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sprimont

Sprimont (1929)(fermé)

Publié le par antoiniste

Sprimont (1929)

Adresse : 29, rue Jean Schinler (sur la N30 vers Florzé) - 4140 Sprimont

Style : néo-gothique

Panneau : LECTURE DE L'ENSEIGNEMENT DU PÈRE
tous les dimanches à 10 heures
et les 4 premiers jours de la
semaine à 19 heures
OPERATION GENERALE
les 4 premiers jours de la
semaine à 10 heures
Tout le monde est reçu
gratuitement

Temple sans photo au service réduit (Lecture dimanche à 10 heures)

Date de consécration (par Mère) : le 15 décembre 1929

Anecdote : Ce temple fut ouvert peu de temps après que Mère décida de placer sa photographie à côté de celle de Père, en regard du symbole du culte. Il a rejoint les temples sans photo.
Ce temple n'a pas de logement pour le desservant

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Présence des antoinistes dans les années 30

Publié le par antoiniste

    Michel Meeus indique (p.32-33) que : Au sud de Liège, Florzé-Rouvreux, dans le doyenné de Sprimont, comptait deux familles antoinistes, ce qui représentait 0,5 % des habitants. Ils gagnaient du terrain, car en 1925 le doyen signala qu'ils possédaient un nouveau local de réunion, situé entre Sprimont et Florzé. En 1927, les antoinistes étaient présents dans 60 % des paroisses avec un bon demi-pourcent des habitants de Beaufays et de Sougné, mais 7 % à Chanxhe, paroisse située à 2 km de Poulseur. Deux ans plus tard, ils se retrouvaient dans les trois quarts des paroisses avec 3 % à Poulseur.
    Le doyen de Ferrières constata en 1929 que l'antoinisme faisait des progrès à Comblain-la-Tour et que le curé en était affecté.
    Page 39-40, il continue : Des antoinistes résidaient dans le tiers des paroisses du doyenné de Sprimont. Ils organisaient une vive propagande au chef-lieu et possédaient un temple à Comblain-au-Pont et à Poulseur. Leur nombre peut être évalué à 2 % à Chanxhe, Esneux, Oneux et Poulseur. En 1933, le doyen estimait qu'ils étaient 2,7 % à Chanxhe ; 4,5 % à Poulseur en 1935 et 2 % en 1936.
    Hamoir comptait peu d'antoinistes. Ils s'étaient établis à Vieuxville, mais ne faisaient pas de propagande. Deux d'entre eux y furent enterrés civilement en 1933 et un en 1938 à Comblain-la-Tour où leur proportion peut être évaluée à 0,5 % de la population en 1936-1937.

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Aywaille - Souvenirs d'enfance

Publié le par antoiniste

Aywaille - Souvenirs d'enfance

Souvenirs d'enfance d'un aqualien de 70 ans !
Dans ma rue...
    Peut-on encore imaginer la vie sans les grandes surfaces commerciales qui nous entourent ? Pourtant, le commerce de proximité comportait bien des avantages et on pouvait trouver pas mal de choses, rien que dans sa rue.
    J'habitais rue Henri Orban ...
    Comme épicerie, nous fréquentions aussi le petit magasin situé juste à côté. Là, un vieil homme, Mr Maron et sa fille nous accueillaient d'un charmant sourire, comme tous les autres commerçants d'ailleurs. L'extase  commençaient lorsque les commerçants moulaient le café devant nous.....un vrai bonheur ! Et pour le plaisir de mes petits yeux d'enfant, une tour Eiffel décorant des flacons de parfums acrochait toujours mon regard et me faisait rêver.
    Mr Maron était prêtre antoiniste et quand, le dimanche matin, il se rendait prêcher à Sprimont, nous avons cru longtemps qu'il se rendait à un carnaval !

source : https://www.facebook.com/groups/434381040014955/posts/4117788711674151/

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Frère José et Soeur Marie

Publié le par antoiniste

    J'ai connu frère José et sœur Marie, desservants du temple. Comme mes grands parents au temple de Sprimont...

Souvenirs de Frère Marc Sarolea

    On se souvient aussi qu'ils sont caché et protégé des familles juives pendant la Deuxième Guerre mondiale.

source : FaceBook

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Protestantisme, terreau de l'antoiniste

Publié le par antoiniste

    Dès 1911, Louis Piérard, indique que le peuple liégois créa un groupe d'« adventistes du septième jour », qui rendit célèbre Antoine le guérisseur, le brave thaumaturge de Jemeppe-sur-Meuse.
   L'Abbé R.-G. VAN DEN HOUT disait dans la Revue Catholique du 23 juillet 1926 que "C'est évidemment dans les pays protestants où l'idée chrétienne est en pleine décomposition, que le théosophisme fleurit. Le libre examen, l'absence de toute autorité qui définit, décide et condamne, devaient, de toute nécessité, conduire le protestantisme à toutes les déformations et même à toutes les aberrations."
    Dans un article d'André Arnyvelde du 6 novembre 1922 dans le Petit Parisien, l'auteur utilise le vocabulaire protestant pour critiquer l'antoinisme : "La Belgique, patrie terrestre de l'ouvrier mineur Antoine, miraculeux guérisseur, d'abord, puis évangéliste, puis dieu, ou quasi, la Belgique compte seize églises siennes." ; "lecture hebdomadaire publique de l'Evangile du Père" ; "salle de lecture évangélique"...
    On sait par le C.Ch. Chéry o.p. (L'Offensive des sectes, 1954, p.262-63) qu'à Vimoutiers, "les Antoinistes qui existaient avant l'arrivée des Pentecôtistes se sont ralliés à ces derniers".
    Dans La Croix du 7 mai 1930, Jean Revel écrit également "Par la voie du protestantisme, nous sommes amenés au satanisme. Et c'est ce qu'on nous appelle... le nouveau spiritualisme ?"
    "Au cours de l'« Erreur spirite », M. Guénon parle maintes fois du protestantisme. Un chapitre spécial du « Théosophisme » nous l'avait montré très peu sympathique à l'esprit protestant, symbole de toutes les dégénérescences occidentales. Dans l'« Erreur spirite », M. Guénon maintient sa thèse : l'esprit protestant se montre apparenté au spiritisme." nous dit, dans une recension du livre de Guenon, Paul Arbousse-Bastide dans Foi et vie du 2er février 1924.
    "Les Mystères de l'inconnu, L'invocation des esprits" (Collectif, 1989 aux éditions Time Life, p.23) déclare qu'"en un sens, le spiritisme prolongeait la réforme."

    Par contre, dans De Tijd du 6 juillet 1923, on lisait : "Bien sûr, pour le catholicisme, le danger ne vient pas du protestantisme, mais du matérialisme ou de la superstition."


    Pour l'Église catholique, cela ne fait donc, pour beaucoup de critiques de l'Antoinisme, aucun doute que la Réforme protestante n'a été en sorte qu'un terreau pour la secte belge. On a en effet pu remarquer que les protestants n'étaient souvent pas éloignés des antoinistes, autant dans la pensée que dans les lieux occupés par les temples : Seraing, Herstal, Verviers, Spa, La LouvièreSprimont et même dans la grande ville de Liège, où les temples des deux obédiences sont souvent proches l'un de l'autre.
    L'architecture intérieure comme extérieure des temples protestants se rapproche de celle des temples antoinistes. Louis Antoine, petit, a peut-être eu l'occasion de rentrer dans le temple protestant de Flémalle, c'est pourquoi on peut penser que les citations de la Bible sur le mur du fond des temples protestants ont pu l'inspirer pour faire écrire son Auréole de la Conscience sur le mur du fond du Temple de Jemeppe, et que l'on retrouve maintenant dans tous les temples antoinistes sans exception. Peut-être le contact avec ses patrons et collègues d'obédience protestante lui donnèrent l'occasion de constater à quel point la lecture de la Bible pouvait apporter un contact autre avec Dieu que par l'intermédiaire d'un prêtre.
    Sur ce site, dans chaque page d'un temple antoiniste, on retrouva un petit historique de la présence protestante dans les environs géographiques.

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Sprimont et Nessonvaux et ses Protestants

Publié le par antoiniste

     Nessonvaux et Sprimont ont été les premières "champs de travail" (respectivement 1845 et 1846) pour être prospectés successivement et parallèlement par le pasteur du Temple protestant de la rue Hors-Château à Liège

Sprimont - Protestants de Nessonvaux
Sprimont - Rue de la Poste (à gauche, le temple protestant)

    Le Temple protestant de Sprimont était dans la Rue de la Poste, aujourd'hui rue du Centre. La Rue Jean Schinler est la continuation de cette rue et s'appelait avant Rue du Centre (pour les anciens elle était la rue de la Foire). Les deux temples étaient à 10 min. à pied l'un de l'autre. Le temple protestant a subsisté jusqu'en 1965, et une banque l'a remplacé.

Sprimont - Protestants de Nessonvaux
Nessonvaux - Temple protestant

Le temple de Nessonvaux, plus au nord, existe encore et sert de Centre protestant avec Carrefour de jeunes et Centre de Rencontres et d'Hébergement.

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Protestants à Liège et environs

Publié le par antoiniste

 Protestants à Liège et environs

    La vieille bâtisse avec le toit en appentis est le plus vieux temple protestant de Belgique (1711). Il a été complétement reconstruit au début des années 80.


    Autre lieu de propagation du protestantisme en Belgique, avec le Hainaut, la province de Liège abrite plusieurs temples protestants (cf. le livre Le patrimoine protestant de Wallonie), dont le plus anciens du pays, à Hodimont (Verviers). Pendant l'époque des Églises clandestines, une petite enclave protestante subsiste en Outremeuse des États, c'est-à-dire à Olne et Dalhem, dans la partie du duché de Limbourg restée sous le contrôle des Provinces-Unies. De grands entrepreneurs protestants wallons, anglais ou allemands, comme John Cockerill, Johann Heinrich Peltzer, Georges Brugmann ou Jacques Engler, introduisent la Révolution industrielle en Wallonie, notamment à Verviers et Seraing. D'autres réfugiés wallons partis en exil vont fonder l'industrie sidérurgique en Suède sous la conduite de Louis de Geer (Liège 1587 - Amsterdam 1652).
    Dans les enclaves des Provinces-Unies (partie du duché de Limbourg), les communautés ont toujours été présentes, par exemple, en 1818, le pasteur Roediger des paroisses de Verviers-Hodimont, Dalhem et Olne, dessert aussi la paroisse protestante de Spa. Dans cette région, on applique le principe du simultaneum qui permet le partage d'une église entre les communautés catholique et protestante :
 - Olne - Église Saint Sébastien - Place Léopold Servais, 4877 Olne
 - Dalhem - Église Saint-Pancrace - Rue du Général Thys, 4607 Dalhem
    La communauté compte les grands noms de Henri Pirenne (Verviers 1862 - Uccle 1935) et Émile de Laveleye (Bruges 1822 - château de Doyon à Havelange, entre Huy et Marche-en-Famenne 1892, professeru d'économie politique à l'Université de Liège), l’historien Jean Sleidan, le pédagogue Jean Sturm.
    L’œuvre d’évangélisation se développe vers les localités proches et les faubourgs de Liège. Sont cités, dans les archives, comme « champs de travail » pour le pasteur et la communauté : Nessonvaux (1845), Sprimont (1846), Cheratte et Lize-Seraing (1853), Jupille, Beyne-heusay et Lantin (1863), La  Préalle (1867), Montegnée, Ans, Paifve, St Gilles, St Nicolas, Le Pansy sont successivement et parallèlement prospectés. Plusieurs lieux de culte seront créés dont certains subsistent encore.
    Les temples protestants de la région de Liège sont ceux de :
 - Hodimont (1711) - Montagne de l'Invasion 8 (anc. Rue du Temple), 4800 Verviers
 - Liège (1819-1937) - Rue Hors-Château 19 (alors à côté du temple antoiniste), 4000 Liège
 - Liège (1860) - Rue Lambert-le-Bègue, 6-8, 4000 Liège (éclectique à dominante néo-romane, arch. Alfred Guilleaume)
 - Liège (1930) - Quai Godefroid Kurth 1, 4020 Liège (église de la Rédemption) (moderniste, art déco, arch. pasteur architecte H. Havill Stanley)
 - Liège (1932) Quai Marcellis 22, 4020 Liège (art déco, arch. Georges Appia (de Paris) et ingénieur John Soubre)
 - Spa (1877) - rue Brixhe 24, 4900 Spa (néogothique, arch. Jean Legros)
 - Flémalle (1896) - Rue de la Fontaine 256, 4400 Flémalle
- Seraing (1852) - Rue du chêne 384, 4100 Seraing
 - Seraing (1900) - Rue Ferrer 100, 4100 Seraing (témoignages du cheminement de l'architecte Paul Jaspar vers l'Art nouveau)
 - Nessonvaux (1901) - Rue Gomélevay 62, 4870 Trooz (devenu Centre protestant de Nessonvaux. Carrefour de jeunes a.s.b.l.. Centre de Rencontres et d'Hébergement)
 - Cheratte (1906) - Rue Vieille Voie 18, 4602 Visé (arch. Henri Sauveur d'Herstal)
 - Amay (1911) - Rue de l'Industrie 7, 4540 Amay (arch. Henri Sauveur, après les plans d'un projet de l'architecte Siméon Dupont)
 - Verviers (1912) - rue Laoureux 33-35, 4800 Verviers (arch. Henri Sauveur)
 - Herstal (1925) - Rue du Temple 15, 4040 Herstal (arch. Henri Sauveur)
 - Houtain-Saint-Siméon (ca. 1925) - 4682 Oupeye (arch. Henri Sauveur)

    Dans les Cantons rédimés, naturellement les temples protestants sont également anciens :
 - Neu-Moresnet (1857) - Eglise Saint-Jean - Hasardstraße 8, 4721 Kelmis/La Calamine
 - Eupen (1855) - Friedenskirche - Klötzerbahn 32, 4700 Eupen
 - Saint-Vith (1847-bombardée en 1944, détruite en 1945)
 - Malmédy (1985) - Mattäuskirche - Rue de l'Abbé Peters 42, 4960 Malmédy

    Alleur compte un temple moderne dans la Rue François Ennot 91 (4432 Ans-Alleur). À Grâce-Hollogne (Rue Grégoire Chapuis), on trouve également un temple construit en 1980 après la fusion de deux communautés (Liège et Grâce-Hollogne).

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Sprimont - Rue du Centre

Publié le par antoiniste

Sprimont - Rue du Centre

La rue Jean Schinler était anciennement la Rue du Centre.

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Temple antoiniste de Sprimont

Publié le par antoiniste

Temple antoiniste de Sprimont

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Sprimont - 29, rue Jean Schinler - plan cadastral

Publié le par antoiniste

Sprimont - 29, rue Jean Schinler - plan cadastral

source : cartocit1.wallonie.be

Rue Jean Schinler 29, 4140 Sprimont

Caractéristiques
Type de bien     Bien
Superficie de la parcelle     472m2
Bâtiment: 137 m²
Largeur de la parcelle     11m
Profondeur de la parcelle     42m
Surface estimée du jardin     326m2
Coordonnées     50°29'54.7"N 5°40' 10.5"E
Orientation du jardin/arrière maison     Ouest
Nombre de façades     Maison mitoyenne d'un côté
Zone inondable     Hors zone inondable

https://www.realo.be/fr/rue-jean-schinler-29-4140-sprimont/1159664?
https://ici.be/4140::Rue+Jean+Schinler::29/fr

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