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La vie de dévouement du PERE ANTOINE

Publié le par antoiniste

LA VIE DU PERE ANTOINE
La vie de dévouement du PERE ANTOINE, ce mineur belge qui pendant plus de 22 ans, s'est consacré à l'humanité souffrante, guérissant par la FOI les malades, consolant les affligés, prodiguant à des milliers de malheureux le soulagement et la force morale nécessaire à leur âme, mérite d'être connue.


Né en BELGIQUE, en 1846, cadet d'une famille de 11 enfants, il débute dans la mine à 12 ans, accompagnant son père et un frère également mineurs.


A 14 ans, il éprouve déjà un grand plaisir à prier, non pas comme on le fait ordinairement à cet âge: il aime se recueillir profondément, à élever son coeur vers DIEU. Que de fois, ne quitta-t-il pas furtivement son travail, s'isolant dans quelque coin pour mieux faire sa prière!


A 24 ans, pour améliorer sa situation, il part à l'étranger, en ALLEMAGNE, puis en RUSSIE. Marié, il économise, avec sa femme, une petite fortune, qui lui permet de vivre sans travailler.


Il comprit qu'il se devait à ses semblables. C'est alors qu'il ressentit la FOI qui, malgré une maladie d'estomac dont il est affligé, lui inspira le devoir de se dévouer toujours davantage envers ceux qui souffrent moralement et physiquement. Sa longue expérience lui fit reconnaître que: LES PLAIES DU CORPS NE SONT QUE LA CONSEQUENCE DES PLAIES DE L'ÂME. C'est donc à l'âme qu'il applique le remède.


Le souvenir de l'amour qu'il donna inlassablement à ses malades (il en reçut jusqu'à 1200 par jour depuis 5 Heures du matin jusqu'à 15 Heures, sans discontinuer) du mot juste qu'il savait dire pour couper une peine pendant les courts instants qu'il consacrait individuellement à chacun de ses consultants, des guérisons spectaculaires qu'il opéra par sa prière, sont toujours gravés dans la mémoire collective à JEMEPPE et dans les environs!


De 1906 à 1909, le dimanche, de 10 Heures à midi, le PERE ANTOINE reçut et transmit la REVELATION qui fut précieusement recueillies par les adeptes.


Son pouvoir, qui s'était agrandi, lui permit d'opérer sur un plus grand nombre de personnes, aussi bien qu'auparavant sur une seule à la fois. Il reçut les fidèles tous réunis dans le TEMPLE les quatre premiers jours de la semaine à 14 Heures.


Le CULTE ANTOINISTE a été sanctifié le 15 août 1910. Cette date est aussi celle de la consécration du premier TEMPLE du CULTE ANTOINISTE, celui de JEMEPPE-SUR-MEUSE.


Le PERE ANTOINE s'est désincarné le 25 juin 1912. Il avait 66 ans et était entouré de la vénération et de l'amour d'une foule innombrable d'adeptes venus de BELGIQUE et de l'étranger, spécialement de FRANCE.

source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/

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Cimetière des housseux (Jemeppe) par l'Av. Guillaume Lambert

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Av. Guillaume Lambert, vers le cimetière des housseux, passage obligé des cortèges antoinistes

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Tombe des Antoine, en temps ordinaire, vue d'ensemble

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La Tombe des Antoine en novembre 2009 (peu après la Toussaint)

Publié le par antoiniste

    Comme de nombreuses autres tombes de guérisseurs en Wallonie et dans le monde, la Tombe du Père et de la Mère est abondamment fleurie lors de la Toussaint. A propos de cette fête, on trouve dans la Révélation :

Je pense que la Toussaint doit être le jour où les hommes prient le plus. Dans beaucoup de pays, ils ont coutume de se rendre sur les tombes, et ceux même qui pendant toute l'année n'ont pas eu une pensée pour les leurs, réparent leur oubli ce jour là.
Devons-nous voir un mal dans cette coutume et avons nous le droit de la critiquer ? Non.
L'exemple ici encore doit intervenir. Si nous sommes sincères et si nous travaillons pour nos semblables, notre bon fluide sera le parfum qui attire. Ils s'approcheront de nous et ils nous verront agir. Nous leur serons agréables par notre amour. Plus heureux chez nous que partout ailleurs, ils se dépouilleront peu à peu de leurs habitudes et ils viendront avec plaisir dans nos rangs. Prenons patience, ce moment arrivera.
Nous allons au cimetière prier pour un enfant, un père ou une mère, un époux ou une épouse, parce que le jour l'ordonne ; mais que pouvons-nous donner à nos parents défunts, puisque le fluide seul réconforte et que ce fluide est le fruit de notre travail d'amour et de charité ? Les phrases que nous balbutions, suffisent-elles pour atteindre à un fluide à même de les satisfaire ? Nullement, et le pire, c'est que notre manque de foi nous égare à un tel point que nous allons pleurer sur les tombes. Ce n'est pas là de l'encouragement et du réconfort pour les défunts. Ne les ramène-t-on pas ainsi à la matière, à ce fardeau qui les a tant fait souffrir, ce corps qui fut l'instrument heureux de leurs épreuves et de leurs expiations et dont ils s'estiment heureux d'être débarrassés ? Puisque la prière est dans les actes, offrons-leur le fruit de nos oeuvres, de notre patience et de notre résignation. Sortis victorieux de nos tribulations, nous aurions acquis le fluide voulu et nous pourrions consoler nos parents en leur disant : "Nous venons vous apporter le résultat de nos efforts, le bon fluide que nous avons récolté pour vous ; c'est le fruit de nos actes dont notre amour veut vous réjouir".
Lorsqu'on se rend sur les tombes, faisant appel à de pauvres malheureux qui se hâtent de venir, dans l'espérance d'être réconfortés à notre contact, et qu'on n'a rien à leur donner faute de travail moral, on les décourage profondément. Ces malheureux savent la cause de leurs souffrances ; ils sont rentrés dans l'au-delà avec le lourd bagage de leurs actes mal accomplis. Ayant reconnu leur erreur, quelle ne serait pas leur joie de voir travailler leurs enfants, leur père, leur mère, leur mari, leur femme autrement qu'ils ne l'ont fait. N'est-ce point par le bien, par les actes de la véritable prière que nous devons les attirer à nous ?
Existe-t-il encore des jours commémoratifs pour celui qui a la foi ? Ne sait-il pas que ses défunts sont tous les jours à ses côtés, que le fruit du travail qu'il a la pensée d'accomplir, est à partager ? En tout temps les âmes nous entourent et nous ne pouvons les rassasier que par les actes de la vraie charité qui sont la vraie prière".

Sylvia taxquet Secrétaire du Culte Antoiniste de Jemeppe S/Meuse

source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/post/6683560/la-toussaint--la-visite-des-tombes

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Tout a changé, Mononke - tombe des Antoines - cimetière de Jemeppe

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source : GoogleBooks

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Tout a changé, Mononke - tombe des Antoines (détail)

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source : BoogleBooks

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Source du Père Antoine - la source dans le Bois de Neuville-en-Condroz

Publié le par antoiniste

Du Temple Antoiniste de JEMEPPE au Temple Antoiniste de NANDRIN, en passant par la source dite "du Père ANTOINE".

Trajet du pèlerinage effectué autrefois par les Antoinistes. Ce pèlerinage n'est pas reconnu comme tel par le Culte Antoiniste. Le jour anniversaire de la désincarnation du Père Antoine ( 25 juin ), il est encore effectué par de nombreux fidèles, mais à titre individuel. Au Temple de NANDRIN, ce jour-là, plusieurs OPERATIONS GENERALES ont lieu, puisque du monde se présente continuellement.

La source se trouve sur le territoire de SERAING, Route de ROTHEUX.

Pour y arriver, on passe devant le Temple Antoiniste de SERAING, situé Rue de TAVIER.


Cette source se trouve sur le territoire de la commune de SERAING, sur la route que le Père ANTOINE emprunta lors de sa dernière promenade en voiture , quelques semaines avant sa désincarnation. Elle se trouve sur le bord de la route allant de JEMEPPE, via SERAING, en direction de NANDRIN. Le Père était déjà très malade et, sur le chemin, il se sentit mal, très fiévreux. On s'arrêta auprès de cette source qu'il connaissait pour avoir fait plusieurs fois ce chemin lorsqu'il travaillait pour son dernier patron et qu'il partait en courses pour celui-ci. On s'arrêta et on put lui rafraîchir le visage. C'est là tout l'origine de cette histoire. A l'origine, les Antoinistes faisaient le parcours "JEMEPPE - NANDRIN " à titre de pèlerinage pour honorer la mémoire du Père ANTOINE. Le but final étant le Temple Antoiniste de NANDRIN ( lieu dit " AUX QUATRE- BRAS ". Maintenant, le CULTE ANTOINISTE précise bien que cette source n'a rien de miraculeux . C'est à peu près la même mise au point que pour la fontaine qui se trouve dans le fond du Temple de JEMEPPE.

Cet endroit continue toujours, malgré tout, à faire l'objet d'une véritable vénération, même de la part de personnes qui ne partagent  pas la FOI Antoiniste. On peut s'en rendre compte en voyant de quelle façon elle est fleurie et garnie d'ex-votos. Cette source est donc liée aux deux Temples de JEMEPPE et de NANDRIN. Le 25 juin, beaucoup de personnes, après avoir assisté à l'OPERATION GENERALE au Temple de JEMEPPE, se rendent au Temple de NANDRIN et s'arrêtent, au passage, à la source.

source : http://antoinisme-documentation.skynetblogs.be/

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Source du Père Antoine - la source vue de la route

Publié le par antoiniste

    Sortant de sa chambre un jour de mai 1912, il s'en va, en compagnie de la Mère et de deux ou trois adeptes proches, se promener en voiture dans les bois situés près de Neuville-en-Condroz. Là, avant de rentrer, il boit une gorgé d’eau fraîche à une source qui existe encore et où certains adeptes vont chercher de l'eau qu'ils considèrent comme étant un remède, et qui sert même parfois, à certains "d'eau bénite" pour exorciser (!) alors que le Culte lui-même ne lui reconnaît ni une valeur thérapeutique, ni aucun pouvoir que se soit. Cependant, aujourd'hui encore, des personnes superstitieuses se servent du buis bénit attaché au crucifix, pour asperger les mûrs de leur maison de cette eau de Neuville, disant en patois "Diâles è macrales, fout'chal!" ("Diables et sorcières, dehors!")

Jacques Cécius, Une religion de guérison, l'Antoinisme, p.34

    L'Antoinisme est encore à son aurore et déjà l'intelligence est en mouvement pour déformer la réalité. Dernièrement, on me fit part d'un pèlerinage antoiniste au lieu dit : Quatre-Bras, endroit où le Père affaibli s'est rendu en voiture un peu avant sa désincarnation afin de respirer un peu d'air pur; là, deux adeptes soutenaient le vénérable vieillard pour L'aider à marcher, Mère suivait en silence, résignée dans cette grande épreuve et combien recueillie ! Ah ! ne faisons pas de ce lieu de souffrance un lieu de réunion, si nous voulons faire revivre des instants d'épreuves, partons seuls ou en communion, silencieux et respectueux ! Certains ont découvert que le Père s'est rendu dans ces bois quatorze fois, qu'Il y a fait quatorze stations ! Je suis allé aux informations et quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre par les personnes qui ont accompagné le Père dans ses pénibles promenades, que le Père avait été à cet endroit une ou deux fois. Voilà comment débutent les pèlerinages, ils sortent en entier de l'imagination du peuple, voilà comment naissent les légendes, nous avons pour devoir de les extirper à leur naissance afin d'éviter pour l'avenir le mensonge et l'erreur.

L'Unitif, nov. 1913, p.10-11,
in Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, p.225

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Source du Père Antoine - vue d'ensemble (années 2000)

Publié le par antoiniste

    A cette source ou Fontaine, Père et Mère Antoine se recueillaient

    Endroit de méditation, de réconfort et assistance morale Selon Votre Foi.

(C'est une des nouvelles inscriptions mise il y a peu de temps).

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Source du Père Antoine - plaque brisée et fleurs

Publié le par antoiniste

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