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conscience

Eros & Thanatos / Conscience & Intelligence

Publié le par antoiniste

On le retrouve ainsi en psychanalyse, Sigmund Freud nommant « Éros » ( Ἔρως) la pulsion de vie qui, selon lui, habite chaque être humain. Il l'oppose à la pulsion de mort, ou pulsion de destruction. Il est courant aujourd'hui de nommer cette pulsion de mort « Thanatos », mais il ne s'agit pas d'un terme freudien à proprement parler. Ces deux pulsions fondamentales ne peuvent être pensées séparément qu'en métapsychologie (Freud disait d'elles qu'elles étaient sa mythologie) : en clinique, elles œuvrent toujours ensemble, en une sorte d'amalgame, et sont indissociables.

Le mot « Thanatos » (Θάνατος), personnification de la mort, a connu une grande fortune. On le retrouve ainsi en psychanalyse, Sigmund Freud nommant « Thanatos » la pulsion de mort qui, selon lui, habite chaque être humain. Il l'oppose à la pulsion de vie, « Éros ».

 

Il est amusant de rapporcher ces deux personnalités : Louis Antoine et Sigmund Freud. On peut voir le parcours du psychanalyste dans le livre de Stefan Zweig, La guérison par l'esprit. Pour Sigmund Freud, l'homme était régis par l'Eros et le Thanatos. Pour Louis Antoine, l'homme est régit par la conscience, qui est éternelle, la part de Dieu en l'homme, qui symbolise son amour (Eros), et par l'intelligence, qui régit la matière, qui est mortelle (Thanatos), due à son imagination.

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L'expérience de Milgram

Publié le par antoiniste

L'expérience de Milgram est une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram. Cette expérience vise à estimer à quel niveau d'obéissance peut aller un individu dirigé par une autorité qu'il juge légitime et à voir le processus qui mène à un maintien de cette obéissance ; notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet.

De 1960 à 1963, Milgram mène une série d'expériences, avec plusieurs variantes, permettant d'estimer à quel point un individu peut se plier aux ordres d'une autorité qu'il accepte, même quand cela entre en contradiction avec son système de valeurs morales et éthiques. Ses résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses chez les psychologues et les philosophes des sciences.

[...]

 Rôle de l’obéissance dans la société

L'obéissance à une autorité et l'intégration de l'individu au sein d'une hiérarchie est l'un des fondements de toute société. Cette obéissance à des règles, et par voie de conséquence à une autorité, permet aux individus de vivre ensemble et empêche que leurs besoins et désirs entrent en conflit et mettent à mal la structure de la société.

Partant de cela, Stanley Milgram ne considère pas l'obéissance comme un mal. Là où l'obéissance devient dangereuse, c'est lorsqu'elle entre en conflit avec la conscience de l'individu. Pour résumer, ce qui est dangereux, c'est l'obéissance aveugle.

Un autre moteur de l'obéissance est le conformisme. Lorsque l'individu obéit à une autorité, il est conscient de réaliser les désirs de l'autorité. Avec le conformisme, l'individu est persuadé que ses motivations lui sont propres et qu'il n'imite pas le comportement du groupe. Ce mimétisme est une façon pour l'individu de ne pas se démarquer du groupe.

Le conformisme a été mis en évidence par le psychosociologue Solomon Asch dans une expérience qu'il réalisa dans les années 1950.

Les variantes avec plusieurs pairs ont montré que si l'obéissance entre en conflit avec la conscience de l'individu et que le conformisme "impose" à l'individu de ne pas obéir, il se range souvent du côté du groupe. Ainsi, si l'on veut s'assurer de l'obéissance aveugle d'un groupe, il faut faire en sorte que la majorité de ses membres adhère aux buts de l'autorité.

source : wikipedia

cf. : Autorité = danger [http://www.dailymotion.com/video/x4kh9l_autorite-danger_tech]
cf. : Milgram Experiment (Derren Brown) [http://www.youtube.com/watch?gl=FR&hl=fr&v=y6GxIuljT3w&feature=related]

nota : l'expérience menait ici était mené pour l'aide à l'apprentissage et l'activité de la mémoire, mais cela a toujours était une expérience pour prouver finalement l'embrigadement mental que l'on peut faire subir à la personne qui faisait subir les "faux" électrochocs.
    Je me permets de signaler cependant que le méthode de l'électrochoc à était vraiment utilisé dans les cas de tortures, et plus graves pour soigner les maladies mentales, ou les maladies perçues comme mentale, comme l'homosexualité (cf. Les homosexuels, Par Gonzague de Larocque, Le Cavalier Bleu, 2003 - collection Idées Reçues [http://books.google.com/books?id=mNfNEY9TNCUC&hl=fr])

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La Vague / Die Welle

Publié le par antoiniste

Dans le cadre de son cours d’histoire sur la Deuxième Guerre Mondiale, Ben Ross se trouve embarrassé par la question d’un de ses étudiants : ‘Comment les Allemands ont-ils pu laisser les nazis assassiner des gens presque sous leurs yeux pour ensuite affirmer, qu’ils n’en savaient rien? Comment ont-ils pu faire une chose pareille? Comment ont-ils même pu dire une chose pareille?

La Vague

Bien sûr, il tente d’argumenter sur l’organisation à ce point rigoureuse des nazis qu’elle les rendait redoutables pour le reste de la population : oser se rebeller équivalait à se condamner…Mais sa réponse le laisse lui-même sur sa faim. Comment expliquer à des jeunes gens de la fin du 20e siècle que tout un peuple ait laissé une minorité exterminer purement et simplement 6 millions de juifs?

Le lendemain, il met en pratique l’idée de créer, au sein de sa classe, un mouvement ‘fictif’ destiné à faire comprendre aux étudiants les mécanismes du nazisme. Le nom du mouvement : ‘La vague’, son slogan : ‘La Force par la Discipline, La Force par la Communauté, La Force par l’Action’. En quelques jours, la majorité des étudiants vont volontairement laisser de côté tout esprit critique et tout libre arbitre pour s’abandonner aux préceptes du groupe…

Basé sur une expérience réelle ayant eu lieu dans une école des Etats-Unis dans les années ‘70, “La Vague” illustre, dans un style simple et dépouillé, la fragilité des libertés individuelles, la force de l’esprit de groupe et comment une collectivité soudée par des slogans forts peut très vite forcer l’individu à agir contre ce qu’il croyait être ses principes de base.

Même s’il est porteur d’un message presque pédagogique, le roman n’est jamais ennuyeux, les personnages se révèlent crédibles et attachants, l’auteur recourt largement aux dialogues et le cadre d’une école et des relations entre jeunes sera familier pour le public adolescent auxquel il est destiné. Toutefois, tant dans son propos que dans sa forme, “La vague” reste une lecture interpellante à tout âge…

La Vague / Todd Strasser. - Paris : Jean-Claude Gawsewitch Editeur, 2008. - 221 p. -

source : http://bibliomarchinmodave.wordpress.com/tag/la-vague/

cf. http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Troisi%C3%A8me_Vague

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Pensée de Semkey-Dhadul - Thich Nhat Hanh

Publié le par antoiniste

"Que je sois capable d'identifier et de voir l'origine de la colère, du désir et de l'illusion en moi-même."

Thich Nhat Hanh

source : Semkey-Dhadul (http://www.blogg.org/blog-73100.html)

 

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Pensée de Semkey-Dhadul - Bouddha

Publié le par antoiniste

"Je peux vous conduire jusqu'à l'eau de la source, mais le seul qui puisse la boire, c'est vous-même."

Bouddha

source : Semkey-Dhadul (http://www.blogg.org/blog-73100.html)

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La Conscience pour Bergson

Publié le par antoiniste

« Conscience signifie choix. Le rôle de la conscience est de le décider. »
(L'Energie spirituelle, chap. 1).

source : wikipedia

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Le coeur, ceux qui ont conscience de la volonté divine

Publié le par antoiniste

Les égyptiens, ce sont les «cœurs», ceux qui ont conscience de la volonté divine. L’écriture égyptienne incarne en quelque sorte les mots qui créèrent l’univers lors de la «première fois» de la création du monde. Etant vraiment l’expression de la volonté du démiurge, les mots hiéroglyphiques sont autant d’«icônes» exprimant l’essence de celui-ci. Le souffle vital qui permet aux êtres d’exister ne fait qu’un avec la parole du démiurge.

source : http://www.magazinelinitiation.com/Webzine/W_Article_Initiation.php?Auteur=Jean-Michel+Salmann

 

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Adam et Ève : Conscience et Intelligence

Publié le par antoiniste

    Adam et Ève avaient apprivoisé un serpent qui faisait leur bonheur et ils l'aimaient comme une mère aime son enfant. La Providence place toujours sur note chemin ce qui est nécessaire à notre progrès. Nous devons croire que Adam n'avait pas encore passé par aucune tribulation, il était simple et ignorant, il devait progresser ; sa manière d'agir nous le démontre puisqu'il a abandonné Dieu pour croire à un serpent. L'amour prodiguait à cet animal était seul l'obstacle à son inspiration, depuis longtemps déjà interrompue. Le temps semblait bien long à Ève ; elle ne se croyait plus aimée de son mari qui lui refusait d'obéir avant d'en être inspiré. Ah ! si nous savions que toute révélation ou inspiration est la conséquence de l'amour vrai, nous agirions avec certitude quand nous le ressentons. Mais Ève éprouvait au contact du serpent beaucoup de sensations et disait que tout lui était inspiré par lui, bien que ce ne fût que ses propres pensées, conséquence de l'amour bestial. Adam ne pouvait agir qu'en Dieu puisqu'il n'avait pas l'intelligence. Ève ne se laissait pas de le tenter, disant que son Dieu n'était pas le vrai Dieu, que le serpent le lui révélait et que s'il persistait dans sa croyance, il resterait ignorant, tandis que le serpent lui ferait tout connaître. Vous le voyez, Adam n'était plus inspiré comme auparavant, et Ève prétendait l'être par le serpent, seul vrai Dieu en qui elle disait avoir foi. Ces malheureux ignoraient que par le contact du serpent ils s'étaient animés de l'amour bestial et se privaient de l'amour vrai, duquel Adam recevait autrefois ses inspirations. Comme il ressentait de plus en plus les mêmes impressions que son épouse, il ne la fit plus attendre ; plus ou moins rassuré par elle, par l'intervention du serpent, il lui obéit, lui promit de faire tout ce que le serpent pourrait lui inspirer. A partir de ce moment, il se sentit transformé? Il avait failli et cependant il l'ignorait, ne se figurant pas que Ève n'était pas réelle, qu'elle n'était qu'apparente, il avait cru trouver ainsi le bon chemin. Toutefois Dieu ne l'abandonna pas. Mais l'inspiration ne produisait plus sur lui la même impression qu'auparavant parce qu'il la confondait avec ses pensées. Voilà où le doute fait son apparition, où commencent les tribulations, les vicissitudes. Car Adam n'avait plus la foi au vrai Dieu ; au contraire, depuis qu'il s'en était écarté, il L'accusait d'être la cause de touts les difficultés qu'il avait éprouvées, interrompant ainsi l'inspiration. Adam avait perdu tout son bon sens ; il se maintenait du côté de son épouse, disait que le Dieu qu'il avait abandonné n'était qu'un démon ; en voyant plus en Lui que le mal, il était heureux d'en être délivré parce que la jouissance de l'amour bestial lui procurait un bonheur apparent. Il ne se montrait plus indifférent pour son épouse, voulant autant la satisfaire qu'il avait pu lui déplaire antérieurement.
    Après qu'il eut failli, Adam se déroba à la vue de ses compagnons qui ne le voyant plus, l'appelèrent. Adam paraissait honteux en leur répondant qu'il était nu et qu'il n'osait plus se montrer à eux. C'est alors qu'il imagine la matière pour s'en couvrir, puisqu'il voyait l'erreur dans la réalité, la matière pouvait seule la voiler, car elle est autant compacte que la spiritualité est éthérée ; de même nous sommes autant opposés à Dieu que nous prétendons voir la réalité en la matière.
    Constatons par ce fait que la pudeur n'est pas réelle  elle n'est qu'une vertu matérielle qui suscite la honte, résultant de notre doute envers notre semblable. Adam ignorait pourquoi il était gêné et d'où lui venait la pensée de se couvrir et sa répugnance de la nudité de ses semblables. C'est à ce moment qu'il engendre la vue du mal ; tout ce qui était réellement naturel lui déplaisait ; il se revêtait de végétaux : feuilles, branches d'arbres, en un mot de tout ce qu'il pouvait imaginer et au fur et à mesure qu'il se pénétrait de la matière, tout lui semblait plus compact, alors qu'auparavant il n'y avait rien pour lui en dehors de la spiritualité. La foi au serpent grandissait en conséquence ; il croyait que tout venait de lui, oubliant qu'il jouissait d'une grande faculté qui permettait d'aller à son gré partout où il le jugeait utile, tandis que sa foi au vrai Dieu diminuait au fur et à mesure que le doute le murait dans la matière.
[...]
    En résumé, le péché d'Adam c'est la vue du mal. Le serpent a été considéré comme Dieu pendant des milliers d'années, puis il a été remplacé par d'autres animaux, après vint le règne des fétiches, de l'idolâtrie et enfin celui de la personnification divine. Voilà où en est le progrès de nos jours et ce qui prouve que nous subissons encore l'instinct ancestral, c'est que nous en retrouvons des traces dans toutes les croyances.

Couronnement de l'OEuvre Révélée, L'arbre de la science de la vue du mal, p.IV

    Tout ce qui existe en réalité n'a pas de sexe, c'est Adam en allant à Ève qui se le développe. Rien n'est réellement naturel en dehors de la réalité. Tout ce que nous pouvons nous imaginer comme ayant été créé, ne vient que de l'erreur, car tout ce qui existe réellement a toujours existé ; mais nous ne pouvons apprécier la réalité que par son opposé puisque nous ne concevons les choses que matériellement.
    Je vous ai révélé qu'Adam n'existait que spirituellement ; il est le moi conscient et Ève qui n'existe qu'en apparence, le moi intelligent. Telles sont les deux individualités qui sont en nous, l'une réelle et l'autre apparente; nous n'existons réellement que par le moi conscient, le moi apparent est notre incarnation, notre imperfection. C'est celui-ci qui crée les termes de comparaison qui n'existent que par l'opposé de la réalité.

Couronnement de l'OEuvre Révélée, C'est Adam & Ève qui forment la base des termes de comparaison, p.XIV

    Adam et Ève, avons-nous dit, ont créé le sexe; c'est d'eux que résultent les termes de comparaison. Adam est le moi conscient, Ève le moi apparent ressortant de l'imagination d'Adam qui le fait douter pour croire à un serpent, prenant de cette façon le bon pour le mauvais et le mauvais pour le bon. Adam établit ainsi la comparaison en Dieu, parce que nous ne concevons les choses qu'à travers la matières et nous voulons nous frayer un chemin qui conduise à Dieu de la même façon, par nos sens matériels. Ces deux termes ne sont qu'apparents, ils sont le reflet des deux individualités qui sont en nous, opposés l'un à l'autre, l'erreur à la vérité. Ce ne sont pas les choses semblant différer l'une de l'autre qui donnent lieu à des termes de comparaison, c'est notre individualité apparente, le moi intelligent, qui nous les montre telles parce qu'il est opposé au moi conscient.

Couronnement de l'OEuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur, p.LIV

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Les animaux ont-ils une conscience ?

Publié le par antoiniste

Image : la conscience réflexive (Claure Baillargeon)

Sur un forum, Gilgamesh répond :

Les animaux munis d'un système nerveux central, contrairement aux plante et bactérie par exemple, sont éveillés, le monde existe pour eux et il a un sens (il est valorisé), ils possèdent un "Soi" auquel ramener leur expérience => ils sont conscient au sens de "awareness".

Parmi les animaux, l'Homme a développé sur cette base là une conscience de haut niveau, dite réflexive et qui lui est propre, qui permet d'élaborer une subjectivité, une conscience de soi comme "je", une conscience autobiographique (savoir qui on est et sa propre histoire). Seuls les humains sont conscient au sens de "consciousness".

Titanic ajoute :

La capacité de mentir révèle la présence d'un libre-arbitre. Je doute que les animaux puissent mentir, ça m'étonnerait sacrément d'ailleurs. Les animaux ne sont pas non plus capables de cruauté, les hommes si

La conscience des animaux est immédiate, un peu comme celle des grands imbéciles ...

Oui certains animaux semblent "réfléchir", on dirait qu'ils évaluent les situations, comme s'ils connaissaient eux aussi les causes et les effets. On peut aussi leur faire acquérir une sorte d'espèce de début de conscience "réflexive" en les dressant. Mais alors au final ce sont de purs automatismes bêtement, machinalement appris, qui sont restitués ...

source : http://forums.futura-sciences.com/debats-scientifiques/134658-animaux-ont-une-conscience.html

Le site philagora propose comme sujet de philo :


"Pourquoi prive-t-on l'animal de conscience?"

Site Philagora, tous droits réservés

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Pourquoi     => pour quelle cause ou pour quelle raison?
=> dans quel but (projet)? Qu'est-ce qu'on veut se prouver -> voir l' "illusion"?

prive     priver comme "priver de quelque chose" parce qu'on y a pas droit: refuser une caractéristique à un "objet" parce qu'il ne l'a pas (ex: il ne parle pas) ou parce qu'on ne désire pas qu'il l'ait: on la lui refuse.

on     une certaine unanimité se manifeste dans l'espace et dans le temps, unanimité de conviction, suspecte à celui qui cherche la vérité, un discours bien ajusté à ce que cela est: ici l'animal.

l'animal     Ce qui est à déterminer pour voir si la privation est justifiée ou n'est qu'une illusion, la satisfaction imaginaire d'un désir: une simple opinion

conscience     => ce qui fait apparaître le monde des choses et autrui
=> ce qui fait apparaître le moi, la présence à soi


BIEN DISTINGUER:
=> la conscience spontanée de l'être vivant
=> la conscience réfléchie (attention volontaire, opposition de soi à soi, réflexion et pensée comme dialogue intérieur: c'est le même qui interroge et qui répond).
Bien garder cette distinction tout au long du devoir

Pour ce qui est du plan, philagora ne peut pas en donner mais, par des questions peut t'aider à le déduire du sujet, comme un costume bien ajusté, sur mesure, pour ainsi dire (Voir "conseil" dans Philobac/notions: tordre le cou à l'idée de méthode).
1) Les animaux manifestent-ils l'activité d'une conscience, d'une pensée, parlent-ils?
2) Les animaux manifestent-ils de la souffrance?
3) Les animaux produisent-ils des oeuvres qui exigent la temporalisation (voir Projet = lien ouverture nouvelle fenêtre

=> Si l'être humain prive l'animal de conscience est-ce de toutes les formes de consciences? (de la souffrance, du plaisir, de la pensée, de la réflexion, de la méditation)
Comment justifie-t-il cette privation?
a) Parce que l'observation, le raisonnement, l'expérimentation interdisent de leur attribuer....
b) Parce que l'homme veut échapper à sa condition animale en se valorisant?

Pistes de lectures:
Dominique LESTEL, L'animalité essai sur le statut de l'humain coll. Optiques .
Pierre BOUTANG: Le temps (Pour limiter certaines des thèses de cet excellent petit livre on le lira avec profit)
DESCARTES: Discours de la Méthode , 5ème partie, et Lettre du 5 février 1649 (à Morus)
GOFFI: Le philosophe et ses animaux (1994)
LESTEL: Paroles de singes (1995)

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Les bienfaits de la méditation

Publié le par antoiniste

    La méditation est très bénéfique sur le plan physique. Elle permet de réduire la tention artérielle, de réguler le pouls et l'abondance des hormones de  stress dans le sang et de relever le seuil de sensibilité à la douleur. Et on étudie actuellement son utilisation possible pour réduire la dépendance à l'insuline chez les diabétiques et augmenter le nombre de cellules sanguines chez les gens qui ont un système imunitaire déficient.

Les Mystères de l'inconnu - Le Don de guérir
Chapitre 2 - Les médecines orientales (p.54)

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