Eklablog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

spiritisme

Spirites à Nice (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

Publié le par antoiniste

Spirites à Nice (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

    NICE. – La Société d'Etudes Psychiques de Nice ne fonctionne chaque année que pendant la période de novembre à fin mai. Ses travaux consistent en conférences publiques bi-mensuelles et en réunions d'études également bi-mensuelles dans lesquelles se discutent les divers phénomènes observés dans les nombreux centres d'études. Des commentaires judicieux accompagnent ces discussions.
    M. Grialou, président, et M. Guillot, Secrétaire Général de la Société Niçoise, s'emploient avec beaucoup de compétence à la direction de ce vieux groupement. Les conférences de l'an passé furent faites par des conférenciers de qualité. Elles attirèrent toutes un nombreux public à la Salle Bellet.

Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)

Voir les commentaires

Spirites à Lille-Roubaix-Tourcoing (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

Publié le par antoiniste

Spirites à Lille-Roubaix-Tourcoing (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

    LILLE. – La Société d'Etudes Psychiques et de Philosophie Spiritualiste que préside M. Lelong, constituée officiellement en janvier 1928, a fixé ses réunions d'études au jeudi soir entre 20 et 22 heures et au dernier dimanche de chaque mois. Si, depuis sa fondation, il y a eu des démissions, on a plaisir à constater que les départs ont toujours été compensés par de nouvelles inscriptions. La société a pu, il y a quelques mois, acquérir une cinquantaine de chaises et louer une salle pour ses assemblées et réunions. D'intéressants messages au oui-ja sont obtenus et des études sont faites sur l'hypnotisme, le magnétisme, etc.

    ROUBAIX. – M. Taelman, Président du Cercle d'Etudes Psychiques et Spirites de Roubaix, nous écrit que 1928 a été pour sa société une année de réels progrès. Les statuts ont été déposés à la Préfecture et les réunions mensuelles sont suivies régulièrement par 150 personnes. La bibliothèque se monte graduellement grâce au concours généreux des adhérents. Tous les lundis ont lieu des séances expérimentales au cours desquelles se poursuit le développement de la médiumnité. Des médiums guérisseurs se dévouent au profit des affligés qui viennent leur demander assistance.
    Pour l'année en cours, le Cercle d'Etudes Psychiques et Spirites de Roubaix suivra le même programme.

Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)

Voir les commentaires

Spirites à Bordeaux (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

Publié le par antoiniste

Spirites à Bordeaux (Bulletin de l'Union spirite française, v9, 1929)

    BORDEAUX. – Malgré son grand âge Mme Agullana continue avec une fidélité digne d'exemple à servir l'idée qui nous est chère. Retirée dans un coin de campagne, elle reçoit, avec son affabilité bien connue, tous les spirites qui sont de passage à Bordeaux et se font un devoir d'aller la saluer.
   * Dans cette même ville, le groupe spirite « Les Amis Réunis » à la tête duquel se trouve Mlle Marie Coste, s'emploie à propager parmi les ouvriers la vérité qui découle du spiritisme. Des réunions ont lieu tous les 15 jours et sont régulièrement suivies.
    La Bibliothèque de ce groupe s'est enrichie ces derniers mois de plusieurs volumes offerts par les Editions Jean Meyer. Les ouvrages mis ainsi à la portée de tous sont lus avec beaucoup d'intérêt par les adhérents de ce groupe auxquels nous adressons nos encouragements pour la poursuite de son travail.
    * Sous la direction de la dévouée animatrice, Mme Escalère, le Groupe Jean de la Brède, de Bordeaux, s'emploie à enseigner à ses membres le sens véritable de la vie. C'est un difficile et un beau programme qui mérite d'être poursuivi. Le Groupe Jean de la Brède a ses réunions générales chaque dimanche ; le mercredi est réservé exclusivement aux personnes souffrantes quelles qu'elles soient. Le vendredi est le jour des visites à domicile ; des membres charitables du groupe vont dans les taudis où règnent la misère et la désespérance.
    Nous sommes heureux de signaler ici la fondation dans cette ville de Bordeaux, de l'Union Spiritualiste du Sud-Ouest que préside l'éminent Dr Maxwell. Nous espérons pouvoir, un jour, parler plus longuement de l'activité de cette nouvelle Société. En tout cas elle débute sous les meilleurs auspices.

Bulletin de l'Union spirite française (v9, 1929)

Voir les commentaires

Méthode du Père Antoine (La Patrie Belge, 26 mars 1916)(belgicapress.be)

Publié le par antoiniste

Méthode du Père Antoine (La Patrie Belge, 26 mars 1916)(belgicapress.be)

    Massage magnétique. A. Dechy, 23, rue de Rivoli, méthode du Père Antoine. Le matin et sur rendez-vous. Ne faxe pas.

La Patrie Belge, 26 mars 1916 (source : belgicapress.be)

Voir les commentaires

Tombe des époux Gony au cimetière des Biens communaux de Seraing

Publié le par antoiniste

Tombe des époux Gony au cimetière des Biens communaux de Seraing

Vue d'ensemble

La plaque devant porte l'inscription : À notre mère regrettée Madame Gustave Gony-Plumier 1868-1967 (il s'agit de l'épouse du politique).
Le médaillon dans la couronne doit représenté la mère de Gustave Gony (enterrement avec funérailles spirites).
La plaque à droite est en souvenir de leur fille Andrée (1901-1985) avec son mari Nestor Dohogne (1898-1968)

Tombe des époux Gony au cimetière des Biens communaux de SeraingTombe des époux Gony au cimetière des Biens communaux de SeraingMédaillon représentant une photo de Gustave Gony

La plaque porte l'inscription : À notre époux et père regretté, Gustave Gony 1870 - 1913

Voir les commentaires

Propagande Spirite (Le Messager, 1er octobre 1889)

Publié le par antoiniste

Propagande Spirite (Le Messager, 1er octobre 1889)Tombe des époux Houart-Daloze - vue d'ensemble

 

 

 

Tombe des époux Houart-Daloze - vue d'ensemble (Cimetière de Seraing, Biens communaux)

 

PROPAGANDE SPIRITE

    Les nombreux adeptes de notre saine philosophie qui ont assisté aux funérailles de notre sœur en croyance, Mme Saive, ont pu admirer au cimetière de Seraing deux tombes portant des inscriptions spirites.
    L'un de ces monuments funéraires est remarquable par son travail artistique. Sur une surface de six mètres carrés deux blocs de granit superposés en pente douce recouvrent un caveau spacieux.
    Tout en haut repose un petit cercueil en pierre sculptée portant le Triomphe de la vie sur la mort, représenté par une élégante statuette d'enfant en marbre blanc, de grandeur naturelle. Elle tient d'une main un flambeau (la lumière), de l'autre une couronne d'immortelles.
    Sur le long côté du petit cercueil se trouve gravé en lettres dorées :

Naître, mourir, renaître encore et progresser sans
cesse.                       ALLAN KARDEC.

    Sur le granit sont aussi gravés ces mots :

Vers Dieu par le Progrès et la Charité.

    Plus bas en relief, grandeur naturelle, le beau dessin sculpté (le cep de Vigne) qui se trouve à la page XLI du Livre des Esprits (1), et ensuite :

Sépulture de la famille
O. C. HOUART.

(1) « Tu mettras en tête du livre le cep de vigne que nous t'avons dessiné parce qu'il est l'emblème du travail du Créateur, tous les principes matériels qui peuvent le mieux représenter le corps et l'esprit s'y trouvent réunis : le corps c'est le cep ; l'esprit c'est la liqueur ; l'âme ou l'esprit uni à la matière, c'est le grain. L'homme quintessencie l'esprit par le travail et tu sais que ce n'est que par le travail du corps que l'esprit acquiert des connaissances. »  (Livre des Esprits, page XLII.)

Le Messager, 1er octobre 1889

Tombe des époux Houart-DalozeTombe des époux Houart-Daloze - détail L'inscription de la citation d'Allan Kardec est maintenant presque illisible. La statuette dont parle l'article a quant à elle complètement disparu.

Voir les commentaires

Cahiers du Spiritisme IV, 1947 (Un cas de réincarnation à Lyon raconté par un Antoiniste)

Publié le par antoiniste

Cahiers du Spiritisme IV, 1947 (Un cas de réincarnation à Lyon raconté par un Antoiniste)

UN CAS DE REINCARNATION A LYON

    En 1931, à mes débuts dans le spiritisme, j’ai lu dans un livre dont je n’ai retenu ni le titre ni le nom de l’auteur, que, très souvent, quand un de nos parents décède, il se réincarne dans la famille même qu’il a quittée.
    Il donne alors, pendant quelque temps, des signes formels de caractère, de mémoire ou d’habitude qui ne manquent pas de le faire reconnaître par ses familiers.
    Il y aurait, sans doute, beaucoup à dire sur de tels cas et sur les faits d’avertissements au moment de la mort. De ces derniers j'ai pu en observer quatre très précis.
    C’est ainsi que ma fille Olga est venue me prévenir, à Grenoble, le 25 septembre 1927, de son décès survenu, à 1 heure du matin, à Versailles, par un grand bruit qui eut pour but de me tirer du sommeil au moment même où elle quittait ce monde.
    Mon frère Pierre, missionnaire apostolique à Tourane (Annam), de son côté, a été réveillé à l’heure même où notre frère aîné, Alexandre, mourait accidentellement à Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie). Trois fois de suite un chandelier tomba de la table de chevet pour fixer son attention, etc., etc...
    Je reviens à mon Olga. Elle avait un tic qui amusait beaucoup : elle mouvait son nez de gauche et de droite, avec une aisance surprenante. Je ne songeais plus à cela, si bien que lorsque je devins antoiniste, je remarquais que, dans toutes les salles de lecture et dans tous les temples, il y avait, à la disposition des adeptes, des feuillets où ceux-ci pouvaient inscrire le prénom d’une personne, afin de demander par son intercession des grâces de guérison ou d’aide.
    Sachant que ma belle-fille, à Lyon, allait être mère, il me vint l’idée que je gardais pour moi seul de demander au bon père Antoine, fondateur de la doctrine qui porte son nom, de m’accorder la joie de faire renaître mon Olga chez ma belle-fille de Lyon.
    J’écrivis donc le prénom « Olga » sur la liste qui m’était offerte.
    Au moment de la naissance de l’enfant attendue, une fillette, je ne pensais plus à mon vœu lorsque, répondant à l’invitation de mon fils et de sa femme, je me rendis à Lyon où j’eus l’heureuse surprise, ayant le cher bébé, dans les bras, de voir, à plusieurs reprises, son nez se mouvoir, ainsi que le faisait Olga. Ma joie fut si vive que je remerciais, avec émotion, le père de m'avoir exaucé.
    Ce « tic », qui fut observé par tous les miens, persista durant quelque temps, fortifiant ma conviction du « retour » de l’âme de ma regrettée fille ; l’enfant a, du reste, le caractère, les manières et même les habitudes d’Olga, ce qui est particulièrement démonstratif en l’occurrence.
    En fin d’année 1944, alors que j ’avais la chance d’avoir un excellent médium, Mme S..., j’eus la confirmation par notre guide Michel que les deux Olga ne sont qu’une seule individualité, réincarnée, à Lyon, le 18 juin 1934.
    Je souhaite que ma modeste mais sincère contribution à la cause de la survie et de la réincarnation éclaire ceux des lecteurs qui pourraient être encore dans le doute.
                                                          J.-B. Gallioz,
                                                              Président
                                               du Groupe spirite de Grenoble.

Les Cahiers du Spiritisme, IV, 1947 (p.26-27)
http://iapsop.com/archive/materials/cahiers_du_spiritisme/cahiers_du_spiritisme_n4_1947.pdf

Voir les commentaires

Cas de réincarnation par Pierre Engel (Le Progrès Spirite, 20 mars 1898)

Publié le par antoiniste

    Nous recevons la lettre suivante :

                              Lize-Seraing, le 14 mars 1898.

        Bien cher Monsieur et Frère,
    J'ai l'honneur de vous transmettre quelques détails sur une réincarnation, annoncée par l'esprit même, avec circonstances précédant l'incarnation et la réincarnation. En un laps de quatre années, tout cela s'est accompli, avec les moindres détails prédits, d'abord par mon fils aîné, décédé en 1874, et ensuite par ma fille, défunte en 1878, après quatre années de souffrances se graduant et se terminant par un véritable martyre. Les motifs qui ont motivé cette réincarnation, les voici : de son vivant, elle eut une haine implacable contre un frère qui l'avait offensée par son langage, et elle décéda avec cette rancune noire au cœur ; malgré ses efforts, elle ne parvint à la chasser. Voyant l'erreur profonde de ses ressentiments et voulant progresser à tout prix, elle sollicita une réincarnation dans le corps d'un enfant qui devait naître chez ce frère, père de famille. Dieu le lui permit, pour laisser atteindre à l'esprit repentant son progrès, et l'enfant eut pour père le frère haï, en 1879, vers la fin de cette année.
    Etant un jour réunis, mon épouse et moi, nous causions de l'annonce à nous faite par mon fils décédé quatre années auparavant, que sa sœur Marie devait renaître sous peu et que nous connaîtrions cette réincarnation par ce fait qu'un tel jour, à telle heure (5 heures du soir), la nouvelle mère de Marie viendrait, sans saluer, chez nous, et que ses premières paroles seraient : « Marraine, voilà votre filleul (un garçon) et que l'enfant jetterait un haut cri, lorsqu'il se trouverait sur le giron de sa première mère. »
    Ce qui fut dit arriva : il était prédit de même, par mon fils défunt, que son âme sœur, Marie, ne vivrait que quatre années (un peu plus) et qu'à ses derniers moments elle éprouverait de terribles souffrances ; que mon épouse seule pourrait la calmer en la magnétisant et priant. Chose extraordinaire : mon épouse fut souvent chez l'enfant pour calmer ses souffrances, et dès que ma femme paraissait sur le seuil de la porte, tous cris cessaient et un sourire filial accompagnait les bras étendus de l'enfant qui désirait être tenu par elle. Pendant plusieurs heures consécutives, l'enfant ne pleurait plus et, sitôt ma femme sortie de la maison ses cris recommençaient.
    Le père, un bon et puissant magnétiseur spirite, et qui a fait merveille en maintes circonstances parvenait pas à calmer ses souffrances. Moi, je produisis les mêmes effets que ma femme sur ce chérubin. Nous fûmes à nouveau, prévenus de sa désincarnation par mon fils, et elle, sa sœur, deux à trois jours plus tard, vint elle-même dire Pierre Verly, celle qui fut votre fille Marie, est à nouveau libre, mais libérée d'une haine terrible contre son dernier père. La suite de sa communication nous engageait à ne nourrir aucune haine, car, disait-elle, la haine est le plus grand malheur d'une âme ; avec elle, point de pardon, etc., etc.
    Mon fils Pierre et ma fille Marie étaient deux adeptes profonds et sincères du spiritisme.
    D'autres faits non moins concluants, sur l'existence des vies antérieures à cette dernière incarnation, me sont connus.
    Mon fils et ma fille défunts étaient tellement liés d'amitié que l'un ne pouvait se passer de l'autre. Quand mon fils étudiait, il fallait que sa sœur fût à ses côtés. Aucun fruit ni autres douceurs ne furent consommés, sans que la part de l'absent fût mise de côté. Nous sûmes par de puissants médiums, après leur décès, qu'un nombre incalculable d'années les avait unis comme âmes sœurs, et qu'étant initiés à la doctrine nous devions comprendre la raison majeure de cette étroite amitié, etc... Enfin, comme conclusion, je puis affirmer bien des prédictions réalisées de point en point, ce qui est aussi une preuve que les esprits veillent sur nous et que Dieu ne désunit pas ce que l'amour a uni (les cœurs aimants) et que le père universel n'abandonne jamais ceux qui se confient en lui !
    Veuillez agréer, etc...                     Pierre Engel,
                              Président de l'Union spirite de Liège.

Le Progrès Spirite, 20 mars 1898 (p.45)

------

Photographies d'Esprits désincarnés.

    M. Engel, Président de l'Union spirite de Liège, dont nous avons reproduit plus haut l'intéressante lettre relative à un cas probant de réincarnation, veut bien nous raconter aussi le fait suivant, qui ne manquera pas d'intéresser nos lecteurs :

    Un jour, quelques années avant le décès de mes deux enfants, ils allèrent à la foire de Liège et se rendirent chez un photographe forain. Dès leur première pose, il se reproduisit trois personnes au lieu des deux qui posaient. Le photographe se fâcha, en disant qu'ils avaient bougé.
    A la deuxième pose, même résultat ; seulement, l'Esprit avait changé de place : au lieu d'être distinct entre eux deux, il se plaça derrière mon fils. Nouvelle colère de l'opérateur, qui ne voulut plus photographier mes enfants. Néanmoins, sur l'insistance de mon fils (déjà spirite convaincu), l'opérateur finit par accepter, à la condition que, s'il arrivait encore pareille chose, il les chasserait. Après inspection des lieux, précautions prises, etc., une nouvelle et troisième pose eut lieu : elle donna exactement les mêmes résultats que la première. Le photographe, alors, chassa mes enfants de sa loge et ne voulut leur remettre aucun cliché développé.
    Je me rendis le lendemain à la foire de Liège, cherchant l'opérateur : il venait de partir pour une destination inconnue.
    Nous fûmes éclairés après le décès de mon fils : il était lui-même médium-photographe, et c'est par son intermédiaire que l'Esprit avait pu se manifester.
    Il est bien vrai que mon fils raffolait de cet art : quel dommage que son départ ait été si hâtif !

                    Pierre Engel,
                  59, rue de la Baume,
                à Lize-Seraing (Belgique).

Le Progrès Spirite, 20 mars 1898 (p.48)

Voir les commentaires

Nécrologie J.-B. Gallioz de Grenoble (Survie, mars-avril 1961)

Publié le par antoiniste

Nécrologie J.-B. Gallioz de Grenoble (Survie, mars-avril 1961)

NÉCROLOGIE

    Nous apprenons avec beaucoup de regret le départ pour l'au-delà de notre ami J.-B. GALLIOZ, président de la Société d'Etudes Psychiques de Grenoble, dont le corps a été inhumé le 10 février 1961.
    J.-B. Gallioz était un militant de nos doctrines et je le connaissais personnellement. Comme il était en même temps frère Antoiniste, il a été enterré selon les rites de cette religion.
    C'est un très bon spirite qui nous a précédé dans le monde spirituel, aussi nous adressons à sa famille et à ses amis nos bien sincères condoléances.

Survie, mars-avril 1961

Voir les commentaires

Nécrologie Madame Gallioz (Survie, janvier-février 1950)

Publié le par antoiniste

Nécrologie Madame Gallioz (Survie, janvier-février 1950)

CEUX QUI NOUS PRÉCÉDENT
MADAME GALLIOZ

    Mme Gallioz s'est brusquement désincarnée à l'âge de 58 ans. Nous adressons à notre ami M. Gallioz, Président de la Société d'Etudes Psychiques de Grenoble, l'assurance de notre amicale sympathie et nos vœux de bonne santé pour qu'il puisse continuer son action.

Survie, janvier-février 1950

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>