Nous avons raisonné la vertu et dit qu'il faut posséder la foi pour la comprendre, que celui qui la possède l'ignore, parce qu'elle est un instinct. Revenons à l'homme qui le premier a douté de lui-même en doutant de sa nature. S'il avait su qu'il était une parcelle de Dieu, il n'aurait pas douté. Progresser c'est surmonter cette matière, en effacer la vue, acquérir les vertus ; quand nous les posséderons, nous les ignorerons, nous serons réellement tout amour, face à face avec Dieu, Dieu Lui-même. Cet amour est tout différent de celui que nous nous imaginons ; il nous réunit tandis que l'autre nous fait marcher dos à dos, haine contre haine. Rentrer dans cette réalité, c'est rentrer dans l'amour et ne faire tous ensemble qu'un seul ; là est le bonheur.
La Révélation, La loi humaine comparée à la loi de la conscience, p.159-60
Nous avons raisonné la vertu et dit qu'il faut posséder la foi pour la comprendre, que celui qui la possède l'ignore, parce qu'elle est un instinct. Revenons à l'homme qui le premier a douté de lui-même en doutant de sa nature. S'il avait su qu'il était une parcelle de Dieu, il n'aurait pas douté. Progresser c'est surmonter cette matière, en effacer la vue, acquérir les vertus ; quand nous les posséderons, nous les ignorerons, nous serons réellement tout amour, face à face avec Dieu, Dieu Lui-même. Cet amour est tout différent de celui que nous nous imaginons ; il nous réunit tandis que l'autre nous fait marcher dos à dos, haine contre haine. Rentrer dans cette réalité, c'est rentrer dans l'amour et ne faire tous ensemble qu'un seul ; là est le bonheur.
La Révélation, La loi humaine comparée à la loi de la conscience, p.159-60
Nous disons que la matière n'existe pas parce que nous en avons surmonté l'imagination. Nous en trouvons la preuve dans la guérison de maladies : un guérisseur quelque peu expérimenté sent la foi du malade et peut lui dire : " Vous êtes guéri ". Il coupe littéralement le fluide qui le terrassait, c'est-à-dire son imagination ; il ne va pas directement au mal mais à sa cause. Voici une constatation qui peut être grandement utile à ceux qui sont au contact de personnes souffrantes : certaines sont accablées de s'imaginer qu'elles ont une maladie grave, qu'il va leur survenir quelque désagrément. Cette pensée les tourmente moralement ; or toute personne qui présume avoir telle ou telle affection, souffre atrocement ; c'est la preuve qu'elle ne l'a pas, car si elle en était réellement atteinte, elle n'en souffrirait pas moralement puisqu'il n'y a que le doute qui puisse nous accabler ; dans la vérité il n'y a pas de souffrance morale.
La Révélation, La loi humaine comparée à la loi de la conscience, p.158-59
Nota bene : ce raisonnement est à rapprocher de l'effet placebo, et de la somatisation.
Nous disons que la matière n'existe pas parce que nous en avons surmonté l'imagination. Nous en trouvons la preuve dans la guérison de maladies : un guérisseur quelque peu expérimenté sent la foi du malade et peut lui dire : " Vous êtes guéri ". Il coupe littéralement le fluide qui le terrassait, c'est-à-dire son imagination ; il ne va pas directement au mal mais à sa cause. Voici une constatation qui peut être grandement utile à ceux qui sont au contact de personnes souffrantes : certaines sont accablées de s'imaginer qu'elles ont une maladie grave, qu'il va leur survenir quelque désagrément. Cette pensée les tourmente moralement ; or toute personne qui présume avoir telle ou telle affection, souffre atrocement ; c'est la preuve qu'elle ne l'a pas, car si elle en était réellement atteinte, elle n'en souffrirait pas moralement puisqu'il n'y a que le doute qui puisse nous accabler ; dans la vérité il n'y a pas de souffrance morale.
La Révélation, La loi humaine comparée à la loi de la conscience, p.158-59
Nota bene : ce raisonnement est à rapprocher de l'effet placebo, et de la somatisation.
La matière ordinaire qui nous entoure est formée de baryons et constitue la matière baryonique. Le terme « matière baryonique » désigne la matière composée principalement de baryons (en pourcentage de la masse totale). Cela inclut les atomes et donc à peu près la totalité de la matière ordinaire. source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Baryon#Mati.C3.A8re_baryonique
Dans ce modèle, les électrons ne sont plus des billes localisées en orbite, mais des nuages de probabilité de présence. Ce point de vue, révolutionnaire, peut choquer en première approche. Cependant la représentation que l'on pouvait se faire d'un électron — une petite bille ? — était dictée par les formes observées dans le monde macroscopique, transposées sans preuves dans le monde microscopique. Il faut bien se pénétrer du fait que ce que l'on connaît de l'électron ne repose que sur des manifestations indirectes : courant électrique, tube cathodique (télévision)… Depuis les années 1930, on modélise ainsi l'électron par une « fonction d'onde » dont le carré de la « norme représente la densité de probabilité de présence ». Pour représenter fidèlement les propriétés de l'électron, on ne dispose que des fonctions mathématiques compliquées. Cette abstraction rebute encore bien des physiciens. Nous allons essayer de donner une image de cette notion de fonction d'onde, image nécessairement imparfaite. source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Atome#Sur_Terre
La difficulté à expliquer la conscience dans un contexte matérialiste conduit à l’hypothèse que la conscience est, peut-être, la caractéristique de quelque chose qui n'est pas matériel.
Cette nouvelle conception permet d’éviter certaines des difficultés rencontrées dans le contexte matérialiste, mais pose d'autres problèmes théoriques car elle implique qu’il existe une partie de l’existentiel qui n’a pas encore été abordée par la physique.
L’avantage d’une telle conception est de se dire que si la conscience n’appartient pas au corps physique, elle peut ainsi survivre au renouvellement matériel évoqué plus haut. Et si la conscience survit au renouvellement matériel du corps, il y a des chances qu’elle survive à la destruction finale de celui-ci qu’est la mort physique. On peut aussi supposer que la conscience après la mort réintègre un autre corps puisque certains hypnotiseurs prétendent avoir amené certaines personnes à se rappeler leurs vies précédentes sous hypnose. Le gros point d’interrogation dans ce cas consiste à se demander pourquoi un doute subsiste sur la réincarnation alors qu’il suffit grâce à l’hypnose de faire une étude sérieuse sur un grand nombre de cas pour pouvoir déterminer scientifiquement la réalité du phénomène.
Un des problèmes soulevés par une conception spirituelle de la conscience est de savoir comment celle-ci communique avec le corps physique. Comment la volonté peut-elle agir sur le corps en induisant des influx nerveux dans les nerfs. Sir John Eccles, prix Nobel de physiologie en 1963, invoque la mécanique quantique en postulant l’hypothèse selon laquelle l’esprit interviendrait en modifiant la probabilité d’émission du transmetteur chimique. Le champ de probabilité en physique quantique par l’indétermination qu’il génère au niveau physique permettrait au monde spirituel de contrôler le monde physique.
En 1964, Robert Ettinger publie son livre L’homme est-il immortel ?.
Ce livre contient quatorze expériences de pensée sur le thème de l’identité. Sa préoccupation est de cerner quelles sont les transformations d’un individu qui nous paraissent acceptables (cryogénisation comprise) pour considérer qu’il est toujours lui-même. La question se pose avec une acuité plus grande encore si on crée (expérience de pensée) une copie à distance d’un individu : peut-on alors sans problème de conscience détruire l’original et considérer que l’individu a simplement été téléporté ?
Les idées d'Ettinger ont donné naissance à des sociétés assurant la conservation d'organismes - parfois de simples cerveaux - humains par la cryogénie. Un article de 1986 des professeurs Goldanskii et Vitalii, laisse craindre toutefois que même à la température de l'azote liquide des réactions chimiques par effet tunnel continuent à se produire au fil des mois, endommageant de plus en plus les organismes concernés.
La croyance semble être un mécanisme étroitement lié à la conservation des mécanismes de survie, s'il n'en est pas la pierre angulaire. (Origine(s) de la croyance de l'article Croyance de Wikipedia) D'après le darwinisme, l’être humain est le produit d'un processus d’évolution par sélection naturelle. On peut donc supposer que la conscience est un caractère ayant été acquis car il apportait un avantage sélectif. Au cours de l'évolution Elle serait devenue nécessaire pour assurer la survie en milieu hostile. (Contexte matérialiste de l'article Science et conscience de Wikipedia)
D'après Louis Antoine, "La croyance a été imaginée par l'intelligence qui a toujours cru que Dieu existe en dehors de nous" (Couronnement de l'OEuvre Révélée, La croyance & la foi, p.XXXXII). On a donc ici toujours le même schéma : la croyance (donc l'intelligence) et la conscience ont toutes deux été nécessaires pour notre survie dans notre milieu. Milieu que nous avons imaginé et créé pour Louis Antoine, afin de progresser oubliant que, faisant partie de l'Unité de l'Ensemble, nous étions Dieu nous-même. Le doute nous a fait imaginer la matière et l'intelligence et la conscience se sont battu pour nous permettre de survivre dans cette matière. "Adam est le moi conscient, Ève le moi apparent ressortant de l'imagination d'Adam qui le fait douter pour croire à un serpent, prenant de cette façon le bon pour le mauvais et le mauvais pour le bon" (Couronnement de l'OEuvre Révélée, Nous n'acquérons la vérité que par notre erreur, p.LIV).
Mais si la conscience nous avait guidée dès le départ, la progression aurait plus rapide. "J'ai déjà dit que, aussi longtemps que nous n'aurons pas acquis la vrai foi, nous n'aurons toujours qu'une croyance de parti pris ; qu'elle ait pour objet le serpent ou tout autre aimal, quelque fétiche ou bien un pur esprit, ce ne sont là que des figures" (Couronnement de l'OEuvre Révélée, Le vrai bonheur ne résulte que du malheur, p.LIV).