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Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.293-64)

Publié le par antoiniste

Le Développement de l'OEuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité (p.293-64)

 

    La vérité seule nous rend heureux, c'est en elle que réside le véritable amour. Seule l'erreur nous fait souffrir, elle nous donne une fausse vue qui nous montre le mal dans le bien et le bien dans le mal, elle dissimule ainsi notre nature, dans la pensée que nous serions plus heureux en paraissant ce que nous ne sommes pas.

Le Développement de l'Œuvre Révélée, Arbre de la science de la vue du mal, le bien, interprété l'opposé de la réalité, p.293-92

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PORTUGAL. Porto. 1998. Gypsie's apartment block. Healing ritual

Publié le par antoiniste

source : Bruce Gilden (Magnum Photos)

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Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel (p.185-86)

Publié le par antoiniste

    Nous devons savoir qu'il y a aussi des épreuves qui viennent nous enlever si même nous avons une très grande foi, le médecin pourrait-il l'empêcher s'il est plus utile pour nous de nous désincarner, par exemple après avoir accompli tout notre progrès ici-bas ? il le pourrait bien moins encore que notre foi réelle.

Le Développement de l'Œuvre Révélée, Nous devons toujours respecter notre naturel, p.185-86

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Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.78-79)

Publié le par antoiniste

Le Développement de l'OEuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu (p.78-79)



    J'ai révélé que l'intelligence n'éprouve de jouissance que dans l'envie, qu'elle est insatiable, car plus elle possède plus grande devient sa passion et plus voudrait-elle posséder ; il lui est impossible de trouver dans ce qu'elle a de quoi être satisfaite et tout ce qu'elle na pas, elle le trouve nécessaire. Ah ! si elle n'enviait que ce qui l'est vraiment, elle nous rendrait ainsi autant heureux qu'elle nous prépare de bien grandes souffrances.

Le Développement de l'Œuvre Révélée, L'incompatibilité de l'amour du monde et de l'amour de dieu, p.78-79

 

 

 

 

 

 

 

 

L'Envie par Giotto (1305)

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La guérison par la foi

Publié le par antoiniste

The American Heart Journal, la bible mensuelle de la cardiologie, publie dans sa livraison d'avril une étude qui évalue le rapport bénéfice-risque de la pratique de la prière. Ce travail est signé de seize praticiens dirigés par les docteurs Herbert Benson et Patricia L. Hibberd. S'il s'agit bien ici de prière - cet acte de religion par lequel on s'adresse à Dieu pour l'implorer ou pour l'adorer -, il faut préciser qu'il s'agit de prières collectives effectuées pour le bénéfice potentiel de tierces personnes.

Les auteurs précisent qu'il s'agit là de pratiques très répandues dans certaines congrégations religieuses, mais que ces pratiques n'ont pas, jusqu'ici, fait la preuve scientifique de leur efficacité. Le temps était donc venu de faire la lumière en usant des outils méthodologiques habituellement utilisés en médecine pour établir un lien de causalité et faire la part du hasard.

Ce travail a été conduit auprès de 1 802 personnes ayant subi, entre janvier 1998 et novembre 2000, dans six établissements hospitaliers américains, un ou plusieurs pontages aorto-coronariens - intervention chirurgicale très répandue qui consiste à modifier le circuit de la vascularisation du muscle cardiaque chez des personnes exposées au risque d'infarctus du myocarde.

Trois congrégations religieuses, deux catholiques et une protestante, ont été chargées de prier pour "la réussite de l'opération chirurgicale et une guérison rapide sans complications" des malades dont elles recevaient le prénom et l'initiale du nom de famille.

Après tirage au sort, trois groupes furent constitués. Les personnes du premier et du deuxième groupe avaient été informées de ce qu'elles pourraient ou non faire l'objet de prières. En réalité, seul le deuxième groupe en aura bénéficié. Le troisième groupe fut, lui, effectivement l'objet de prières et en fut préalablement informé. Toutes ces prières ont été prononcées durant une période de quatorze jours commençant la nuit précédant l'intervention de chirurgie cardiaque.

Le premier point-clé de l'étude était la survenue ou non d'une complication médicale à 14 et à 30 jours. Le second concernait les taux d'accidents graves ou mortels. Dans les deux premiers groupes - ceux composés des personnes ne sachant pas si on priait ou non pour elles -, les auteurs de ce travail ont observé une égalité presque parfaite des conséquences de l'intervention. Des complications sont survenues chez 315 des 604 personnes du premier groupe et chez 304 des 597 du deuxième, soit des taux respectifs de 52 % et 51 %.

Quant au troisième groupe - pour lequel les prières étaient effectivement effectuées et les malades informés qu'elles l'étaient -, le taux de complications a été de 59 % (352 sur 601). La fréquence des nouveaux infarctus fut aussi supérieure (18 % contre 13 %). Quant aux taux de mortalité, ils furent les mêmes dans les trois groupes.

Les auteurs de ce travail en tirent deux conclusions.

  • Non seulement cette forme de prière n'a pas, ici et dans cette indication, démontré la preuve de son efficacité,
  • mais il est désormais établi qu'elle peut avoir des effets nocifs. Du moins quand les malades savent que des inconnus s'adressent à Dieu pour implorer qu'Il oeuvre à prévenir les complications d'un pontage aorto-coronarien.

Comment comprendre ?

Les auteurs expliquent ce résultat par le stress subi par des patients inquiets de se savoir à ce point malades "que l'on avait dû avoir recours, les concernant, à un groupe de prière".

(The New York Times précise que cette étude, qui n'était en aucune manière destinée à "déterminer si Dieu existe ou s'Il exauce ou non les prières", a coûté 2,4 millions de dollars. Une somme pour l'essentiel fournie par la Fondation religieuse John-Templeton. d'après Jean-Yves Nau, in LE MONDE, 06.04.06)

source : http://auriol.free.fr/parapsychologie/effets-scientifiques-priere.htm

 

Cependant, un fait important a été homis dans cette étude : le fait que la foi doit être des deux côtés, comme le dit Pierre Debouxhtay : "C'est donc avant tout, on peut même dire uniquement de la foi (foi du guérisseur et foi du malade) que dépend la guérison."

Et on lit le récit de Isi Collin :
- Monsieur, je voudrais vous consulter pour une personne qui n'est pas ici.
- Est-elle prévenue ?
- Non.
- Eh bien ! il faudrait la prévenir. Elle doit savoir que vous êtes ici.

Pierre Debouxhtay, Antoine le Guérisseur et l'Antoinisme, p.165-66 et 107.

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Antoinisme - Tout ce qui existe est éternel

Publié le par antoiniste

    Tout ce qui existe est éternel, rien n'a commencé ni rien de finira, la création l'est également. On pourrait se demander où est la justice, puisque d'autres êtres ont pu jouir du véritable bonheur des milliards d'années avant nous. Mais nous ne devons pas ignorer que le temps et la distance n'existent que matériellement, tout ce qui est réel, est éternel, c'est-à-dire que le passé et l'avenir sont le présent. Rien ne tient de place dans l'univers ; l'amour n'y diminue pas, la vie qui en est la conséquence, pas davantage, rien ne s'agrandit ni ne s'amoindrit.

Le Développement de l'OEuvre Révélée, Nous sommes tous des Dieux, p.93

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W.James - l'expérience

Publié le par antoiniste

    L'expérience immédiate de la vie résout les problèmes qui déconcertent le plus l'intelligence pure.

W.James, La volonté de croire

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Pearl Bailey - It takes two to tango

Publié le par antoiniste

    La rancune est remontée lentement, très lentement ; inexorable ; un degré après l'autre à chaque peine, à chaque échec ; je ne savais pas encore qu'il y a pas de coupable et qu'il faut être d'eux pour réussir un crime.

Frédéric Mitterrand, La mauvaise vie, p.87-88
Robert Laffont, Paris, 2005

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It Takes Two To Tango ( when two people have a conflict, both people are at fault ... )

Pearl Bailey chante...

Takes two to tango two to tango
Two to really get the feeling of romance
Let's do the tango do the tango do the dance of love

You can sail on a ship by yourself
Take a nap or nip by yourself
You can get into debt on your own
There are lots of things that you can do alone

But it takes two to tango two to tango
Two to really get the feeling of romance
Let's do the tango do the tango do the dance of love


I mean to tell takes two to tango two to tango
Two to really get the feeling of romance
Let's do the tango do the tango do the dance of love

You can croon to the moon by yourself
Well you can laugh like a loon by yourself
Spend a lot go to pot on your own
There are a lot of things that you can do alone

But takes two to tango two to tango
Two to really get the feeling of romance
Let's do the tango do the tango do the dance of love

One more times
It takes two to tango two to tango
Two to really get the feeling of romance
Let's do the tango do the tango do the dance of love
It takes two takes two
Darling it always takes two
When I'm with you

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Guillermin - Consolatrices. Scènes actuelles (1917)

Publié le par antoiniste

R. P. J. GUILLERMIN. – Consolatrices. Scènes actuelles. Paris, Lethielleux, 1917. In-12. Prix 2 fr. 25.

    Mme Solange Landey, professeur brevetée ès sciences, libre penseuse, engouée de théosophie et de spiritisme, écrit ses Cahiers de Vacances : 1913, 1914, 1915. C'est la confession de ses déboires progressifs. Au fur et à mesure de la marche des événements, qui vont à rebours de ses pronostics humanitaires et pacifistes, elle se rend compte, son orgueil de plus en plus dépité, que les consolations appuyées sur la seule raison ne donnent aucun repos aux esprits. L'âme de son élève, Jeanne, comtesse de Vertavonne, moulée à son image, ne trouve pas une compensation à la perte de son mari, disparu à la guerre, dans le rêve des métempsychoses et des réincarnations. Petit à petit, au contraire, la prière et le spectacle de la foi sincère attirent son cœur à une doctrine faite de promesses de revoir dans l'au-delà, à la doctrine chrétienne.
    Ce roman, où le sens de la nature est vif et charmant, a des richesses d'analyse psychologique qui lui donnent une valeur d'art très appréciable. Il vaut encore par l'opportunité de la thèse, beaucoup d'esprits distingués se réfugiant volontiers dans l' « amusette » spirite, par besoin d'une croyance, mais pour échapper aussi aux obligations du dogme et de la morale évangéliques. (Henry COURBE.)


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En nos jours d'angoisse et de deuil, combien d'âmes et de mains se firent consolatrices! Consolations de formes diverses, de diverses valeurs aussi. Elles se rencontrent mêlées, et néanmoins discernables, en ces pages d'angoisse intime et presque de confession, mais qu'on a voulu livrer telles qu'elles sortirent des âmes et des choses, dans l'espoir que d'autres âmes peut-être en seraient aidées et consolées.

[...]

    Bonne leçon en somme pour moi d'abord j'ai appris, non sans quelque amertume, combien peu l'on doit se fier à une femme, fût-elle élevée sur mes genoux, comme Jeanne, ou, comme l'autre, dans le ruisseau. Leçon aussi pour Jeanne. Dès que son esprit aura retrouvé l'équilibre, je ne doute plus qu'aux jets de fiel dont cette femme l'éclaboussait, elle ne tire quelque profit. En les filtrant un peu, elle y verra un filet de vérité. Ah! la couleuvre a du venin contre le bon Dieu, et cela va de soi!
    Si Dieu existe, il est bon, puisque infini, c'est-à-dire infiniment parfait. Mais tout de suite on voit, par tant de misères injustifiées, tolérées par ce Dieu, qu'il manquerait précisément de bonté pour nous. Donc il n'existe que dans une incohérente idée, dans l'idée d'une couleuvre, joli rêve parfois, mais fantaisie d'imagination. Le bon Dieu ! ces deux mots se tiennent, cette femme faisait bien de ne point les séparer s'il existe, il est nécessairement bon. Ah! je comprends la haine furieuse de ce reptile, assez rampant pour croire à l'existence de ce Dieu, comme d'une personne distincte de la Nature, et s'occupant d'une porteuse de pain, un Dieu infini penché sur cette couleuvre, voyez-vous ça?
    Non, la haute religion de la Science n'est point pour ces êtres grossiers. Esprits à peine évolués, ils ne sauraient aspirer à la pure et reposante clarté qui nous baigne. L'altruisme fait bien de s'occuper d'eux, mais sans espoir ni effort pour les élever au-dessus des vieilles religions, et je comprendrais presque le chapelet de Jeanne, dans un moment d'oubli, trop altruiste néanmoins. Notre dignité ne permet pas tous les abaissements. Récemment, on fit
effort pour éclairer ce bas peuple : l'Antoinisme, une vulgarisation de notre sublime doctrine, incohérente sans doute, mal étayée par cet Antoine qui se dit guérisseur, qui fut catholique, spirite et n'importe quiste, je pense, avant de tomber, ébloui, dans nos bras. Il a fait un bon travail cependant, par son effort à débarrasser le populaire des vieilleries chrétiennes, en l'initiant aux dogmes des réincarnations. Il y va carrément, ce guérisseur-là, il ne ménage point comme nous les susceptibilités, les langages catholiques; l'Antoinisme, à coups de boutoir assez adroits, démolit prières, charités, croyances, morales, tout l'échafaudage des curés et des sacristains. La haute théosophie suit avec intérêt ce progrès de la lumière parmi les humbles, et la consolatrice clarté va grandissant, surtout auprès de nos villes d'eaux Royat, Aix-les-Bains; Monte-Carlo. Peut-être, au contact de la haute société et de la grande vie, les âmes frustes s'éveillent-elles mieux; je préfère cette explication à celle qui prétend constater, autour de nos villes d'eaux et de jeux, une floraison particulière de pratiques superstitieuses.
    Cette femme que Jeanne visitait en son taudis n'est assurément point touchée encore de cette lumière; elle imagine un Dieu personnel! Alors la méchanceté de ce Dieu est incompréhensible. Problème si clair aujourd'hui : naître, c'est renaître, commencer sa vie, c'est la continuer. Mon âme existe et circule depuis les toujours éternels en route, elle a fait des chutes, elle doit donc se relever, sinon l'équilibre final serait violé; grande loi de la conservation de l'énergie! Aussi bien, les tout petits enfants souffrent déjà, ils ont des tendances, des vices, des qualités aussi, du génie parfois. On s'en étonne, mais que l'on regarde donc au-dessus et au delà des berceaux; cet enfant vient d'ailleurs, ce génie est le fruit de lentes et magnifiques évolutions, je ne sais où, je ne sais quand, mais je sais... ou bientôt l'on saura... comment. Travail des incarnations successives. Cette malechance acharnée sur celui-ci, est-ce donc un Dieu jaloux, une malveillante providence ? Ces mots jurent. Tout simplement ses propres fautes, ses faiblesses d'une vie antérieure et qui fatalement se doivent réparer. O splendeur de l'immanente justice !

Études / publiées par des Pères de la Compagnie de Jésus
Avril 1916
source : gallica

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Jacque Brel - tricher avec soi-même

Publié le par antoiniste

"Chaque fois que je triche avec moi-même, je vais droit à l'échec. Dans le fond, c'est bien fait pour moi."

Jacques Brel

(merci à David pour cette citation)

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