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institut des forces psychosiques

Pierre Scize - Au pays des guérisseurs (Marianne, 25 juillet et 15 août 1934)

Publié le par antoiniste

Pierre Scize - Au pays des guérisseurs (Marianne, 25 juillet et 15 août 1934)Pierre Scize - Au pays des guérisseurs (Marianne, 25 juillet et 15 août 1934)Concernant l'Antoinisme :
    Quelles rigueurs exercer contre ce doux petit vieillard, pratiquant du culte antoiniste, qui m'a demandé avec de vraies larmes dans les yeux de ne point citer son nom, et qui opère, dans un faubourg où on le tient pour un saint, des cures extraordinaires ?
    L'Antoinisme, comme la Christian-Science, sur quoi un de mes lecteurs lyonnais m'envoie de curieux détails, échappe trop à une telle enquête, en ce sens que la guérison des maladies n'est chez lui qu'une infime partie de la doctrine. Il faudra bien un jour mener cette enquête des petites religions, si prometteuses, si pleines d'humanité. Mais je peux indiquer, en passant, que les desservants de ces cultes mineurs (en France) pratiquent avec un désintéressement rare « leur mission ».

Concernant l'Institut des forces psychosiques :
    A Sin-le-Noble, près de Douai, il y a un « Institut des forces psychologiques », dont le directeur, Henri Lormier, est un élève et le continuateur du célèbre guérisseur d'Avignonnet, Jean Béziat, mort depuis quelques années.
    Il accomplit, par simple suggestion, des cures qui lui amènent des malades de tout le Nord. Lui aussi se défend de faire des miracles. Il ne promet ni la guérison du cancer, ni celle de la tuberculose. Mais, chaque fois que le mental peut influer sur le physique, sa thérapeutique fait merveille. Personne, que je sache, ne s'est avilsé de l'inquiéter. Le ferait-on qu'il y aurait, au pays des « ch'ti mi » de véritables soulèvements populaires.

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Sin-le-Noble et Douai et les protestants

Publié le par antoiniste

Sin-le-Noble et Douai et les protestants
Douai - Temple protestant

    L'apparition du protestantisme a amené les persécutions comme partout et de nombreux noms de martyrs pourraient être cités. Bien qu'il exista des églises protestantes dans les villes de garnisons hollandaises dites de « la barrière », il y eut aussi des assemblées du désert, des églises sous la croix et des pasteurs obligés de vivre cachés pour exercer leurs ministères.
    Ce n'est qu'en fin XIXème siècle que nos paroisses actuelles prirent naissance.
    A la fin du XIXème siècle, l'Église de Douai dépend du pasteur de Valenciennes. Le culte a lieu dans une salle de l'hôtel de ville. Un arrêté préfectoral du 8 août 1897 autorise la construction du temple, 70 rue de l'Hippodrome. Celui-ci est inauguré le 16 mai 1901. Le premier pasteur est Mr Paul Barde en 1906. Ce temple a été rénové à l'occasion de son centenaire en 2001.
http://huguenotsinfo.free.fr/temples/douai_hist.htm

    La Rue du Temple à Douai, comme à Arras, fait référence aux Templiers et non à l'existance d'un Temple protestant.

Sin-le-Noble et Douai et les protestants
Paris - Église Évangélique Baptiste - 48, rue de Lille (wikipedia)


    Le baptisme est un courant chrétien évangélique issu d'un réveil démarré par les pasteurs anglais John Smyth en Hollande en 1609, puis Thomas Helwys en Angleterre en 1612.
    La fédération des Églises évangéliques baptistes de France (FEEBF) a ses origines dans une mission baptiste à Nomain, département du Nord, par le missionnaire suisse Henri Pyt et sa femme Jeanne Pyt, en 1820. En 1833, les confessions de foi baptiste sont instaurées par les églises. En 1834, l'œuvre baptiste s'implante en Bretagne avec l'arrivée à Morlaix du pasteur gallois John Jenkins. En 1836, l'école pastorale baptiste de Douai ouvre ses portes. En 1838, il y a 7 églises baptistes établies et 150 membres.

Sin-le-Noble et Douai et les protestantsSin-le-Noble et Douai et les protestantsSin-le-Noble et Douai et les protestants
Morlaix - Chapelle Évangélique Baptiste     Denain - Temple protestant     Église baptiste de Bruay-la-Buissière


    En 1910, dix églises constituées s'unissent et forment la Fédération des églises évangéliques baptistes du Nord de la France (et de la Belgique), qui rejoint en 1916 la Fédération Protestante de France. En 1913, 15 pasteurs sont à l'œuvre, 28 lieux de cultes rassemblent 883 membres baptisés.
    En 1922, la Fédération ne se limite plus au seul Nord de la France. Elle prend alors le nom de "Fédération des Églises Évangéliques Baptistes de France". La croissance ralentit dans l'entre-deux-guerres. Des dissensions doctrinales ont provoqué une division parmi les églises baptistes. Plusieurs églises ont formé l'association des églises évangéliques baptistes de langue française. En 1937, la Fédération des églises baptistes a fondé la Mission intérieure baptiste (MIB) dont le but est d'implanter de nouvelles églises en France, là où il n'y en a pas encore.
    En 1946 et jusqu'en 1960, 20 nouvelles églises sont fondées dans plusieurs diverses autres villes.
    En 2006, la Fédération comptait 111 églises et 6 284 membres.
    En 2015, le pasteur Thierry Auguste est devenu président de la fédération.
source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fédération_des_Églises_Évangéliques_baptistes_de_France

Sin-le-Noble et Douai et les protestants
Sin-le-Noble - 280 Rue Henri Lemette (temple protestant)


    L'Église Protestante Baptiste "Cap Espérance" existe toujours à Douai, elle a ses locaux dans l'institut Saint-Jean, Avenue du Maréchal Leclerc, 59500 Douai. Comme à son habitude, les fidèles se rassemblent dans une maison, un garage, un hangar. Les seuls temples où ils se retrouvent sont ceux d'Auchel, Bruay-la-Buissière (dans le bassin minier de Lens) et de Sin-le-Noble, proche de Douai.
Sin-le-Noble (1892) - 280 rue Henri Lemette (temple qui, aprês être devenu baptiste, a été vendu en 1978 et rénové par la Fédération Église Évangélique Baptiste (FEEB) membre de la FPF)

Sin-le-Noble et Douai et les protestants
Auchel - Rue du Temple


Bassin minier de Lens :
Lens (1904) - 100 Avenue Alfred Maës 62300 Lens (détruit en 1918 sur un terrain situé entre la rue de la Bataille et l'actuelle rue du Temple, reconstruit en 1925-26, rénové en 2009)
Auchel (1891) - 64 Rue Séraphin Cordier (anc. Rue du Temple, anc. Rue Cohet)/Rue du Général de Gaulle 62260 Auchel (désaffecté pendant un temps, fête ses 130 en 2019 avec une exposition photographique Le temple d'hier à aujourd'hui)
Bruay-la-Buissière (1886) - ​115 Rue Louis Dussart 62700 Bruay-la-Buissière (Temple baptiste, agrandi en 1925, rénové en 1985)
Divion (1926) - cité « résidence Croix de Grés » 62460 Divion (chapelle en bois construite par l'église baptiste de Lens, repris quelques années plus tard par les Charbonnages de France)

Sin-le-Noble et Douai et les protestants
Chauny (Congrès FEEBF, 1927)(wikipedia)


Autres temples baptistes d'intérêt architectural :
Nord :
Denain (1870) - 57 Rue Jules Mousseron 59220 Denain (temple évangélique, le plus vieux du bassin minier, bâti par un ingénieur des mines, M. Chabaud-Latour, suivant les plans de la communauté, à l'architecture unique en France)
Reumont (1870) - Rue du Temple 59980 Reumont (sur le modèle de Nomain, temple réformé puis baptiste et enfin irvingien, transformé en grange)
Aisne :
La Fère (1873) - 12 ‎Rue du Général de Gaulle 02304 La Fère (église baptiste, sur la Place d'Armes)
Chauny (1927) - 24 Rue du Général-Leclerc 02300 Chauny (remplace un temple de 1850 détruit pendant 14-18)
Somme :
Compiègne (1868) - 6 bis Avenue Thiers 60200 Compiègne (par l’architecte parisien Louis Calla à partir des plans de l'architecte Thorton Shiels d’Edimbourg, à la suite d'un généreux don de Maria Jane Bowes-Lyon, parente de la reine Victoria, de style "premier art gothique anglais", originairement église anglicane Saint-Andrew, partiellement détruite lors du bombardement de Compiègne en 1918, restaurée qu'en 1926)

Bretagne :
Plougrescant (1902) - Route de Castel-Meur 22820 Plougrescant
Paimpol (1905) - 36 Rue du Professeur Jean Renaud 22500 Paimpol (oeuvre pionnière par le pasteur quaker Charles Terrell (1865-1949), construction d'inspiration régionaliste)
Morlaix (1846) - 32 rue de Paris 29600 Morlaix (reconstruit en 1923)

Région parisienne :
Paris (1874) - 48 rue de Lille 75007 Paris (construit à l'étage, le temple de l'Église protestante baptiste a une structure de métal et a été l'un des premiers bâtiments reconstruits sur les ruines des destructions par la Commune)
Courbevoie (XXe siècle) - 40 Rue du 22 Septembre 92400 Courbevoie
Nogent sur Marne (XXe siècle) - 39 Grande Rue Charles de Gaulle 94130 Nogent sur Marne

Sud :
Nice (1910) - 13 Rue Vernier 06000 Nice

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Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

Publié le par antoiniste

Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

    L'église Saint-Joseph, érigée au faubourg ouvrier Notre-Dame de Sin-le-Noble, a été bâtie sur les fonds propres de l'abbé Joseph Masure, appartenant à une famille tourquennoise d'industriels textiles, et alors vicaire de l'église paroissiale Saint-Martin de Sin-le-Noble. La première pierre fut posée le 19 mars 1901, jour de la fête de saint Joseph. La construction avait été confiée à l'architecte lillois Louis Meurillon, sans doute choisi par l'abbé Masure. L'entreprise Leblan frères fut chargée des travaux. Le montant de la construction s'éleva à 100 000 F. L'ouverture au culte se fit le 19 mars 1906. En septembre 1914, l'église fut touchée par un bombardement qui brisa les vitraux et lézarda les murs. Il semble que la tour ne reçut jamais de flèche.
A la mort de l'abbé Masure, en 1919, la propriété de l'église passa à son frère, François Masure, par ailleurs adjoint au maire de Tourcoing, qui prit en charge le coût des réparations nécessitées par les dégradations dues au conflit, après avoir perçu les indemnités de dommages de guerre. La propriété de l'édifice fut ensuite transmise à l'association diocésaine de Cambrai (en 1927 ?).
L'église a été fermée en 2007 pour cause de dangerosité. Le principe de la fondation, qui serait constituée de six piliers [...] simplement retenus entre eux par des poutrelles métalliques, leur dilatation et leur oxydation, est mis en cause (article de la Voix du Nord, édition Douai, 21-12-2009). D'autre part, la toiture fuit et le mérule a infesté la charpente. Renonçant à restaurer l'église, le diocèse de Cambrai l'a cédée au bailleur social Norévie, à charge pour celui-ci de la démolir. Cette démolition doit intervenir en 2011 et des logements sociaux succéder à l'édifice.
source : https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee/IA59004481

    Grâce à une vidéo de la démolition en 2007 de l'Église Saint-Joseph [https://www.dailymotion.com/video/xmlfq7], on se rend compte de l'emplacement de l'église, aujourd'hui détruite donc, et ainsi de l'Institut des forces psychosiques, dont le bâtiment avait déjà disparu depuis longtemps (sur une carte des années 2000 du site remonterletemps.ign.fr, le bâtiment semble encore visible).

Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

Gauche : Rue Saint Joseph, photo aérienne du 05-07-1959 (remonterletemps.ign.fr)
Droite : Rue Saint Joseph, photo aérienne du 12-07-1990 (remonterletemps.ign.fr)

Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

   

www.pop.culture.gouv.fr

Comme on le voit sur une photo publiée dans le Fraterniste du 1er août 1912 pour présenter l'Institut, le bâtiment est alors sur le parvis de l'église Saint-Joseph (4 Avenue Saint-Joseph selon l'adresse indiquée par le journal), et on aperçoit ainsi un morceau de la façade.

Sin-le-Noble - Rue  Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)
    Sur une carte postale, on voit encore en vue aérienne le dos du bâtiment qui abritait l'Institut. Il est prévu de construire des logements sociaux à la place de l'église, faisant sombrer encore plus dans l'oubli l'histoire de l'Institut des Forces Psychosiques.

Sin-le-Noble - Rue Saint-Joseph (avec emplacement de l'institut)

Sin-le-Noble - Rue du Faubourg Notre-Dame (maintenant Avenue Roger Salengro)
à droite le rue Saint-Joseph (alors Avenue Saint-Joseph) et le dos de l'Institut (avec le toit colorisé en bleu)

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Fraternelle Solidariste et Déterministe N°9 - Rouen (Le Biéniste 1er mai 1922)

Publié le par antoiniste

    Une Fraternelle Solidariste et Déterministe de l'Institut général de Psychosie a existé à Rouen :

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°9 - Rouen (Le Biéniste 1er mai 1922)

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°9 - Rouen (Le Biéniste, 1er mai 1922)

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Les Instituts Généraux Psychosiques (Le Fraterniste, 3 octobre 1913)

Publié le par antoiniste

Les Instituts Généraux Psychosiques (Le Fraterniste, 3 octobre 1913)

Les Instituts Généraux Psychosiques (Le Fraterniste, 3 octobre 1913)

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Les Fraternelles et les Instituts psychosiques

Publié le par antoiniste

Les Fraternelles et les Instituts psychosique

Nos Fraternelles (Le Fraterniste, 2 février 1911)

Les Fraternelles et les Instituts psychosique

Nos Fraternelles (Le Fraterniste, 25 avril 1912)

Institut n°1 de Douai-Sin-le-Noble (4, avenue St-Joseph)
Institut n°2 de Béthune (117 bis, rue de Lille)
Institut n°3 de Lens (126, rue Émile Zola)
Institut n°4 d'Amiens (2, rue Voiture)
Institut n°5 de Roubaix (56 bis, rue d'Alsace)
Institut n°6 de Malo-les-Bains (42, avenue du Casino)


Fraternelle n°1 d'Avion
Fraternelle n°2 et 2bis de Billy-Montigny
Fraternelle n°3 de Calais
Fraternelle n°4 de Denain
Fraternelle n°5 (Roubaix) et n°5 bis de Tourcoing (4, place des Halles)
Fraternelle n°6 de Rosendaël-Dunkerque
Fraternelle n°7 de Vendin-le-Vieil
Fraternelle n°8 de Valenciennes
Fraternelle n°9 de Liévin
Fraternelle n°10 de Waziers
Fraternelle n°11 de Paris
Fraternelle n°12 de Lille (297, rue Léon Gambetta, puis 47, rue de Paris)
Fraternelle n°13 ou n°14 de Ferfay

Fraternelle n°15 de Fourmies
Fraternelle n°16 & 16 bis de Montigny-en-Gohelle
Fraternelle n°17 d'Haumont
Fraternelle n°18 de Lens (128, rue Émile Zola)
Fraternelle n°19 de Caudry
Fraternelle n°20 de Bordeaux (Gironde)
Fraternelle n°21 de Roanne (Loire)
Fraternelle n°22 de Chauny (Aisnes)
Fraternelle n°23 de Méricourt-sous-Lens
Fraternelle n°24 d'Ath (Belgique)
Fraternelle n°25 d'Evin-Malmaison (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°26 d'Orchies
Fraternelle n°27 de Brébières (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°28 de Saint-Chamond (Loire)
Fraternelle n°29 d'Hénin-Liétard
Fraternelle n°30 d'Oran (Algérie)
Fraternelle n°31 de Montbrison (Loire)
Fraternelle n°32 de Paris
Fraternelle n°34 de Tihange-Huy (Belgique)
Fraternelle n°35 de Raimbeaucourt
Fraternelle n°36 de Courrières (rue d'Harnes)
Fraternelle n°37 de Trivières (Belgique)
Fraternelle n°38 de Lestrem (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°39 de Fouquières-lez-Lens (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°40 de St-Sylvestre-Cappel
Fraternelle n°41 de Courcelles-lez-Lens
Fraternelle n°42 de Boston (États-Unis)
Fraternelle n°43 de Vendôme (Loir-et-Cher)
Fraternelle n°44 de Montpellier (Hérault)
Fraternelle n°45 de Rouen (Seine-Maritime)
Fraternelle n°46 de Charleroi (Belgique)
Fraternelle n°47 de Meurchin (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°48 de Paris
Fraternelle n°49 de Montluçon (Allier)
Fraternelle n°50 de Brugelette (Belgique)
Fraternelle n°51 de Bracquignies (Belgique)
Fraternelle n°52 de Saint-Omer-Arques (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°53 de Grenoble
Fraternelle n°54 de Plouvain (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°55 de Sallaumines
Fraternelle n°56 de Quieux-Saulcy, près Senones (Vosges)
Fraternelle n°56 d'Anserœul (Hainaut belge)
Fraternelle n°57 de Bruxelles (Belgique)
Fraternelle n°58 de Malo-les-Bains (83, rue de Bel-Air)
Fraternelle n°59 de Rennes (Ille-et-Vilaine)
Fraternelle n°60 de Sallaumines (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°61 de Nottingham (Jean et Auguste Gossein, 145, Sawley Road, Long-Eaton, Derbyshire)
Fraternelle n°62 de Béthune (Pas-de-Calais, rue des Deux Moulins)
Fraternelle n°63 d'Amiens (Somme)
Fraternelle n°64 d'Aulnoy lez Valenciennes
Fraternelle n°65 de Lyon
Fraternelle n°66 Perpignan
Fraternelle n°67 d'Alexandrie (Égypte)
Fraternelle n°68 d'Anvers
Fraternelle n°69 de Cambrai
Fraternelle n°70 de Soissons
Fraternelle n°71 de Bavinchove
Fraternelle n°72 de Pont-à-Vendin (Pas-de-Calais, chez Adrien Loez, rue du Cimetière)
Fraternelle n°73 d'Anzin
Fraternelle n°74 de Carnières (Hainaut belge)
Fraternelle n°75 de Lillers (Pas-de-Calais)

Fraternelle n°77 d'Oignies (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°78 du Havre

Fraternelle n°81 de Saint-Vallier (Saône-et-Loire)
Fraternelle n°82 de Neuville-du-Poitou (Vienne)
Fraternelle n°83 de Fives-Lille
Fraternelle n°84 de Dourges (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°85 de Carvin (Pas-de-Calais)
Fraternelle n°86 de Viesly
Fraternelle n°87 de Lyon (Rhône)
Fraternelle n°88 de Toulon (Var)
Fraternelle n°89 de Marcillac-la-Croisille (Corrèze)
Fraternelle n°90 de Reims (Marne)
Fraternelle n°91 de Genève (Suisse)

    Et d'autres encore se préparent à :
Tours (Indre-et Loire)
Blois (Loir-et-Cher)
Angoulême (Charente)
Bel-Abbes (Algérie)

Les Fraternelles et les Instituts psychosique

Nos nouveaux instituts (Le Fraterniste 3 octobre 1913)

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Fraternelle de Bruxelles de l'Institut général de Psychosie

Publié le par antoiniste

    Une Fraternelle de l'Institut général de Psychosie a existé à Bruxelles :

Fraternelle de Bruxelles de l'Institut général de Psychosie

Fraternelle n°57 de Bruxelles (La Fraterniste, 10 octobre 1913)

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Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

Publié le par antoiniste

Institut - Paul Pillault (Le Fraterniste, 1 août 1912)

(Le Fraterniste, 1 août 1912)

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)
Signature de Paul Pillault

    Il est né à Douai en le 27 avril 1854. Le recensement de la population le situe en 1906 à Auby (au nord de Douai) comme négociant en épicerie. Il habite avec Marie Coutelier (et sa soeur Delphine Coutelier), née en 1856 à Douai, à qui il est mariée depuis le 12 juin 1902 (mariage à Douai).

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

acte de mariage à Douai avec Marie Coutelier le 12 juin 1902

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

    Paul Pillault, négociant à Auby, et Jules Jésupret, propriétaire, délégué municipal aux hospices, ont été les fondateurs auvec d'autres d'un journal douaisien, paru en vue des élections municipales programmées le 6 mai 1900, et qui prendre fin en 1902.
source : http://start1g.ovh.net/~panckouc/Abeille/Abeille22.pdf

    Après avoir accompagné pendant 5 ans, de 1909 à 1914, Jean Béziat et Henri Lormier dans l'aventure de l'Institut des Forces Psychosiques. Dans la tourmente de la guerre, séparé, il continue son chemin pour professer le Déterminisme Divin avec Le Biéniste. "Il en arriva à ne plus rien laisser au libre arbitre, faisant de l'être humain simplement une machine", ce que lui reproche Jean Béziat, alors parti pour Toulouse.

    Le Biéniste, fondé par Paul Pillault et tenu par Jules Berthelin, reprend des textes de Paul Pillault après sa déesincarnation et vend des ouvrages, puis lance une souscription pour l'érection d'un monument funéraire après la désincarnation de son fondateur le 8 juillet 1821, à Aubervilliers.

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

(Le Biéniste, 1er juin 1922)

 

 

 

    L'Institut des Forces Psychosiques continue son oeuvre à Aubervilliers aidé de Madame Dubuc et Mlle Duval, ses secrétaires :

Institut des Forces Psychosiques à Aubervilliers (Le Biéniste, 1er avril 1922)

Le Biéniste, 1er avril 1922

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)
A.Dubuc, signature en bas de la dernière page de Le Biéniste, 1er juillet 1922 (gallica)

Institut des Forces Psychosiques à Aubervilliers (Le Biéniste, 1er avril 1922)

Aubervilliers - L'Avenue de la République et la Rue des Cités (le Numéro 100 de la rue des Cités est en face de ce bâtiment en brique rouge)

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

Acte de décès de Paul Pillault (8 juillet 1921, Aubervilliers, Seine-Saint-Denis)

    Un In Mémoriam est publié dans la Revue scientifique et morale du spiritisme en janvier 1921.

    Il est enterré au cimetière d'Aubervilliers :

Paul Pillault (27 avril 1854-8 juillet 1922)

Le Biéniste, 15 juin 1922

    La commémoration de sa mort est relatée dans le Biéniste du 15 juillet 1922, occasion pour les fidèles du "frère et maître" de se rendre au cimetière pour inauguré le monument funéraire d'une "charmante simplicité, en granit poli sur laquelle sont gravés en lettres  d'or un nom !... deux dates !..."

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Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste 1er avril 1922)

Publié le par antoiniste

    Une Fraternelle Solidariste et Déterministe de l'Institut général de Psychosie a existé à Lyon :

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste 1er avril 1922)

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°2 - Lyon (Le Biéniste, 1er avril 1922)

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Fraternelle Solidariste et Déterministe N°3 - Lille (Le Biéniste 1er avril 1922)

Publié le par antoiniste

    Une Fraternelle Solidariste et Déterministe de l'Institut général de Psychosie a existé à Lille :

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°3 - Lille (Le Biéniste 1er avril 1922)

Fraternelle Solidariste et Déterministe N°3 - Lille (Le Biéniste, 1er avril 1922)

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