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Pensée philosophique - Suis-je Dieu ?

Publié le par antoiniste

    Est-ce que le monde ne serait pas qu'un songe, une vue de l'esprit. Est-ce qu'il n'y a que moi qui meurt, ou est-ce que c'est le monde qui disparaît quand je meurt. Comment être sûr que tout ça continu une fois que je ne suis plus là pour le voir, le savoir.
    Peut-être c'est moi qui ai tout imaginé. Peut-être en fait suis-je moi-même Dieu qui s'est fait homme pour s'amuser le temps d'une seconde d'éternité. "Dieu à l'image de l'Homme, et l'Homme à l'image de Dieu". Le monde mourra quand Je mourrais, puisque Je ne serais plus là pour le faire défiler devant mes yeux pour mon seul plaisir.

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Comment nos sens nous trompent 1 - taille des ronds jaunes

Publié le par antoiniste

    Selon vous la taille des ronds jaunes est-elle identique ?

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Tromper le cerveau pour alléger la douleur

Publié le par antoiniste

Paris, 26 novembre 2003

Tromper le cerveau pour alléger la douleur

A l'Institut des sciences cognitives (CNRS - université de Lyon 1) la chercheuse Angela Sirigu, responsable de l'équipe de neuropsychologie, et le médecin Pascal Giraux, du Centre hospitalier universitaire de Saint-Etienne, sondent les connexions entre les régions du cerveau qui commandent le mouvement et celles de la perception de la douleur. Ce qui les a menés sur cette voie, c'est un phénomène appelé « douleur fantôme », où les patients atteints d'une amputation continuent à souffrir, de façon aiguë, du membre pourtant disparu. Ce même mal existe chez les patients souffrant d'une «avulsion du plexus brachialis» (BPA) où une partie du système nerveux périphérique, au niveau de la clavicule, se trouve comme arrachée (1). Dans leur étude publiée par NeuroImage en novembre 2003, la chercheuse et le clinicien ont cherché à faire disparaître la douleur fantôme de patients atteints de BPA en modifiant l'activité du cerveau par une illusion visuelle.

La perception de la position de nos membres est construite à partir d'informations visuelles, tactiles, proprioceptives (2) et de la commande motrice du cerveau (dite " efférente "). Le cortex sensorimoteur primaire joue un rôle essentiel parmi les régions impliquées dans ce processus (appelées aussi S1 et M1). S1 et M1 contiennent chacune une carte précise des parties de notre corps et conservent des capacités considérables de plasticité à l'âge adulte, en particulier lors de modifications des afférences périphériques (3). Le phénomène de membre fantôme chez les patients amputés, défini par la persistance de sensations motrices du membre manquant, est un exemple fascinant d'une telle réorganisation.L'étude porte sur trois patients souffrant d'une paralysie de la main ou du bras provoquée par une BPA. Dans le cas de ces patients, le membre est toujours présent mais complètement paralysé et dépourvu de toute sensation (ou " dé-afferenté ") car la transmission nerveuse entre le cerveau et le système nerveux périphérique a été interrompue (4). Les trois patients souffraient de douleurs du membre fantôme. L'activité du cortex moteur (ou M1) est mesurée par Imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) avant et après un entraînement visuo-moteur. Durant huit semaines, les patients ont appris à associer des " mouvements volontaires " du membre fantôme (effectués par le bras et la main lésés) à des mouvements préenregistrés de la main saine (obtenus par une inversion droite-gauche à l'aide d'un montage vidéo et d'un logiciel sophistiqué). Avant l'entraînement, les mouvements " fantômes " du côté lésé activaient une région voisine du cortex moteur, le cortex prémoteur contralatéral. Cependant ils n'activaient pas le cortex moteur (M1) alors que celui ci est activé lors des mouvements de la main saine. Après l'entraînement, deux sujets ont montré une activité plus importante dans cette aire motrice primaire contralatérale (M1). Parallèlement à ce changement, la douleur fantôme se réduisait significativement. Le troisième sujet n'a montré aucune augmentation de l'activité cortex motrice et aucune amélioration de la douleur fantôme.

Dans cette étude, les résultats montrent que l'apprentissage visuel des " mouvements " du membre paralysé a modifié d'une manière remarquable l'activité dans le cortex moteur. Pour les auteurs, l'entraînement visuo-moteur réussi a restauré une image cohérente du corps dans M1, qui à son tour, a affecté directement la sensation de douleur fantôme. La vision du membre paralysé en mouvement pourrait avoir ainsi " trompé " le cerveau et rétabli l'activité neuronale dans la région motrice importante pour la représentation de la main. Ces travaux ouvrent la voie à une rééducation thérapeutique, basée sur cette nouvelle technique visuo-motrice.Une question toutefois reste en suspens : le lien étroit qui existe entre la restauration de l'activité de M1 et la diminution de la douleur fantôme.

Pourquoi le troisième patient a-t-il réagi différemment ? Parce que son accident est bien plus antérieur et qu'il lui faudrait davantage de séances de rééducation ? Ainsi ce travail, soutenu financièrement par la région Rhône-Alpes, constitue une première étude. Dès ses premiers travaux en 1996, A. Sirigu cherchait à comprendre comment un cerveau lésé empêche d'exécuter ou d'imaginer des mouvements. Dans cette deuxième étape, elle observe comment des membres lésés peuvent influer le fonctionnement du cerveau. Elle avait ainsi mis à jour avec P. Giraux en 2001 l'étonnante plasticité du cerveau, qui retrouvait son organisation motrice originelle chez un patient amputé qui avait bénéficié d'une greffe de deux mains par l'équipe du professeur Dubernard. Cette plasticité peut être obtenue par simple illusion, comme le montre cette nouvelle étude, actuellement poursuivie auprès de patients amputés.

Notes :
(1) Souvent à la suite d'accidents de la route.
(2) Les informations proprioceptives sont plus élaborées que la simple sensation ; elles permettent de situer la position des membres dans l'espace, le sens donné à un mouvement...
(3) Les informations afférentes sont impulsées du système nerveux périphérique vers le cerveau, par opposition aux informations efférentes.
(4) Au niveau des racines nerveuses qui partent de la moelle épinière et innervent les muscles du membre supérieur.

http://www.cnrs.fr/rechercher/

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Dem Schmerz auf der Spur

Publié le par antoiniste

Das eingravierte Schmerzgedächtnis lässt sich nicht durch Medikamente löschen. Wie kann Schmerzpatienten dennoch geholfen werden? Antje Schmidt erzählt in ihrem Film "Dem Schmerz auf der Spur" die Geschichte von drei Schmerzpatienten und berichtet von alternativen Heilmethoden...

Allein in Deutschland stieg die Zahl der Schmerzpatienten letztes Jahr um 20 Prozent auf 10 Millionen. Neue Forschungsergebnisse zeigen, dass chronischer Schmerz ein erlerntes Verhalten ist, ein in Körper und Geist abgespeichertes Programm.

Das eingravierte Schmerzgedächtnis lässt sich nicht durch Medikamente löschen. Schmerz bildet sich immer auch im Gehirn ab. Was dort gespeichert ist, bleibt. Neue bildgebende Verfahren geben fantastische Einsichten in diese Hirnprozesse. Hirnforscher gewinnen völlig neue Erkenntnisse und Schmerztherapeuten versuchen, diese in Therapien umzusetzen.

In ihrem Film "Dem Schmerz auf der Spur" zeigt die Regisseurin Antje Schmidt die Geschichte von drei Schmerzpatienten. Die Dokumentation berichtet über die neuesten Ergebnisse der Schmerzforschung in Deutschland, Frankreich und Dänemark, stellt neue Therapien vor und zeigt, warum alternative Heilmethoden wie Osteopathie und Akupunktur Schmerzen lindern können.

(Deutschland, 2008, 43mn) - NDR - Regie: Antje Schmidt 

source : www.hr-online.de

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Jean-Pierre Barral - Comprendre les messages de votre corps

Publié le par antoiniste

    Le corps possède une grande mémoire. Peurs, angoisses, traumatismes, chocs émotionnels et physiques s'y impriment et y restent gravés, en sommeil. Et quand ils se réveillent, lors d'un événement ou à travers une fragilité, c'est parfois sous une autre forme ou à un autre endroit. Les douleurs font leur chemin. C'est ce mystère du corps humain dans sa globalité (physique et psychique) qui intéresse Jean-Pierre Barral. Il nous explique les rapports qui existent entre nos organes et nos émotions, pour nous permettre de nous libérer des tensions présentes et passées. Car on peut soigner un problème émotionnel en traitant un organe, comme on peut soigner un organe en traitant un problème émotionnel. Vous découvrirez, pour chaque organe, son fonctionnement, les troubles qui peuvent l'affecter, les causes de ces troubles et les moyens de les soigner (sur les plans physique, psychique, alimentaire). Vous pourrez enfin comprendre les messagers que sont le cerveau, les reins, les poumons, le foie, l'estomac, etc. qui participent au grand spectacle des émotions.

Un véritable pionnier
Jean-Pierre Barral est ostéopathe. Fort de 35 ans d'expérience, il a déjà publié une dizaine d'ouvrages professionnels traduits dans cinq langues et a participé à des centaines de conférences à travers le monde. Aujourd'hui, grâce à ce nouveau livre, il partage avec le grand public une part de son expérience et de ses connaissances.

source : www.evene.fr/livres

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L'antoinisme est-il le Falun Gong wallon ? ;)

Publié le par antoiniste

    Il y a de nombreuses similitudes entre la pratique de la consultation morale chez les antoinismes et concernant son origine les guérisons de Louis Antoine et la philosophie extrême orientale. La lecture du livre le Don de Guérir pourra éclairer plus avant. Mais également la lecture sur le mouvement religieux Falun Gong.

    Rappelons également à titre d'anecdote, que le Falun Gong est combattu en Chine populaire, et que l'antoinisme est considérée comme une secte par divers enquêtes parlementaires (remis en cause de plus en plus d'ailleurs).

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définition de ''placébo''

Publié le par antoiniste

PHARMACOL. Substance sans principe actif mais qui, en raison de son aspect, peut agir par un mécanisme psychologique sur un sujet croyant prendre une substance thérapeutique. Le placebo ne relève pas du charlatanisme; il permet au médecin de rassurer son malade et, éventuellement, de diminuer les doses d'un médicament habituel sans que l'effet en soit atténué (Psychol. 1969). On emploie les placebos en médecine expérimentale en vue d'obtenir une évaluation comparative de l'action d'un médicament (...) on administre à la moitié des sujets le médicament actif et à l'autre moitié le placebo (Méd. Biol. t.3 1972).

source : Trésor de la Langue Française Informétisé.

Pour aller plus loin, un article d'un médecin, sur le site de l'Université de Rennes 1 et l'article de wikipedia Placébo

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les deux sens d' ''appréhension''

Publié le par antoiniste

    Les sens de ce mots sont intéressants, ma source pour les explorer est le Dictionnaire de la Langue Française Informatisé disponible en ligne gratuitement ici.

Le premier sens du premier onglet est (si nous laissons de côté le sens A vieilli synonyme de prendre) :
B.− PHILOSOPHIE
1. Rare, vx. Faculté de saisir par l'intelligence.
2. Saisie par l'intelligence, et plus particulièrement ,,toute opération intellectuelle relativement simple ou immédiate, soit de perception, soit de jugement, soit de mémoire, soit d'imagination, considérée comme s'appliquant à un contenu distinct de l'opération elle-même.`` (Lal. 1968) :
C.− Faculté de saisir (et donc de retenir) vite.

-> donc on a le sens de comprendre par l'intelligence.

Voyons le deuxième sens (2e onglet) :
A.− Au sing. [Avec un compl. prép. de, indiquant ce qu'on appréhende] Appréhension de qqc. Fait d'appréhender, d'envisager avec inquiétude une chose imminente.
B.− Au sing. ou au plur. (à valeur intensive). [Avec un compl. prép. de ou un adj. poss. indiquant la pers. qui appréhende] Appréhension de qqn. État d'une personne qui appréhende.

-> donc le fait de voir l'avenir d'une façon plutôt sombre.

Ainsi, l'homme pourrait être toujours une personne, qui comprennant par son intelligence le monde, ne peut que l'envisager négativement quelque chose qui n'est pas encore là.  N'est-ce pas là une bonne compréhension de l'Enseignement qui nous demande toujours de se méfier de son intelligence.

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Louis Antoine renonce au spiritisme

Publié le par antoiniste

     Bien que toute connaissance soit illusoire pour qui cherche à progresser moralement, beaucoup de personnes sont attirées par des phénomènes psychiques et rien ne les réjouirait plus que le mouvement d'une table ou de tout autre meuble; elles croient qu'elles seraient vite converties, qu'elles auraient le courage de travailler à leur avancement et qu'elles seraient bientôt convaincues que la mort c'est la vie. Pourrions-nous avoir une ferme croyance et être plus heureux si nous obtenions ces preuves matérielles ? Je ne le crois pas car l'homme convaincu n'est heureux que par le fruit du travail qu'il effectue pour s'améliorer; cinq minutes de relâche sont pour lui un châtiment, parce qu'il sait qu'il laisse à désirer par sa conscience, il prévoit des tourments.

La Révélation, La science et la foi, p.19-20.

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la nociception

Publié le par antoiniste

 La nociception est l'ensemble des réactions psychologiques consécutives à l'activation des nocicepteurs (recepteurs à la douleur) cutanés, musculaires et articulaires. Le transport de l'information sensorielle par les nerfs se fait de la périphérie (lieu du ressenti de la douleur) jusqu'à l'encéphale. Il faut que la douleur dépasse un certain seuil pour qu'il y ait un déclenchement d'une réponse électrique.

source : wikipedia

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