Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Antoine le Guérisseur et le culte antoiniste (Paris médical, la semaine du clinicien, 1912, p.895)

Publié le par antoiniste

Antoine le Guérisseur et le culte anoiniste (Paris médical, la semaine du clinicien, 1912, p.895)

 ANTOINE LE GUÉRISSEUR
ET LE CULTE ANTOINISTE

     Récemment est mort en Belgique, à Jemmapes, un homme connu sous le nom d'Antoine le Guérisseur, thaumaturge célèbre et fondateur d'une secte religieuse à laquelle il a attaché son nom, secte qui compte, parait-il, de très nombreux adeptes. Les Annales médico-psychologiques rapportent, d'après le journal le Temps, les curieux renseignements suivants sur cette étrange personnalité :

     Un homme de Wallonie, un petit bourgeois, presque du peuple, est mort, qui avait acquis non seulement en Belgique mais même un peu partout où il y avait des malades et des désespérés, une célébrité et un crédit exceptionnels, c'est celui qu'on appelait Antoine le Guérisseur. Il n'avait rien fait de moins que de fonder une religion, une espèce de variété de christianisme mélangé de théosophie. Il guérissait par la prière et l'imposition des mains, à la manière des christian scientists d'Angleterre et d'Amérique.
    Peu à peu les malades de l'âme comme du corps, les déséquilibrés, les névropathes, tous ceux que les médecins avaient abandonnés avaient appris le chemin du petit pays de Jemmapes, où Antoine avait son temple et tenait Ses assises de médecine religieuse. Depuis plusieurs années il y avait les foules de Jemmapes comme les foules de Lourdes, et les « antoinistes » recrutés parmi les inquiets d'un culte nouveau et augmentés des guéris reconnaissants formaient une communauté éparse en divers lieux, mais fort nombreuse.
    Le prophète et guérisseur belge n'est plus.
    Vers dix heures trente, comme il se trouvait dans son temple, il s'affaissa subitement frappé d'apoplexie. On dut le transporter chez lui, où il reprit peu à peu ses sens.
    Sur ces entrefaites, un grand nombre de ses disciples, vêtus de soutanes d'une coupe spéciale et coiffés d'immenses chapeaux, étaient accourus auprès du lit de leur maitre, Antoine alors proféra : Demain quelque chose de sérieux se produira. Puis il ajouta d'une voix sourde : « Je désire que ma femme me succède dans mon enseignement religieux. »
    Antoine avait tardé beaucoup avant de faire sa révélation et de se déclarer l'homme de Dieu. Pendant nombre d'années, il était un homme comme un autre, un simple employé à la division des forges et martelage de la Société Cockerill. Il fut ensuite encaisseur à la Société anonyme des tôleries liégeoises. Puis il s'occupa d'assurances. Enfin vinrent la grâce, l'action publique, les prédications publiques. Antoine était alors déjà dans l'âge mûr.
    On le dit propriétaire des maisons ouvrières qui entourent son temple. D'aucuns estiment sa fortune à 30.000 francs. Quoi qu'il en soit, Antoine le Guérisseur a toujours vécu modestement. Au temple où il prêchait, Antoine avait adjoint une imprimerie et publiait chaque semaine un journal populaire qui tirait à plus de 20.000 exemplaires et répandait les doctrines de l'apôtre.
    Il y a quelques mois, « les Antoinistes » de Belgique avaient adressé aux Chambres une pétition demandant que la religion nouvelle fût reconnue par l'Etat. La pétition des fidèles du culte Antoiniste portait cent mille signatures. Au temple, où son corps est exposé, l'affiche suivante a été apposée :

 CULTE ANTOINISTE

                 Frère,
    Le conseil d'administration du culte Antoiniste porte à votre connaissance que le Père vient de se désincarner aujourd'hui mardi matin 25 juin. Avant de quitter son corps, il a tenu à revoir une dernière fois ses adeptes pour leur dire que Mère le remplacera dans sa mission, qu'elle suivra toujours son exemple. Il n'y a donc rien de change, le Père sera toujours avec nous, Mère montera à la tribune pour les opérations générales les quatre premiers jours de la semaine à dix heures.
    L'enterrement du Père aura lieu dimanche prochain 30 juin à trois heures.

                                                                               Le Conseil d'administration.

     Quelques jours après, le mardi 2 juillet, le même journal le Temps racontait ainsi qu'il suit l'enterrement de l'apôtre :

     Antoine le Guérisseur, que ses adeptes appelaient aussi Antoine le Généreux, a été inhumé hier dans la localité où il exerçait sa mission et son culte, à Jemmapes-sur-Meuse, province de Liége. Aux « Antoinistes » du pays étaient venus se joindre, nombreux, des membres des autres communautés de Belgique.
    Le corps du prophète défunt qui avait été exposé plusieurs jours dans le temple où il prêchait et imposait les mains aux malades, a été accompagné au cimetière par un cortège évalué à quinze mille fidèles, dont beaucoup donnaient les signes de la plus vive douleur. Le cercueil, porté par douze hommes de la communauté, était précédé d'un tronc d'arbre figurant l'arbre de la science du bien et du mal que portait l'un des plus qualifiés adeptes de l'Antoinisme, M. Delacroix, professeur à l'Athénée de Liége. Ainsi qu'Antoine l'avait prescrit, ses restes ont été enterrés dans la fosse commune.
                                                                                 (La France médicale).

Paris médical, la semaine du clinicien, 1912 (p.895)

Voir les commentaires

Funéraille du Père - mise en fosse (Roland AE Collignon)

Publié le par antoiniste

Funéraille du Père - mise en fosse (Roland AE Collignon)
(Archives de Roland AE Collignon)


Au cimetière, pas de chants, pas de prières psalmodiées ;
mais le recueillement, mais la gravité des visages étaient, pour qui savait entendre,
le plus formidable plain-chant. La solennité l'emportait sur la détresse, tous sentaient,
plus ou moins confusément, que l'éternité ne connaît pas de rupture.

    À droite, la main sur le cercueil, on reconnaît le frère Florian Deregnaucourt. À l'extrême gauche, il peut s'agir du frère Fernand Delcroix. La même photo est dans les Archives du Temple de Retinne.

Voir les commentaires

Antoine-le-Guérisseur est mort (La Vie Mystérieuse, n°85, 10 juillet 1912)

Publié le par antoiniste

Antoine-le-Guérisseur est mort (La Vie Mystérieuse, n°85, 10 juillet 1912)

 ANTOINE-LE-GUÉRISSEUR EST MORT

     On annonçait, en date du 25 juin, que le guérisseur Antoine venait de mourir à Jemeppes-sur-Meuse, en Belgique. Antoine s 'était fait une réputation presque universelle par ses guérisons nombreuses et spontanées. Il passait pour avoir un don si remarquable que des milliers de gens s'étaient groupés autour de son nom et qu'une nouvelle religion était née de cette agglomération d'admirateurs : ce fut « l'Antoinisme », religion qui comptait, dit-on, près de 100.000 adeptes. Il y a quelques années ou érigea même, en Belgique, un temple qui conta fort cher et fut consacré à la célébration du culte Antoiniste. Ce culte résistera-t-il longtemps maintenant que son initiateur n'est plus ? L'avenir nous le dira.

La Vie Mystérieuse, n°85, 10 juillet 1912

Voir les commentaires

Maison natale du Père Antoine - Toutes nos bonnes pensées

Publié le par antoiniste

Jemeppe - Toutes nos bonnes pensées

Voir les commentaires

Le Fraterniste du 15 janvier 1923 (sur Le Petit Fraterniste et le départ de Jean Béziat)

Publié le par antoiniste

Le Fraterniste du 15 janvier 1923 (sur Le Petit Fraterniste et le départ de Jean Béziat)

Voir les commentaires

Unitif Juillet 1941 - A nos lecteurs - Quelques mots sur les formes religieuses

Publié le par antoiniste

 A NOS LECTEURS.

     Nous espérons continuer la publication du bulletin à une date aussi rapprochée que possible, nous y relaterons les instructions que notre Père nous a données dans les n° de 1911 à 1912, ainsi que les renseignements d’actualité intéressant la grande masse de nos lecteurs.

                                                                                   Le Comité.

 QUELQUES MOTS SUR LES FORMES RELIGIEUSES.

     Beaucoup de personnes ont des manifesté le désir de voir introduire ou maintenir certaines formes dans la pratique de notre Culte. Ces personnes encore trop sous l'influence d'autres croyances, ignorent sans doute, qu'en tablant sur l'apparence, nous nous attendons à des fluides inutiles, qui en somme, sont complètement nuisibles à notre progrès moral.
    Il en est, que rien ne les réjouirait plus que d'instaurer dans notre Cultes une forme quelconque à l'occasion du baptême, de la communion ou du mariage. Voyons à cet effet la réponse du Père à semblable question poses dans le bulletin n°2, première année et que nous croyons faire chose utile de la reproduire ci-après dans cette brochure. Elles seront bientôt édifiées sur la façon dont on peut comprendre l'Enseignement à ce propos.
    D'autres encore trouvent qu'elles ne pourraient faire un bon recueillement, si elles ne se plaçaient devant l'image du Père ou d'autres figures en qui elles placent toute leur confiance. Cependant à diverses reprises, le Père a démontré, tant que nous n'arrivons pas à découvrir Dieu en nous, nous n'aurons toujours qu'une croyance vague ou de parti pris. Ce n'est que par la forme que les religions diffèrent, c'est-à-dire, que ce sont les formes qui amènent la division qui sèment le désaccord entre les membres d'une même famille aussi bien qu'entre les adeptes d'une même doctrine.
    Nous faisons un pressent appel aux personnes sincèrement désireuses de s'instruire de l'Enseignement, de travailler à leur amélioration, par conséquent, de suivre l'exemple du Père, de s'unir à nous par les liens de l'amour fraternel à se dévouer en conformité avec les principes que le Révélateur nous a légués ; nous avons pour tâche de les propager ; alors comme le Père le fût, nous serons de vrais fils de Dieu revendiquant son cesse l'amour qui nous unit ; tâchons de mériter de plus en plus ce titre. Sachons que pour acquérir celui-ci, nous devons faire preuve de soumission, de patientes, de résignation.
    Revenons maintenant à notre sujet. Durant plus de vingt-deux ans les adeptes étaient accoutumés à la lecture des Dix principes après l'Opération ; aucun ne voyait le mal dans cette lecture, ils étaient poussés pour la plupart, à croire que cela terminait mieux l'Opération, puisqu'ils la prenaient pour une prière ; oubliant que le Père a révélé que la vraie prière est dans les actes et non dans les paroles. Tous ceux qui ont approché le Père, ne doivent pas se récrier d'entendre dire que la deuxième pensée ne découle jamais de l'inspiration, mais bien du doute. En effet, n'est-ce pas douter de la puissance de la Foi, que de recourir à la prière après l'Opération ! croyant en obtenir une plus grande satisfaction. Beaucoup aimaient l'Opération le dimanche, parce que le sacrifice n'était pas si grand ; vu que l'on pouvait, semblait-il, bénéficier des deux fluides, en ne faisant qu'un seul déplacement. Erreur profonde, quand on constate que la pensée n'a lieu que par occasion ou quand l'Enseignement nous dit clairement que sans nous déplacer nous n'avons pas le mérite d'être secouru. Si nous prenons le travail du Père pour idéal ; nous pourrions cependant le croire dépourvu d'amour, si nous croyons que les méthodes employées par Lui, ne correspondaient pas avec l'ensemble des vertus qu'il s'est acquit. Sachons, sans la moindre hésitation que tout ce qui peut nous être utile pour le présent, comme pour l'avenir, le Père a fait tout le nécessaire pour nous le procurer mais je le répète, c'est notre propre effort que nous en donnera le mérite. Soyons bien persuadés que rien ne se perd ; tout labeur porte son fruit ; mais ce n'est pas au guérisseur à aller vers le malade, c'est à celui-ci à aller vers le guérisseur ; comme ce n'est pas à Dieu à venir nous, c'est à nous à aller à Dieu.

Unitif Juillet 1941 - A nos lecteurs - Quelques mots sur les formes religieuses

 Lisez et relisez l’Œuvre morale du Père dont
l’esprit est illimité et ne se découvre insensiblement
que par des hommes d'expérience, lettrés ou non.

Unitif, Numéro spécial, Juillet 1941

Voir les commentaires

André Bronté, Serge Saÿn - S.O.S. guérisseurs (1976)

Publié le par antoiniste

André Bronté, Serge Saÿn - S.O.S. guérisseurs (1976)

Auteurs : André Bronte & Serge Saÿn
Titre : S.O.S. guérisseurs
Éditions : Presses de la Cité, Paris, 1976, 281 pages

      Évoque la guérison obtenue par le guérisseur Michel Bontemps sur un guérisseur antoiniste :

     Avant de nous quitter, au terme de cette enquête sur son travail, Michel Bontemps nous proposa d'étudier le cas de M. Lucien Monnier, 51, rue du Pré-Saint-Gervais à Paris.
    « Ce cas, nous dit-il, est l'un des plus curieux que j'aie eus à traiter car ce malade était un confrère, si l'on peut dire.
    Il est peu courant de voir un guérisseur demander l'aide d'un autre guérisseur.
    C'est au mois de décembre dernier que je vis entrer dans mon cabinet, M. Monnier qui m'avait demandé rendez-vous sans me faire connaître ni son mal ni ses activités.
    A ma première question : « Alors, M. Monnier, qu'est-ce qui vous arrive ? », d'emblée, il me posa son problème.
    « Avant tout, je dois vous dire que je fais comme vous. Je suis guérisseur. Il ne s'agit pas d'un métier mais d'une vocation, un sacerdoce en quelque sorte.
    Je suis antoiniste, disciple du Père Antoine. Le Père Antoine était un prêtre guérisseur célèbre qui a formé des élèves qui ont perpétué sa méthode.
    Je suis un de ses élèves, guérisseur bénévole. Depuis plusieurs années, chaque week-end, je reçois des personnes souffrantes et je les guéris. »
    « Je lui demandai, dit Michel Bontemps :
    – Vous venez voir mes résultats pour découvrir mes méthodes ?
    – Non, je viens parce que ça ne va plus. Je suis malade et je ne peux plus exercer la mission qui m'a été confiée... »
    M. Monnier raconta alors à Michel Bontemps ses malheurs. Depuis plusieurs mois, certains symptômes avaient commencé à l'inquiéter : perte de poids, manque d'entrain, fatigue, irritabilité, etc.
    Malgré sa prévention contre la médecine officielle, lui dont la vocation était de soigner par des méthodes « parallèles » il se décida à consulter un médecin qui lui fit faire des analyses. Celles-ci devaient révéler une intoxication due à une mauvaise élimination générale, et en particulier, un taux de cholestérol trop élevé.
    « Ce médecin, à l'évidence très pressé, me garda quelques minutes dans son cabinet lors de ma seconde visite. Mais, nous raconte M. Monnier, juste le temps d'inscrire sur son bloc-notes une liste de médicaments d'une page et demie, puis il ajouta : « Prenez ça et revenez me voir dans un mois... »
    Cette visite, loin de me rassurer, ne fit qu'aggraver mes craintes. Rentré chez moi, j'ai lu et relu la liste de médicaments avec une impression de malaise. J'avais tellement vu, depuis dix ans, des personnes que les médicaments non seulement n'avaient pas guéries, mais au contraire avaient complètement détraquées, que je pensais, instinctivement, que ce n'était pas la bonne voie.
    Finalement, j'ai renoncé à faire réaliser l'ordonnance chez un pharmacien, tout en craignant de ne pas pouvoir tenir le coup très longtemps. C'était moins ma « petite santé » qui me préoccupait que l'idée de devoir renoncer de guérir mes amis.
    C'est un collègue de travail, à qui je parlais de ma fatigue permanente qui me donna l'adresse de Michel Bontemps.
    – Il a réussi à guérir ma femme de ses migraines, me dit-il. Cela fait quinze ans qu'elle en souffrait presque tous les jours. Va le voir... il guérit comme toi avec les mains, mais il donne aussi des plantes...
    Voilà comment je me suis retrouvé dans le cabinet de Michel Bontemps.
    Je pensais y trouver un guérisseur qui m'examinerait avec un pendule, ou qui m'imposerait les mains.
    Aussi, je fus très étonné quand il commença à examiner mon cil avec un « iriscope », cet appareil formé d'une loupe et d'une lampe.
    Le guérisseur m'expliqua que grâce à cette méthode il pouvait découvrir dans l'iris du malade presque tous les symptômes des maladies organiques.
    L'iris étant une zone particulièrement sensible, un véritable écran où s'inscrivent, pour celui qui sait le déchiffrer presque tous les dérèglements.
    Michel Bontemps me confirma le diagnostic des médecins.
    J'étais intoxiqué, mais il me précisa qu'il s'agissait également, dans mon cas, de troubles du système sympathique, de fonctionnement déficient des intestins et de problèmes circulatoires...
    Il me conseilla deux préparations à base de plantes, à prendre à raison de deux tasses par jour, et de suivre certaines directives en matière d'hydrothérapie (deux bains de pieds par semaine, au romarin ainsi que des douches spécifiques).
    En plus chaque semaine, pendant plus de quinze minutes il m’imposait des séances de magnétisme, en vue de me permettre de retrouver mon énergie et ma vitalité. »
    Quand nous avons rencontré M. Monnier, à la fin novembre, il avait repris cinq kilos, son taux de cholestérol était considérablement réduit et sa mine disait assez qu'il se sentait en pleine forme.
    « Pourtant, au bout de trois semaines de traitement, il n'y avait guère d'amélioration, nous a-t-il confié. Après les séances de magnétisme, je me sentais bien pendant quelques jours, puis, de nouveau, j'étais épuisé.
    Michel Bontemps insista alors pour que je n'aille pas à la réunion hebdomadaire du Temple Antoiniste, il m'expliqua que la force magnétique qu'il m'insufflait se trouvait dispersée dès que j'essayais de soigner des malades.
    A contrecœur, j'ai obtempéré et c'est à partir de ce moment que j'ai commencé à me sentir revivre.
    Dès lors les résultats ont même été spectaculaires.
    Début novembre j'avais repris du poids. En même temps les analyses de sang attestaient une baisse importante du taux de cholestérol.
    Bien mieux, avant la fin de l'année, avec l'accord de Michel Bontemps, j'ai pu reprendre mes activités de guérisseur, auprès de mes amis antoinistes.
    Je ne ressens plus aucune fatigue.
    Aujourd'hui, à part une préparation à base de plantes et des conseils de diététique que je continue à suivre, j'ai cessé tout traitement.
    Je suis persuadé que je reviens de loin.
    Pour ne pas inquiéter mon entourage, je cachais à quel point j'étais à bout de forces.
    Même pendant ma captivité en Allemagne je n'avais pas été aussi épuisé.
    Le plus terrible, c'est que j'étais tellement tendu que je ne parvenais plus à dormir.
    Ni médicaments ni calmants n'avaient prise sur moi.
    Aujourd'hui, je peux mesurer l'efficacité de Michel Bontemps car c'est vraiment lui qui m'a tiré d'affaire... »

Voir les commentaires

Paul Pillault - In Mémoriam (Revue scientifique et morale du spiritisme, v24, janvier 1921)

Publié le par antoiniste

Paul Pillault - In Mémoriam (Revue scientifique et morale du spiritisme, v24, janvier 1921)

Voir les commentaires

Sin-le-Noble - Carte-photo devant l'Institut de Forces Psychosiques

Publié le par antoiniste

Sin-le-Noble - Carte-photo devant l'Institut de Forces Psychosiques (recto)

Sin-le-Noble - Carte-photo devant l'Institut de Forces Psychosiques (verso)

Ma Petite Germaine
J'attend que tu sois guéri pour venir te voir
et nous irons nous promener à la mer
surtout obéi bien, prend tout ceux que ta maman
te donneras pour te guérir de suite: Je t'envoie cette
carte, tu chercheras après ton parain et ta maraine.

Je t'envoie mille baisers et sois bien sage.
Ta maraine qui t'aime fort.

Voir les commentaires

Sin-le-Noble - Institut des Forces Psychosiques - Parvis St-Joseph

Publié le par antoiniste

Sin-le-Noble - Institut des Forces Psychosiques - Parvis St-Joseph

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 > >>