Coran - Sourate 2 - verset 256
256. Il n'y a plus de contrainte en Religion maintenant que la Vérité se distingue nettement de l'erreur. Désormais, celui qui renie les fausses divinités pour vouer sa Foi au Seigneur aura saisi l'anse la plus solide, sans crainte de rupture. Dieu est Audient et Omniscient.
Pour contre-balancer le précédent : Optimisme Attitude
un site pour libérer la parole
Vous vous connectez, et vous parlez de vos problèmes... un défouloir nécessaire.
Merci à Laure pour avoir passer l'info !
La Révélation, L'importance de la pensée (p.23)
La vérité n'est pas toujours où nous la croyons ; elle peut être dans un raisonnement basé sur la logique, mais elle cesse d'être vérité quand nous voulons la discuter ; car la vérité est dans l'humilité, la modestie, la sagesse ; elle nous apparaît bien claire, mais nous ne la possédons que lorsque nous ne prétendons pas l'avoir. Disons que la vérité c'est Dieu et que Dieu c'est la vérité.
La Révélation, L'importance de la pensée, p.23
Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Cause, développement & perfectionnement de l'être (p.LXVIII)
Je le répète, nous ne sommes ici que l'ombre de nous-mêmes, le reflet de notre réalité.
Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Cause, développement & perfectionnement de l'être, p.LXVIII
L'exploration inversée - Le tour de France de deux Papous
Réalisé par Marc Dozier et Jean-Marie Barrère
Avec Marc Dozier, Mudeya Kepanga et Polobi Palia
Produit par Yves Darondeau, Christophe Lioud et Emmanuel Priou pour Bonne Pioche avec la participation de CANAL+
Deux Papous plein d'humour et animés d'une curiosité insatiable quittent un matin leur village de Papouasie-Nouvelle-Guinée, direction la France. Commence alors l'exploration inversée.
Depuis les profondeurs du métro parisien jusqu'aux sommets enneigés des Alpes, ces voyageurs du bout du monde se retrouvent confrontés à d'autres réalités : le pouvoir, le travail, les femmes, le cochon... Décidément, chez les Français, ça ne tourne pas rond !
source : www.canalplus.fr
Erich Scheurmann - Le Papalagui : Les propos de Touiavii, chef de la tribu de Tiavéa, dans les Mers du Sud
1. Les couvre-chair (vêtements) du Papalagui, ses nombreux pagnes et nattes
2. Les coffres en pierre (immeubles), les fentes de pierre (rues), les îles de pierre (villes) et ce qu'il y a entre elles
3. le métal rond (pièces) et le papier lourd (billets)indigene
4. le Papalagui devient pauvre à cause du grand nombre de choses (abondance matériel)
5. Le Papalagui n'a pas le temps
6. Le Papalagui a appauvri Dieu
7. Le Papalagui est un magicien (science et technique)
8. La profession du Papalagui
9. Le lieu de la vie factice (cinéma) et les mille papiers (livres) du Papalagui
10. La maladie de penser sans cesse
11. L'obscurité du Papalagui
Erich Scheurmann - Le Papalagui : Les propos de Touiavii, chef de la tribu de Tiavéa, dans les Mers du Sud
1. Les couvre-chair (vêtements) du Papalagui, ses nombreux pagnes et nattes
2. Les coffres en pierre (immeubles), les fentes de pierre (rues), les îles de pierre (villes) et ce qu'il y a entre elles
3. le métal rond (pièces) et le papier lourd (billets)indigene
4. le Papalagui devient pauvre à cause du grand nombre de choses (abondance matériel)
5. Le Papalagui n'a pas le temps
6. Le Papalagui a appauvri Dieu
7. Le Papalagui est un magicien (science et technique)
8. La profession du Papalagui
9. Le lieu de la vie factice (cinéma) et les mille papiers (livres) du Papalagui
10. La maladie de penser sans cesse
11. L'obscurité du Papalagui
Jean de la Fontaine - L'Avare qui a perdu son trésor (illustr. Gustave Doré)
L'usage seulement fait la possession.
Je demande à ces gens de qui la passion
Est d'entasser toujours, mettre somme sur somme,
Quel avantage ils ont que n'ait pas un autre homme.
Diogène là-bas est aussi riche qu'eux,
Et l'avare ici-haut comme lui vit en gueux.
L'homme au trésor caché qu'Ésope nous propose,
Servira d'exemple à la chose.
Ce malheureux attendait,
Pour jouir de son bien, une seconde vie;
Ne possédait pas l'or, mais l'or le possédait.
Il avait dans la terre une somme enfouie,
Son cœur avec, n'ayant autre déduit
Que d'y ruminer jour et nuit,
Et rendre sa chevance à lui-même sacrée.
Qu'il allât ou qu'il vînt, qu'il bût ou qu'il mangeât,
On l'eût pris de bien court, à moins qu'il ne songeât
A l'endroit où gisait cette somme enterrée.
Il y fit tant de tours qu'un fossoyeur le vit,
Se douta du dépôt, l'enleva sans rien dire.
Notre avare, un beau. jour, ne trouva que le nid.
Voilà mon homme aux pleurs: il gémit, il soupire,
Il se tourmente, il se déchire.
Un passant lui demande à quel sujet ses cris.
« C'est mon trésor que l'on m'a pris.
Votre trésor? où pris? - Tout joignant cette pierre. -
- Eh! sommes-nous en temps de guerre
Pour l'apporter si loin? N'eussiez-vous pas mieux fait
De le laisser chez vous en votre cabinet,
Que de le changer de demeure ?
Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure.
- A toute heure, bons Dieux! ne tient-il qu'à cela ?
L'argent vient-il comme il s'en va ?
Je n'y touchais jamais. - Dites-moi donc, de grâce,
Reprit l'autre, pourquoi vous vous affligez tant,
Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent,
Mettez une pierre à la place,
Elle vous vaudra tout autant. »
Jean de La Fontaine, Fable XX, Livre IV.
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