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La pensée positive

Publié le par antoiniste

    Pour que la pensée positive puisse être efficace, il faut avoir une vision relativement complexe et non simpliste des mécanismes de sa propre évolution. Il faut plus spécialement saisir que l'évolution individuelle est l'effet d'une interaction entre le libre arbitre et le destin. Que le destin ne se trouve pas qu'à l'extérieur dans les événements, les circonstances ou les conditions de la vie, mais aussi à l'intérieur, en particulier dans le tempérament car, dans mon corps et dans ma psyché, je suis l'expression même de mon destin. Ce qui ne se trouve pas ainsi déterminé représente le libre arbitre. Autrement dit, ce qui reste... Je serais bien incapable de préciser la part de l'évolution que le libre arbitre permet de déterminer. C'est même ici la grande question, le mystère de la vie.

[...]

   On peut se représenter le libre arbitre et le destin comme deux énergies opposées et d'une certaine façon complémentaires, sur lesquelles il est effectivement possible d'intervenir par la pensée positive. Mais on y parvient d'autant plus que l'on a une vision lucide de l'interaction de ces forces qui déterminent l'évolution.

Jacques Languirand
Chronique parue dans le magazine Guide Ressources,
Vol. 07, N° 08, mai 1992

source : http://www.radio-canada.ca/par4/gr/gr0708.htm

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La neuro-psycho-immunologie

Publié le par antoiniste

L'hypertension et les ulcères d'estomac sont par exemple des symptômes attribués au stress, donc à une inhibition de l'action. Le stress diminue aussi à la longue nos défenses immunitaires. Ce phénomène maintenant bien reconnu a même donné naissance à un nouveau domaine de recherche: la neuro-psycho-immunologie. En d'autres termes, notre cerveau, et donc nos pensées et nos émotions, influence notre résistance aux maladies.

On connaît même plusieurs mécanismes par lesquels le cerveau, interagit avec les défenses de notre organisme. On sait par exemple qu'un état d'inhibition de l'action ou de stress soutenu élève le taux de glucocorticoïde de notre organisme. Or ces substances anti-inflammatoires naturelles de la même famille que la cortisone sont reconnues pour affaiblir à la longue notre système immunitaire. On devient alors plus susceptible aux microorganismes pathogènes par exemple. Donc quand quelqu'un dit qu'il a perdu sa job ou vécu une rupture amoureuse et qu'en plus, comme si le sort s'abattait sur lui, il a attrapé une grosse grippe, il confond destin et relation de cause à effet. Et d'ailleurs, ce n'est pas d'hier que des personnes âgées meurent de chagrin quelques mois après la mort de leur conjoint.

Nous devons donc trouver des façons d'agir sous peine d'en souffrir physiquement à plus ou moins long terme. On peut par exemple détourner notre agressivité refoulé vers une activité sportive. Parfois, juste le fait d'en parler ou de l'écrire va faire du bien simplement parce que chez l'humain, le langage est devenu une forme d'action symbolique.

source : http://lecerveau.mcgill.ca/

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Eric Emmanuel Schmitt - La Secte des Egoïstes

Publié le par antoiniste

Et si la vie n'était qu'un songe ? et si les nuages, les oiseaux, la terre et les autres hommes n'étaient que visions de notre esprit ?

Un chercheur découvre par hasard l'existence d'un excentrique, Gaspard Languenhaert, qui soutint cette philosophie "égoïste" dans les salons du XVIIIe siècle, puis fonda une école à Montmartre où ses disciples répétaient avec lui qu'eux seuls existaient et que le monde n'était que leur fantasme. Intrigué, il abandonne ses travaux et part à la recherche de ce philosophe singulier dont une sorte de conspiration fait apparaître et disparaître les traces.

Cette enquête va l'entraîner de Paris à Amsterdam mais surtout au fond de lui-même, là où la raison se fait déraisonnable et les vertiges hallucinants.
Car si l'univers n'est qu'un rêve, chacun de nous en est l'auteur, donc Dieu. La logique devient folle et, pour s'y mesurer, il fallait le talent, l'audace et l'intelligence de Eric Emmanuel Schmitt, homme de théâtre dont la pièce, le visiteur, qui a triomphé aux "Molière", est en train de faire le tour du monde.

Avec ce premier roman, il signe une œuvre d'une rare modernité qui tout à la fois surprend, dérange et fascine.


source : www.eric-emmanuel-schmitt.com

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Théorie de la connaissance de George Berkeley (1685-1753)

Publié le par antoiniste

Berkeley définit les idées de manière semblable à Locke : « tout ce qui est donné immédiatement par les sens ou par l'entendement. » Et il reprend également la thèse de Locke suivant laquelle les idées des sens et les idées de la réflexion sont distinguées :

    «  Il est visible à quiconque porte sa vue sur les objets de la connaissance humaine, qu'ils sont ou des idées véritablement imprimées sur les sens, ou des idées perçues quand l'attention s'applique aux passions et aux opérations de l'esprit, ou enfin des idées formées à l'aide de la mémoire et de l'imagination, en composant et divisant, ou ne faisant simplement que représenter celles qui ont été perçues originellement suivant les manières qu'on vient de dire. »

Berkeley en déduit alors ce qui sera le principe de sa philosophie : les idées n'existent pas en dehors d'un esprit qui les perçoit. C'est là une vérité intuitive : quand je dis qu'un objet existe, je dis que je le sens, que je le vois, ou qu'il est perçu par un autre esprit. Mais quant à concevoir une existence absolue, c'est impossible ; l'esse de l'objet consiste dans son percipi. « Esse est percipi » (être, c'est être perçu). Nous ne parlons donc des choses qu'autant qu'elles ont du rapport à notre esprit :

    « [...] considérons les qualités sensibles que sont la couleur, la forme, le mouvement, l'odeur, le goût, etc, c'est-à-dire les idées perçues par les sens. Il est manifestement contradictoire qu'une idée puisse exister dans une chose non-percevante; car c'est tout un que d'avoir une idée ou de la percevoir. Par conséquent, pour exister, une couleur, une forme, etc. doit être perçue. Il suit de là clairement qu'il ne peut y avoir de substance ou de substrat non pensant de ces idées. »

Il n'y a donc pas de matière : quand on dit que la matière existe en dehors de soi, on commet un abus de langage. Nous ne percevons que des idées, et nous ne pouvons rien concevoir hormis elles. À quoi, dès lors, la matière pourrait-elle ressembler ? Il suit donc de là que les qualités premières, tenues pour objectives par Descartes et Locke, ne le sont en réalité pas plus que les qualités secondes.

Nous ne pouvons donc par aucun moyen affirmer l'existence du monde extérieur. Le monde extérieur n'est cependant pas illusoire : son existence, en tant que phénomène est réel, mais il n'a pas de substance, en ce sens qu'il n'existe pas en soi.

Berkeley se rapproche en cela d'un passage du Discours de la méthode où René Descartes envisage lui aussi que le monde réel pourrait ne pas exister et ne constituer que des impressions envoyées par quelque esprit trompeur.Il soutenait que nous ne connaissons que nos propres idées, que les corps extérieurs n'existent pas, et que c'est par une illusion mensongère que nous leur accordons de la réalité : c'est dans les Principes de la connaissance humaine et dans les Trois dialogues entre Hylas (le matérialiste) et Philonous (le spiritualiste) qu'il a exposé ce système d'idéalisme.

source : wikipedia

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On croit à cause de son cerveau

Publié le par antoiniste

    L'approche psycho-neurophysiologique de la croyance montre que celle-ci constitue un mécanisme de défense archaïque face aux peurs et aux incertitudes ancestrales. Il semble qu'au cours de l'évolution le "cerveau émotionnel" (limbique), débordé par les angoisses, ait favorisé un nouveau mécanisme de défense du "cerveau rationnel" (néocortex), qui perturbe l'acquisition du sens critique : l'imagination d'un dieu protecteur... en particulier si cette option a été inculquée dès la plus tendre enfance.
Voir le livre de Patrick Jean-Baptiste : "La Biologie de Dieu : Comment les sciences du cerveau expliquent la religion et la foi"

Agnès Viénot Editions, 2003

source : http://atheisme.free.fr/Religion/Pourquoi_croire.htm

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Nirvana - The man who sold the world (Unplugged In New York-1994)

Publié le par antoiniste

We passed upon the stair, we spoke in was and when
Although I wasn't there, he said I was his friend
Which came as a surprise, I spoke into his eyes
I thought you died alone, a long long time ago

Oh no, not me
We never lost control
You're face to face
With The Man Who Sold The World

I laughed and shook his hand, and made my way back home
I searched for a foreign land, for years and years I roamed
I gazed a gazeless stair, we walked a million hills
I must have died alone, a long long time ago

Who knows? Not me
I never lost control
You're face to face
With the Man who Sold the World

Who knows? not me
We never lost control
You're face to face
With the Man who Sold the World

Year: 1971
Label: RCA BOW502


L'Homme Qui A Vendu Le Monde
 

Nous passions sur les escaliers
Nous parlions de quand et d'où
Bien que je n'étais pas là-bas
Il disait que j'étais son ami
Ce qui vint comme une surprise
Je lui parlais droit dans les yeux
Je pensais que tu étais mort seul
Il y a très très longtemps
 
Oh non, pas moi
Nous n'avons jamais perdu le contrôle
Tu es face à face
Avec l'homme qui a vendu le monde
 
Je riais et serrais sa main,
Et reprenais le chemin de chez moi
Je cherchais au loin une forme et une terre,
Pendant des années et des années j'errais
Je contemplais d'un regard fixe
Tous les millions ici
J'ai dû mourir seul
Il y a très très longtemps
 
Qui sait ? Pas moi
Je n'ai jamais perdu le contrôle
Tu es face à face
Avec l'homme qui a vendu le monde (x2)
 
Qui sait ? Pas moi
Nous n'avons jamais perdu le contrôle
Tu es face à face
Avec l'homme qui a vendu le monde (x2)

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René Magritte, La Malédiction, 1960

Publié le par antoiniste

    L'avenir est comme un nuage.

Louis Scutenaire, Mes Inscriptions
Ed. Labor - Espace Nord, 1990

 

Illustration : René Magritte, La Malédiction, 1960

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E.M. Cioran - Ebauches de vertige - p.14

Publié le par antoiniste

    L'amitié est incompatible avec la vérité, seul est fécond le dialogue muet avec nos ennemis.

E.M. Cioran, Ebauches de vertige
Folio - 2E, p.14

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Lewis Carroll - Alice im Speigelland - Plumpsti Bumsti / Le Gros Coco / Humpty Dumpty

Publié le par antoiniste

    "Das ist ein Ruhm für dich."
    "Ich weiß nicht, was Sie unter 'Ruhm' verstehen," sagte Alice.
    Plumpsti Bumsti lächelte geringschältzig.
    "Natürlich weißt du das nicht, solange ich es dir nich gesagt habe. Ich meine, jetzt bist du geschlagen."
    "Aber 'Ruhm' bedeutet doch nicht, daß man geschlagen ist." wendete Alice ein.
    "Wenn ich ein Wort gebrauche," sagte Plumpsti Bumpsti ziemlich höhnisch, "dann bedeutet es gerade das, was ich es bedeuten lassen will - nicht mehr und nicht weniger."
    "Die Frage ist nur," wendete Alice ein, "ob Sie Wörter so viele verschiedene Dinge bedeuten lassen können."
    "Die Frage ist nur," erwiderte Plumpsti Bumsti, "wer der herr ist - nur das."
    Alice war viel zu erstaunt, um etwas zu sagen ; so begann Plumpstu Bumsti nach einer Weile wieder : "Manche Wörter sind sehr eigensinnig - besonders Zeitwörter. Sie sind die stolzesten. Mit Eigenschaftswörter kann man alles machen, mit Zeitwörtern nicht. Ich kann aber mit der ganzen Gesellschaft fertig werden; Undurchdringlichkeit! das sage ich!"
    "Wollen Sir mir nicht sagen, bitte, was das bedeutet?" fragte Alice.
    "Jetzt sprichst du wie ein vernünftiges Kind," sagte Plumsti Bumsti und sah sehr befriedigt aus.
    "Unter 'Undurchdringlichkeit' verstehe ich, daß wir über die Sache genug gesprochen haben und daß du jetzt lieber sagen solltest, was du vorhast. Denn ich glaube, du wirst ja nicht dein ganzes übriges Leben lang hier stehen bleiben wollen!"
    "Eine solche Menge kann man einem einzigen Wort zu bedeutet geben?" fragte Alice nachdenklich.
    "Wenn ich einem Wort soviel Arbeit aufbürde," sagte Plumpsti Bumsti, "dann zahle ich ihm immer extra dafür."
    "Aha," sagte Alice. Sie war viel zu verwirrt, um etwas anderes zu sagen.
    "Ja, du sollst nur sehen, wie sie sich Samstag Abend um mich drängen," fuhr Plumpsti Bumsti fort und legte den Kopf von einer Seite auf die andere, "um ihren Wochenlohn zu kriegen."
    (Alice wagte nicht, ihn zu fragen, womit er sir bezahle; so kann ich es dir, lieber Leser, auch nicht mitteilen.)

Lewis Carroll, Alice im Spiegelland
Deutsch von Helene Scheu-Riesz
Ausstattung von Uriel Birnbaum
Sesam-Verlag, 1923 (archive.org)

    Voilà de la gloire pour toi !
    - Je ne sais pas ce que vous voulez dire par là.
    Le Gros Coco sourit d'un air méprisant :
    - Naturellement. Tu ne le sauras que lorsque je te l'aurais expliqué. Je voulais dire : « Voilà un bel argument sans réplique !» - Mais : « gloire », ne signifie pas : « un bel argument sans réplique ! » - Quand, moi, j'emploie un mot, déclara le Gros Coco d'un ton assez dédaigneux, il veut dire exactement ce qu'il me plaît qu'il veuille dire... ni plus ni moins.
    - La question est de savoir si vous pouvez obliger les mots à vouloir dire des choses différentes.
    - La question est de savoir qui sera le maître, un point c'est tout.
    Alice fut beaucoup trop déconcertée pour ajouter quoi que ce fût.
    Aussi, au bout d'un moment, le Gros Coco reprit :
    - Il y en a certains qui ont un caractère impossible... surtout les verbes, ce sont les plus orgueilleux... Les adjectifs, on en fait tout ce qu'on veut, mais pas les verbes... Néanmoins je m'arrange pour les dresser tous tant qu'ils sont, moi ! Impénétrabilité ! Voilà ce que je dis, moi !
    - Voudriez-vous m'apprendre, je vous prie, ce que cela signifie ? demanda Alice.
    - Voilà qui est parler en enfant raisonnable, dit le Gros Coco d'un air très satisfait. Par «impénétrabilité », je veux dire que nous avons assez parlé sur ce sujet, et qu'il vaudrait mieux que tu m'apprennes ce que tu as l'intention de faire maintenant, car je suppose que tu ne tiens pas à rester ici jusqu'à la fin de tes jours.
    - C'est vraiment beaucoup de choses que vous faites dire à un seul mot, fit observer Alice d'un ton pensif.
    - Quand je fais beaucoup travailler un mot, comme cette fois-ci, déclara le Gros Coco, je le paie toujours beaucoup plus.
    - Oh ! s'exclama Alice, qui était beaucoup trop stupéfaite pour ajouter autre chose.
    - Ah ! faudrait que tu les voies venir autour de moi le samedi soir, continua le Gros Coco en balançant gravement la tête de gauche à droite et de droite à gauche ; pour qu'y touchent leur paye, vois-tu.
    (Alice n'osa pas lui demander avec quoi il les payait ; c'est pourquoi je suis incapable de vous l'apprendre.)

Traduction de Jacques Papy (wikisource.org)

    `There's glory for you!'
    `I don't know what you mean by "glory",' Alice said.
    Humpty Dumpty smiled contemptuously. `Of course you don't -- till I tell you. I meant "there's a nice knock-down argument for you!"'
    `But "glory" doesn't mean "a nice knock-down argument",' Alice objected.
    `When I use a word,' Humpty Dumpty said, in rather a scornful tone, `it means just what I choose it to mean -- neither more nor less.'
    `The question is,' said Alice, `whether you can make words mean so many different things.'
    `The question is,' said Humpty Dumpty, `which is to be master -- that's all.'
    Alice was too much puzzled to say anything; so after a minute Humpty Dumpty began again. `They've a temper, some of them -- particularly verbs: they're the proudest -- adjectives you can do anything with, but not verbs -- however, I can manage the whole lot of them! Impenetrability! That's what I say!'
    `Would you tell me please,' said Alice, `what that means?'
    `Now you talk like a reasonable child,' said Humpty Dumpty, looking very much pleased. `I meant by "impenetrability" that we've had enough of that subject, and it would be just as well if you'd mention what you mean to do next, as I suppose you don't mean to stop here all the rest of your life.'
    `That's a great deal to make one word mean,' Alice said in a thoughtful tone.
    `When I make a word do a lot of work like that,' said Humpty Dumpty, `I always pay it extra.'
    `Oh!' said Alice. She was too much puzzled to make any other remark.
    `Ah, you should see 'em come round me of a Saturday night,' Humpty Dumpty went on, wagging his head gravely from side to side, `for to get their wages, you know.'
    (Alice didn't venture to ask what he paid them with; and so you see I can't tell you.)

version originale par Lewis Carroll en 1871 (gutenberg.org)

 

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Consécration par Mère racontée par Régis Dericquebourg

Publié le par antoiniste

    Un opuscule imprimé à l'occasion de la consécration du temple parisien de la rue Vergniaud qui eu lieu le 23 octobre 1913 relate comment la compagne de Louis Antoine avait procédé. Arrivée à Paris, la veille, la Mère avait dormi dans le futur cabinet de consultation avec un de ses filles adoptives, elle s'y était recueillie avant l'opération générale de dix heures. L'assistance était si nombreuse qu'il fallut répéter quatre fois l'office. A onze heures, la consécration était terminée. Il est relaté qu'en cette occasion, une adepte paralysée depuis neuf ans, venue de Vichy pour assister à la cérémonie, a retrouvé l'usage de ses membres. L'auteur, anonyme, insiste beaucoup sur le 'fluide éthéré' transmis par la Mère. La guérison obtenue ce jour-là en témoigne. C'est par la victoire telle qu'on en voit à Lourdes sur une maladie particulièrement dramatique que le temple commençait sa carrière. En la mentionnant, le rédacteur indique la visée du nouveau lieu de culte : d'abord soulager ceux qui souffrent en même temps qu'il articule la pratique inaugurée ce jour-là au charisme du fondateur.

Régis Dericquebourg, Les Antoinistes
Editions Brepols, p.102-103

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