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La Révélation, L'importance de la pensée (p.23)

Publié le par antoiniste

    La vérité n'est pas toujours où nous la croyons ; elle peut être dans un raisonnement basé sur la logique, mais elle cesse d'être vérité quand nous voulons la discuter ; car la vérité est dans l'humilité, la modestie, la sagesse ; elle nous apparaît bien claire, mais nous ne la possédons que lorsque nous ne prétendons pas l'avoir. Disons que la vérité c'est Dieu et que Dieu c'est la vérité.

La Révélation, L'importance de la pensée, p.23

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Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Cause, développement & perfectionnement de l'être (p.LXVIII)

Publié le par antoiniste

    Je le répète, nous ne sommes ici que l'ombre de nous-mêmes, le reflet de notre réalité.

Le Couronnement de l'Œuvre Révélée, Cause, développement & perfectionnement de l'être, p.LXVIII

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L'exploration inversée - Le tour de France de deux Papous

Publié le par antoiniste

Réalisé par Marc Dozier et Jean-Marie Barrère
Avec Marc Dozier, Mudeya Kepanga et Polobi Palia
Produit par Yves Darondeau, Christophe Lioud et Emmanuel Priou pour Bonne Pioche avec la participation de CANAL+

Deux Papous plein d'humour et animés d'une curiosité insatiable quittent un matin leur village de Papouasie-Nouvelle-Guinée, direction la France. Commence alors l'exploration inversée.

Depuis les profondeurs du métro parisien jusqu'aux sommets enneigés des Alpes, ces voyageurs du bout du monde se retrouvent confrontés à d'autres réalités : le pouvoir, le travail, les femmes, le cochon... Décidément, chez les Français, ça ne tourne pas rond !

 

source : www.canalplus.fr

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Erich Scheurmann - Le Papalagui : Les propos de Touiavii, chef de la tribu de Tiavéa, dans les Mers du Sud

Publié le par antoiniste

1. Les couvre-chair (vêtements) du Papalagui, ses nombreux pagnes et nattes
2. Les coffres en pierre (immeubles), les fentes de pierre (rues), les îles de pierre (villes) et ce qu'il y a entre elles
3. le métal rond (pièces) et le papier lourd (billets)indigene
4. le Papalagui devient pauvre à cause du grand nombre de choses (abondance matériel)
5. Le Papalagui n'a pas le temps
6. Le Papalagui a appauvri Dieu
7. Le Papalagui est un magicien (science et technique)
8. La profession du Papalagui
9. Le lieu de la vie factice (cinéma) et les mille papiers (livres) du Papalagui
10. La maladie de penser sans cesse
11. L'obscurité du Papalagui

Lire un article sur ce livre

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Erich Scheurmann - Le Papalagui : Les propos de Touiavii, chef de la tribu de Tiavéa, dans les Mers du Sud

Publié le par antoiniste

1. Les couvre-chair (vêtements) du Papalagui, ses nombreux pagnes et nattes
2. Les coffres en pierre (immeubles), les fentes de pierre (rues), les îles de pierre (villes) et ce qu'il y a entre elles
3. le métal rond (pièces) et le papier lourd (billets)indigene
4. le Papalagui devient pauvre à cause du grand nombre de choses (abondance matériel)
5. Le Papalagui n'a pas le temps
6. Le Papalagui a appauvri Dieu
7. Le Papalagui est un magicien (science et technique)
8. La profession du Papalagui
9. Le lieu de la vie factice (cinéma) et les mille papiers (livres) du Papalagui
10. La maladie de penser sans cesse
11. L'obscurité du Papalagui

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Jean de la Fontaine - L'Avare qui a perdu son trésor (illustr. Gustave Doré)

Publié le par antoiniste

L'usage seulement fait la possession.
Je demande à ces gens de qui la passion
Est d'entasser toujours, mettre somme sur somme,
Quel avantage ils ont que n'ait pas un autre homme.
Diogène là-bas est aussi riche qu'eux,
Et l'avare ici-haut comme lui vit en gueux.
L'homme au trésor caché qu'Ésope nous propose,
          Servira d'exemple à la chose.

               Ce malheureux attendait,
Pour jouir de son bien, une seconde vie;
Ne possédait pas l'or, mais l'or le possédait.
Il avait dans la terre une somme enfouie,
     Son cœur avec, n'ayant autre déduit
          Que d'y ruminer jour et nuit,
Et rendre sa chevance à lui-même sacrée.
Qu'il allât ou qu'il vînt, qu'il bût ou qu'il mangeât,
On l'eût pris de bien court, à moins qu'il ne songeât
A l'endroit où gisait cette somme enterrée.
Il y fit tant de tours qu'un fossoyeur le vit,
Se douta du dépôt, l'enleva sans rien dire.
Notre avare, un beau. jour, ne trouva que le nid.
Voilà mon homme aux pleurs: il gémit, il soupire,
          Il se tourmente, il se déchire.
Un passant lui demande à quel sujet ses cris.
          « C'est mon trésor que l'on m'a pris.
Votre trésor? où pris? - Tout joignant cette pierre. -
          - Eh! sommes-nous en temps de guerre
Pour l'apporter si loin? N'eussiez-vous pas mieux fait
De le laisser chez vous en votre cabinet,
          Que de le changer de demeure ?
Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure.
- A toute heure, bons Dieux! ne tient-il qu'à cela ?
          L'argent vient-il comme il s'en va ?
Je n'y touchais jamais. - Dites-moi donc, de grâce,
Reprit l'autre, pourquoi vous vous affligez tant,
Puisque vous ne touchiez jamais à cet argent,
          Mettez une pierre à la place,
          Elle vous vaudra tout autant. »

 Jean de La Fontaine, Fable XX, Livre IV.

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Darwin & Constantin

Publié le par antoiniste

    "Veyne fait parfaitement sentir que, dès lors qu'apparaît un dieu universel et aimant, l'égalité entre les hommes devient au moins imaginable. [...] Bien sûr, l'histoire contredira tout cela. Et à de nombreuses reprises." (source : http://www.vigile.net/Lettre-d-un-incroyant)

    Cette réflexion de Christian Rioux sur le livre de Paul Veyne, "Quand le monde est devenu chrétien" (Albin Michel), rejoint ce que je disais de Darwin dans un précédent billet : de dire que tous les hommes descendent bien d'une seule et même espèce, peut facilité l'égalité entre eux. Espéront encore pourtant que l'histoire future ne contredira pas Darwin.

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Paul Veyne - Quand notre monde est devenu chrétien (312-394)

Publié le par antoiniste

Le récit personnalisé de P. Veyne s'interroge sur les raisons de la conversion de Constantin, premier des empereurs de Rome à embrasser la foi chrétienne, en 312. Bien sûr, il y a la légende : celle d'une victoire obtenue grâce à l'aide du dieu des chrétiens. P. Veyne ne l'écarte pas, car il était important pour un empereur que son dieu fût plus fort que celui des autres. Mais sa foi existait avant, comme chez 10 % environ des sujets de l'Empire. Car le christianisme était devenu « la question brûlante du siècle » dont le succès, souligne P. Veyne, peut se comparer à celui d'un « best-seller ». Premier à « parler d'amour », le christianisme était aussi une morale et une philosophie mises à la portée de tous. Ses adversaires l'accusaient d'être une mode apatride, une religion de pauvres et d'esclaves. Ce qui fut vrai au début, mais était déjà faux au temps de Constantin : le christianisme incarnait alors une contre-société urbaine plutôt chic.

Quand notre monde est devenu chrétien (312-394)
Paul Veyne, Albin Michel, 2007, 320 p., 18 e. 

source : http://www.scienceshumaines.com/quand-le-monde-est-devenu-chretien_fr_21104.html

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Christian Rioux (détaché du journal québécois Le Devoir en France) - Vivre-ensemble

Publié le par antoiniste

[...] Pourquoi tant d'émoi autour de deux mots unis par un trait d'union ? D'abord parce que ce vivre-ensemble, ce n'est pas du français mais de l'allemand, aurait dit mon vieux maître. Les Allemands, qui ne sont pas tous philosophes, ont néanmoins tous un gros faible pour les mots composés, contrairement aux Français.

Ensuite parce que ce fameux vivre-ensemble ne se caractérise pas tant par ce qu'il veut dire que par ce qu'il semble refuser de nommer. Il y a des mots comme ça qui ont été inventés non pas pour dire les choses mais pour ne pas les dire. La peur des mots est chose courante à notre époque. Pour la calmer, il existe des mots-valises qui évitent de prononcer ceux-là mêmes qui ont un sens.

[...] Les mots ne sont pas neutres. Avec le vivre-ensemble, il s'agirait implicitement de substituer à l'épaisseur de l'identité une sorte de règlement de copropriété. Personne ne le dit, mais sous des apparences d'ouverture, ce vivre-ensemble n'est peut-être au fond qu'un vivre-côte-à-côte. Au pacte de la langue et de la culture communes, faudrait-il préférer un simple contrat commercial par lequel les citoyens promettraient de ne pas se taper dessus ? Au fond, le « vivre ensemble » n'est peut-être pour la société dite multiculturelle que ce que le néolibéralisme est au marché : une façon de se côtoyer sans jamais se toucher.

Comme la plupart des inventions du nouveau dictionnaire bureaucratique, le vivre-ensemble respire évidemment le moralisme. Avec l'identité, on partageait une langue et une culture, mais on n'était pas obligé de s'aimer. On pouvait même s'affronter. Les partisans d'une nation fondée sur l'identité et la langue faisaient le pari qu'en ayant des mythes communs, les citoyens finiraient par faire preuve de générosité entre eux. On ne sait pas trop ce que les partisans du vivre-ensemble proposent de faire ensemble, mais ils ont érigé la tolérance en absolu et ordonnent à chacun d'aimer son voisin.

« Les mots sont l'ADN de la pensée », écrivait Jean Paré dans Le Code des tics (Boréal). « Ceux que l'on injecte agissent au niveau des synapses du client, du lecteur, de l'électeur, comme des virus pour l'induire à penser de lui-même ce que l'on souhaite qu'il pense. » Il ne croyait pas si bien dire.

source : http://www.vigile.net/Vivre-ensemble,10710

 

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Article ''foi'' de l'Encyclopédie de l'Agora

Publié le par antoiniste

 à lire ici : «La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas.»
Saint Paul, Épitre aux Hébreux, chapitre 11.

Enjeux

Essentiel

Documentation

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