A Sunday Morning at Jemeppe (Belgium's Christian Scientists, San Antonio Express, October 13, 1912)
A Sunday Morning- muster of the faithful at Jemeppe, Belgium
de l'article Belgium's Christian Scientists, San Antonio Express, October 13, 1912
A Sunday Morning- muster of the faithful at Jemeppe, Belgium
de l'article Belgium's Christian Scientists, San Antonio Express, October 13, 1912
La Rue Bois-de-Mont a été baptisé alors Rue Alfred Smeets.
Sur la pancarte derrière le costumé on peut lire :
Cortège pour la Fête de Mère
et pour la remise des portraits
dans les temples.
Des cortèges de propagande furent organisé en 1963 et 1964 afin que Jemeppe remette les Images,
retirés depuis 1940, en espérant un changement. Le 3 novembre, ils firent de nouveau un cortège avec des images et lurent une allocution devant le Temple de Jemeppe.
La Rue Bois-de-Mont a été baptisé alors Rue Alfred Smeets.
Sur la pancarte derrière le costumé on peut lire :
Cortège pour la Fête de Mère
et pour la remise des portraits
dans les temples.
Des cortèges de propagande furent organisé en 1963 et 1964 afin que Jemeppe remette les Images,
retirés depuis 1940, en espérant un changement. Le 3 novembre, ils firent de nouveau un cortège avec des images et lurent une allocution devant le Temple de Jemeppe.
(source : Google StreetView)
Jemeppe. Rue des Housseux.
Situé entre les voies des Tomballes et des Kessales, la ruelle des Housseux faisait partie du chemin vicinal n° 22 conduisant des Quatre ruelles à Flémalle-Grande.
Devenue la rue des Housseux en 1876, cette voie de communication est délimitée entre la rue des Tomballes et l'avenue Lambert depuis 1948.
Situé entre la rue des Kessales et l'avenue Lambert, l'autre tronçon de la rue des Housseux porte le nom de rue Dossogne.
C'est en bordure de la rue des Housseux que l'on a voulu aménager un nouveau cimetière. Clôturé provisoirement en 1897, le nouveau champ de repos fut pourvu de ses annexes en 1904.
On accède actuellement au cimetière des Housseux, soit par l'avenue Lambert, soit par la rue Blum.
source : https://www.facebook.com/groups/Seraingpourtoujours/posts/1405524019654195/
L'origine du mot viendrait du francique *hulis « houx ».
Les housseux de mars désigne à Liège les giboulets de mars.
(source : Google StreetView)
Jemeppe Rue des Tombales.
Dans l'Atlas des communications vicinales de Jemeppe, le chemin n°10 (conduisant de Jemeppe au hameau de Jace) porte le nom de voie des Tomballes entre la voie des Housseux et le Fond de Gotte.
Devenu la rue des Tomballes lors de la révision de l’odonymie jemeppienne le 27 septembre 1876 ce chemin relie actuellement la rue Hullos à la rue Toute-Voie.
La dénomination de cette voie indique qu'il existait dans le voisinage des petites buttes funéraires disparues depuis très longtemps.
Selon la tradition orale, ces "Tomballes" constituaient la sépulture d'un très grand nombre d'habitants de Jemeppe massacrés par les troupes de Jan de Weert, au printemps de 1636, sous le règne de Ferdinand de Bavière marqué, sur le plan intérieur, par les luttes entre les Grignoux et les Chiroux, et sur le plan extérieur, par la guerre de trente ans.
source : https://www.facebook.com/groups/Seraingpourtoujours/posts/1731531420386785/
Voir la situation de la rue avant la construction du temple.
(photo de Frère Jelt, 2018) Les maisons sur la droite ont été rasées depuis
les cortèges antoinistes y passaient
Jemeppe. Rue Hulos.
En séance du 27 septembre 1876, le Conseil communal de Jemeppe a donné le nom de rue Hulos au chemin depuis la rue Sualem jusqu'au carrefour des Quatre ruelles.
En 1905, le tronçon de la rue Hulos longeant la ligne de chemin de fer << Liègeois/Limbourgeois >> a été absorbé par la construction d'un nouveau chemin du Bois de Mont (devenu l'avenue Lambert)
Actuellement, la rue Hulos relie cette avenue à la rue Rousseau.
Hulos (ou Hullos, comme une rue à Liège) est un forgeron à qui la légende attribue la découverte de la houille dans nos régions.
source : https://www.facebook.com/groups/Seraingpourtoujours/posts/1354147401458524/
Le 1er temple antoiniste, à Jemeppe sur Meuse...
source: FaceBook Belgicana
Louis Antoine a appris un temps de la trompette, peut-être sous la direction de Gustave Baivy :
La dénomination retenue par l'autorité communale en 1876 évoque l'existence du corps de musique dit à l'époque ''Les fanfares de Jemeppe' 'qui avait fixé son local dans cette rue. Cette société à été fondée par M. Gustave Baivy qui avait entrepris, dès 1865, de réunir un groupe d'ouvrier des laminoirs de Lexhy dans la tourelle (aujourd'hui disparue) du château de Courtejoie (rue de Lexhy) pour leur enseigner l'art musical.
Pendant la fin du 19è siècle et le début du 20è siècle, la fanfare de Jemeppe a porté le renom artistique de notre région tant à l'étranger qu'en Belgique !
source : Jean-Marie Rouveroy sur le groupe FaceBook Jemeppe-sur-Meuse d'hier à aujourd'hui
Le bâtiment en bas à gauche est l'ancienne salle des fanfares.
Il est maintenant le local de la société Confiserie à l'ancienne.
La salle des fanfares (FB Jemeppe-sur-Meuse d'hier à aujourd'hui).
Dans une salle, une conférence contradictoire sera organisé par le journal de Gustave Gony, Le Flambeau, sur l'Antoinisme, après une polémique ardente avec le pasteur évangéliste de Lize-Seraing. Des conférences spirites y avaient également lieu (en 1892 notamment par Félix Paulsen).
Appelé aussi la Royale Fanfare de Jemeppe, des Bals d'été y étaient organisés, avec le jardin illuminé ou encore des Bals de réveillon, mais aussi des expositions (colombophiles, canines...). Le casino change de propriétaire en 1939 et devient un temps le Casino Guy, puis et revendu en 1942.
Elle deviendra l'école de musique intercommunale de Jemeppe.
La Meuse, 21 mai 1938
Jemeppe - Les quatre ruelles (les qwates roualles)
Il s'agit d'une des dépendances de la ville de Jemeppe, car c'est le nom que l'on donne à un carrefour dans la région (il en existe également une à Liège). Cela n'est pas sans rappeler d'ailleurs le quartier des Quatre-Bras de Nandrin où un temple antoiniste sera plus tard édifié. On le voit sur cette carte de 1866 en haut à gauche. La Route de Seraing qui court de haut en bas est l'actuelle Rue Rennequin Sualen qui se continue par la Rue de la Station.
Le Temple antoiniste en forme un coin des coins, Rue Rousseau / Rue des Tomballes. Les deux autres rues formant le carrefour sont la Rue Hulos et la Rue des Housseux. La Rue Hulos sera coupée au XVIIIe siècle par la voie de chemin de fer de Namur à Liège. La portion du côté de la ville prendra le nom de Rue de Burnonville.