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intelligence

koaléphant

Publié le par antoiniste

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Les mangeurs de viande vivent dans le mensonge

Publié le par antoiniste

Article original : Meat Eaters Live a lie by Live Science Staff, published on July 17th 2008.

Alors qu’un énorme steak juteux est peut-être un nirvana culinaire pour beaucoup, votre goût pour le bœuf pourrait bien dépendre de vos attentes en la matière plutôt qu’être basé sur la réalité.

Partant de la supposition que la viande est associée avec le pouvoir social dans l’esprit de beaucoup de gens, des chercheurs ont noté des participants sur une étude permettant de quantifier le poids du pouvoir social dans la décision de manger de la viande. Le but étant de déterminer les perceptions culturelles attachées à la consommation de viande.
Ainsi, les chercheurs ont dit aux participants qu’ils goûteraient soit un sandwich à la saucisse de bœuf, soit un sandwich végétarien. Vous pouvez deviner la suite.

Bien entendu les chercheurs ont utilisé un des plus anciens outils des sciences sociales : ils ont menti.

Des participants ont eu ce qu’on leur avait promis, d’autres ont mangé sans le savoir l’autre type de sandwich. Puis, ils ont répondu à un questionnaire sur leur appréciation de la nourriture qui leur avait été servie.

« Comparés à ceux qui ont mangé le sandwich au bœuf,  les participants qui ont mangé l’alternative végétarienne n’en ont pas moins bien noté le goût et l’arôme », écrivent les scientifiques dans le numéro d’août du Journal of Consumer Research. « Cela démontre que l’appréciation des participants sur ce qu’ils mangent est influencée par ce qu’ils croient avoir mangé et aussi par les valeurs que chacun associe à sa nourriture. »

Cette étude fut effectuée par Michael W. Allen à l’université de Sydney, par Richa Gupta de l’université de Nashville et par Arnaud Monnier de l’Institut Nationale Supérieur de Formation Agro-alimentaire (INSFA) de Rennes. Un deuxième test effectué avec une boisson gazeuse connue et une autre vendue sous la marque d’une enseigne apporta des résultats similaires.

D’autres études ont démontré le même parti pris gustatif de nos papilles. Par exemple, l’année dernière des scientifiques ont trouvé que la couleur du jus d’orange agit sur la perception des gens quant à son goût.

Un exemple classique sur la capacité des gens à se mentir est celui de l’étude de 2004 sur Coca-Cola et Pepsi-Cola. Elle mit en évidence que, dans les tests à l’aveugle, les participants n’ont pas de préférence pour l’une ou l’autre boisson. Mais quand on leur annonçait que le verre qu’ils buvaient contenait du Coca, ils affirmaient dans 75 % des cas que le verre de Coca-Cola avait le meilleur goût alors que dans ce cas les deux verres contenaient la même boisson.

source : http://www.l214.com/consommation-viande-culturelle

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Maxence van der Meersch, Corps et âmes - L'orgueil

Publié le par antoiniste

    Mémoire, intelligence, raison, hautes facultés de l'âme dont nous sommes glorieux, et qui tournent aux quatres vents de l'orgueil !

Maxence van der Meersch, Corps et âmes, t.2, p.316
Le Livre de Poche, Paris, 1943

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Carson McCullers - L'esprit est tel une tapisserie

Publié le par antoiniste

    « L’esprit est tel une tapisserie richement tissée dont les couleurs dérivent de l’expériences des sens, et dont le motif serait tiré des circonvolutions de l’esprit. »

Carson McCullers, Reflections on a Golden Eye (trad. Reflets dans un œil d'or), 1941

source : wikipedia

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Swâmi Vivekânanda - Le joug

Publié le par antoiniste

    Nous ne devons subir le joug ni de l'intelligence ni du corps; n'oublions pas que c'est notre corps qui nous appartient et non pas nous qui appartenons à notre corps.

Râja-yoga (ou Conquête de la nature intérieure),
conférences faites en 1895-1896 à New York par le Swâmi Vivekânanda. (1910), p.27
source : gallica

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Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Le libre arbitre (p.X)

Publié le par antoiniste

Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Le libre arbitre (p.X)

    L'intelligence ne pourrait pas comprendre la réalité ; c'est pourquoi elle est incompatible avec la foi.

Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Le libre arbitre, p.X

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Swâmi Vivekânanda - Toute misère naît soit de la peur, soit d'un désir inassouvi

Publié le par antoiniste

    On nous enseigne, dès notre enfance, à ne faire attention qu'aux choses extérieures, jamais aux choses intérieures, et presque tous nous avons perdu la faculté d'observer ce mécanisme intérieur. C'est une rude besogne que d'enchaîner notre pensée, de l'empêcher de se détourner, puis de la concentrer toute sur elle-même afin qu'elle connaisse sa propre nature, afin qu'elle s'analyse elle-même. C'est pourlant là le seul moyen d'aborder scientifiquement un sujet.
    Cette science dont nous parlons, à quoi sert-elle ? D'abord le savoir est en lui-même la plus belle récompense du savoir ; il a aussi son utilité : il nous affranchit de toute misère. Pour l'homme qui, par l'analyse de sa propre intelligence, se trouve face à face avec quelque chose d'impérissable, de naturellement et éternellement pur et parfait, — finie sa misère, fini son malheur. Toute misère naît soit de la peur, soit d'un désir inassouvi. Que l'homme se convainque qu'il ne mourra jamais, il n'aura plus peur de la mort. Qu'il se sache parfait, il n'aura plus de vains désirs ; supprimez ces deux causes, vous tuez la misère ; vous créez le bonheur parfait, même pendant notre existence actuelle.

Râja-yoga (ou Conquête de la nature intérieure),
conférences faites en 1895-1896 à New York par le Swâmi Vivekânanda. (1910), p.8-9
source : gallica

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H.P.Blavatsky - les qualités mâle et femelle

Publié le par antoiniste

    Pour des raisons politiques à lui personnelles, Aristote s'était fait une loi de garder le silence sur  certaines doctrines ésotériques, cependant il exprimait très clairement son opinion a ce sujet.
    Pour lui, les âmes humaines étaient des émanations de Dieu finalement résorbées dans la Divinité. Xénon, fondateur
de la secte stoïcienne, enseignait qu'il y a dans la nature deux qualités éternelles : l'une active ou mâle, l'autre passive ou femelle. La première est de l'éther pur, subtil, c'est l'Esprit divin, l'autre est absolument inerte par elle-même jusqu'à son union avec le principe actif. L'Esprit Divin, agissant sur la matière, produit le feu, l'eau, la terre et l'air : il est le seul principe moteur de toute la nature.

H.-P. Blavatsky, Isis dévoilée T. 1 (1915), p.89
source : gallica

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Les grandes entreprises seraient-elles des sectes

Publié le par antoiniste

Les grandes entreprises seraient-elles des sectes ?

- elles vous prennent énormément de temps
- elles vous prennent une bonne partie de votre salaire
- il y est interdit de critiquer les chefs
- on y forme un groupe qui se doit d'être souder et solidaire
- logo, emblème sont senser représenter le groupe et l'entreprise
- les stages et réunions y sont courants, y compris en dehors des horaires de travail (heures suplémentaires non payées, repas et soirée...)
- les harcelements moraux et parfois même sexuels y sont présents

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Doute et croyance

Publié le par antoiniste

    Les croyances sont très importantes, car ce sont elles qui orientent nos désirs et nos actions. Les gestes en apparence les plus absurdes, paraissent plus cohérents si on les met en rapport avec les croyances de ceux qui les ont posés. Ainsi en est-il des suicides collectifs, lorsque les adeptes croient se débarrasser uniquement de leurs enveloppes charnelles pour entreprendre un voyage extra-terrestre. Plus une croyance est forte, et plus elle influence nos actions. L'état de croyance est calme et agréable.
    Au contraire, le doute est un état de malaise et nous rend incapables d'agir. Il laisse nos questions en suspens et en crée de nouvelles encore plus irritantes. Le doute nous pousse à chercher de nouvelles réponses afin d'abolir l'état de malaise qui l'accompagne et de le remplacer par un nouvel état de croyance. La croyance est une habitude agréable; le doute est un état de déséquilibre qu'on tente de surmonter par la recherche de « la vérité ».
    Lorsque nous adhérons à une nouvelle croyance, nous supposons alors que cette opinion est vraie, et nous sommes satisfaits, que cette croyance soit « objectivement » vraie ou fausse importe peu dans la mesure où, si nous y croyons, nous pensons forcément qu'elle est véridique.
    Mais d'où viennent nos croyances ?

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Fixation_de_la_croyance_selon_Peirce

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