Ces fluides que nous saisissons à travers la matière sont des lois qui nous dirigent à notre insu dans le milieu même où nous les avons puisés, soit dans les ténèbres ou ailleurs ; si nos pensées ont été, pour notre semblable, agréables ou amères, c'est-à-dire à son avantage ou à son détriment, nous en serons réconfortés ou martyrisés suivant notre intention et notre nature plus ou moins éthérée.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité, p.249
Sachons que les lois ne sont l'ombre de nous-mêmes, de notre côté réel que reflète l'imperfection et nous les réduisons à l'unité au fur et à mesure que nous nous réduisons nous-mêmes à l'unité de l'ensemble où nous trouvons Dieu. Voilà comment nous sommes la loi, l'accusateur, le témoin et le juge de notre être.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.265-66
Sachons que les lois ne sont l'ombre de nous-mêmes, de notre côté réel que reflète l'imperfection et nous les réduisons à l'unité au fur et à mesure que nous nous réduisons nous-mêmes à l'unité de l'ensemble où nous trouvons Dieu. Voilà comment nous sommes la loi, l'accusateur, le témoin et le juge de notre être.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.265-66
Toutes ces pensées sont autant de lois que nous nous imposons, car si même elles nous font viser notre semblable, nous en sommes les premiers l'esclave puisque c'est nous qui recourons aux fluides de ces pensées, désormais parties constitutives de notre atmosphère.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité, p.248
Toutes ces pensées sont autant de lois que nous nous imposons, car si même elles nous font viser notre semblable, nous en sommes les premiers l'esclave puisque c'est nous qui recourons aux fluides de ces pensées, désormais parties constitutives de notre atmosphère.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Les lois se réduisent toutes à l'unité, p.248
La vérité seule nous rend heureux, c'est en elle que réside le véritable amour. Seule l'erreur nous fait souffrir, elle nous donne une fausse vue qui nous montre le mal dans le bien et le bien dans le mal, elle dissimule ainsi notre nature, dans la pensée que nous serions plus heureux en paraissant ce que nous ne sommes pas.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.293-92
La vérité seule nous rend heureux, c'est en elle que réside le véritable amour. Seule l'erreur nous fait souffrir, elle nous donne une fausse vue qui nous montre le mal dans le bien et le bien dans le mal, elle dissimule ainsi notre nature, dans la pensée que nous serions plus heureux en paraissant ce que nous ne sommes pas.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.293-92
Voilà le rôle de l'intelligence qui nous fait apprécier tout contrairement à la réalité parce qu'elle ne perçoit qu'à travers la matière. Elle maintiendra cette conception aussi longtemps que nous ne comprendrons pas qu'on ne pourrait s'entretenir avec Dieu que par la conscience.
Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.281-82