelle de l’homme ne cesse d’augmenter le nombre de manifestations dites « ésotériques », qu’elles soient pratiques ou théoriques, nouvelles ou réactualisées.
    L’ambition d’Antoine Faivre dans cet ouvrage est d’esquisser les contours de cette forme de pensée, en s’appuyant sur les courants qui l’illustrent dans le monde occidental, et particulièrement depuis le début des Temps modernes.

Source : https://www.quesaisje.com/content/L%C3%A9sot%C3%A9risme

    Le numéro sur le Spiritisme n'est plus édité, ce titre lui fait suite.

    Le même Antoine Faivre est l'auteur de l'article de l'Encyclopædia Universalis sur le Spiritime. On y lit :
    "Malheureusement, les spirites sont souvent tombés dans le ridicule, en particulier Henry Lacroix, avec son livre Mes expériences avec les esprits (1889), et Louis Antoine, dit le Père Antoine (1846-1912), mineur belge qui créa l'« antoinisme », schisme du spiritisme qui donne beaucoup d'importance aux dons des guérisseurs. Assez proche de la Christian Science (fondée aux États-Unis en 1866) de Mrs. Baker Eddy, l'antoinisme, malgré la médiocrité de son enseignement, a prétendu être une religion."

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Consécration du temple de Toulouse (archives FaceBook Bec-fin Line)

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Consécration du temple de Toulouse (archives Bec-fin Line)

Voir le billet pour la consécration du Temple d'Écaussinnes et de Paris. Cf. le billet sur les consécrations des temples antoinistes.

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