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Spirites à Douai (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

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Spirites à Douai (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

    DOUAI. – Le Foyer de Spiritualisme de Douai continue ses efforts en vue de la propagation des enseignements spirites. A cet effet, au cours de l'année, il a organisé de nombreuses réunions publiques avec le concours de conférenciers parisiens et de divers orateurs des villes voisines. Une étroite collaboration réunit d'ailleurs les groupes du Nord dont les dirigeants se prêtent un mutuel appui. Cette collaboration amicale a déjà donné de tels résultats que nos amis viennent de fonder une grande Fédération des Sociétés spirites et spiritualistes de toute la région du Nord. Nous sommes persuadés que cette nouvelle organisation, créée surtout pour amplifier la propagande de nos idées, donnera d'utiles et féconds résultats.
    Au point de vue expérimental les faits obtenus au Foyer de Spiritualisme de Douai ont été très nombreux ; plus de cinquante identifications spirites purent être établies au moyen de données précises ; dans plusieurs cas, des êtres décédés vinrent témoigner d'une façon probante de la survivance de leur personnalité.
    La tâche si délicate du développement de nouveaux médiums qui demande tant de persévérance et de sévérité se poursuit d'une façon normale. Des séances et causeries d'initiation ont également lieu régulièrement pour instruire les membres et leur apprendre les principes de la doctrine spirite.
    En résumé le Foyer de Spiritualisme de Douai s'efforce de propager le spiritisme le plus possible, surtout d'une façon rationnelle. C'est l'œuvre de M. et Mme Richard et des amis qui les entourent. Nous leur adressons nos félicitations fraternelles pour leur remarquable activité.

Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)

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Eine angebliche Wunderheilung (General Anzeiger für Dortmund, 25.3.1912)

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Eine angebliche Wunderheilung (General Anzeiger für Dortmund, 25.3.1912)

    Brüssel, 24. März. (Eine angebliche Wunderheilung.) Ein in Lille erscheinendes Blatt berichtet über eine angebliche Wunderheilung, die auf den Einfluß Antons des Heilers, eines bei Jemeppe wohnenden Wundermannes und Gesundbeters, zurückgeführt wird. In Caudry (frans. Norddepartement), wo sich vor einiger Zeit eine etwa 300 Mitglieder zählende Gruppe der Sekte Antons gebildet hat, lebte ein junges Mädchen, das von Geburt an halbseitig gelähmt war und sich nur mit größter Mühe einige Schritte fortschleppen konnte. Einige Frauen des Orts brachten die Kranke kürzlich nach Jemeppe zu Anton, von wo sie am Dienstag zurückkam, nachdem sie den Gebrauch ihrer Glieder erlangt hatte. Ein Einwohner von Lille, der sich dieser Tage nach Caudry begeben hatte, da das Gerücht von der Heilung zu ihm gedrungen war, schildert seine Eindrücke wie folgt: Auf dem Marktplatz in Caudry sahen wir einen langen Zug von Menschen, die sich nach dem Hause der Geheilten begaben, um sie zu beglückwünschen. Viele Anhänger der Sekte waren darunter die Lobgesänge anstimmten. Seit die Stunde von der wunderbaren Heilung sich verbreitet hat, strömen zahlreiche Menschen aus der ganzen Umgegend in dem Städtchen zusammen, um sich von der Wahrheit des Gerüchts au überzeugen. Die Geheilte, Helene Thery, wohnt mit ihrer Mutter, einer Witwe, in einem Häuschen in einem ärmlichen Viertel.
    Das Haus war von einer großen Menschenmenge umlagert, so daß es geraume Zeit dauerte, bis wir vorgelassen wurden. Die Mutter des Mädchens erklärte, daß dieses von Geburt an überaus schwächlich gewesen sei und sich nur aufrechtzuerhalten vermochte, wenn es sich an der Wand ober an Möbeln festhielt; die rechte Hälfte des Körpers ist gelähmt und Arm und Bein sind auf dieser Seite verkrüppelt. Das Mädchen selbst sagte aus, daß es in dem Hause des Heilers von einer starken inneren Erregung ergriffen worden sei, beim Anblick des Heilers habe sie, von einem inneren Zwange getrieben, mit lauter Stimme ihren Glauben an ihn bekannt und alsbald zu ihrer Freude erkannt, daß sie sich aufrechterhalten und gehen konnte. Unter dem jubelnden Beifall einer tausendköpfigen Menge sei sie dann mehrmals um daß „Heiligtum“ herumgegangen. Zum Bewiese der Wahrheit stand die Geheilte auf und ging quer durch das Zimmer und zu ihrem Sessel zurück, wobei sie merklich hinkte und ihren verkürzten Fuß nachzog. Es dürfte sich hier wahrscheinlich um einen der nicht allzu seltenen Fälle von Heilung durch Autosuggestion handeln. Anton der Heiler hat, wie seinerzeit berichtet wurde, vor etwa einem Jahre ein Gesuch an die Regierung um Anerkennung seiner Sekte gerichtet.

General Anzeiger für Dortmund, 25.3.1912

 

Traduction :

    Bruxelles, le 24 mars. (Une prétendue guérison miraculeuse.) Un journal paraissant à Lille rapporte une prétendue guérison miraculeuse attribuée à l'influence d'Antoine le Guérisseur, un thaumaturge et guérisseur habitant près de Jemeppe. A Caudry (département français du Nord), où s'est formé il y a quelque temps un groupe d'environ 300 membres de la secte d'Antoine, vivait une jeune fille hémiplégique de naissance, qui ne pouvait faire que quelques pas avec la plus grande difficulté. Quelques femmes de l'endroit ont récemment conduit la malade à Jemeppe, chez Antoine, d'où elle est revenue le mardi, après avoir recouvré l'usage de ses membres. Un habitant de Lille, qui s'était rendu ces jours-ci à Caudry, le bruit de la guérison étant parvenu jusqu'à lui, raconte ainsi ses impressions : Sur la place du marché de Caudry, nous avons vu un long cortège de gens qui se rendaient au domicile de la guérie pour les féliciter. Parmi eux, de nombreux adeptes de la secte ont entonné des chants de louange. Depuis que l'heure de la guérison miraculeuse s'est répandue, de nombreuses personnes de toute la région affluent dans la petite ville pour s'assurer de la véracité de la rumeur. La guérie, Hélène Thery, habite avec sa mère, une veuve, dans une petite maison d'un quartier pauvre.
    La maison était entourée d'une grande foule, si bien qu'il fallut attendre un certain temps avant que l'on nous laisse entrer. La mère de la fillette a expliqué qu'elle était très faible depuis sa naissance et qu'elle ne pouvait se tenir debout qu'en s'accrochant au mur ou aux meubles ; la moitié droite de son corps est paralysée et son bras et sa jambe sont estropiés de ce côté. La jeune fille elle-même a déclaré qu'elle avait été prise d'une forte émotion intérieure dans la maison du guérisseur, qu'à la vue du guérisseur, poussée par une contrainte intérieure, elle avait confessé d'une voix forte sa foi en lui et qu'elle avait aussitôt reconnu, à sa grande joie, qu'elle pouvait se tenir debout et marcher. Sous les acclamations d'une foule de mille personnes, elle aurait ensuite fait plusieurs fois le tour du "sanctuaire". Pour prouver la vérité, la femme guérie se leva et traversa la pièce pour retourner à son fauteuil, en boitant sensiblement et en traînant son pied raccourci. Il s'agit probablement d'un des cas, pas si rares, de guérison par autosuggestion. Antoine le guérisseur, comme cela a été rapporté à l'époque, a adressé il y a environ un an une demande au gouvernement pour la reconnaissance de sa secte.

General Anzeiger für Dortmund, 25 mars 1912

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Les passementiers

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La chanson du métier de Benjamin Ledin rend hommage aux passementiers tisseurs de rêves, extrait :

"A l’œuvre donc ! Courbe ton torse,
Pan, pan ! tic tac ! C’est ton destin ;
Ici le goût prime la force,
Tisse velours, tisse satin.
Frappe battant ; vole navette
Votre rythme dolent, berceur,
De notre existence inquiète,
Nous fait oublier la noirceur.

Artiste, tu produis sans cesse
Des rubans bleus, rouges ou verts,
Dignes du front d’une princesse,
Et qu’admire tout l’univers.
Si les belles de ces merveilles
Se parent, pauvre méconnu,
Bien qu’elles attestent tes veilles
Tu n’as que le droit d’aller nu.

Refrain

Tic tac ! tic tac ! C’est du métier
La chanson plaintive et légère
Qui berce ta longue misère O mon frère passementier !... "

source : http://www.forez-info.com/encyclopedie/memoire-et-patrimoine/33-anciennes-chansons-du-peuple-stephanois.html

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L'enfer des tisseurs

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   Cette situation est normale dans le textile. Les morts par tuberculose forment 25 % du contingent des décès à Lille. Nous comptons ici 6.000 tuberculeux pauvres. 1.000 à 1.200 meurent chaque année.
    Cette fréquence du mal terrible chez nos ouvriers est imputable tout d'abord à l'insalubrité même des métiers de tisseur et d'ouvrier de filature. Les poussières provoquées par les différentes manipulations de la matière première (peigneurs de lin), l'hygiène défectueuse des ateliers, mal aérés, dépourvus souvent de ventilation (cardeurs), l'humidité et la chaleur très élevée qui rognent en certains locaux (fileurs de coton, pareurs), l'humidité constante et le contact de l'eau chaude, le séjour dans la vapeur d'eau (fileuses au mouillé), l'absence totale d'aération (tisserands : l'air fait casser les fils de lin, de coton et de laine), voilà les premières causes de la santé précaire de ces ouvriers, ainsi jugés par M. Albert Aftalion, professeur d'économie politique de l'Université de Lille, peu suspect de partialité : « La phtisie guette ces travailleurs. Si on les a employés dès leur jeune âge dans la filature, ils périssent pour la plupart avant 45 ans ». [...]

    En 1860, Jules Simon écrivait : « Rien n'est plus douloureux à voir qu'une filature de lin mal entretenue. L'eau couvre le parquet pavé de briques, l'odeur du lin et une température qui dépasse parfois 25° épandent dans tout l'atelier une puanteur intolérable. La plupart des ouvrières, obligées de quitter la plus grande partie de leurs vêtements, sont là, dans une atmosphère empestée, emprisonnées entre des machines, serrées les unes contre les autres, le corps en transpiration, les pieds nus, ayant de l'eau jusqu'à la cheville et lorsqu'après une journée de douze heures de travail effectif, c'est-à-dire de treize heures et demie, elles quittent l'atelier pour rentrer chez elles, les haillons dont elles se couvrent les protègent à peine contre le froid et l'humidité. Que deviennent-elles si la pluie tombe à torrents, s'il leur faut faire un long chemin dans la fange et l'obscurité ? Qui les reçoit au seuil de leur demeure ? Y trouvent-elles une famille, du feu, des aliments ? Toutes questions qu'il est impossible de se poser sans une émotion douloureuse ». [...]
    L'ouvrière se marie jeune. Elle ne cesse pas d'aller à l'usine : sur 470 ménages ouvriers, M. le docteur Verhaeghe en a noté 362 où la femme continue de travailler en « filature » ou « en tissage », soit 72,02 % des ménages. Ses grossesses successives la retiennent à peine.  Et la famille flamande est prolifique. Sur 970 familles, 872 ont des enfants (soit 89 familles fécondes pour 11 stériles). Le total de ces enfants s'élevant à 3.837, donne une moyenne de plus de 4 enfants par ménage, 273 familles ont eu chacune de 5 à 10 enfants, 65 comptent de 11 à 20 enfants.
    Mais les familles sont trop pauvres pour nourrir tant de petits. La mortalité des enfants est considérable. Chez les fils de filles-mères, elle atteint 60 pour cent. Sur 168 femmes mariées, 147 ont perdu des enfants : le total de ces petits cadavres se monte à 240 (pour 495 naissances) soit 49 %! 537 familles ont perdu ensemble 1.462 enfants (soit plus de 2 par famille) ; 110 en ont perdu de 3 à 5 ; 77 ont vu mourir de 6 à 10 de leurs enfants.
    De quoi meurent tous ces petits ? Sur 1.285, 622 (près de la moitié) sont morts de gastro-entérite et d'athrepsie. « Ces causes de mortalité sont consécutives, le plus souvent au manque de soins, au défaut d'hygiène alimentaire et notamment à l'allaitement artificiel par des soigneuses ignorantes et routinières ».

M. & L. Bonneff - Vie tragique des travailleurs - L'Enfer des Tisseurs (1908), p.14-15 & 19-20
source : gallica

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détail de la façade, partie haute

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Conférence Caudry - article de l'Observateur du Cambrésis de 2000

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mise à la disposition du public lors de la conférence de Régis Dericquebourg à Cambrai

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De la Belgique à Caudry (Conférence de Régis Dericquebourg du 12 nov.09)

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Jeudi 12 Novembre 2009
De la Belgique à Caudry :
l'Antoiniste, une religion de guérison

par Régis Dericquebourg,
Maître de conférence

à la Maison Falleur (Photothèque de Cambrai), Salon jaune
Rue Saint-Georges, Cambrai

Sont exposés :
- le livre du conférencier, Les Antoinistes (Ed. Brépols)
- un article de l'Observateur du Cambrésis du mercredi 31 mai 2000 ''Rencontre avec des Antoinistes Caudrésiens, la force de l'âme''
- un faire-part de décès de la Voix du Nord d'un membre de la famille Musin

    Dans le cadre du programme Une heure, une oeuvre, après les Irvingiens (ou catholiques-apostoliques) de Montigny-en-Cambrésis (où se trouve un des leurs trois lieux de culte français), Régis Dericquebourg présente les Antoinistes à Caudry.
    L'exposé est illustré par des diapositives (temple de Caudry, photo de Louis Antoine, reproduction des illustrations finissant l'ouvrage du conférencier).

    Après avoir signalé que l'Antoinisme est une "petite religion" (on sait que les spécialistes ont du mal à trouver un consensus quant à trouvé un nom à ce que l'on appelle communément dans la presse "secte"), Régis Dericquebourg, habitué en tant que Maître de conférence à Lille 3 à s'adresser à un public, rappelle les grands événements de la vie de Louis Antoine, fondateur du mouvement : le travail, la vie sociale, les lectures, les voyages, et le spiritisme, moment important de son parcours, et la rencontre avec Léon Denis (qui se définit comme socialiste-spirite), successeur d'Allan Kardec, qui fit des conférences dans le Nord de la France et en Belgique.

    On évoque Ferdinand Delcroix, professeur d'Athénée, guérit par le prophète-guérisseur d'une laryngite qui l'empêchée de travailler.
    Après le développement de la nouvelle religion, avec les nouveaux temples et l'héritage de Mère (les sociologues remarquent l'importance du rite de passage que certains adeptes réclamaient, avec qui Mère du composer, en rappelant qu'elle nouait le ruban du bonnet sous le menton de la mariée), on évoque brièvement et obscurément la pensée antoiniste (on sent que ce n'est plus le sujet de prédilection du locuteur).

    Le temps courant, on passa à l'histoire de l'antoinisme à Caudry.
    Le temple vit le jour en 1922 à Caudry (et non Cambrai ou Le Cateau, question justement posée par un auditeur) sur l'initiative d'un adepte (ce qui est courant pour la plupart des Temples), notamment grâce à un membre des dirigeants des entreprises de dentelleries.
    La construction se poursuit jusqu'en 1925. Les premiers desservants furent Soeur Goffin, aidée de sa mère et d'une soeur. Les adeptes viennent notamment de la région de Valenciennes jusqu'à la construction de son temple en 1932. Puis c'est sa fille qui pendra la suite, avec son mari, M. Bodson jusqu'en 1940.
    C'est actuellement frère Aimé et soeur Muguette Mousin qui en ont la charge (on fait leur connaissance grâce à un article de l'Observateur du Cambrésis).
    Les adeptes sont une trentaine pour ce petit temple, et viennent de Saint-Quentin (où il y eut une salle de lecture pendant un temps), Le Cateau-Cambrésis, et les environs en général.

    La conférence se termina par les questions et le concours des auditeurs, dont on remarqua la présence du fils des desservants pendant plus de 30 ans, M. Bodson, ainsi que d'autres habitués du temple de Caudry. Bien évidemment une question sur le fait sectaire, démenti par le conférencier, rappelant que Benoît Narinx, autre connaisseur de la question, fut étonné de voir sortir le médecin du temple alor qu'il commençait son enquête, ou qu'une desservante de Lille était infirmière et aide-radiologue, etc.
    Une auditrice, permit de corriger quelques erreurs du conférencier, et rappela qu'il y eut une salle de lecture à Hazebroucq et précisa qu'il était prévu du côté français de se consacrer à la rénovation des temples existants (et donc que les constructions de nouveaux temples après Toulouse en 1993 seront mises en attente).
    Un auditeur évoqua des amis antoinistes, qu'il conduisit à Valenciennes pour la désincarnation d'une de leurs connaissances.
    Puis M. Bodson rappela une anecdote, évoquée très brièvement il me semble par Pierre Debouxhtay, lors du procès du Père : le juge, assez sceptique sur les pouvoirs de guérisseur, se vit répondre par Louis Antoine : "je sais que vous êtes hémiplégique, mais je peux vous dire que vous êtes maintenant guérit". Et cela était vrai, le juge put se lever par la suite sans problème. Régis Dericquebourg rappela que beaucoup de preuves de guérison n'ont jamais été compilées et ne sont plus vérifiables (c'est d'ailleurs la critique la plus courante entre autres, contre l'antoinisme).

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Conférence sur les Antoinistes de Caudry, à Cambrai

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le Jeudi 12 novembre 2009 à 18h 15

Lieu
Cambrai
Maison Falleur
39, rue Saint-Georges

La médiathèque municipale de Cambrai propose à 18h15 à la Maison Falleur, une conférence "Les Antoinistes, une religion ancienne et sa présence à Caudry" par Régis Dericquebourg, professeur d'histoire à Lille III


Contact
Maison Falleur 03.27.82.93.85
falleur@media-cambrai.com

Tarif
Entrée libre

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Caudry, Culte Antoiniste

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    Un temple antoiniste situé rue de Denain a été construit en 1922 à l'initiative de personnes ayant été sensibilisées par les enseignements du fondateur de la morale antoiniste, Louis Antoine dit "Le Père". Depuis sa fondation, 8 desservants se sont succédés dans le temple qui est ouvert jour et nuit :

    * Frère et Sœur Goffin (1922)
    * Frère et Sœur Bodson (1940)
    * Sœur Buguet (1974)
    * Frère Leignel (1984)
    * Frère Beton (1989-1996)
    * Depuis 1996, Frère Aimé (désincarné en 2007) et Sœur Muguette Mousin (désincarnée en 2016).

source : wikipedia - Caudry

    On trouve sur internet les faire-parts de décès de Frère et Sœur Mousin :

Muguette Mousin, désincarnation (Caudry)

 

 

 

 

 

Aimé Mousin, désincarnation (Caudry)

 

   source : www.libramemoria.com

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