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Jemeppe-sur-Meuse - Le Temple d'Antoine le Guérisseur

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Tombe des Antoine à l'entrée de l'Avenue Guillaume Lambert

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    Tombe des Antoine, au Cimetière des housseux à Jemeppe,
juste après la grille d'entrée de l'Avenue Guillaume Lambert.

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plaque sur la tombe des Antoine

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   "Afin de respecter la pensée de Père et Mère Antoine, nous vous demandons de ne rien déposer sur cette tombe."

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Vue sur Seraing, du cimetière de Jemeppe

Publié le par antoiniste

Localisation
Adresse principale :  Rue L. Blum, SERAING (Jemeppe)

Inscription
Bien inscrit comme : Monument

Notice
Le cimetière des Housseux est le dernier cimetière créé à Jemeppe afin de remplacer le cimetière de la Paix situé rue Aripette devenu trop exigu à la fin du 19e siècle. Clôturé provisoirement en 1897, ce n'est qu'en 1904 que le nouveau cimetière d'alors fut pourvu de ses annexes. Ceinturé par un haut mur de brique, le cimetière est fermé par une grille en fer forgé entre piliers  de  calcaire.  Encore  utilisé  aujourd'hui,  il  conserve  plusieurs  croix  en  fonte  et  de nombreuses sépultures datant de la première moitié du 20e siècle. Parmi elles, l'une des plus remarquable est le monument funéraire de Joseph Wettinck. Inauguré le 6 juin 1909, il fut érigé par les organisations ouvrières de Jemeppe, grâce à une souscription publique. Ce monument en calcaire de style Art nouveau est l'oeuvre de l'architecte Lambert Spineux. Il est rehaussé d'un médaillon et d'un bas-relief en fonte réalisés par le sculpteur Bergmans. C'est également dans ce cimetière que sont enterrés le père Antoine (1846-1912), fondateur du culte antoiniste, et son épouse.

Prospection
Auteur(s) de la prospection (2009) : Bénédicte DEWEZ, Flavio DI CAMPLI

Code de la fiche
62096-INV-0063-01

source : http://lampspw.wallonie.be/dgo4/site_ipic/index.php/pdf/fiche/62096-INV-0063-01

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Culte Antoiniste - 1905

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    Dans la rue des Tomballes, sur une porte d'entrée du Temple, on trouve ce sgraffite. Avant à la place de Culte Antoiniste, il était écrit "Les Vignerons du Seigneur", nom du groupe spirite fondé par Louis Antoine vers 1894. 1905 correspond à la date de construction du Temple pour le nouveau spiritualisme, date à laquelle est publié le premier Enseignement. À cette époque, le groupe se sépare peu à peu du spiritisme pour devenir le Nouveau Spiritualisme.

     Le symbole des vignes fait référence au nom du groupe, mais anecdote peut-être, c'est un dessin que l'on trouve sur une porte latérale de l'Eglise de Ruhrort.

    Quand à la feuille, on la retrouve à l'intérieur du temple, sur la balustrade des tribunes.

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Père Antoine fait l'Opération

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 source : antoinisme.com

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Antoine le Guérisseur (La Liberté, Fribourg, Suisse, Jeudi 27 juin 1912)

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La Liberté, Journal politique, religieux, social - Fribourg, Suisse. - Jeudi 27 juin 1912

La Liberté, Journal politique, religieux, social - Fribourg, Suisse. - 42e année. - N°148 - Jeudi 27 juin 1912

Antoine le Guérisseur
    Un homme de Wallonie, une petit bourgeois belge, presque du peuple, est mort mardi, après avoir acquis, non seulement en Belgique même, mais un peu partout où il y avait des malades et des désespérés une célébrité et un crédit exceptionnels ; c'est celui qu'on appelait Antoine le Guérisseur. Il n'avait fait rien de moins que de fonder une secte, une espèce de christianisme mélangé de théosophie. Il prétendait guérir par la prière et l'imposition des mains, à la manière des christian scientists d'Angleterre et d'Amérique.
   Peu à peu des malades de l'âme comme du corps, des incurables, des déséquilibrés, des névropathes, avaient appris le chemin du pays de Jemmappes où Antoine avait son temple et tenait ses assises de médecine religieuse. Depuis plusieurs années, les "antoinistes" formaient une communauté éparse en divers lieux, mais fort nombreuse.
    Il y a quelques jours, la santé d'Antoine était devenue précaire et, lundi matin comme il se trouvait dans son temple, il s'affaisse subitement frappé d'apoplexie.
    On le transporta chez lui, où il reprit peu à peu ses sens.
    Sur ces entrefaites, un grand nombre de ses disciples, vêtus de soutanelles d'une coupe spéciale et coiffés d'immenses chapeaux, étaient accourus auprès du lit de leur maître.
   Antoine alors proféra : "Demain quelque chose de sérieux se produira." Puis il ajouta d'une voix sourde : "Je désire que ma femme me succède dans mon enseignement religieux."
    Antoine avait tardé beaucoup avant de faire sa rélévation et de se déclarer "l'homme de Dieu".
    Pendant nombre d'années, il fut un homme comme un autre, un simple employé à la division des forges et martelage de la société Cockerill. Il fut ensuite encaisseur à la Société anonyme des tôleries liégeoises. Puis il s'occupa d'assurances.
    Ensuite vinrent les prédications publiques. Antoine était alors déjà dans l'âge mûr.
    On le dit propriétaire des maison ouvrières qui entourent son temple. D'autres estiment sa fortune à 80,000 fr.
    Au temple où il prêchait, Antoine avait adjoint une imprimerie et publiait chaque semaine un journal populaire qui tirait à plus de 20,000 exemplaires et répandait ses doctrines.
    Il y a quelques mois, "les antoinistes" de Belgique avaient adressé aux Chambres une pétition demandant que la religion nouvelle fût reconnue par l'Etat (!!!) La pétition des fidèles du culte antoiniste portait cent mille signatures.
    Au temple, où le corps d'Antoine est exposé, l'affiche suivante a été apposée :
CULTE ANTOINISTE
        Frère,
    Le conseil d'administration du culte antoiniste porte à votre connaissance que le Père vient de se désincarner aujourd'hui mardi matin 25 juin. Avant de quitter sin corps, il a tenu a revoir une dernière fois ses adeptes pour leur dire que Mère le remplacera dans sa mission, qu'elle suivra toujours son exemple. Il n'y a donc rien de changé, le Père sera toujours avec nous, Mère montera à la tribune pour les opérations générales les quatre premiers jours de la semaine à dix heures.
    L'enterrement du Père aura lieu dimanche prochain, 30 juin, à trois heures.
                      Le conseil d'administration.
    Beaucoup d'incrédules ferment les yeux devant les merveilles de Lourdes, mais une superstitieuse crédulité les remplit de respect pour l'oeuvre de l'illuminé ou du charlatan Antoine.

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The New York Times (December 25, 1910)

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The New York Times - Another new religion (December 25, 1910)

                ANOTHER NEW RELIGION 

Wonderful Cures Sait to be Performed by Antoine, a Belgian. 

    Foreign correspondence THE NEW YORK TIMES

    LONDON, Dec. 14 - Yet another faith-healing religion has appeared, this time in Belgium, and the results that are said to be attained are quite as marvelous as in other cases.
    So remarkable are come of the cures reported to have been made that the Daily Mirror regarded it as worth while to send a special correspondent to the little town of Jemeppe-lez-Liège, where the headquarters of the sect are situated.
    The correspondent has come back with some curious photographs and an even more curious story. He says that the existence of the new religion has become generally known through a petition to the Belgian Parliament to obtain a legal status for it. It is called Antoinisme, and was founded a few years ago by a coal miner named Louis Antoine, who is now celebrated far and wide as "Antoine the Healer". His followers claim that they number 100.000, of whom 300, including his wife, are "adepts".
    Mrs. Guillaume, a middle-aged American lady who came specially from New York to be treated by Antoine, says she bas been practically cured of the chalky rheumatism which formerly compelled her to walk on crutches. She is herself an "adept" now with power to heal by faith, she says.
    Antoinists literally worship the leader. They believe that he knows all the world's happenings, though he never reads a newspaper. 
   Antoine is now 65, and confines his healing to ceremonies in the church he has built. They are the simplest services ever invented. They take place at 10A.M. on Monday, Tuesday, Wednesday, and Thursday - there are none on Sunday.
    At 9 A.M. the congregation assembles and an adept, Mr. Deregnancourt, who is the publisher of the sect's literature, takes his place at a desk under the raised platform. There is silence till 9:30. Then he announces that "operations" will take place at certain hours on certain days.
    He continues sitting perfectly still, not a muscle moving and his watery blue eyes fixed straight before him in an unblinking stare, until the stroke of 10, when every one rises and the Parent One enters through a side door and slowly walks up the steps to the rostrum, wearing a black cassock.
    Antoine faces the people for a full minute without moving, and then lifts his right hand toward the people and holds it extended for another minute, and that is all. He walks slowly out again. Those two minutes are the service. The "adept" remarks: "Every one whose faith is strong enough must be cured." The church empties silently.
    The correspondent was present a couple of days ago and was informed that the programme was always the same. If cures do not take place, of course the patients have not had enough faith.
    Antoine's iron-gray hair falls to his shoulders, and he wears a long beard. His second sight extends to America, said Mrs. Guillaume, for he told her that her husband had hurt his back in New York, and a week later came a letter from her daughter confirming it and adding that he had quickly got better. Mrs. Guillaume was told by Antoine that she need not worry about her husband's accident, as Antoine was in "fluidic communion" with him.
    Antoine cannot sleep much at night. He rests two hours, and the walks in his garden, which has electric lamps fitted up all round the walls. For six months Antoine has not spoken to any one. People come at all hours with all sorts of ailments and appeals.
    The "Good Mother", as Antoine's wife is called, or the housekeeper, or some other "adept", stands in front of the applicant and, turning her eyes upward slowly waves her hand in the air, which means that she is invoking Antoine the Healer. The patient then goes off smiling, cured by deputy. There is nothing to pay.
    It is three years since Antoine walked in the street. His little house is hidden away in the midst of a block of similar houses, and the spire of his church, which adjoins his home, rises high above the roofs. Antoine lives on vegetables only, and prepares them himself. He is a veritable hermit. When it is necessary to speak to him a telephone is used. Subscriptions are made for the maintenance of the church, but it was built partly with £800 Antoine had himself saved.
    The badge of the sect is "the tree of the knowledge of the sight of evil", represented by a white tree on a black ground.

The New York Times, December 25, 1910

 

Traduction :

                UNE AUTRE NOUVELLE RELIGION

De merveilleuses guérisons seraient réalisées par Antoine, un Belge.

    Correspondance étrangère THE NEW YORK TIMES

    LONDRES, le 14 décembre – Une autre religion qui guérit par la foi est apparue, maintenant en Belgique, et les résultats que l'on dit obtenus sont tout aussi merveilleux que dans d'autres cas.
    Les guérisons rapportées sont si remarquables que le Daily Mirror a jugé bon d'envoyer un correspondant spécial dans la petite ville de Jemeppe-lez-Liège, où se trouve le siège de la secte.
    Le correspondant est revenu avec de curieuses photos et une histoire encore plus curieuse. Il dit que l'existence de la nouvelle religion s’est fait connaître en général par le biais d'une pétition adressée au Parlement belge pour obtenir un statut légal pour elle. Elle s'appelle Antoinisme, et a été fondée il y a quelques années par un mineur de charbon nommé Louis Antoine, qui est aujourd'hui célèbre sous le nom de "Antoine le Guérisseur". Ses disciples affirment qu'ils sont au nombre de 100.000, dont 300, et parmi eux sa femme, sont des "adeptes".
    Mme Guillaume, une Américaine d'âge moyen venue spécialement de New York pour être soignée par Antoine, dit qu'elle est pratiquement guérie du rhumatisme calcaire qui l'obligeait autrefois à marcher avec des béquilles. Elle est elle-même une "adepte" qui a maintenant le pouvoir de guérir par la foi, dit-elle.
    Les antoinistes vénèrent littéralement le chef. Ils croient qu'il connaît tous les événements du monde, bien qu'il ne lise jamais un journal.
   Antoine a maintenant 65 ans, et sa méthode de guérison se limite à des cérémonies dans l'église qu'il a construite. Il s'agit des services les plus simples jamais inventés. Elles ont lieu à 10 h le lundi, le mardi, le mercredi et le jeudi – il n'y en a pas le dimanche.
    A 9 heures du matin, la congrégation se réunit et un adepte, M. Deregnancourt, qui est l'éditeur de la littérature de la secte, prend place à un bureau sous la plate-forme élevée. Le silence règne jusqu'à 9 h 30. Puis il annonce que des "opérations" auront lieu à certaines heures et à certains jours.
    Il continue d'être assis parfaitement immobile, sans bouger un seul muscle et ses yeux bleu marine fixés droit devant lui d'un regard fixe, jusqu'à 10 heures, quand chacun se lève et que le Père entre par une porte latérale et monte lentement les marches de la tribune, revêtu d'une soutane noire.
    Antoine fait face à la foule pendant une minute entière sans bouger, puis lève la main droite vers la foule et la tient tendue pendant une autre minute, et c'est tout. Il repart lentement. Ces deux minutes sont le service. L'"adepte" remarque : "Tous ceux dont la foi est assez forte doivent être guéris." L'église se vide en silence.
    Le correspondant était présent il y a quelques jours et a été informé que le programme était toujours le même. Si les remèdes n'ont pas lieu, bien sûr, les patients n'ont pas eu assez de foi.
    Les cheveux gris fer d'Antoine tombent sur ses épaules et il porte une longue barbe. Sa clairvoyance s'étend à l'Amérique, dit Mme Guillaume, car il lui a dit que son mari s'été fait mal au dos à New York, et une semaine plus tard, sa fille lui a envoyé une lettre pour le confirmer, ajoutant qu'il s'était vite remis. Antoine a dit à Mme Guillaume qu'elle n'avait pas à s'inquiéter de l'accident de son mari, car Antoine était en "communion fluidique" avec lui.
    Antoine ne dort pas beaucoup la nuit. Il se repose deux heures, et se promène dans son jardin, qui est équipé de lampes électriques tout autour des murs. Depuis six mois, Antoine n'a parlé à personne. Les gens viennent à toute heure avec toutes sortes de maux et d'appels.
   La "Bonne Mère", comme on appelle la femme d'Antoine, ou la gouvernante, ou quelque autre "adepte", se tient devant le demandeur et, tournant les yeux vers le haut, fait un lent mouvement de la main, ce qui signifie qu'elle invoque Antoine le guérisseur. Le patient s'en va alors en souriant, guéri par le suppléant. Il n'y a rien à payer.
    Cela fait trois ans qu'Antoine n'est pas sorti dans la rue. Sa petite maison est cachée au milieu d'un bloc de maisons similaires, et la flèche de son église, qui jouxte sa maison, s'élève bien au-dessus des toits. Antoine ne vit que des légumes et les prépare lui-même. C'est un véritable ermite. Lorsqu'il est nécessaire de lui parler, un téléphone est utilisé. Des souscriptions sont faites pour l'entretien de l'église, mais elle a été construite en partie avec £800 qu'Antoine avait lui-même économisé.
    L'insigne de la secte est "l'arbre de la connaissance de la vue du mal", représenté par un arbre blanc sur fond noir.

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Albert-Louis Caillet - Traitement mental et culture spirituelle, la santé et l'harmonie dans la vie humaine (1912)

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Albert-L. Caillet - Traitement mental et culture spirituelle, la santé et l'harmonie dans la vie humaine (1912)

Auteur : Albert Louis Caillet (1869-1928?)
Titre : Traitement mental et culture spirituelle, la santé et l'harmonie dans la vie humaine
Éditions : Vigot Frères Éditeurs, 1912
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k759781

    Antoine le Guérisseur. - Louis ANTOINE, dit le Guérisseur, est un simple ouvrier né à Mons-Crotteux (Belgique) en 1846. Il est le cadet de onze enfants. D'abord mineur de charbon comme son père, il entra ensuite au Usines Cockerill, fut soldat dans les chasseurs à pied, travailla un moment en Allemagne, et finalement devint employé  aux Forges et Tôleries Liégeoises, à Jemeppe-sur-Meuse (Province de Liége). C'est là qu'aujourd'hui il exerce son pouvoir toujours croissant de Guérisseur et de Révélateur d'une doctrine qui les plus grandes analogies avec celles que nous avons nous-mêmes exposée et qui est celle des Védas.
    L'important mouvement spiritualiste dont Antoine est le chef a débuté à Jemeppe vers 1906; aujourd'hui il possède un "Temple" et plusieurs milliers d'adhérents: on dit même Centaine de Milliers, en Belgique.
    Il parait avéré qu'il a été recueilli en sept ou mois, et rien que dans une partie de la Wallonie Belge, 150.000 signatures à une pétition tendant à faire reconnaître officiellement en Belgique le "Culte Antonin".
    Antoine le Guérisseur, guéri, dit-il lui même, par la Foi. Il opère quatre fois par semaine dans son temple et il peut guérir un nombre quelconque de malades, même absents. C'est bien le Traitement Mental pur qu'il professe.
    Elevé dans la religion catholique, Antoine est devenu plus tard Spirite, et c'est à partir de ce moment que ces pouvoirs se sont manifestés, et qu'il est entré en relations constantes avec l'Invisible.
    Les procédés d'Antoine sont donc, autant qu'on peut voir, extrêmement analogues à ceux de la Christian Science, sauf toutefois l'absence de la figure prépondérante du Christ qui joue un si grand rôle dans la secte de Mrs. Eddy.
    Mais, comme mode opératoire et comme résultats absolument prouvés par d'innombrables certificats, on peut dire qu'il y a identité entre les deux méthodes.

 source : gallica

Albert-Louis Caillet - Traitement mental et culture spirituelle, la santé et l'harmonie dans la vie humaine (1912)

(encart publicitaire dans Le Fraterniste, 4 avril 1913)

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L'esprit consolateur

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 Une reproduction de cette image (d'un auteur anonyme ou, selon Pierre Debouxhtay, de Carolus Leclercq, et wikipedia donne comme auteur Gabriel von Max) fut offerte par Allan Kardec (1) à Louis Antoine. Régis Dericquebourg dit que "c'est une des images les plus populaires dans l'antoinisme". Elle est reproduite dans un feuillet d'Antoine le Guérisseur
Une reproduction agrandie se trouve dans la salle du Conseil d'Administration du Temple de Jemeppe (en fait depuis 1895 au moins) et était portée en procession pour les fêtes antoinistes.

Frère Emile Scuflaire du Temple de Retinne indique lui qu'il fut offert au Père par Hector Denis. Hormis l'erreur du prénom, il semble bien que le Père le doit à Léon Denis.

(1) Allan Kardec est mort en 1869, quand Louis Antoine finissait sa période comme soldat à la frontière. Il n'avait alors eut aucun contact avec le spiritisme. Régis Dericquebourg reprend l'information de l'origine de l'image d'une série de cartes postales éditée en France qui indique faussement dans un texte typographié cette histoire.

Frère Robert Pierrefeu précise que l'image a été offerte au Père par Léon Denis, ce qui est possible puisque ce dernier fit plusieurs conférences en Belgique, dont encore en 1905 (conférence durant laquelle il annonce avoir été à Liège dès 1889, et encore en 1897).

L'esprit consolateur

La Meuse, 6 novembre 1889

    Le neveu du Père, le Père Dor, reproduit ce geste sur une photo reproduite par un article de l'Excelsior, du 13 janvier 1913.

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